Avec L'Intuition...

Mon cher Marc.
En réponse à ta lettre dans laquelle tu me parles de ta dernière aventure avec une superbe femme, dont tu avais le pressentiment qu’elle devait être un coup magnifique, je voudrais te conter ce qui m’est arrivé à moi aussi, il y a quelques temps.
Mais avant, je dois te faire un petit préambule pour que tu comprennes bien le sens de mon propos et que tout soit bien clair pour toi concernant cette aventure assez particulière.

Voilà, je t’avais dit lors d’un précédent courrier que j’ai souvent été frappé chez certaines femmes, par "un petit quelque chose d’indéfinissable" qui me donnait à penser qu’elles étaient des femmes "chaudes" qui "aiment la chose", disons plutôt porté sur le sexe… Ces femmes-là ont en effet quelque chose que les autres n’ont pas, qui m’attire irrésistiblement et que je crois détecter assez facilement. Même s’il m’est toujours aussi difficile de définir ce qui construit cette impression avec précision, je perçois à certains traits du physique de la dame, de son visage notamment : la forme du nez, des oreilles, le regard évidemment, la bouche, les pommettes, la forme du menton…, comme autant d’indices qui vont dans le sens de fonder mon impression, si la personne en question est portée sur le sexe ou non… D’ailleurs, une branche de la psychologie que l'on appelle la "psycho-morphologie" étudie ces correspondances, parfois troublantes, entre le physique (morphologie, du visage notamment) et les traits de caractère et de comportement de la personne (psycho)…
As-tu déjà éprouvé cette impression face à une femme, et d’avoir eu cette intuition de sentir qu’elle aimait les hommes et la baise, et qu’elle pourrait te céder ?
Je dois constater que jusqu’ici, mon intuition sur ce point ne m’a que très rarement trompé sur le compte de ces femmes à chaque fois qu’il m’a été permis de le vérifier… Et comme je te l’annonçais au début de ma lettre, j’ai eu récemment confirmation de ce que j’avance, qui va dans le sens de mon propos : celui de "décoder chez une femme, la salope en puissance et d’en profiter ".


C'était il y a un peu plus d’un an, par une belle fin de journée d'automne. Je revenais de Nancy par les routes secondaires pour éviter les autoroutes surchargées par le début du week-end. Je me rappelle qu'il faisait lourd et qu'il était nécessaire d'avoir des tenues légères pour rouler. Vers 17 h, je m'arrête dans une station service pour faire le plein, sans remarquer d'abord une voiture à côté qui prenait de l'essence... Ou plus exactement, l'usagère de la voiture qui mettait du carburant dans son véhicule !...
Nous nous retrouvâmes à la caisse. C'était une assez jolie brune, pas très grande, mais bien faite, mince et avec un joli corps, comme je les aime. Même si elle avait un visage assez quelconque, elle avait quelque chose qui avait du charme, avec même une certaine distinction. Sinon, moi, tu me connais, je ne remarque même pas !... En réalité, malgré une certaine austérité et une certaine rigueur apparentes, elle avait dans son physique, et aussi dans sa posture, son port, sa prestance, sa façon de marcher et de se tenir, "ce je ne sais quoi", dont je te parlais plus haut, qui me faisait dire qu'elle devait aimer "ça", et qu’elle "en voulait" certainement…
Par exemple, je me souviens de quelques détails : ses très jolies jambes avec des bas fins et bien tendus. Sa robe ample d'un très joli bleu ciel, qui rehaussait à merveille une croupe fine et bien galbée. La robe était légèrement transparente et laissait tout juste deviner un mignon petit slip de dentelles d’un bleu un peu plus soutenu que celui de la robe... Celle-ci était de bonne coupe et très chic. La façon dont elle la portait pouvait s’interpréter comme un appel au peuple pour inciter l'œil (et la main) à aller voir dessous comment les choses se passaient... Le buste très bien moulé aussi par le haut de la robe laissait deviner une poitrine parfaite... Le tout, je te le répète, sur le mode très B.C.-B.G., avec style et charme, sans aucune vulgarité ni provocation, et moins encore d'incitation directe.
..
