La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 58)
Suite de l'épisode 46 : Le Marquis d'Evans en Martinique (de sa Première journée avec le texte écrit pas esclaveleeny)
Deuxième journée en Martinique :
Toujours sur le yacht, Je me levai lentement pour ne pas réveiller mon Maître le Marquis dEvans. Il nétait que 4h37 du matin, mais je narrivais plus à dormir tant lexcitation davoir mon Maître avec moi était grande. Je me dirigeai donc vers le salon et aperçu sur le canapé les pinces, le fil de fer et tous les outils que mon Maître avait utilisés la veille. Il fallait que je mette de lordre avant Son réveille. Je commençai à tout ramasser, après avoir accroché une pince sur chacun de mes tétons. Je me rendis compte bientôt que rien ne pendait à mon cou, je navais pas ma laisse. Je me précipitai dans la chambre, la ramassai et ressortis après lavoir accrochée à mon collier. Puis je repris le rangement. Au bout de dix minutes, tout était parfait.
Je me mis donc à préparer le repas de Maître. Du bacon, des ufs, je vérifiai que le beurre était bien dans le frigo, je préparai les tranches de pain pour les mettre à griller au réveil de mon vénéré Maître puis allumai la cafetière. Tout était prêt. Je regardai lheure : 5h. Mon Maître le Marquis dEvans nallait sûrement pas se réveiller maintenant. Je me dirigeai dabord vers la salle de bain puis me retins. Je nétais quune chienne. Je navais pas le droit dutiliser la salle de bain de Maître, sauf sil me le permettait. Je sortis donc sur le pont supérieur puis contourna le gouvernail. Là se trouvait une douche où lon pouvait se rincer après le bain de mer. Je me mis à quatre pattes après avoir ouvert leau. Elle était gelée, et des frissons me parcoururent. Après avoir terminé, je me secouai pour me sécher et retourna dans la cabine, toujours à quatre pattes. Je me dirigeai vers le bureau et pris dans la grande bibliothèque A la lumière dhiver de Jaccottet. Cétait lun de mes recueils de poèmes préférés.
Après un long moment, le bruit de leau cessa et jentendis la porte de la douche souvrir. A peine quelques secondes plus tard, le Marquis sortait de la chambre, entièrement nu. Il ne paru pas surpris de me voir là. Il me caressa la tête pour me saluer et tira sur les pinces accrochées à mes tétons depuis maintenant presque deux heures pour les enlever. Je retins un cri de douleur et contemplai avec admiration le sexe qui pendait mollement entre les cuisses de mon Maître. Il savança jusquà la cuisine.
- Eh bien. Quelle odeur appétissante. Lève-toi et sers donc ton Maître. Une fois cela fait, tu te posteras entre mes jambes et tu toccuperas de réveiller mon sexe pendant que je mangerai. Si tu fais cela bien, tu auras droit à un petit-déjeuner.
Docilement, je maffairai immédiatement dans la cuisine. Deux minutes plus tard, mon Maître était attablé et je suçais goulûment sa verge tendue. Le silence nétait perturbé que par le choc des couverts que le Marquis dEvans utilisait et le bruit de succion que faisait ma bouche en savourant Son sexe. Il me caressait la tête de temps en temps pour mencourager ou mimposer Son rythme. Sa verge fut très vite longue et dure et je sentis dans ma bouche le léger goût salé de Sa semence. Puis, Il repoussa ma tête, massignant darrêter. Je le fis avec regret, sortis de sous la table et massis sagement à ses pieds. Au bout de quelques minutes, Il se leva et se dirigea vers la chambre, me faisant signe, de Sa main, de ranger. Je mexécutai sagement, percevant les bruits de Sa brosse à dents électrique.
