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Leslie HD98 Week-end chez Barbara
Barbara, est la fille damis des parents de Laure et amie de ma chérie.
Je lavais rencontré lors de sa venue à Paris pour terminer ses études, nous avions
bien sympathisé lors de son séjour et javais gardé, avec elle, le contact.
Elle venait de sinstallée dans un appartement à Perpignan.
Devant faire un déplacement de deux semaines dans cette ville, cest tout
naturellement, quelle me proposa de mhéberger chez elle.
Barbara avait deux ans de moins que moi et donnait limpression dune jeune femme
réservée, pas prude, simplement réservée. Elle était très belle avec ses cheveux
bruns, presque noirs, quelle portait détachés, jamais noués.
Son corps était fin aux hanches étroites, avec une belle poitrine, qui sans être
volumineuse contrastait avec son corps mince, fière de sa poitrine elle la mettait en
valeur sous des tee-shirts moulants.
Dès le premier soir nous nous entendîmes tout de suite très bien. Pendant le diner,
lors de notre conversation, elle mapprit que sans être prude elle nétait pas une
adepte du naturisme, certainement du fait quelle navait jamais essayé.
Elle travaillait dans une banque, comme chargée de clientèle et serait absente toute
la journée. Javais ainsi lappartement à ma disposition pour travailler lorsque je
nétais pas en rendez-vous.
Le premier soir se passa entre fille et nous avons discutées jusquà fort tard dans la
nuit. Au petit déjeuner, le lendemain matin, elle me signala de ne pas lattendre le
soir et quelle rentrerait tard et certainement pas seule.
Le soir, après le dîner, alors que jétais couchée, elle rentra vers dix heures, elle
était accompagnée car jentendis une conversation avec la voix dun homme. Puis un peu
plus tard ils ont fait lamour car jentendis les gémissements de Barbara.
Lhomme est reparti au petit matin et nous avons déjeuné en tête à tête avec Barbara.
Barbara me dit :
- Tu nous as entendus hier ? Me demanda-t-elle.
- Oui mais cela ne ma pas dérangé.
- Tu sais, cela marrive de temps en temps de ramener un homme chez moi, cest
pour lhygiène, il faut assouvir ses pulsions de temps en temps.
- Tu es chez toi et tu nas pas de compte à me rendre, lui dis-je.
- Non mais par principe je tinforme.
Nous en sommes restées là et le soir, peu de temps avant son arrivée, je prenais une
douche. Sortie de la cabine, je maperçus que javais oublié de prendre un peignoir ou
la serviette de bains qui me permettrait de menvelopper.
Jaurais pu remettre mes vêtements que je venais denlever, mais je me suis dit que je
navais que quelques mètres à faire pour aller de la salle deau à ma chambre. Je
sortis donc nue et en deux bonds jétais dans ma chambre.
Mais au milieu du couloir se trouvait Barbara, qui venait de rentrer.
Je restais là, plantée dans le couloir, complètement nue avec un certain embarras
devant Barbara.
Elle me regardait ouvertement en fixant mon sexe et me fit un grand sourire en disant
:
- Ne tinquiète pas, ça ne me dérange pas que tu sortes nue de la salle de bain.
Elle savait par Laure que jétais une transexuelle, elle me dit dune voix douce :
- Belle pièce, Laure doit être comblée !
Une lueur lubrique dans les yeux, elle ne put sempêcher de passer sa langue sur ses
lèvres en faisant cette réflexion.
Médusée, je regagnais vite ma chambre, en percevant que le regard de Barbara avait eu
quelque chose dinsistant.
Le soir nous avons passé une soirée sans reparler de lincident et nous sommes allées
nous coucher, Barbara déposa un baiser à la commissure de mes lèvres en me souhaitant
bonne nuit.
Cette nuit-là je fis des rêves érotiques.
Le vendredi soir je suis rentrée à lappartement un peu plus tard, un rendez-vous
mayant retenue tardivement. Lorsque jarrivais, je fus, une nouvelle fois, médusée en
trouvant Barbara, au salon, qui regardait tranquillement la télévision totalement nue.
- Oh excuse-moi, me dit-elle avec le plus grand naturel, il fait tellement chaud
que je me suis mise à laise. Ça ne te dérange pas ?
- Euh, non, non. Dailleurs tu es chez toi, ce nest pas à moi de tinterdire
quelque chose.
- Merci, mais je ne voudrais pas te gêner.
- Naie crainte, avec Laure nous vivons nues, alors te voir nue chez soi ne peut
pas me choquer.
- Ha ! Cest bien, si tu veux, tu peux faire comme moi.
Je ne me le fis pas dire deux fois. Je posais mes affaires dans ma chambre et quittais
tous mes vêtements. Je revins nue et rayonnante dans le salon. Nous passâmes toutes
les deux la soirée ainsi, nues, totalement détendues.
Pendant le week-end, avec Barbara nous sommes restées nues.
Le dimanche soir, alors que nous étions toutes les deux assises sur le canapé dans le
plus simple appareil. Barbara commença à me poser des questions plus intimes quà
lhabitude :
- Laure te rends heureuse ?
- Oui, nous sommes libres et cest bien, mais nous ne nous cachons rien.
- Tu vas avec dautres femmes ou dautres hommes.
- Oui, Laure aussi dailleurs, nous profitons des occasions, mais je ne
recherche pas systématiquement une relation.
- Alors tu es souvent seule en déplacement.
- Oui, souvent.
- Et dans ces moments-là tu te branles parfois ?
La question était posée avec calme et naturel, Barbara me regardait en attendant la
réponse, en jetant un il sur mon membre et voir leffet que cette conversation me
procurait.
- Oui, je me masturbe fréquemment, dis-je.
Barbara sapprocha alors de moi et posa une de ses mains sur un de mes seins, je ne
protestais pas, mais quelque peu surprise.
lautre main et quelle approcha la bouche pour le baiser, je ne fis aucun mouvement
et acceptais son baiser.
- Cest bon de se laisser aller de temps à autre, dit-elle.
- Oui, dis-je dans un souffle.
Barbara était rayonnante en quittant mes lèvres.
Je la trouvais belle et désirable et les désirs me gagnaient, mon sexe bandait et
Barbara sen aperçut, et elle me demanda :
- Je te fais de leffet !
- Oui, tu vois je bande pour toi.
Elle écarta un peu les jambes, pour me montrer son sexe, les lèvres de son sexe bien
dessinées et légèrement proéminentes étaient gonflées de désir, sa chatte était
légèrement ouverte doù y perlait un peu de liquide.
- Mais tu mouilles, lui chuchotai-je en la regardant.
- Oui, tu me fais aussi de leffet et je mouille pour toi. Voir ta belle queue
raide pour moi, ça ne peut pas me laisser insensible.
Barbara était métamorphosée, son langage tellement différent, elle était comme une
autre elle-même, alors elle me précisa :
- Excuses-moi, je suis réservée et froide car le sexe me rend folle et quand je
suis dans le désir je ne suis plus moi-même, et dans ces instants-là je narrive plus
à me contrôler.
- Alors reste ainsi pour mon plaisir, dis-je...
A suivre
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