Ils Sont À Moi (2)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Les jours passèrent. Phil avait complètement adapté les orifices de Marie à son sexe. Mais cela ne lui suffisait pas. Il avait visiblement décidé de nous emporter plus loin dans sa perversité et dasseoir définitivement son autorité sur notre couple.
Il instaura quelques règles simples :
Marie devait être disponible, tous les jours, à partir de 18 Heures en semaine et le week-end.
Elle ne devait porter dorénavant que des jupes courtes, car cela lexcitait.
Il avait aussi imposé que leurs ébats se déroulent à huis clos, le temps disait-il, que Marie lui devienne suffisamment soumise, il craignait que ma présence ne la trouble et quelle ne se livre pas complètement à lui
Il exigea un trousseau de clef de la maison afin quil puisse venir profiter à sa guise de Marie.
Un samedi soir, vers 23 heures, nous étions déjà au lit, Phil débarqua visiblement un peu éméché, sortant dun repas avec des amis, il saisit Marie par le bras et lemmena dans la salle de bain, après une demi heure, ils revinrent dans la chambre, puis il me congédia, en sortant, je pus constater que les aisselles et le sexe de Marie étaient complètement épilés. Je dus patienter de longues heures, le temps que notre maître puisse se rassasier de Marie quil avait consommé sans modération. Le claquement de la porte dentrée me sorti de ma somnolence, je rejoignis alors Marie, je pus admiré sa nouvelle apparence. Sans ses poils, elle paraissait encore plus nue, mais surtout cela avait pour effet que la liqueur sacrée déposée dans le sexe de ma chérie, le rendait luisant, brillant comme un bijou. Marie me confia que Phil lui avait indiqué quil nétait plus question quelle dissimule son intimité derrière une toison. Cela lui procura une sensation bizarre les premiers jours, Mais lorsque Phil la pénétrait, elle le ressentait plus agréablement à lentrée de son sexe, surtout quand il la prenait en levrette, elle pouvait sentir les testicules de son maître contre son sexe.
Lorsque Marie avait ses règles, Elle nétait pas mise au repos, bien au contraire, sa bouche était alors très sollicitée. Durant ces périodes, sa bouche et ses lèvres étaient toujours très douces à force de cajoler le sexe de notre propriétaire. Il la récompensait avec de grands jets de son nectar qui donnait à sa bouche un goût et un parfum très agréable.
Marie avait appris, très vite, à apprécier tout ce que lui offrait le sexe de cet homme. Au fil du temps, notre soumission augmentait. Nous avions pu le constater lors des vacances scolaires où Phil partait avec sa famille pendant plusieurs jours. Marie était en manque, déprimée, je faisais de mon mieux pour essayer de la satisfaire avec mon sexe, mais cétait très insuffisant. Finalement, nous nous masturbions mutuellement en évoquant notre maître. Ce qui rendait la douleur due à cette absence quelque peu supportable.
Il lavait déjà tellement transformée, Elle avait découvert avec lui le plaisir anal, savait apprécier maintenant le goût et lodeur des sécrétions masculines. Elle naurait jamais, il y a quelques temps encore, imaginé que son petit sexe et son anus pouvaient engloutir entièrement un phallus aussi gigantesque et surtout lui procurer autant de plaisir.
Phil conscient de son pouvoir croissant plaça la barre encore un peu plus haut. Cest sur le plan psychologique, cette fois, quil décida dagir. Nous devions dorénavant avoir son accord pour rencontrer nos amis, partir en vacance, aller au restaurant. Bref tout ce qui pouvait nous distraire du but quil nous avait assigné : le servir aux mieux de ses intérêts. Pour vous dire la vérité, cela na pas été difficile ni pour Marie, ni pour moi, étant donné que dés quil partait de chez nous, il nous manquait déjà. Nous étions prêt à ce moment là à bien plus encore, y a avait-il une limite dailleurs ?
Il eut dailleurs loccasion de tester son emprise, Nous avions un ami, Gaël que Phil ne trouvait pas à son goût.
