Séance Tatouage Avec Un Bonus!
Je marche dans la rue, assez vite, je me sens fébrile. Cela nest pourtant pas la
première fois que je prends le chemin du salon de tatouage, mais je sens les séances
de plus en plus particulières. Cela faisait des mois que je pensais à ce tatouage dans
le décolleté, mais je ne me sentais pas le courage de lui en parler, et surtout de
devoir me déshabiller autant devant lui. Dans un sens, cela pourrait paraître stupide,
car, en me faisant tatouer de derrière loreille jusquà la fesse, jai déjà eu
loccasion de me déshabiller de nombreuses fois. Malgré tout, je navais pas franchi
une étape très importante pour moi, je navais jamais retiré mon soutien-gorge. Mais
cette fois-ci je ny échapperai pas, je le sais.
Je lui ai donc demandé de me dessiner deux ou trois propositions, et je devais
justement venir pour en choisir une quil me dessinerait au feutre à même la peau pour
que je puisse me rendre compte du rendu. Je bifurque dans une rue plus étroite et
aperçois la devanture au loin. Je suis un peu en avance, mais le salon semble déjà
ouvert. Alors que jentre, un client, qui vient à priori de se faire tatouer est là,
en train de discuter. Je me tapis dans un coin et attend la fin de la discussion des
deux hommes.
Une fois seuls dans la pièce, je me décide à dire bonjour, et à demander où en sont
mes dessins. Il me regarde droit dans les yeux, ses yeux sont dun bleu très clair,
son regard très expressif, je me sens déjà mal à laise. Il sourit et me présente deux
croquis. Le premier représente un gros diamant avec des volutes de fumées partant de
chaque côté, le second une serrure dun style gothique encadrées de plume. Je préfère
nettement le deuxième. Il me propose alors de passer dans la salle du fond pour
pouvoir le dessiner. Je sens les battements de mon cur saccélérer, je crois que la
douleur du tatouage est encore moins pire que ce moment
Je le suis donc, et en profite pour jeter un regard furtif à ses fesses, moulées dans
son jean.
sapproche de moi, pose son dessin à côté de ma jambe, puis commence à mexpliquer,
par-dessus mes vêtements, où chaque élément va se retrouver. Je sens sa main frôler
mon corps, toucher mes seins, avec un grand professionnalisme, mais le trouble est là.
Je lu demande une ou deux corrections sur des éléments qui ne me plaisent pas, puis il
me propose de me déshabiller pour pouvoir effec un essai. Je ne peux tout de même
pas refuser ! Je retire donc mon tee-shirt, dégrafe mon soutien-gorge, et dans un
soupir le laisse tomber sur mes jambes. Il me regarde à peine, ce qui métonne, je
pensais quil profiterait de sa profession pour se rincer lil mais non, il me tourne
le dos, à la recherche du bon feutre. Il utilise un calque pour copier le dessin
central puis étale un peu de crème entre mes seins. Je remarque quil prend le temps
de bien masser pour que la crème pénètre, et me demande sil est vraiment nécessaire
que cela dure autant, ou bien est-ce que le temps me paraît interminable
Il applique le calque et appuie bien, pour que le dessin simprime. Il se penche pour
attr son feutre et me demande décarter les jambes. Il sassied sur son tabouret
et le fait rouler pour se trouver face à moi, entre mes jambes. Cette position est
troublante. Il commence à repasser les contours du dessin au feutre. Il est concentré,
les lèvres pincées, il semble tendu. Mais est-ce la concentration du dessin ou une
lutte pour réprimer un geste qui serait déplacé ? Le doute est raisonnable à cet
instant, tant je limagine posant son feutre et me faisant glisser sur ses genoux pour
membrasser. Je dois sortir de mes rêveries lorsquil minterpelle :
« -Tu veux que la plume monte jusque où sur ton sein ? »
Je promène mon index sur mon sein droit, dessinant une ligne imaginaire.