Je décodais cela en interprétant ce qu’elle voulait bien laisser voir, c'est-à-dire pas grand-chose de plus… Nos regards se croisèrent et bien qu'elle n'en laissât rien paraître, je sentis que mes yeux bleus ne l'avaient pas tout à fait laissée indifférente… Cela dit sans vantardise aucune, évidemment ! Je remarquais alors sa petite fossette au centre de son menton. Or, je dois le dire : les femmes que j'ai pu connaître comme étant de belles salopes avaient très souvent cet indice : une fossette au menton, à la " Kirk Douglas", si tu vois ce que je veux dire… Je ne saurais bien évidemment faire de ce critère une généralité, mais j'ai constaté cela ; ça vaut ce que ça vaut ! Et puis je remarquais aussi, son nez très fin, assez petit et très retroussé, mais alors vraiment, en trompette… Et ça, les nez très caractéristiques et très remarquables, pas ment beaux d’ailleurs, c’est un autre signe pour moi : j’ai connu de véritables salopes, même plutôt nymphos, qui présentaient un appendice nasal vraiment très particulier !... la forme de sa bouche, et des lobes de l’oreille… Et là, chez cette brune, son profil caractéristique présentait un charme évident qui me frappait. Je suis resté un instant subjugué par cet ensemble de traits du visage dont l’organisation assez inhabituelle était pour le moins, peu commune...
Immédiatement et malgré moi, mon esprit se mit en évocation d’une scène torride où je vis la petite brune suçant un sexe, deux même... Malgré moi je voyais le menton à fossette frotter les couilles et le petit nez retroussé parcourir toute la longueur de la hampe de la bite.... Cette image s'imposait à moi. Je ne pouvais pas la chasser. Je "voyais" en visionnaire, la scène avec la même précision, la même densité que si la brunette l'avait réellement vécue à cet instant à côté de moi. Je la voyais pompant les dards dressés des 2 ou 3 types qui l'entouraient et la pelotaient. Je voyais sa bouche aspirer, sucer ; son nez glisser sur la peau et dans les poils des pubis des hommes.
..

Je regagnais ma voiture comme la brune montait dans la sienne. Lorsqu'elle ouvrit la portière et que je passais près d'elle, je me surpris à dire, comme si les mots s'échappaient de ma bouche malgré moi :
- " J'aurais très envie que vous me fassiez goûter la délicatesse de votre bouche et la pointe de votre langue !". Je fus moi-même surpris de ces paroles. Elle parut interloquée un très bref instant ; mais juste après, elle sembla plutôt amusée... Mes paroles l'avaient arrêtée dans son geste de monter dans sa voiture et la robe bleue découvrait haut ses jolies cuisses, j'entrçus le haut d'un bas. Elle répliqua quelque chose que je ne compris pas d'abord :
- " Ah non !... Ca ne va pas recommencer !...". Puis voyant que je ne comprenais pas, elle ajouta en riant, avec un petit air que j’interprétais comme un sous-entendu :
- " Cela ne fait rien, la prochaine fois que l'on se verra, c’est promis !". Je dû admettre qu'elle avait le sens de la répartie et je restais là, décontenancé, la regardant démarrer. Et comme elle commençait à avancer, elle me lança par la vitre ouverte, sans doute pour me consoler avec un gentil sourire :
- " Dommage pour moi aussi, croyez-le bien !" ... Dépité, je la laissais partir sans pouvoir rien ajouter et je montais en voiture à mon tour...

J'avais décidé de coucher un peu après Auxerre. Je m'arrêtais donc dans un hôtel. Et comme tu l’as déjà compris, lorsque j'arrivais dans le hall avec mes affaires à la main, je la vis à la réception où on lui remettait la clé de sa chambre... Sans que j'eus à le demander on me donna la chambre à côté de la sienne…
Je pris possession de ma chambre et m’y installais rapidement. Puis, je passais un long moment à écouter, l'oreille collée à la cloison mince de cet hôtel assez peu confortable, enfin qui le fut sans doute dans les années après guerre. J'écoutais intensément, analysant tous les bruits... Je l'entendais aller et venir dans la pièce ouvrir sa valise de voyage, tousser, quitter ses chaussures, et ce que je crus être le froissement des vêtements que l'on quitte.
