La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 59)
(Suite de l'épisode 56 de l'histoire écrite avec 'encorebelle') :
Ainsi offerte aux désirs de David, encorerebelle regarda son Maître nager jusquà eux.
Comme elle aimait son corps mince et athlétique quil entretenait quotidiennement !!
Il vint sarrêter face à elle. Et, tandis quelle plantait son regard dans celui,
narquois, de son Maître, elle sentit quelque chose de dur et froid à lentrée son cul,
sans pour autant encore la pénétrer.
- Mais cest quelle aime ça, cette petite chienne, observa David après avoir fouillé
lintimité dencorerebelle, elle en dégouline !!
- Une vraie salope, confirma Maître Aristocrate, qui, dune main, attrapa le collier
de la femelle et tira dessus pour lui coller le visage aux barreaux.
Si, jusquà présent, elle navait pu sentir que la froideur du plug, encorerebelle put
soudainement en mesurer les dimensions lorsque David le lui enfonça dun coup sec dans
le fondement. Bien quayant régulièrement été travaillée par son Maître, elle ne put
retenir une grimace et un gémissement, serrant les doigts sur les barreaux de la cage.
Elle sentait le poids du métal sur ses entrailles. Une fois la douleur initiale
passée, elle commençait à apprécier la situation.
- aimez-vous la bataille navale ? demanda David à son Hôte ?
- ma foi, pourquoi pas ? répondit ce dernier quelque peu intrigué
- je vous propose donc une petite partie
quelque peu originale. Approchons-nous du
bord de la piscine, voulez-vous ?
Cest en passant derrière la cage que Maître Aristocrate comprit de quoi il était
question. Le plug était relié par un fil au plateau électronique, que Walter avait
installé entre temps. Ce plateau était constitué, pour chaque joueur, dune partie
horizontale où placer ses bateaux, et dune partie verticale, où il suffisait de
toucher les cases pour déclencher le tir sur le jeu adverse.
- voyez-vous, continuait David, jai décidé daméliorer un peu les choses. Chaque fois
que lun de nos bateaux sera touché, une impulsion électrique sera envoyée au plug, et
votre chienne nous indiquera alors le résultat. Et, comme il nest nul besoin
dannoncer nos coups, nous pourrons deviser à loisir, quen pensez-vous ?
- Que cela est fort séduisant !!!
Chacun entreprit donc de placer sa flotte, et le jeu commença.
- concernant cette autre surprise pour le Marquis, commença David
- ah oui, le van devrait arriver au moment du déjeuner
- fort bien, les écuries sont prêtes
GEMISSEMENT
ah, je viens de toucher un de vos
navires, me semble-t-il
- en effet, mais ce nest que le début des hostilités, répondit Maître Aristocrate en
souriant
GEMISSEMENT, ah, là cest moi. Je vous disais donc que le van arrivera à
lheure du déjeuner. Vous verrez
GEMISSEMENT
jai sélectionné la « marchandise » moi-
même
- vous attisez ma curiosité !!
La conversation continua donc ainsi, régulièrement ponctuée de gémissements. Et,
lorsquun bateau était coulé, la pulsion électrique était alors plus forte et plus
longue, ce qui se répercutait sur les gémissements de la soumise.
Une fois la partie terminée, et alors quils envisageaient dautres réjouissances, ils
virent Walter sapprocher, tenant à la main un plateau sur lequel se trouvait le
portable de Maître Aristocrate.
- veuillez mexcuser, Monsieur, mais, comme votre portable a sonné plusieurs fois,
jai cru bon devoir vous lapporter. La personne est en attente
- merci Walter
Cest le conducteur du van, dit Maître Aristocrate après un rapide
échange. Il est en avance sur lhoraire prévu, et devrait se présenter dici cinq
minutes.
- excellent !! répondit David. Allons donc voir cela de plus près. Walter, emmenez la
soumise, la faire préparer comme convenu
- bien Monsieur
Walter entreprit donc, à laide de la télécommande, de ramener la cage au bord de la
piscine.
aucun, fixa une laisse au collier dencorerebelle pour la mener au château. Avant de
séloigner, et jeta un regard vers son Maître, qui lui adressa un sourire
dencouragement. Cest donc confiante quelle suivit le majordome.
Quand à David et Maître Aristocrate, ils se rendirent, une fois habillés vers les
écuries où le van les attendait déjà. Les voyant arriver, le chauffeur les salua en
retirant sa casquette, puis alla ouvrir les portes arrière du van. Puis il entreprit
de faire sortir un à un chacun des ponyslaves, 4 mâles et 4 femelles. Tous portaient
des bottes noires moulantes, dont les semelles étaient remplacées par des sabots, un
harnais intégral en cuir avec ceinture assez large. Leurs mains étaient attachées dans
le dos, coudes repliés à angle droit. De belles queues prolongeaient les plugs dont
ils étaient munis en quasi permanence. Les mâles avaient le crâne rasé, tandis que la
chevelure des femelles était attachée en une longue queue de cheval
Leur tête était
également harnachée comme il se doit, et cest donc par le licol que le chauffeur les
fit sortir du van.
David put ainsi mieux les observer. Leurs corps avaient été parfaitement huilés. Cela
mettait bien en valeur le corps bien musclé des mâles noirs, et les formes parfaites
des femelles à la robe mordorée. Tous avaient les tétons ornés danneaux.
- Voilà donc, mon cher David, la surprise que je réserve à mon Ami le Marquis. Cela
fait un moment que je les ai choisis, et jai suivi leur dressage avec attention. Il
serait bon de les mener dans leurs stalles, afin quils récupèrent un peu du voyage.
- oui, oui. Jai donné des ordres en ce sens suite au message que vous mavez fait
parvenir.