Ne pas le regarder dans les yeux ! Je baissai ma tête et aperçu la bosse qui gonflait le short au niveau de son entre-jambes. Il navait pas joui entre mes lèvres, songeai-je avec tristesse. Il attrapa ma laisse et nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Il me fit marrêter devant ma gamelle. Il prit dans le frigo du lait et remplit une partie de la gamelle avec des céréales. Puis il ouvrit les pans du short et sortit sa verge tendue. Il me fit signe de le masturber tandis que de mon autre main, je me caressai la chatte, comme il venait de me lordonner. Rapidement et par saccades le flot de son délicieux jus tomba dans lautre côté dans ma gamelle. Il me fit ensuite signe de manger. Je commençai par me délecter du joui de mon Maître. Cétait succulent et les céréales parurent bien fades après cela. Quand jeus fini de laver ma gamelle, je me remis à quatre pattes et Il me tira sur le pont supérieur. Le soleil rayonnait déjà au dessus de lhorizon et Il sassit sur lun des sièges, moi à ses pieds. Il regardait la mer, le paysage en me caressant la tête. Jattendais, de mon côté, le moment où Il me parlerait. Ce qui arriva très vite :
- Il me semble que ce rocher est très populaire ici. Comment se nomme-t-il déjà ?
- Le Rocher du Diamant, Maître. Il est en effet très visité des touristes venant en Martinique. Les fonds marins y sont magnifiques. Jy ai fait de la plongée avec mon père, un jour, et cétait vraiment éblouissant. Mais à part cela, le rocher en lui-même nest pas si intéressant que cela. De plus, il y a beaucoup de requins, même sils ne sont pas dangereux.
- Je vois. Bien. Quas-tu prévu pour aujourdhui ? Je risque davoir le mal de mer si nous restons sur ce bateau toute une journée.
- Oui, Maître, je pense Vous emmener à Fort-de-France pour que Vous puissiez faire Vos achats.
- Bien, bonne idée. Viens donc par là que je thabille. Même si je naime pas que Mes chiennes soient vêtues car cela leur enlève leur statut de chienne, tu ne peux décemment pas sortir ainsi. Mais noublies pas que tu nes quune chienne déguisée, tu as compris ?
- Oui, mon Maître, dis-je en baissant ma tête.
Il prit ma laisse et me tira jusquà la chambre. Il ouvrit le placard (javais pris soin, la veille, dy ranger Ses affaires) et sorti un sac en cuir noir, que je navais pas vu la veille. Il le posa sur le lit et louvrit. Quand je vis ce quIl en tirait, une larme de joie et démotion roula sur ma joue. Cétait un magnifique collier en cuir blanc cerné de pierres rouges que je devinais être des rubis. Un anneau en or y était accroché, reliant le collier à une fine chaîne en or elle-même attachée à une dragonne en cuir de la même couleur que le collier. Les armoiries du château des Evans y étaient incrustées avec art. Je vis Maître détacher la chaîne et sapprocher de moi. Je me prosternai respectueusement, consciente de limmense cadeau quIl me faisait là. Les larmes coulaient silencieusement sur mes joues. Je sentis Ses mains délicates détacher le collier en cuir noir que je portais au cou et le remplacer par le blanc. Quand Il eut fini, ne pouvant me retenir, je sautai dans Ses bras. Surpris, Il me retint de justesse, manquant tomber. Horrifiée, je me repositionnai et me prosternai en mexcusant. Avec un sourire, il prit mon menton et membrassa doucement.
- Tu es devenue une bonne chienne, Leeny. Je suis fier de toi.
Cette fois, les larmes ne furent pas silencieuses. Je me mis à pleurer de joie, secouée par des spasmes incontrôlables. Il me caressa la tête longuement, attendant que je me calme. Après de longues minutes, mes pleurs cessèrent et Il maida à me relever. Il me fit masseoir sur le lit et disparut dans la salle de bain.
