Gianni

La nuit qu'on venait de passer allait être inoubliable. Je suis sûr que les voisins nous ont entendu. On venait d'avoir notre première fois, et on voulait que tout soit parfait. C'était notre première fois à deux, sinon, nous étions déjà dépucelés depuis bien longtemps. Je suis en couple depuis trois mois avec Giovanni - Gianni pour les intimes. Mais on voulait prendre notre temps. On sait qu'on est vraiment amoureux de quelqu'un quand on ne veut pas ment lui faire l'amour, que sa seule compagnie peut suffire, et c'est le cas entre nous.

Nous sommes restés nus dans le lit. Je le tiens dans mes bras, son dos contre mon torse. A notre réveil, on s'est embrassé. Je me suis levé et l'ai regardé s'étirer. Le drap cachait son sexe et sa jambe gauche, mais tout le teste était à découvert. Son corps était entièrement épilé, ça me plait beaucoup.

On a pris notre douche ensemble. Et l'excitation du matin nous a emballés. Il a commencé à me suçoter les tétons, à les mordiller, à les pincer, à les lécher. Je lui caressais les cheveux mouillés par l'eau de la douche qui coulait de la main gauche. Et de la main droite jouait avec un de ses tétons que j'arrivais à éteindre. On a préféré sortir de la douche pour continuer. Après d'être essuyé, je l'ai poussé sur le lit. Je me suis allongé sur lui et lui ai fait un suçon dans le cou. Je suis descendu sur ses tétons et m'y suis attardé. Je sentais sur mon ventre son sexe en érection. Il a entouré mes jambes avec les siennes. Il me caressait le dos et les cheveux. Faisait des vagues avec son corps. Je suis encore descendu pour arriver à son sexe, également épilé. Sans attendre, je l'ai mis en bouche. Entièrement. Gianni en a poussé un râle. Au cours de ma fellation, il continuait à me caresser les cheveux. Moi je faisais mes longs va-et-vient, tantôt rapidement, tantôt lentement. Heureusement qu'il n'avait pas un trop grand sexe. Juste la taille parfaite. De ma main droite, je massais ses testicules.

Lui poussait encore des râles. J'ai lâché son sexe et suis remonté jusqu'à son visage, tout en laissant ma langue remonter son torse. En lui roulant une pelle, j'ondulais mon corps de façon à ce que mon sexe frotte le sien. J'ai continué à monter et ai laissé mon corps à ses mains et sa bouche. Il embrassait la moindre partie de mon torse. Et j'ai remonté ainsi jusqu'à ce que mon sexe arrive à la hauteur de sa bouche. Et tout en tenant fermement mes fesses. Il commencé à me léché ma partie intime. Et même à lui faire des petites morsures qui ne font pas mal mais du bien. Il l'a mis en bouche et m'a à faire le mouvement en faisant bouger mes fesses. J'ai eu beaucoup de plaisir et n'ai pu m'empêcher, à mon tour, de lâcher des râles. Il me faisait faire des mouvements violents, lui ne bougeait pas sa tête.

Quand il a relâché mon sexe et mes fesses, je me suis assis sur lui. Cette nuit, c'est lui qui m'avait pénétré. Ce matin, c'était mon tour. Et ça, j'ai bien vu qu'il n'était pas contre. En me mettant sur mes genoux, lui a écarté les jambes pour me laisser entrevoir son entrée. Mais je l'ai fait rouler sur le ventre, et ai mis mon visage dans ses fesses. J'ai commencé à lui faire un anulingus. Et rien qu'avec ma langue, je l'entendais déjà faire des soupirs. Je n'étais pas ment pour l'anulingus. Mais il s'est préparé devant moi, il s'est nettoyé pour me montrer que je pouvais avoir confiance. Je me suis alors laissé convaincre, et c'est vrai que ça ne me déplait pas. Avec ma langue dans son intérieur, je m'amusais à faire le contour, à agrandir le trou pour faciliter ma venue. Mais je sentais cette envie d'y mettre mon sexe. Je l'ai mis à quatre pattes et l'ai enfoncé en un coup. Tout mon sexe était entré sans difficulté. Il a poussé un cri, mais un cri de plaisir. Et j'ai commencé à bouger, à faire mes va-et-vient lents, pour faire au final des mouvements de plus en plus rapide.

Je l'ai mis sur le dos pour être face à lui. Il a croisé ses jambes autour de mon dos. Moi j'accélérais. On poussait tous les deux des cris de plaisirs. Je nous faisais atteindre l'orgasme. D'ailleurs, Gianni l'a atteint. Durant ma pénétration, il n'a pu se retenir et à laisser tout son sperme jaillir de son sexe et retomber un peu partout sur lui, son visage son corps, sur le lit. Je n'ai même reçu un peu. Moi, je sentais que je ne tiendrai plus longtemps. J'ai sorti on sexe, l'ai approché du visage de Gianni. Et à l'aide de sa main assurant le reste, j'ai tout lâché sur lui, qui en a profité pour en avaler quelques gouttes. J'en avais mis dans ses cheveux, sur l'oreiller, et même sur le mur.

Je me suis mis en position pour me coucher sur lui. Mon torse baignant dans le sperme qui se trouvait sur le sien. Je l'embrassé, attrapant au passage un peu de sperme resté sur le coin de sa bouche.

On s'est regardé, essoufflés. Nous nous sommes relevés et nous sommes dirigés vers la douche afin de nous (re)laver. Et sous la douche, nous avons continué à nous embrasser, à nous caresser ...