sil suit vraiment le trait que je suis, où sil prend plaisir à voir une de mes mains
se promener sur mon sein. Il reprend son dessin, traçant le contour de la plume avant
dajouter plus de détails au dessin. Parfois, pour tendre ma peau, il att mon sein
de la main gauche et le tire sur le côté. Je ne peux empêcher mon corps de réagir et
mon sein de se durcir sous cette pression. Plus la situation me semble tendue, plus il
me paraît distant. Je nose pas le regarder, de peur de croiser son regard, et de ce
que je pourrai y voir. Puis il commence à dessiner la plume qui passe sous mon sein
gauche, le soulevant délicatement. Je vois quil prend son temps pour dessiner, il ne
semble pas pressé de me voir partir. Arrive pourtant le moment où le dessin est
achevé. Je me lève alors pour aller observer le dessin dans le miroir, il se place
derrière moi pour avoir mon avis.
« -Je te remercie cest très joli, je pense que je vais partir là-dessus »
« -Mmm oui cest très sexy, ça te va très bien
»
Jatt rapidement mes vêtements et me rhabille, sentant la situation prête à
dér. Il se tient volontairement au milieu du chemin, mobligeant à frôler son
corps.
Nous repassons à lavant du salon, puis regardons dans son agenda à quelle date je
peux venir faire ce tatouage. Nous fixons le rendez-vous deux jours après. Je sors du
salon, et ne peux mempêcher de me retourner, cet échange de regard aura suffit pour
que nous comprenions le désir que nous ressentons lun et lautre.
Vient donc le jour de retourner au salon, je choisis ma tenue, une jupe fendue et un
chemisier décolleté. Je me sens stressée. Je me sens toujours stressée avant daller
me faire tatouer, mais je sais quil ny a pas que ça. Je sais quaujourdhui sera
particulier. Il ma envoyé un message dans la matinée pour me proposer de venir 30
minutes plus tôt à mon rendez-vous si je le souhaitais pour que lon ait « le temps ».
Nous savons tous les deux le temps de quoi, et jai répondu oui. Je lui ai donc donné
lautorisation daller plus loin sil le souhaite.
Jarrive devant le salon à lheure convenue, et ne laperçois pas derrière la vitre.
Un peu étonnée, je pousse la porte et entre. Ne voyant personne arriver, je menfonce
dans le couloir étroit pour rejoindre la salle de tatouage. Il est là, ne se tourne
même pas à mon approche, préparant sa machine. Je pose mon sac et ma veste dans un
coin, et lance un timide « bonjour ! ». Il se tourne alors et me sourit. Il me
déshabille carrément du regard, il ne sen cache plus cette fois. Je soutiens son
regard et déboutonne mon chemisier, cette fois cest lui qui tourne le regard, afin de
rester concentré. Jenlève mon soutien-gorge et mallonge sur la table de tatouage. Il
me demande de me placer bien au bord, étale sa crème entre mes seins, puis place son
calque. Il dessine le dessin, les lèvres de nouveau pincées. Il recommence le dessin
fait lavant-veille, et me demande si je suis prête. Je lui réponds
« -Oui, vas-y »
Le bruit de la machine envahit la pièce, et la douleur se fait vive. Je crois que
cest le tatouage le plus sensible que jai eu jusque là. Il semble le voir sur mon
visage, il me sourit et me dit :
« -Je tavais prévenu, cest la zone la plus douloureuse »
Il continue, il grimace alors quil passe sur mon sein droit. La douleur est moins
forte. Lorsquil me tatoue, jaime regarder son expression, ses gestes précis, le
dessin qui prend forme. Alors quil a fini la première plume, il pose sa machine et me
demande
« -Alors, comment ça va ? »
Je nai pas le temps de lui répondre, il se penche au-dessus de moi, et dépose ses
lèvres sur les miennes. Comme je ne le repousse pas, sa langue force louverture de ma
bouche et nous échangeons un baiser langoureux.