Trois quarts dheure plus tard, jamarrai le bateau à lun des quais du port de Fort-de-France. Le Marquis descendit le premier, puis je le suivis. Je saluai les quelques marins que je connaissais et qui sortaient du bateau militaire. Ils furent surpris de me voir vêtue ainsi, cela se voyait. Mais ils ne dirent rien et je guidai mon Maître vers la sortie du port. Fort-de-France était, comme à son habitude, très animée ce jour là. Le marché était ouvert et lon pouvait entendre les marchants crier à lautre bout de la ville. Nous passâmes devant lépicerie que tenait mon amie denfance, et je fis tout pour rester inaperçue. Elle saurait quil se passait quelque chose si elle me voyait habillée ainsi, et je ne voulais causer aucun tort au Marquis dEvans. Nous arrivâmes dans une ruelle sombre et déserte. Il fallait la traverser pour arriver à la rue commerciale. Maître sarrêta au début de la rue et regarda à droite puis à gauche, puis me fixa. Je lobservai, interrogative. Puis il sortit de sa poche la fine chaîne en or puis laccrocha à mon collier.
- Il ne faudrait pas que tu gardes cette mauvaise habitude de marcher debout. Ce nest pas bon pour une chienne.
Inquiète (si je croisais quelquun que je connaissais) mais obéissante, je me mis à quatre pattes. Le Marquis se baissa et remonta la robe sur mes hanches, de manière à ce que mon cul Lui soit bien visible. Il mautorisait à marcher devant lui, puisque cétait moi qui le guidais. Nous commençâmes donc à avancer dans la ruelle. Heureusement, personne ne rencontra notre chemin, cette ruelle étant assez peu connue pour son passage. Arrivé à la moitié du chemin, Maître me fit marrêter de nouveau. Il sortit de sa poche un plug et lenfonça directement dans mon cul, ce qui me fit crier de douleurs vives et subites. Puis il me claqua trois fois chaque fesse et nous repartîmes. Arrivés à quelques mètres de la sortie de la ruelle, il mintima de me relever en tirant dun coup sec sur la laisse. Ce que je fis. Il rebaissa le bas de la jupe, menleva la chaîne et nous continuâmes. Au bout de dix minutes, et gênée dans ma démarche étant pluguée, nous passâmes devant un sex-shop. Sachant quil serait intéressé, je marrêtai devant. Comme je lavais imaginé, Il regarda linsigne du magasin et entra. Je le suivis à lintérieur, toute excitée de ce qui allait sy passer. Car je savais que ce magasin nétait pas quun simple magasin.
Une odeur dencens sengouffra dans mes narines dès mon arrivée. Le Marquis dEvans était déjà dans le rayon S.M. Une magnifique jeune femme denviron trente ans arriva devant moi et appuya sur ma tête pour magenouiller. Ne comprenant rien, jobéis. Elle enleva ma robe, installa des pinces réglables sur mes tétons quelle serra à lextrême puis des nipple sucker électriques. Elle régla ces dernières au maximum. Les ventouses aspirèrent mes tétons déjà meurtris par les pinces. Je laissai échapper un soupir daise. Maître tendit la chaînette à la jeune femme qui laccrocha à mon collier. Elle séclipsa un instant dans le rayon où mon Maître était linstant davant puis revint avec une cravache et un martinet quelle tendit à mon Maître, non sans un certain sourire sadique. On avait limpression quils étaient très complices.
Il les fit claquer au dessus de ma tête, un air satisfait sur le visage. Elle saccroupit devant moi et pris mon menton entre ses doigts. Cest alors que je me souvins delle. Elle était à la foire aux esclaves où mon Maître mavait achetée quelques mois auparavant. Malgré son jeune âge, elle faisait partie des amis intimes de Maître et était célèbre dans le monde de la domination/soumission. Certains racontaient quelle avait été lélève du Marquis dEvans et quil lui avait appris tout ce quelle savait. Cétait même Lui qui lui avait offert son premier esclave. Jétais vraiment heureuse de la rencontrer. Sur un forum, javais fais la connaissance dune esclave qui avait été sous ses ordres. Elle ne mavait dit que du bien delle. Mais malheureusement, sa Maîtresse était partie vivre sur une île (je savais maintenant que cétait la Martinique).