.. J'entendis l'eau de la douche… De la savoir nue de l'autre côté de la cloison m'excitait et je l'évoquais à partir des images entrevues quelques heures plus tôt à la station service... Cette douche dura longtemps, très longtemps. Au point que je me dis qu'elle devait être en train de se donner du plaisir sous la douche comme font beaucoup de femmes, surtout durant ces fins de journées orageuses et lourdes... Enfin l'eau cessa de couler et je compris qu'elle s'essuyait… Là encore, longuement et mon esprit vagabonda... Je fis très vite une toilette éclair mais complète : rasage, douche etc. Et m'étant habillé de vêtements propres et frais, j'attendais qu'elle sorte, la main sur la poignée de ma porte, à l’intérieur de la chambre...
Cette attente me parut interminable... Enfin elle sortit. Quand je l'entendis fermer à clé sa porte, je sortis à mon tour, feignant la surprise. Je t’épargne les poncifs que nous avons alors échangés l’un et l’autre pour n’voir l’air de rien et rester dans la convenance… Je lui rappelais en blaguant et sans trop insister son engagement lancé quelques heures plus tôt... Tout naturellement, je l'invitais à dîner à ma table... Bref que des banalités évidentes dans de telles circonstances ; tu les devines aisément, je ne m'y arrête pas. Par contre je vais te relater ce que j'appris par rapport au sujet qui nous occupe : le lien entre les indices révélant le " profil caché " de la dame et son éventuelle "facilité d'accès" pour la baise…
Elle était visiteur médical pour un grand labo de cardiologie et de pathologie thoracique. Et je vais te dire l'essentiel de son histoire à ce sujet. Dans ce milieu, comme tu le sais déjà sans doute, les regroupements de formation ou les grandes réunions professionnelles que l’on appelle des séminaires (!), payées par les labos, sont souvent l'occasion de partouses entre les membres des boîtes commerciales. Elle me conta que, entrée dans ce milieu il y a 7 ou 8 ans, elle avait d'abord résisté à ces pratiques. Elle avait même changé de boîte pour y échapper. Puis finalement elle dû céder "à la coutume" de crainte de ne plus faire l'affaire sur le plan professionnel...
Bref, ce fut pour elle, il y a 4 ans une révélation : en 2 ou 3 soirées, elle s'était révélée à elle-même et aux autres, comme une formidable salope qui aimait beaucoup les hommes, et plus particulièrement leur sexe et leur compagnie dans ces situations... Or le plus troublant, c'est que depuis ces soirées et surtout depuis 2 ans et même de façon encore plus fréquente depuis 6 mois, elle n'arrêtait pas d'être sollicitée par des hommes pour un "moment sympa"... Elle me dit par exemple que j'étais le 3ème de la semaine et le 2ème de la journée à lui faire des avances. Ce jour là, elle s'était promis, je l'ai appris par la suite, de céder au 3ème homme qui lui proposerait avant le week-end, à condition qu’il lui plaise évidemment !...
- " En fait me dit-elle, ce qui me trouble c'est que je sois ainsi constamment sollicitée, alors qu'au contraire, je m’efforce de paraître beaucoup plus stricte et plus distante qu'avant... Et j’y veille, croyez-le bien !... Qu'est-ce qui peut bien laisser voir aux hommes que j'aime le sexe, et que je peut-être sensible à leurs avances ?"
Je lui confirmais, justement, qu'à mon avis, le fait qu'elle y soit sensible pouvait être une explication. Et je lui donnais mon point de vue : comme elle s’était révélée à elle-même comme une femme qui aimait le sexe, cela transpirait de son être et de son attitude. Je lui expliquais que cela je l’avais bien souvent senti ; que certains hommes le sentent, ayant "le sixième sens" pour cela… Cette faculté est d’ailleurs assez peu explicable et en tout cas très irrationnelle. Je lui confiais alors ma théorie sur la question : Il s’agit d’une capacité à décoder les signes qui indiquent que telle femme est portée sur le sexe et que cela pourrait marcher avec elle, si on lui faisait des propositions… Sans cela, peut-être que ces femmes-là, on les remarquerait pas, en tout cas, pas sur le même plan… D’une certaine façon, je la rassurais en lui affirmant que ce l’on ressentait pour elle, ce qui filtrait d’elle, c’était justement ce que les autres n’avaient pas et qu’elle, elle avait en plus… Et je lui contais ce que j'avais perçu tantôt à la station service...
