Le Maître De Maison - Partie 1

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

Le maître de maison – partie 1

Bonjour, je m’appelle Abby et j’ai 20 ans. Avant de commencer mon histoire, je vais d’abord me décrire physiquement. Pour être honnête, je n’ai pas les formes d’un mannequin et j’ai quelques kilos en trop, mais assez bien placé car je fais du 95E au niveau de la poitrine et que mon cul … disons qu’il attire souvent les regards.

A la base, je vis dans un petit village perdu au milieu de nulle part, et quand j’ai fini mes secondaires, j’ai décidé de partir et d’aller dans une grande université. Mes parents n’ayant pas exactement le profil de gens riche, ils ne pouvaient pas m’aider financièrement mais me laissèrent partir.

J’avais dans l’idée d’aller voir sur place et de trouver un toit bon marché et un job ainsi que de faire une demande de bourse. Ayant travaillé durant trois ans de petits boulots dans mon village j'epouvais me permettre de chercher un peu afin de trouver au mieux, et je suis partie confiante.

Au bout de deux semaines où je logeais dans une petite maison d’hôte un peu miteuse mais dans mes moyens, je suis parvenue à avoir une bourse qui couvrait tout mes frais pour l’université, par contre rien pour l’hébergement et la nourriture. Par ailleurs je n’étais pas arrivée à trouver de boulot, et je commençais donc à m’angoisser un peu.

J’étais déterminée à trouver un job, et c’est dans cet état d’esprit que je suis allée dans un cybercafé pour chercher sur internet. J’y passai plusieurs heures et je téléphonai un grand nombre de fois, me laissant peu à peu découragée, lorsque je suis tombée sur une annonce qui attira tout de suite mon attention :

Vous êtes étudiante et vous avez du mal à lier les deux bouts ?Je vous propose hébergement gratuit et salaire raisonnable contre soin constant. Cela n’interféra en rien avec vos études car tout est prévu pour. Aucune formation préalable requise.




Il devait sans doute s’agir d’un homme âgé qui avait besoin d’une infirmière pour s’occuper de lui et qui voulait aider les étudiantes fauchées. Cela ne m’embêtait pas car je devais assez souvent m’occuper de mon grand-père malade et donc j’ai déjà l’habitude. De plus l’annonce indique hébergement gratuit et salaire raisonnable ce qui est exactement ce qu’il me faut.

Aucun numéro n’était indiqué, juste une adresse e-mail. Je décidai donc d’envoyer un mail et je croisai les doigts lorsque que j’appuyai sur ‘envoyer’. Je suis alors partie manger un bout avant de revenir au bout d’une heure.

Eh bingo ! J’avais reçu un mail. Il était écrit « Mon maître étant très pointilleux quand aux gens qui viennent travailler pour lui, il vous ait demandé d’envoyer une photo récente de vous ».

Je fus un moment déconcertée avant de me dire
-Mon dieu il a un majordome ! Il doit être hyper riche alors !! Et à son âge il doit sans doute aimer voir de jolies filles ça se comprend. J’ai donc envoyé une photo de moi que je pris avec mon portable et où, à cause de l’angle de prise, on voyait très fort mes seins.
J’ai envoyé la photo. Je suis restée sur le net à continuer de chercher au cas où ça ne donnerait rien, on ne sait jamais quand j’aperçus le signal qui indiquait que j’avais reçu un message.

« Vous convenez parfaitement. Présentez-vous demain à 8h avec vos affaires au … »

Je faillis hurler de joie. J’avais le poste !!!

Guillerette, je suis rentrée à la maison d’hôte et j’ai fait mes valises avant de m’endormir.

A 8h le lendemain matin, j’étais avec mes bagages devant une immense maison d’aristocrates, un peu bouche-bée. J’ai alors sonné et au bout de quelques instants, une jeune fille vient m’ouvrir. Elle devait avoir le même âge que moi et portait une minijupe avec un top.

- Bienvenue. Vous pouvez laisser vos affaires là, le maître a demandé à ce qu’on vous amène directement à lui quand vous arriverez.


- Oui bien sûr.
J’étais un peu gênée du ton hyper-respectueux de la fille mais la suivie sans un mot.

Elle me fit entrer dans un grand bureau dans lequel se trouvait un homme assis sur une chaise de travail devant une haute table qui lui servait manifestement de bureau. Un portable se trouvait juste devant lui et je ne le voyais de fait pas très bien mais il devait avoir la quarantaine.
Comme il n’y avait rien sous la table, je pouvais par contre voir ses jambes musclées.

Je suis sortie de ma contemplation lorsque j’entendis la porte se refermer derrière la fille qui était sortie. L’homme le va sa tête vers moi. Il était beau, mais avait le visage dur de quelqu’un qui obtient tout ce qu’il veut et qui aime ça.

-Bonjour, dis-je. Je suis la nouvelle servante de votre père, je suppose.

-Non, pas vraiment.

-Oh désolé ! Je croyais que ça devait être votre père, je suis navrée.

-Mon père n’habite pas dans cette maison.

-Ah d’accord je dois m’occuper de la maison alors.

-Vous n’êtes pas ici pour être femme de ménage. Vous êtes ici pour être ma soumise. J’adore soumettre les petites chiennes étudiantes de votre genre

-Quoi ! Non c’est une erreur !
Je commençais doucement à comprendre, et le comportement de la fille de tout à l’heure s’expliquait bien mieux maintenant.

-Non ce n’en ai pas une. Je me suis renseignée sur vous. Je sais que vous êtes un peu désespérée et que vous ne pouvez pas refuser mon offre.