- Chienne Leeny, voici ma jeune cousine, Maîtresse Helena. Elle est venue vivre ici en Martinique, il y a maintenant quelques années. Je savais que tu me mènerais jusquici, cest pour cela que je ne ten ai pas parlé, mais nous avions prévu de nous voir. Tu as dû lapercevoir le jour de la foire aux esclaves.
- Oui, Maître. Je men souviens. Je suis très heureuse de vous rencontrer, Maîtresse Helena, dis-je en me prosternant.
- Eh bien, moi aussi ! Monsieur le Marquis ne fait que me parler de vous, ses esclaves. Javais très envie den rencontrer un. Il mavait dit que lune de ses esclaves vivait ici mais ne voulais pas me la présenter tant quil ne serait pas là. Mon cher cousin, aurais-tu peur que je te la vole ?
- Voyons, Helena, tu sais très bien que mes chiens sont beaucoup trop fidèles à leur Maître. Ils ne seraient rien sans moi.
- Je le sais, je le sais, dis Héléna avec une évidente admiration dans ses yeux
- Je voulais simplement avoir le bonheur de te la présenter moi-même. Après tout, tu as été ma meilleure élève, je te devais bien cela.
- Ha ! Ha ! Eh bien, tu me fais là un grand honneur. Bon, et si nous passions à la grande salle ? Je ferme le magasin.
Elle ferma la porte après avoir retourné la pancarte de façon à ce que la face « Fermé » soit visible, puis elle se tourna vers le Marquis dEvans.
- Me ferais-tu lhonneur ? demanda-t-elle en pointant un doigt sur moi.
- Je ten prie.
Elle sautilla de joie et pris ma laisse. Elle était, à mon grand étonnement, très douce. Avec une caresse sur le derrière, elle me fit avancer. Après avoir parcouru un grand couloir, derrière la boutique, nous arrivâmes dans une immense pièce où un grand nombre daccessoires de soumissions trônaient, imposants et terrifiant, mais surtout excitant. Il y avait dans un coin de la salle un buffet et plusieurs chaises. Une vingtaine de couples venant de milieux plus quaisés, habillés très élégamment, discutaient entre eux. Des serveurs, seulement vêtus de nuds papillon, servaient des coupes de champagne ou des verres de vin. Les femmes et certains hommes en profitaient pour les toucher.
Quand la Maîtresse de maison entra, moi à ses pieds, tout le monde se tût. Et quand mon Maître apparu dans lembrasure de la porte, des « oh ! » et des « ah ! » parcoururent lassemblée. Tous saluèrent avec respect le nouveau venu. Le Maître de la soumission était présent en ces lieux ! Quel honneur ! Il y aurait certainement un grand spectacle. La jeune dominatrice fit asseoir son cousin dans un fauteuil de velours rouge. Elle me fit minstaller dans un panier de la même matière, aux pieds de mon Maître. Plusieurs personnes vinrent saluer le Marquis dEvans. Il était vraiment très apprécié de tous ceux qui le connaissaient. Et pour ceux qui le découvraient, la réputation du Marquis dEvans était bien connue et suscitait de ladmiration. Ils le complimentèrent de la qualité esthétique de la jeune chienne assise à ses pieds et lui demandèrent se elle était obéissante.
- Ne vous en faites pas, mes amis, cette petite chienne a été très bien dressée, elle est très docile et obéit à chacun de mes ordres. Vous aurez tout le loisir de vous en rendre compte un peu plus tard. Pour le moment, chère cousine, dit-Il en se tournant vers elle, il est déjà midi passé et je nai toujours pas mangé. Ma chienne non plus dailleurs.
- Nous allions justement passer à table. Si tu veux bien, jemmène la chienne avec les autres dans la pièce dà côté. Jai chargé quelques amis de les préparer pour cet après midi.
- Cest très bien ! Soit sage, Leeny, dit-Il en me caressant la tête.