tétons, qui se dresse sous la douceur de sa bouche. Il se tourne ensuite et reprend sa
machine, et il recommence à me tatouer lair de rien, comme sil ne sétait rien
passé. Il commence le dessin de la deuxième plume, je sens que ma peau commence à me
brûler. Les passages de laiguille sont de plus en plus difficiles à supporter, et je
nai plus quune hâte, que tout cela sarrête. Alors, comme sil lisait dans mes
pensées, il fait une pause et membrasse de nouveau. Ses baisers se font à la fois
tendres et empreints dun désir refoulé. Sa main glisse le long de mon corps pour me
caresser par-dessus ma jupe. Elle glisse le long de mes jambes, et remonte
progressivement sous ma jupe. Il peut alors très vite sapercevoir que je ne suis pas
insensible à ses baisers. Il a un sourire de satisfaction presque pervers sur le
visage en sentant sa main se mouiller à mon contact. Pendant ce temps, jai laissé
tomber ma main le long de la table et en ai profité pour lui caresser les fesses,
depuis le temps que je me contentais de les regarder
Puis, au bout de quelques minutes de ces caresses, il reprend sa machine et finit mon
tatouage, puis vient mon moment préféré : il masperge avec ce produit frais qui fait
un bien fou après cette sensation de brûlure, puis métale cette crème très grasse en
massant longuement, il caresse mes seins, il se mord la lèvre, je le sens très excité.
Je me lève, quil recouvre le tatouage dune couche de plastique. Il passe ses bras
autour de moi pour menvelopper. Jaime voir ses bras tatoués de part et dautre de
mon corps et, à peine le plastique appliqué, cest moi qui prend les devants et qui
lembrasse, le faisant reculer jusquà se table. Je passe mes bras autour de son cou,
il promène ses mains sur mes fesses. Je descends les miennes sur son torse pour
défaire les boutons de son jean. Je vois une bosse énorme sous son boxer, qui me fait
sourire. Il est prêt, il nattendait que ça, peut-être même nétait-ce pas la première
séance que cela arrivait et je ne men étais pas aperçue. Je le laisse sortir son
engin, puis commence à le caresser, les baisers se font plus fougueux, ses doigts ont
de nouveau glissé sous ma jupe, ils se glissent sous mon string. Son pouce me caresse
le clitoris tandis quil entre un, puis deux doigts en moi. Je gémis, puis me mets à
genoux devant lui et le suce. Jai le sentiment dêtre une vraie salope, me tenir
ainsi avec lui, alors que nous nous connaissons finalement à peine, mais je me rends
bien compte que cela ne me dérange pas tant
Il me laisse faire un moment, me caressant les cheveux, puis il me soulève et
minstalle à plat ventre sur sa table. Alors quil glisse de nouveau deux doigts en
moi, je lentends chercher quelque chose dans un de ses tiroirs. Je tourne la tête et
le vois sortir un préservatif. Je souris, je ne dois pas être la première quil
allonge là, mais quimporte, je ne vois pas pourquoi je men offusquerai
Il recommence à me caresser, malaxe mes fesses, puis je sens le bout de son gland
pointer entre mes jambes. Il lenfonce rapidement en moi, sachant létat dans lequel
je me trouve. Je gémis bruyamment, ne pouvant mempêcher de penser à la possibilité
quun client entre à ce moment-là et mentende. Il me teint fermement entre ses mains
et commence des allers-et-venus rapides, il grogne presque. Il y a un côté très
bestial dans tout ça, presque vulgaire, qui en fait mexcite encore davantage. Je
griffe le cuir de la table, sentant des fourmis me parcoururent le corps, puis dans un
grognement je le sens se déverser, son sexe tremble en moi, Il continue quelques
mouvements avant de se retirer doucement. Puis il se rhabille rapidement et retourne à
lentrée de son salon.
Je me retrouve seule, allongée, un peu hébétée, me demandant ce quil vient de se
passer. Je me rhabille, me recoiffe dans le miroir. Je viens moi aussi à lavant du
salon et le regarde. Il me regarde dans les yeux et me dit :
« -Reviens dans 15 jours pour les retouches, ou avant si tu le souhaites »
Je souris et méloigne, encore tremblante de lorgasme que jai vécu
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