Fort de ses succès, il passa à la psychologie sexuelle. Je devais dormir, dorénavant, dans la chambre dami. Plus aucune relation sexuelle ne nous était autorisée. Il nous interdisait également la masturbation. Cela a été un moment très dur pour nous, mais son délire de vouloir nous contrôler sexuellement complètement navait pas de limite. Nous nous sommes soumis. Nous avions basculé : nous tirions le plaisir de ses désirs. On ne comprend toujours pas aujourdhui comment on en est arrivé là.
Il nous emmena encore un peu plus loin,
Pour ma part, je mavais plus le droit de prendre de plaisir quen me masturbant, sur son ordre et en sa présence dans la chambre dami. Il avait très vite appris à juger à ma quantité de sperme afin détablir si javais pu triché. Ce nétait jamais le cas, tant javais peur de le décevoir.
Pour Marie, Ce fut plus délicat, dans le but de la maintenir dans un état excité, il lui avait imposé de linformer du moment où elle commençait à jouir. A ce moment, il sarrêtait et la prenait par ailleurs afin que lui se soulage, mais quelle ne puisse jouir. Elle a appris ainsi à interrompe son coït afin dêtre toujours disponible pour son maître. Dans ses bons jours, il la récompensait, lors de sa dernière giclée, en lemmenant au plaisir absolu où elle explosait jusquà perde connaissance.
Je vous assure que quand on a renoncé à sa liberté dans ces conditions, il est très difficile de faire machine arrière. Il était devenu impossible pour nous de vivre sans ce maître qui sétait imposé avec tant de patience. Il aurait pu nous imposer nimporte quoi. Il a en avait conscience. Pour nous récompenser de notre docilité, il nous réserva un soir une séance particulière.
Ce soir la, à peine arrivé, il nous fit passer tous les deux à la douche, jétais surpris dêtre impliqué, il fallait être bien propre pour lui, nous devions nous laver à leau, afin que lodeur et la saveur de nos corps soit neutre, nous aurions ainsi facilement le goût et lodeur que son corps nous imposerait.
Ils nous fit entrer dans la chambre et me coucha sur le dos sur le lit, Il plaça Marie sur moi, ventre en lair en prenant soin dintroduire mon sexe raidi dans la partie intime arrière de Marie, Il lavait tellement élargie quil neut aucun mal à marrimer profondément en elle. Je découvrais pour la première fois cet endroit qui, je dois bien le dire ressemblait à un sexe féminin. Puis il nous lia jambe à jambe et bras à bras avec des cordelettes, il en passa également plusieurs autour de notre torse et notre ventre, si bien que nous semblions ne former plus quune seule personne. Il se plaça ensuite au dessus de nous et pénétra doucement Marie. Je sentis un énorme corps imposant entré en elle, il était dur, ferme, jen sentais les contours. Il comprimait fortement mon sexe de lintérieur. Puis il commença de lents va et viens frottant mon gland sans relâche. Les seins de Marie étaient devenus pointus comme jamais auparavant, son visage devenait rouge comme durant les journées dété au soleil. Il accéléra, Marie vibrait de lintérieur, son ventre était pris de saccades, cela ne lui était jamais arrivé avec moi. Il accéléra encore, Marie et moi étions ballottés comme des poupées, Il transpirait déjà beaucoup et sa sueur coulait sur nous, il lui enfonçait sa langue sauvagement dans la bouche, lui pétrissaient les seins, Elle sagrippait violement aux draps et je devais suivre ses mouvement à cause des cordelettes. Elle écartait les jambes, le plus possible, mais javais du mal à suivre. Elle partit en sanglot de plaisir sans retenir ses gémissements de jouissance Je comprenais ce quelle pouvait ressentir. Ce plaisir immense que jamais je naurai pu lui offrir. Jéjaculais rapidement, mais pour la première fois de ma vie, je ne débandais pas et je restais excité. Cest quand Phil a déchargé que le plaisir est retombé, nous étions déjà bien programmés, je pense, Il sest endormi sur nous et nous avons attendu quil se réveille sans dire un mot.
Le maître à son réveil nétait pas repu de sexe, au contraire, sans nous libérer de nos liens, il nous glissa vers le bas du lit, de manière à ce quil soit confortablement installé.
Il en profita pour nous faire une annonce
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