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Leslie VN97 – Le week-end de Laure, suite et fin

Le lendemain matin, après un petit déjeuner à poil, nous nous sommes retrouvés dans la chambre de Marie et de Laurent, pour une partie à quatre.
Après de longs préliminaires nous étions tous les quatre excités un Claude, les garçons bandaient fort et avec Marie nous étions trempées.

Alors que j’étais allongée sur le dos, Laurent s’attaqua à mon clito qui commençait à pointer entre mes grandes lèvres, Claude présenta sa queue à Marie pour qu’elle le suce.
Rapidement, Laurent me fit jouir sous ses coups de langue, puis il me fit l’amour, tandis que Marie se faisait prendre par Claude.
Puis Laurent me mit en levrette et commença à me lécher le petit trou.
- Laure, tu vas vivre un instant inoubliable, dis Laurent, maintenant Claude va t’enculer !
- Heu, tu crois ? Dis Marie, je ne suis pas sûre qu’elle puisse encaisser un engin pareil.
- Ah bon et pourquoi, demandais-je.
- Il faut y être préparée et avoir l’habitude.
- Ah bon ! Dis-je.
- Bon enfin tu peux essayer si tu le veux, réponds Marie.
- Pas la peine, c’est déjà fait, dis-je en souriant.
- Quoi, que dis-tu.
- Simplement que Claude ma enculer toute la nuit et que j’ai aimé.
- Ohhh, la salope dit Laurent.
- Attends, dit Claude, je vais te la préparer.

Claude me prépara le trou avec délicatesse, puis c’est lui qui prit la queue de Laurent pour la placer sur ma petite porte. Lentement Laurent commença à exercer une pression qui entama la résistance de mon muscle interne. Après ma sodomie de la nuit passée, il n’en fallait pas beaucoup pour qu’il cède et laisse entrer le sexe de Laurent.
Et il s’enfonça irrémédiablement en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre mes fesses.
Il entama alors de lents mouvements d’aller et retour. Je commençais à m’habi à sa présence et une agréable sensation monta dans mes reins.

À un moment, Laurent sortit complètement son sexe, puis m’écarta les fesses en disant :
- Regardez comme elle a son trou béant !
Laurent ne le laissa pas le temps de se refermer, m’investissant à nouveau jusqu’à la garde. J’en eus le souffle coupé et un orgasme s’ensuivit immédiatement.
Il se mit alors à me pilonner à toute vitesse. Je hurlais de plaisir, ma jouissance était quasi ininterrompue, jusqu’au moment où il se vida dans mon boyau.
Marie entretemps avait faire jouir Claude dans sa bouche.
Après ces émotions, nous nous sommes reposés un peu en attendant de manger.

Le repas se déroula sans encombre, froid préparé à l’avance par Marie, et accompagné d’un vin rosé de pays.
À la fin du repas Laurent sortit le digestif qui nous acheva, nous étions gais et rigolions d’un rien. Nous parlions de cul et les esprits s’échauffaient. Marie avait les tétons qui pointaient au travers de son tee-shirt, et la connaissant bien, je savais qu’il n’en faudrait pas beaucoup plus pour la faire démarrer.
C’est Claude qui donna le signal du départ :
- Eh les filles, si vous nous faisiez une petite séance de lesbiennes !
- Oh oui, dis Laurent, c’est une super idée.
Il n’en fallait pas plus pour faire démarrer Marie, qui se leva et à ses yeux je compris que je ne pourrais pas l’arrêter. Elle se jeta sur moi et me roula une pelle magistrale à laquelle je répondis et nos langues se mêlèrent.
Rapidement elle m’amena vers le canapé du salon pour s’allonger dedans.
Elle me déshabilla et je me retrouvais allongée sur le dos dans le canapé, puis elle se mise nue.
Elle se mit en soixante-neuf sur moi et sans attendre je commençais alors à lécher son clitoris en remontant doucement vers son petit trou. Elle n’était pas en reste et aspirait mon bouton d’amour qui, en érection, devait attirer le regard des deux hommes.
Ce n’est qu’après avoir hurlé notre orgasme que, nous tournant vers les mecs, nous nous aperçûmes qu’ils s’étaient déshabillés et qu’ils bandaient tous les deux comme des cerfs.

Ils se dirigèrent vers nous et Claude souleva Marie comme une plume pour la placer en levrette devant lui, la tête au niveau de mes seins. Il l’investit d’un coup et elle poussa un cri d’assentiment.
Laurent, lui, s’était précipité entre mes jambes pour me bouffer la chatte et je sentais sa langue sur mon clitoris dressé.
Puis, Laurent se redressa et m’embrocha comme un soudard. Je sentais son dard me ramoner la chatte et venir buter sur ma matrice. Sur le coup, je poussais un hurlement en même temps que Marie que Claude enculait.
Pendant que Laurent se démenait en moi, Marie se faisait démonter le cul par Claude.
La tension était à son comble et personne n’aurait pu résister longtemps.
Au moment où mon vagin se resserrait comme un étau sur la queue de Laurent, aux gémissements de Marie, sans nul doute que Claude se vidait dans son cul.
Laurent ne résista pas non plus et je reçus ses saccades de sperme qui frappaient le col de mon utérus.

Mais ce n’était pas terminé, Marie en bonne hôtesse de maison dit :
- Nous ne pouvons pas laissez notre petite invitée dans cet état !
Tous les trois me regardèrent et virent que mon bouton d’amour pointait entre mes grandes lèvres.
- Nous devons la soulager et ne pas la laisser repartir dans cet état !
- Que proposes-tu ? Demanda Laurent.
- Une pénétration double, ça devrait faire l’affaire.
Aussitôt Claude s’allongea sur le sol en disant :
- Un sandwich je suis partant.
Marie me positionna sur lui, en disant :
- Claude, encule-la, elle adore ça.
Il me rentra son membre dans la rondelle, puis fit quelques allers-retours dans mon cul avant de m’attirer à lui pour dégager ma chatte.
- Oui comme ça, dit Marie, allez mon chéri, dit-elle à Laurent, prend lui la chatte, ça va la calmer.

Laurent à placer sa queue au-dessus de celle de Claude sur ma vulve et à commencer à m’investir lentement.
Laurent me défonçait la chatte de plus en plus vite, pendant que mon cul était complètement possédé par le membre de Claude.
Marie se branlait sans aucune retenue devant nous en criant des :
- Ohhh, mes salauds, que c’est beau !
Puis elle est venue au-dessus de moi pour me présenter sa chatte en disant :
- Fais-moi jouir de la langue pendant que tes trous sont remplis !
Je l’ai léchée, elle à hurler, pendant que Laurent et Claude se déchaînaient en moi. Je jouissais en continu et quand ils se vidèrent en moi, je perdis brièvement connaissance.

Après les émotions passées, je suis partie faire une sieste, épuisée.
Le soir, Claude étant partit nous avons diné tranquillement en regardant les informations du soir, puis Laurent a mis un film de cul, histoire de bien terminer le week-end.
Evidemment nous nous sommes retrouvés tous les trois dans leur lit et Laurent m’a copieusement ramoné, pendant que Marie se branlait.