... (la suite par le Marquis d'Evans)
Les écuries du château rappelaient les meilleurs haras de France.
Monsieur le Marquis devait être un passionné des courses hippiques. Il possédait de
très beaux pur-sang environ une demi-douzaine. Derrière le château, sur ses propres
terres, il possédait aussi un immense champ de courses que son grand-père avait fait
construire dans les années 1920. Très bien entretenu et modernisé au fil des années,
il aurait pu servir sans souci pour le tiercé national. Nul doute que le PMU aurait
accepté cette infrastructure où rien ne manquait. Des gradins pour les spectateurs,
aux écuries proches, etc
Les écuries étaient dans des bâtiments anciens aux toitures ardoisées et construits en
face sur le côté Nord du château. Elles permettaient ainsi de former une grande cour
intérieure de ce côté arrière au château. Et également derrière ces écuries, laccès
donnait directement au champ de courses. Quand on longeait les murs de ce long
bâtiment et environs tous les 3 mètres, il y avait les box aux portes ouvertes sur
leur moitié supérieure, ce qui permettait aux chevaux enfermés de dépasser leur tête
vers lextérieur. Outre les 6 pur-sang, il y avait aussi 4 autres magnifiques chevaux.
Ce qui occupait les 10 premiers box. A leur suite on pouvait nettement distinguer le
volumineux et haut portail en bois massif de lentrée des écuries. Puis à la suite
encore une autre série dune dizaine de box également qui eux apparemment était vides.
Ce sont dans ces box vides quon enferma les 8 ponyslaves, 1 par compartiment. Les
portes aussi à demi ouvertes sur la hauteur apportaient ainsi lumière et aération. Ces
box étaient dune propreté parfaite. Inutilisés ils étaient tout de même entretenus,
nettoyés régulièrement. De la paille propre recouvrait le sol de chaque stalle. Cest
ainsi que chaque ponyslave pouvait se reposer par terre. Des esclaves mâles du
château, sur les ordres de David apportèrent pour chacun un seau deau à même le sol
et une copieuse gamelle de pommes de terre cuites et broyées.
nouveau locataire
- Vous vous êtes souvenu de la grande passion de Monsieur le Marquis pour les courses,
mon cher Maître Aristocrate et votre idée lui fera un immense plaisir. Permettez-moi
de faire ma petite tournée dinspection pour visiter chacun de vos ponyslaves afin
dêtre certain quils satisfassent au mieux Monsieur le Marquis et ainsi votre
surprise sera totalement réussie, dit David souriant.
- Oui avec joie et je pense que vous ne serez pas déçu, répondit Maître Aristocrate
très fier que son idée plaise
- Merci cher ami. Une fois cette inspection terminée, ils auront certainement fini de
manger et boire. Nous pourrons donc les atteler pour chacun aux carrioles remisées aux
écuries, les faire trotter doucement, et les mettre prêts sur la ligne de départ. Jai
déjà donné des ordres pour trouver six jockeys improvisés en plus de nous deux. On est
en train de les préparer, il sagit de 6 esclaves parmi nos meilleurs : e741, e69,
e722 pour les jokeys mâles et e46, e683 et e97 pour les jockeys femelles. Ainsi quand
Monsieur le Marquis arrivera, je naurais plus quà lui demander de venir sasseoir
dans les tribunes lui prétextant lui montrer les progrès de Xentarès, son dernier pur-
sang acheté. Sans se douter, il viendra avec joie et à ce moment, le départ sera
donné. Belle surprise pour lui, je pense !
- Oui tout me semble parfait ! Je me régale par avance de voir ce que donneront mes
ponyslaves que jai tant préparés pour ce jour.
Linspection commença. David entra dans le premier box, ou un mâle mangeait dans sa
gamelle. Les mains attachées, il avait, comme ses semblables, du avaler et boire sa
nourriture par la bouche tels de véritables animaux. David le fit se lever, ce que fit
lesclave avec difficulté, puis David reluqua sans négliger aucun détail. Il lui fit
ouvrir la bouche pour voir la dentition. Il pressa les muscles huilés pour en
apprécier le volume. Il appuya sur les côtes pour tester la robustesse. Il pressa à
pleine main les couilles tout en donnant quelques tapes sur les fesses. David ne put
que constater lexcellente forme et force physique du ponyslave.
Il fit de même avec les autres esclaves. Mais lors de linspection du dernier box, un
fait nouveau apparu. En effet la femelle qui y avait été enfermée était couchée sur la
paille dans un coin au fond du compartiment. Recroquevillée en position du ftus, elle
gémissait doucement. Elle tremblait de tout son corps. De suite Maître Aristocrate
bondit pour lui toucher le front et constata à David :
- Aïe, elle est fiévreuse à lévidence, elle me parait mal en point pour être attelée.
- Nous allons de suite soccuper delle, la débarrasser de son accoutrement, la
coucher, et surtout la soigner. La santé des esclaves, quels quils soient a toujours
été une priorité absolue ici, comme leur consentement à leur condition dailleurs. Je
vais donner des ordres sans attendre pour la faire emmener à linfirmerie du château
Et tant pis nous aurons que 7 ponyslaves, dit David légèrement déçu.
- Merci pour ma ponyslave, répliqua avec reconnaissance Maître Aristocrate, mais je
voulais tout de même montrer au Marquis un groupe de 8 ponyslaves, cest plus
conséquent !
voyons comment faire ? dit-il en réfléchissant,
Ah jai une idée, je
vais de suite faire préparer encorebelle qui fera une parfaite remplaçante
Et ça lui
fera du bien aussi de se dégourdir les jambes
Ha ! Ha ! Ha !, ricana le Maître avec
satisfaction
... (la suite par encorebelle)
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