- " Oui, sans doute avez-vous raison…, c’est vrai que c’est un peu comme si l’on me perçait à jour et qu’on atteigne mes pensées secrètes, comme si j’étais découverte, mise à nu… " me répondit-elle en souriant. Puis elle ajouta :
- " J’ai l’impression que plus je cède et plus je suis sollicitée… Ca, je le constate tout à fait. Pourtant, les hommes que je rencontre viennent des quatre coins du pays, ils ne se connaissent pas, ou c’est très improbable !... Ils ne peuvent donc pas se concerter sur mon compte… En plus, ils me demandent des choses de plus en plus vicieuses..." Je lui dis alors :
- " Mais justement, comme je vous l’ai dit, ils peuvent avoir cette intuition dont nous parlons… Peut-être l’ai-je moi aussi en ce qui vous concerne. Je n’en serais pas étonné. Ainsi, laissez-moi deviner... Vous, il me semble que ce qui vous plaît surtout, ce dont vous avez le plu envie, c'est de prendre un homme en main, de le caresser, de caresser son sexe et peut-être… Je marquais une petite hésitation, puis j’ajoutais : Et aussi d'être vous-même caressée... Mais plus…, je veux dire pour concrétiser complètement…, pour aller au bout, je ne suis pas sûr…"
- " C'est fou, me répondit-elle, comment faites-vous pour voir ça et à quoi le voyez-vous donc ?! "
J'étais bien ennuyé pour répondre. Difficile d’expliquer clairement et avec certitude. Bien sûr, on peut décrire "une impression", mais qu'est-ce qui la fonde et la construit ? De même pour l'intuition que j’avais eu en la voyant à la station service... Il n'y a pas d'intuition sans prise d'indices ! Alors ?... Même maintenant, mon cher Marc, je ne peux t’en dire plus que ce que je t'ai dit plus haut... Cela reste pour moi assez mystérieux. Je ne peux m’expliquer précisément quel est le faisceau d’indices qui me conduit à cette intuition de percevoir chez une femme cette caractéristique particulière et de mon tromper très rarement…

Elle était mignonne, et je semblais ne pas lui déplaire.... Nous nous retrouvâmes dans sa chambre... Après quelques préliminaires de découverte, assez brefs il faut bien le dire, elle s'employa à faire ce qu'elle aimait le plus et qu'elle pratiquait souvent dans les soirées : la fellation. Elle la pratiquait avec un savoir-faire, une ferveur, une science que j’ai bien trop rarement rencontré depuis. Plus qu'un festival, c'était gala final, une sorte de prestation éblouissante et sans commune mesure avec ce que j'avais pu connaître jusque là ! Une façon délectable et infiniment chavirante de sentir sa bite prise entre les mains et entre les lèvres… Elle avait l’art de contourner le gland avec la langue, d'aspirer et de caresser du bout des lèvres et de l'intérieur de la bouche, de parcourir la hampe de bisous mouillés… ; de prendre entre ses lèvres la peau des couilles et d'y fourrer son petit nez retroussé… Exactement comme je l'avais vue faire, dans mon rêve éveillé de la station service, 4 ou 5 heures auparavant... Nous étions maintenant en 69… Elle se faisait elle-même caresser et sucer en même temps, appelant les caresses, se frottant la chatte sur mon visage et se branlant en même temps d'une main. Elle jouissait vite, intensément et abondamment, à répétitions, sans cesser de sucer divinement...
