Notre Nuit À Lyon

J’ai trouvé mon amante sur internet: elle est de l’Est et moi du Midi. Nous nous
sommes longtemps aimé par l’intermédiaire de nos messages. Nous ne nous masturbions
pas en même temps, mais rapidement après le message. Nous nous connaissions bien par
photos, visages, corps nues, sexes exposés avec ou sans gode. Nous connaissions chaque
parcelles de nos corps. Ce que j’aimais en elle étais la fossette sur sa fesse droite.
Je crois qu’elle aimait mes seins dont je suis fière. Rassasiée de mots écrits et
d’images finalement dépassés, nous nous sommes enfin rencontré dans l’hôtel de Lyon.
Elle avait choisi elle-même la chambre dans ce 4 ****. Belle vue sur la ville, surtout
belle chambre avec une salle de bain immense l’ensemble pouvant permettre l’habitat
d’un famille. Jakie est plus sexy au naturel. Nous nous sommes embrassées aussitôt.
Notre étreinte n’en finissait pas. Les lèvres de Jakie était plus douces que celles
des filles que j’avais connues. Par contre elle est plus petite que moi, ho, à peine 5
centimètres. Pas de quoi en faire un drame.
Elle avait commandé le repas sans m’attendre, pour gagner du temps. A Lyon, quoiqu’on
commande c’est toujours excellant, même le vin. Nous sommes encore enlacées, les mains
sur la poitrine de l’autre quand le room service frappe à la porte. Nous nous tenons
par la main quand le serveur fait son office. Il nous regarde en souriant:; il sait ce
que nous allons faire. Nous aimer, c’est normal, bon le couple n’est pas mixte: nous
ne sommes pas au tennis. Les sets suivants se jouent pour le plaisir, simplement pour
le plaisir.
Nous jouons à la dinette: nous nourrissons l’autre. Nos fauteuils sont jointifs. Vers
la fin, au dessert nous nous déshabillons lentement. C’est excitant de voir l’autre
corps en réalité. Nous laissons le dessert pour nous occuper de notre plaisir.

Nous ne
nous touchons pour la première fois que maintenant. Sa peau est douce, plus que je le
pensais. Elle sens une odeur boisée, boisée et épicée. Ma bouche se précipite pour
l’embrasser dans le cou. Elle met sa tête sur le coté pour apprécier ma bouche. Par
contre elle pose ses mains sur ma poitrine. Elle agit avec douceur et me fait bander
les tétons. J’ai envie de plus de caresses. Je la voudrais sur la chatte. Elle fait
descendre ses mains pour s’arrêter à la taille qu’elle serre légèrement. J’ai
absolument besoin de sa main sur ma féminité. J’abandonne ses épaules pour caresser sa
poitrine et aller vite sur sa chatte. Nos mains se croisent en route. Nous devons
écarter nos jambes ensemble pour que les doigts puissent caresser l’autre. Nos chattes
sont ruisselantes de cyprine; nos doigts ne cherchent pas longtemps les points
sensibles. Nous les trouvons vite, surtout que son clitoris est un peu plus grand que
le mien. Nous nous branlons de concert, nos mouvements même sont synchrones. L’amour
que nous nous portons ou le hasard, je n’en sais rien en tout cas nous tombons
ensemble sur le lit. Notre orgasme trop fort nous a fit chuter..
Le room service entre à nouveau: nous n’avons pas bougées du lit où nous sommes
serrées nues toujours, ses jambes sur les miennes. Nous sentons le regard du serveur
s’attarder longuement sur nous. S’il pouvait il nous demanderai de participer.
Heureusement nous n’avons pas à répondre par la négative: nous sommes de gouines,
fière de l’être. Nous nous embrassons à nouveau et maintenant nous voulons gouter
vraiment nos sexes. Ce n’est pas le peu de cyprine recueillie sur nos doigts qui donne
le juste goût. Seules nos langues peuvent savoir exactement ce que nous dégageons. Je
me tourne complètement, je l’enjambe pour lui donner ma chatte sur sa bouche. Avant
d’arriver sur sa chatte je la sens déjà.
Elle sent le bois, toujours et la femme
affamée de jouissance. Je dois sentir à peu de choses près comme elle. Nous sommes
affamés du sexe de l’autre. Je sais que ma bouche entière prend toute sa féminité pour
choisir ensuite; Elle doit me faire pareil. Je sens sa langue reconnaitre tous mes
endroits secrets que je lui donne. Trop rapidement elle passe sur mon anus, j’aime me
faire lécher à cet endroit, une bonne feuille de rose est excellente. Je le lui rend
volontiers. Par contre j’aspire son clitoris pour le lécher dans ma bouche. Il me
semble posséder ainsi toute la femme. Elle me lèche simplement en mettant cette fois
un doigts dans le cul. Je gémis de plaisir, comme elle juste avant de jouir. C’est
bizarre que nous jouissions toujours ensemble: un lien de plus entre nous deux.
Il nous faut un peu de calme, alors en restant comme nous sommes, le sexe de l’une
contre la bouche de l’autre. De temps en temps un 69 pour jouir, toujours jouir entre
nous. Les heures ont tourné. Nous allons prendre un bain réparateur ensemble. Le temps
de remplir la baignoire, nous sommes toujours nous caressant comme de véritables
amoureux. Nos mains ont une prédilection pour les fesses de l’autre. Elle passe sa
main dans ma raie pour aboutir une fois de plus sur mon cul: j’ouvre mes fesses le
plus possible quand elle entre encore un doigt dans mon anus. Elle est plus
entreprenante que moi. Nous entrons dans l’eau chacune de son coté. Elle est entre mes
jambes, elle peut voir toute ma chatte et n’y manque pas. Sans honte je lui montre
tout. Après ses doigts et sa bouche au tour de ses yeux. Nous nous lavons, ainsi
baptisons nous notre trempage. En réalité une autre façon de se faire branler. Cette
fois ce sont nos pieds qui donnent du plaisir et quel plaisir ignoré de tous. Elle me
fit jouir avec son gros orteil dans le vagin. Je le lui rend avec le même doigt sur le
cul.

Nous nous essuyons avant d’aller nous coucher. Notre nuit est presque calme. Le fait
de savoir que l’autre est là nous excite: nous nous réveillons deux ou trois fois pour
tirer un coup.
Au matin nous changeons de méthode: nous sommes les jambes écartées, les deux clitoris
réunis. Nous les caressons l’un à l’autre. C’est très fatigant, c’est surtout très
jouissif. La position rêvée pour des filles qui s’aiment comme nous. J’admire
toujours sa nudité avec sa fossette sur la fesse. Je l’avais oublié, je l’embrasse au
moment où le room service vient servir le petit déjeuner. Cette fois c’est une jeune
femme qui sert. Elle nous regarde, nous qui sommes nues dans une position sans
ambigüité. Nous sentons bien l’envie qu’elle a de venir se joindre à nous. Sans accord
de notre part elle s’en va déçue certainement. Elle trouvera ailleurs de quoi se
satisfaire.
Notre nuit est finie. Nous nous rhabillons rapidement à cause des horaires strict des
TGV. Sur le Quai de la Part Dieu nous échangeons un dernier baiser. Nous avons oublier
de parler d’avenir. Ce sera pour bien tôt.
J’essuie quelques larmes au retour. Heureusement que tout à l’heure nous bavarderons
sur internet. Qui sait nous vivrons sans doute ensemble: deux gouines qui s’aiment ce
n’est pas rare, Sapho peut en témoigner.

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