La Maîtresse de maison pris ma laisse et me guida jusquà une salle adjacente, un peu plus petite mais dotée dà peu près les mêmes instruments que la grande salle. Elle remit ma laisse à un grand jeune homme et repartit. Je regardai la pièce. Déjà une dizaine desclaves étaient présents. Des hommes avec des cagoules, tels des geôliers, et sans aucun autre vêtement, étaient en train de les fouetter ou de leur enfoncer des godes dans la chatte pour les femelles et dans le cul pour les mâles. Mais aucun son ne sortait des bouches des esclaves. Lhomme qui tenait ma laisse me mena jusquà un comptoir qui longeait tout un mur de la salle. Etant à quatre pattes, je ne pouvais voir ce qui sy trouvait, mais je devinais que cétait des fouets et autres instruments de . Il prit une cagoule semblable à celles de ses camarades et lenfila.
Puis il se munit de plusieurs outils. Je lentendis faire claquer un martinet dans lair, puis il testa une cravache et un paddle sur son épaule. Il se baissa pour accrocher une pince munie dun poids sur chacun de mes tétons et les relia à mon collier à laide dune chaîne. Puis il saisit ma laisse et nous nous dirigeâmes vers le centre de la pièce où se trouvait un banc de . Il attacha mes poignets aux pieds du banc puis accrocha lanneau de mon collier à un crochet sous le banc. Mes cuisses furent maintenues par des liens en cuir noir ainsi que mes chevilles. Mon cul se retrouva donc mis bien en évidence. Une ou deux minutes passèrent avant que le premier coup de fouet ne retentisse. Je cria de douleurs. Cela était très étrange pour moi, car je navais pas lhabitude dêtre traitée ainsi sans raison, alors que je navais commis aucune faute. Mais je savais que je navais pas mon mot à dire. Lhomme parut se lasser très vite car au bout de six ou sept coups de fouet, il sarrêta. Un instant passa encore. Je ne voyais que le sol en marbre clair et je ne pouvais bouger la tête pour regarder ce que faisait lhomme.
Au bout dun moment, je sentis quon menleva mon plug et quun énorme gode le remplaça pour venir me bourrer lanus, soudainement et sans ménagement. Cétait la première fois que quelque chose daussi gros entrait en moi et si profondément. Une larme silencieuse coula sur ma joue. Je priai pour quil ne la remarque pas. Le jouet se mit à faire des allers-retours dans mon cul. Voyant que lobjet bougeait avec difficulté, il le retira, séloigna un instant. Que faisait-il ? Je le compris quand je sentis le même objet senfoncer en moi avec plus de facilité. Il glissait à lintérieur de moi avec tant de force que plusieurs vaisseaux avaient dû éclater. Puis il sarrêta aussi soudainement quil avait commencé. Il me détacha et me fit me lever avant de me vêtir dun harnais. Il attacha mes poignets à des menottes de suspensions qui pendaient à quelques mètres du banc. Puis il fit de même avec mes chevilles et enfin il attacha lanneau qui se trouvait dans mon dos à un crochet.
Je me retrouvai donc les jambes écartées, face contre terre à un mètre cinquante du sol. Il écarta davantage mes jambes et je sentis deux grosses boules senfoncer dans mon anus. A peine furent-elles à lintérieur quelles se mirent à vibrer. Jeus limpression dêtre en plein tremblement de terre tant les vibrations était fortes. Le gode qui avait servit à ouvrir mon cul fut lavé puis enfoncé dans ma chatte. Lhomme fit le même travail avec cette dernière. Je me retins de justesse de jouir tant la douleur se mêlait délicieusement avec le plaisir. Puis je fus libérée de mes liens. Il me laissa le harnais et me traîna jusquà un coin de la pièce où était déjà installer dix chiens et huit chiennes. Les boules vibraient toujours en moi mais avec moins dintensité. On posa devant moi une gamelle à trois compartiments. Lun avec des croquettes, lautre avec de la pâtée et le dernier vide. Je commençai à manger. Environ deux minutes plus tard, les portes qui menaient à la grande salle souvrirent. Je sentis immédiatement la présence de mon Maître et cela me rassura.