Je restais un moment sans voix. D’un côté sa proposition était inacceptable, d’un autre j’avais besoin de cet argent et l’arrangement me procurait tout les avantages dont j’avais besoin.

-Alors mademoiselle ?

-Ok j’accepte.
Je dus me mordre les lèvres pour rester immobile après ça. Je tremblais un peu et j’étais en train de paniquer.

-Nous avons donc conclut notre accord.
Pour fêter ça ma chienne, je vais commencer à t’éduquer.
Met toi à poil.

J’étais en train de me traiter d’imbécile dans ma tête, mais d’un autre côté, étonnement, je mouillais un peu alors que rien n’aurait du, selon moi provoquer ça. Je fis ce qu’il me demandait. Je me déshabillai rapidement par gène sous son regard et je me retrouvai nue devant lui.

-Tourne sur toi-même. Bien. Très bien. Je crois que je vais prendre plaisir à te dresser ma chienne.
Maintenant viens sous le bureau et suce moi.

Je suis allée sous le bureau. Il y avait bien la place pour que je puisse me tenir à quatre pattes, et à mon avis c’était fait exprès. Son pantalon s’est enlevé tout seul et il ne portait rien en dessous. Son sexe, déjà bandé, était de bonne taille, et c’est sans doute que je le pris avec plaisir dans ma bouche. Il n’entrait pas en entier mais je commençai à lui lécher l pénis avec ma langue et surtout juste sur sa fente. Il avait un goût salé pas désagréable mais apparemment ça lui ne convenait pas car il m’attrapa par les cheveux et me hurla :

« Au fond de ta gueule ma chienne ! Je veux être au fond de ta grosse gueule ! »

Il fit alors aller et venir ma tête sur son sexe et j’eus rapidement des hauts-les cœurs. Je le sentais vraiment aller au fond de ma gueule et il y entrait totalement. Je ne me sentais vraiment pas bien mais il continuait encore et encore en disant « c’est bien ma chienne…oui…tu vas voir tu vas aimer ça… bientôt tu me supplieras…oui...oui ».

Soudain il s’arrêta de bouger alors qu’il était au fond et je voulus me dégager me doutant qu’il allait jouir. Il m’arrêta en me tenant fermement la tête d’une main et de l’autre il me boucha le nez. Il jouit alors dans ma gorge, directement. Je sentais le sperme couler à l’intérieur et j’avais l’impression d’être un cochon qu’on nourrissait dans un abattoir avec un tuyau.

Quand il eut fini, il me tapota la tête en me disant que j’avais été une gentille chienne à son maitre alors que moi j’avais envie de vomir.
Je me suis couchée sur le sol sur le dos afin de respirer un peu.

Alors que j’avais fermé les yeux, je sentis soudain sa poigne sur mes deux mains et il m’attacha les poignets à sa chaise. « Monsieur… »

Une violente claque sur mes seins me fit taire.
« Tu m’appelle Maitre, ma chienne ! C’est compris ! »

« Oui, Maitre ».
Il fit alors le tour du bureau et vient m’écarter les cuisses avec ses pieds et de les attacher aux pieds de la table. Celle-ci, en bois massif, était lourde et impossible, ou à peine de bouger mes jambes.

J’étais donc allongée sur le dos, sous la table, les mains attachées à la chaise (lourde elle aussi) et les jambes très écartées également attachées. Je ne pouvais pas relever la tête car mon corps était vraiment bloqué.

J’étais en train de sérieusement paniquer quand je sentis un objet s’insinuer dans mon vagin.
Celui-ci n’était pas excessivement grand comme au début je l’ai craint mais de taille raisonnable et je n’eu pas mal. Il entra même très facilement car j’avais apparemment fort mouillé. D’ailleurs il dut s’en rendre compte car il se pencha vers moi et me dit en souriant :

« Et bien alors chienne ! Tu commences à peine et pourtant tu aimes déjà ! Tu es précoce ! »

Il alla alors se rasseoir sur son siège les jambes écartées de par et d’autre de mon visage. Il prit alors un appareil dans sa main et appuya sur un bouton. Je sentis alors l’objet dans ma chatte bouger et un plaisir fulgurant monter. C’était particulièrement retorse car je ne pouvais pas du tout bouger et ce alors que je ne voulais faire que ça. J’étais en nage.

Mon Maitre, dont l’excitation, bien visible, se trouver juste au dessus de mon visage, commença à se branler alors qu’avec ses pieds il commença à palper mes seins. Je le sentais très content de me voir comme ça, en train d’essayer de me tortiller sans que cela ne soit possible et très vite je commençai à crier de plaisir. J’eus une jouissance terrible et je sentis soudain du sperme qui m’aspergeait tout le corps. Il était en train de jouir sur moi, sur toute la longueur de mon corps.

La fin du parcours se termina au niveau de mon visage, et je sentis plusieurs gouttes m’asperger. Il se baissa, me pinça le nez et m’obligea à le prendre mou dans ma bouche pour le nettoyer.
Quand il eut fini il me libéra et me conduisit devant la porte du bureau où à poil et recouverte de spermes des pieds à la tête j’ai dû suivre la fille qui m’avait ouvert jusqu’à une chambre où toutes mes affaires étaient là.

Etant la nouvelle, celle-ci me dit que c’était mon rôle d’apporter le petit-déjeuner au maître, toute nue. Je m’endormis, après m’être lavée, en m’interrogeant sur ma nouvelle vie qui venait de débuter.

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