Leslie Hd99

Leslie HD99 – Week-end chez Barbara, suite et fin

Elle s’approcha et posa ses lèvres sur les miennes, ses mains descendirent sur mes seins pour doucement les caresser, puis elle fit entrer sa langue dans ma bouche.
Je la laissais investir ma bouche de sa langue, attendant les caresses et lorsque ses doigts entrèrent en contact avec mes pointes érigées, je répondis avec fougue à son baiser.
Elle me prend la main et me dit :
- Viens !
Nues toutes les deux, elle me conduit sous la douche et là, après mettre faite entrée sous la douche et avoir ouvert les robinets, alors que nous sommes ruisselantes de l’eau qui nous tombe dessus, elle m’enlace et m’embrasse à nouveau à pleine bouche.
Les doigts de ma douce amie deviennent inquisiteurs et me parcours le corps, mes seins, mes fesses sont caressés. Elle me plaque le dos contre le mur de la douche qui coule sur nos corps, et je sens ses seins contre les miens.
Sa main glisse le long de mon ventre jusqu’à mon sexe. Barbara ne se maîtrisant plus, se déchaine, elle prend mon sexe dans sa main, je la laisse faire.
Elle commence à me masturber me faisant retrouver de la vigueur, elle me branle comme elle l’aurait fait un homme, je suis aux anges et soupire, augmentant la folie de Barbara.
Elle plie les jambes et s’accroupit devant moi pour prendre mon sexe en bouche et le sucer un moment, sa bouche chaude me fait à nouveau soupirer.
Nous sortons de la douche, moi avec le sexe raide, et Barbara essuie mon corps et le sien, puis me mène dans sa chambre.

C’est une pièce plus spacieuse que la mienne, avec un grand lit. Elle tire la couverture et me couche sur les draps blancs, une immense glace recouvre le plafond et je nous vois toutes les deux dans la glace.
Elle s’approche de mon bas-ventre, et elle me reprend en bouche en me disant :
- Il est si beau, si je l’avais su, je n’aurais pas attendu si longtemps, je me suis privée de ce joyau, je t’avoue avoir envie depuis le jour où tu es sortie nue de la salle de bain.

Elle me suce, tout en continuant de s’exprimer :
- Aujourd’hui, à te balader devant moi nue avec ton sexe qui ballotait lorsque tu marchais, tu m’as tellement excitée que là, je n’en peut plus pour pouvoir résister.
- Je suis à toi, dis-je dans un soupir tout en écartant largement les jambes pour lui monter mon assentiment.
Elle ne se fait pas prier, avec le bout de ses doigts, elle parcourt mon corps offert en me suçant comme une dingue.
Je la laisse faire et reste passive offerte à ses envies, avec sa bouche elle agace mon gland et de ses doigts triturent mes tétons dressés.
Elle prend son temps, s’appliquant à faire monter mon plaisir par petits pas, ralentissant lorsqu’elle voit que je monte trop en intensité et profitant d’une de ses mains pour se caresser la vulve.
Je nous vois dans le miroir reflétant nos images, elle entre mes jambes et le bout de ses doigts se caressant, allant même jusqu’à l’orée de sa rondelle, image incroyable et excitante au possible.
Elle ne veut, j’en suis certaine, faire durer le plaisir, mais introduit un doigt, puis deux dans mon anus après les avoir humectés de sa salive.
Elle me fouille et je me crispe un peu plus, je retiens mes gémissements en me cambrant sous les caresses de Barbara, je pousse un cri sans pouvoir me contrôler lorsqu’elle me pince le bout de mes seins.
Je suis sous son contrôle, Barbara est devenue maîtresse de mon plaisir.
Barbara s’est redressée et en me regardant dans les yeux, elle m’a dit :
- Donnes-moi du plaisir, fais-moi jouir de ta bouche.
Barbara s’est allongée sur son grand lit blanc, les jambes largement écartées et les bras sous l’oreiller, dans cette position elle était indécente et offerte.
En posant mes lèvres sur sa chatte, j’ai sentis de l’humidité dans mon entrejambe, elle s’était fait jouir en se caressant l’entrejambe

Alors que je commence à lui lécher la vulve, elle prend ma tête pour me guider, tantôt sur sa vulve déjà béante, où sur son clitoris qui s’érige petit à petit.
Elle presse ma tête contre elle quand je m’occupe de son clitoris et relâche la pression pour que je parcoure ses lèvres intimes.
Lorsque j’enfonce ma langue en elle, elle soupire en disant :
- Ohhh, oui comme ça c’est bon, n’oublies pas mon petit trou d’amour !
Continuant d’insérer ma langue en elle, je lui glisse un doigt dans le fondement, elle se cabre en gloussant et se déchaîne en un instant :
- Ohhh, oui, c’est trop bon !
Je la sens partir dans une première jouissance.
- Tu vas me prendre ainsi et je te verrais dans le miroir, me dit-elle.
Je me redresse et je lui entre mon sexe dans sa chatte brulante et humide, elle glousse, soupire en ballotant sa tête de gauche à droite.
- Ohhh, oui, oui !
Je la pilonne à grands coups de reins, elle délire et réclame :
- Mon cul, mon cul, prends moi le cul !
Je l’ai sodomisé à sa demande, longtemps, lui arrachant des hurlements de plaisir, elle jouissait en continu, puis j’ai alterné mes pénétrations allant de sa chatte à son cul et j’ai jouis en elle terrassée par une jouissance d’enfer.

Pendant tout mon séjour chez Barbara, aucun homme n’est venu le soir, nous avons passées toutes nos soirées et nos nuits ensemble. Barbara avait un appétit sexuel hors du commun et chaque moment de libre nous le passions à faire l’amour, oubliant parfois de diner.

A suivre…