Il mavait tant manqué durant la dernière heure ! Il se dirigea vers moi et sarrêta à ma hauteur. Il dégrafa Son pantalon et en sortit Son énorme vit. Il urina dans le compartiment vide de ma gamelle, me caressa la tête et me fit Le lécher pour Le nettoyer, ce que je fis avec plaisir. Puis Il rangea Son sexe et disparut dans la grande salle. Je me remis à manger et à boire. Les autres chiens et chiennes nous rejoignirent pour manger. Au bout de dix minutes, lhorloge qui se trouvait au fond de la salle sonna quatorze heures. Les « geôliers » réapparurent et prirent les laisses de chaque chien. Nous étions vingt-trois en tout. La Maîtresse de maison apparut dans lencadrement de la porte et fit un signe aux « geôliers ». Tous les chiens se retrouvèrent avec un rosebud dans le cul doù pendait une queue de chien, noires pour les mâles et blanches pour les femelles. Puis on nous sépara en deux rangs, face à la porte. Nous entrâmes dans la grande salle. Cette dernière avait été réorganisée. Le buffet avait été retiré, les instruments avaient été tournés face aux chaises, maintenant rangées en ligne le long du mur. Mon Maître et sa cousine étaient un peu surélevés, assis sur une petite estrade, dans des fauteuils en velours rouges. Il me fit un petit sourire quand il me vit, et je devins rouge comme leurs fauteuils. Tout se passa très vite en suite. Les invités furent autorisés à se lever pour assouvir leurs envies. La seule condition était de ne pas retirer les queues des chiens. Je connus un grand succès, étant lesclave du grand Maître.
Deux hommes denviron cinquante ans se dirigèrent vers moi, suivis de trois jeunes femmes. On tira sur mes seins, on les martyrisa, dautres venaient enfoncer trois doigts dans ma chatte, dans mon anus (par-dessus le rosebud). Puis des instruments furent distribués. On me fouetta, on me goda, je me retrouvai avec des pinces sur les seins, sur la bouche, le clitoris. Un gode effilé fut enfoncé dans mon cul au côté du rosebud déjà présent. Je retins de justesse un cri de douleur. Les deux Maîtres observaient le spectacle avec de grands sourires et commentaient quelques fois en se penchant pour chuchoter à loreille de lAutre. Un invité eut laudace de tirer sur ma queue et de la sortir hors de moi. Il fut immédiatement mis à la porte. Il ne fallait pas toucher à ce qui caractérisait une chienne : sa queue. Les deux hommes de cinquante ans me mirent sur un banc, jambes écartées. Et tous deux, en même temps, ils enfoncèrent leurs gros sexes dans ma chatte. Pendant ce temps, une femme vint tirer sur les pinces qui torturaient mes tétons. Il y en avait trois en tout sur chaque téton. Elle les retira une par une en tirant dun coup sec. Puis elle fit rouler une petite roulette de Wartenberg aux dents aussi pointues que des aiguilles sur les tétons.
Cétait si douloureux et si bon que je faillis me laisser aller. Les assauts des deux hommes se firent plus ardents et plus rapides. Je sentis bientôt un liquide gluant couler le long de ma raie. Puis ils présentèrent leurs sexes à mes lèvres. Je me mis à les sucer goulûment. Leurs sexes nétaient pas aussi appétissants que celui de Maître, mais ils étaient tout de même agréables. Ce fut au tour dun vieil homme barbu, denviron quatre-vingt ans, de venir se décharger en moi. Cela fut très rapide, dailleurs et il neut pas besoin de me pénétrer, ma bouche ayant déjà fait tout le travail. Puis, une femme munie dun énorme gode ceinture et dun fouet vint senfoncer brutalement en moi alors que jessuyais ma bouche. Elle me fouettait les seins au rythme de ses assauts puis elle attrapa mes cheveux et me tira vers ses seins pour que je les suce. Je me mis à luvre. Elle était toujours en train de me déchirer la chatte quand un gong retentit dans la pièce. Tous les invités poussèrent des cris de déception. Protestations vite réprimées par mon Maître qui dit dun ton ferme mais calme :
- Ça suffit ! Nous navons pas dit que le jeu était terminé, il est seulement lheure de la pause pour nos petites bêtes. Je vous prierai, Messieurs et Mesdames, de retourner à vos sièges pendant que les serviteurs dHelena nettoient les chiens.