Elle eut ainsi une bonne dizaine d'orgasmes à la chaîne. Elle déchargeait sans cesse et avait l'entrejambe magnifiquement inondé de sa liqueur chaude et suave. Quand je sentis mon désir monter, je voulus la prendre dans son con brûlant que je suçais et qui m’inondait le visage. Elle refusa et en trois aspirations elle me fit " rendre les armes " sur son visage et sa belle poitrine. Elle a joui en même temps très fort. Elle avait du foutre partout et l'étalait de ses mains qu'elle léchait. C'était un régal ! Puis elle se leva elle alla jusqu'à sa valise et en revint avec un joli god de belle taille, qu'elle me tendit en s'allongeant près de moi, s'écartant bien l'entrejambe.
- " Tiens vas-y ; prends-moi avec ça chéri, pour me finir… Je vais te branler et te sucer pour que l'on reparte ensemble !... Tu veux bien ?… "
Je fus d'abord un peu surpris, je dois dire, puis je fis ce qu'elle me demandait. Elle aussi me fit ce qu’elle avait dit. Ce fut encore une fois divin. Une nouvelle fois "à nulle autre pareille". Génial !... Bref. Ce fut le pied, littéralement ! Je su aussi vers ce moment là qu'elle s'appelait Josiane.
J’appris encore quelques instants après, qu'une des façons pour elle de rester fidèle (!) à son mari était de ne jamais se laisser pénétrer par d'autres hommes. Même si quand c'était bien pour elle, elle restait un peu frustrée, d'où le god. D'habitude, quand ce genre de situation avait lieu, elle mettait l'homme (ou les hommes) dehors pour se finir seule au god. Mais là je lui plaisais plutôt et j'étais selon elle, je le précise : "un bon amant" (sic) - Dieu me garde cela ! – Deux fois elle avait été e et pénétrée par surprise dans ces soirées "professionnelles". Elle en avait eu un profond malaise et s'en était beaucoup voulu, au point qu'elle avait failli quitter la boîte.
Non, son truc à elle, s'était de branler et de sucer des bites. Et elle pensait bien le faire - Oh oui, ça c'était sûr ! - En plus elle adorait cela. Dans certaines soirées, notamment internationales, elle avait branlé et soulagé (vidangé, tels furent ses mots !) jusqu'à une vingtaine de mâles à la suite. Elle a parfois été couverte de sperme, ce qu'elle adore également. Et souvent dans ces cas là, elle était léchée par une ou plusieurs femmes que ces douches de foutre excitaient et qui lui langottaient tout le corps avec délectation...
Elle me dit aussi, suite à une de mes questions, que l’un des plus beaux sexes en dimensions qu'elle ait vus, était celui d'un hindou d'une trentaine d'années dans une soirée professionnelle. Il avait un sexe de plus de 30 cm de long, disait-elle :
- " Sans doute même 35 cm, car lorsque j'avais les lèvres sur le bout de son gland, la base de son sexe et ses couilles étaient bien en-dessous de mon nombril !…", et bien qu'elle ne fut pas grande, cela devait faire à peu près cela. Quant au diamètre, le bout de la bite était de la grosseur de son poignet et la base de la grosseur de son avant-bras.
Selon elle, le type, dans cette soirée n'a pu pénétrer qu'une des 6 femmes présentes du fait de ses dimensions. Cette femme était une collègue à elle d’à peu près cinquante ans. Aucune des autres n'avaient pu le prendre dans sa chatte. Pour deux d’entre-elles, le gland n’avait pu aller plus loin que l’entrée du con, malgré les efforts de l'entourage qui s'activait pour faciliter l'intromission en suçant l'énorme membre. Et l'éjaculation du type était à l'image du membre : des torrents de foutre en immenses giclées abondantes, longues, fortes et nombreuses
Nous discutâmes jusqu'à une heure fort avancée de la nuit avant de regagner ma chambre. Le lendemain, en remontant du petit déjeuner que nous avions pris ensemble, elle me fit une "petite gâterie". Et bien qu'elle fût pressée de repartir, ce fut encore époustouflant. Vraiment je souhaite à tout homme de connaître cela, à ce niveau, au moins une fois dans sa vie !...
Mais hélas, comme c’est souvent le cas dans les bonnes occasions de la vie, je n'ai jamais revue au cours de mes voyages cette jolie V.R.P. .

Voilà mon cher Marc… J’attends de tes nouvelles et je te souhaite bonne chance dans tes rencontres.
Avec mon amitié, à la prochaine.


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