Il était seize heures à lhorloge. Je ne savais pas pour combien de temps nous étions là. Je vis mon geôlier se diriger vers moi. Il saccroupit et se mit à me nettoyer à laide dune éponge. Je vis trois couples se lever et se diriger vers la Maîtresse des lieux. Ils sinclinèrent et la jeune femme parut déçue :
- Bien ! Six de nos invités doivent sen aller. Je vais donc leur rendre leurs chiens. Je suis désolée de devoir réduire leffectif, mes amis. Georges, Didier, Olivier, Florian, Téo et David, rendez les laisses aux Maîtres.
Les hommes dont les noms avaient été cités se dirigèrent vers les trois couples et leur remirent les laisses avec leurs chiens à terre. Puis ils disparurent. Nous nétions plus que dix-sept. Il y eut un élan de protestation que le Marquis dEvans Se chargea de nouveau d, il faisait, nul doute, autorité :
- Ecoutez mes amis, ils sont encore dix-sept. Et vous êtes vingt-quatre. Il y en a assez pour tout le monde. Alors amusez-vous. Vous êtes maintenant autorisé à retirer les queues et à utiliser les bancs de . Des baillons et autres instruments ont été ajouté à la panoplie. Ceux qui le désirent peuvent venir me consulter pour quelques conseils.
- Monsieur le Marquis ! Pouvez-vous nous faire une démonstration sur votre esclave, dit une voix féminine approuvée par le reste de lassemblée.
- Cela est prévu, ne vous en faites pas. Mais pour le moment, amusez-vous, z delle. Elle est là pour cela, après tout. Tenez ! Je demande même à ce quelle remplace les chiens qui se sont retirés. Sept dentre-vous, pourront soccupez delle. Je compte sur vous pour bien profiter delle.
- Cest un bien bel honneur que tu nous fais là, cher cousin, sexclama Helena. Alors, vous avez entendu Monsieur le Marquis ? Au boulot !
Bien plus de sept personnes vinrent sacharner sur moi. Un homme mattacha les poignets à des menottes de suspension et me fit me mettre à genoux. Trois femmes samusèrent à me fouetter, lune avec un paddle, les deux autres avec des cravaches. Des hommes me présentèrent tour à tour leurs sexes pour que je les suce. Quand chacun deux fut bien dur, ils vinrent tous en même temps me pénétrer. Certains sexes nayant pas la place pour atteindre le mien, ils se frottèrent à mes seins, à ma bouche et certains réussirent à pénétrer mon cul. Ils devaient être à dix sur moi, à attendre leur tour. Je fus bientôt couverte de sperme mélangé à de la sueur et de la salive. Cétait assez écurant et je dû mimaginer dans les bras de Maître pour passer cette épreuve sans vomir. Jattendais avec impatience le gong de la fin. Et il arriva après multiples orgasmes et pénétrations de tous mes orifices. Quelle orgie ! Enfin, les invités se reculèrent en nous regardant avec envie. Cétait enfin fini. Mon Maître se leva et se dirigea vers moi. Je me frottai à ses pieds, telle une chatte obéissante alors quil me caressait la tête.
- Bien. Mes amis, le jeu est terminé. Veuillez regagner vos places. Je vais maintenant vous montrer comment Jai réussi à dresser cette petite chienne qui était auparavant si sauvage. Leeny, assis. (Je mexécutai) - Bien petite chienne !
Il me détacha les poignets et prit ma laisse. Il me mena jusquà un banc de . Il attacha mes poignets à mes chevilles. Je me retrouvai, pour la deuxième fois de laprès midi, le cul en lair. Il présenta mes fesses au public. A trois reprises, il leur donna une claque ferme et toujours plus forte. Puis ce fut au tour de la cravache. Il me fouetta jusquà ce que je sente de fines gouttes de sang couler le long de mes cuisses. Mais je fis en sorte de ne pas pleurer et de ne pas crier, juste grimaçante, je me retenais pour dire aucun mot ou cris. Des « oh » de surprises retentir. Jentendis quelques personnes dire quil nétait pas normal que je ne dise rien alors que cela faisait plus de dix minutes quil me fouettait au même endroit. Ce quils ne savaient pas, cétait que le Marquis dEvans élevait Ses chiens dans la politique quil ne fallait jamais rien laisser paraître, que lon ait mal ou que nous ressentions du plaisir, sous peine de grave punition.
Avec un sourire fier, Il me détacha et me fit masseoir à califourchon sur le banc, jambes écartées. Il installa des pinces sur mes tétons quIl tira, tourna, tortura. Cétait délicieux ! La pointe de mes seins était rouge sang et me brûlait. Mais jéprouvais un énorme plaisir à ce que ce soit mon Maître qui me fasse tant souffrir. Il était si bon avec moi ! Durant une heure, Il me fouetta, me pinça, enfonça Son vit dans ma gorge. Tout le monde admirait ladresse de Maître, Son pouvoir sur moi. Jamais personne ne pourrait le surpasser en matière de dressage de chien. Je ne sais ce que je pourrais faire sans lui. La fin de notre prestation fut accueillie par un tonnerre dapplaudissement.
Quand tous les invités furent partis, Helena proposa à mon Maître de rester dormir. Proposition quil refusa gentiment. Mais il promit de revenir la voir avant son départ. Puis nous prîmes le chemin du retour. Il faisait nuit et personne ne traînait dans la rue, mis à part des s qui sennuyait chez eux. Le Marquis me fit alors me mettre à quatre pattes et retira tous mes vêtements, hormis, bien entendu, le collier et la laisse. Les jeunes qui traînaient me regardaient et demandaient à mon Maître de les laisser passer une nuit avec la petite chienne. Il ne leur accorda même pas un regard. Jétais furieuse. Comment osaient-ils sadresser à mon Maître alors quils nétaient que des vauriens. Nous arrivâmes rapidement au bateau. Heureusement, nous navions croisé personne dautre. Le Marquis dEvans décida que nous resterions à quai pour la nuit. Il mordonna de me doucher, le laver toutes les traces de cette orgie. Jétais épuisée. Je ne terminai pas ma gamelle tant jétais fatiguée, et Maître me fit comprendre quil ne désirait pas dîner. Il me porta jusquau lit et membrassa. Je fus surprise au début puis je me collai un peu plus à lui pour bien sentir son corps contre moi. Il sentait si bon ! Cétait un vrai soulagement de me retrouver dans ses bras après laprès-midi que je venais de passer.
- Tu as été une bonne chienne, Ma petite Leeny. Les gens Mont félicité pour ton dressage, et tu sais combien Jaime que lon Me complimente sur Mes esclaves. Aussi ai-Je décidé de te donner une petite récompense.
Je Le regardai dun air interrogateur et je Le vis se déshabiller. Il écarta mes cuisses et membrassa tout en me pénétrant. Cétait si bon de le sentir en moi ! Cétait la plus belle soirée de ma vie. Il me fit lamour toute la nuit, sans violence ni brutalité, avec toute la douceur et tout lamour dun Maître pour son esclave. Je sentais le sommeil menvahir et fermai les yeux doucement. Sans se retirer de moi, dans un coït tendre et profond. Il murmura un « Je taime, ma petite chienne adorée » que je me répétai toute la nuit dans un rêve merveilleux
(à suivre
)
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