Le Maître De Maison - Partie 2
Le maître de maison partie 2
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, jétais complètement courbaturée. Cétait bien simple, javais mal partout. Pas au point davoir du mal à marcher mais assez pour sentier des muscles que je ne savais pas posséder.
Jai aperçu un papier sur la commode, je me suis donc levée pour le prendre. Il sagissait dune liste dordre que je devais suivre.
Le maître ma chargé de vous dire ce quil attend de vous :
- Donnez-moi votre emploi du temps afin que vous puissiez suivre vos cours sans encombre. Je la transmettrais au maître afin quil puisse décider de ce quil ferait de vous.
- Vous devez lui apporter son petit-déjeuner tout les jours à 7h, nue, et faire ce quil vous demande.
Comme luniversité ne commençait pas avant 8h et que la maison était juste à côté, ça voulait dire que javais à chaque fois au moins 30 min avant de devoir me préparer pour y aller, et je compris que lheure du petit-déj était justement faite pour ça.
- Vous ne devez parlez ou émettre des bruits que sil vous le demande.
- Vous devez exécuter ce quil vous demande dans linstant.
- Si vous ne respectez pas ces consignes, le maître peut décider de vous soumettre à une punition de son choix.
Là pour le coup je frissonnai un peu car javais tendance à émettre beaucoup de bruit lorsque je jouissais et je me demandais quel était le type de punition. A y penser ça me fit mouiller, et je rougis comme une collégienne.
- Après votre visite du matin, le maître vous indiquera sil veut vous voir à un autre moment de la journée.
- Sil ne le désire pas vous avez votre temps libre.
- Quand vous serez dans la maison, il vous ait formellement interdit de mettre des vêtements, à moins que le maître ne vous en ait donné lordre.
- Si vous croisez le maître dans la maison, celui-ci peut vous demandez quelque chose de rapide à faire pour lui sans empiété sur votre temps (pipe, enfoncer un objet dans un de vos orifices, etc).
- Les repas sont prévus tous les jours à 7h du matin et à 19h.
- Il est strictement interdit damener des gens dans la maison.
Je vous prie de suivre convenablement ces quelques règles et vous souhaite la bienvenue dans la maison. Marie.
Il était 6h42, je suis donc sortie, nue, et suis allé dans la cuisine. Elle nétait pas difficile à trouver car une délicieuse odeur dufs et de lard sy élevait.
Il y avait deux autres filles attablées. Elles étaient toutes les deux nues.
- Bonjour.
- Bonjour Abby, moi cest Marie et elle cest Juliette, mais on lappelle Juju.
Marie était la fille qui mavait ouvert hier et celle qui mavait écrit le mot aussi, je suppose.
Jétais un peu gênée, mais elles étaient sympas et jappris quelles étaient toutes deux dans le même cas que moi, et que le maître nétait pas un sadique, juste un dominateur.
Jétais franchement soulagée et je me sentais moins seule. Jai donc mangé sans trop de stress, mis à part que cétait vraiment bizarre de manger à poil avec deux autres filles nues assez canons, mais bon. Je navais jamais été vraiment pudique, mais pas au point dêtre naturiste, bien quen fait ça ne me gênait pas trop.
A 6h58 selon la pendule, je pris le plateau que me tendait Marie et alla dans la chambre quelle mindiqua. Le maître était déjà réveillé et était assis dans un fauteuil une place avec de long accoudoir.
- Ah, ma nouvelle chienne ! Tes vraiment une belle bête toi. Viens déposer ça sur la table petite chienne.
Jai déposé le plateau sur la table juste devant lui, et il en profita pour écarter en grand mes fesses pour regarder mon trou de cul.
- Jolie trou, ma chienne. Tu tes déjà fait prendre par là ?
- Euh
non.
En voyant son regard ravi, jeus un long frisson le long de ma colonne vertébrale.
- Ce soir tu termines quand tes cours ?
- 18h.
- Après je veux que tu viennes chez moi, et puis encore après le repas.
- Bien maître.
- Maintenant je veux que tu te prennes avec ce gode là.
Le gode quil mindiquait était monté sur une ventouse sur un tabouret. Il était rose flash, et était de taille normale. Je fis ce quil me disait et commença à faire des vas et viens dessus.
Pendant ce temps il mangea, tout en me reluquant faire.
-Caresses toi les seins en même temps chienne.
Je fis ce quil me disait et pétris mes seins avant de faire tourner assez durement mes tétons avec mes doigt. Je sentais le plaisir monter très vite et avait envie de jouir. Jessayais de ne faire aucun bruit, mais je soufflais très fort, comme si javais du mal à respirer, ce qui était dailleurs le cas.
- Ah oui
je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Alors retiens-toi.
Je crus défaillir quand il me dit ça. Je ne pourrais pas me retenir cétait impossible. Il devait le savoir. En pensant ça, je regardais ses yeux et me rendis compte quen effet il le savait, et quil voulait que jéchoue pour me punir.
Javais envie de lui prouver que je pouvais obéir aux ordres, mais quelques secondes eurent raison de moi et je jouis en poussant même un petit cri de plaisir. Javais échoué.
- Alors comme ça, ma chienne nest pas bien éduquée ? Je suis donc obligée de te punir. Viens à mes pieds et lève ton cul vers moi.
Je compris que tout ça cétait pour soccuper de mon cul, comme sil sagissait dune punition alors quil voulait sans doute doffice le faire. Je fis ce quil me dit mais je tremblais quand même un peu. Jappréhendais ce qui allait suivre.
Je sentis ses mains sur mes fesses, le senti mécarter les jambes avec ses pieds et puis mes fesses avec ses mains. Je sentis alors un objet pousser sur ma rondelle. Mon cul souvrit à mon grand étonnement assez facilement et lobjet entra entièrement dans mon cul.
Il me fit alors me relever.
- Tu garderas ça dans ton cul jusquà ce soir petite chienne. Tu peux y aller.
Je compris alors son but. Lobjet, assez fin, navait pas posé de problème pour entrer, mais maintenant que je marchais, je le sentais me dilater le cul petit à petit. Il devait sagir dun préparatif pour ce soir, et au lieu davoir peur, je me mis à anticiper et à vouloir que le temps passe plus vite. Jétais vraiment en train de me conduire comme une chienne qui attend la caresse de son maître et je sentis le désir me serrer lestomac.
Je partis à mes cours, et que se soit assise ou debout, du fait de mon inexpérience de ce côté-là, je sentais cet objet en moi bouger et me dilater petit à petit.
Lorsque je suis rentrée à la maison, jétais dans un état dexcitation assez important et je pris à peine le temps de me déshabiller avent de foncer dans le bureau. Mon maître était bien là et souris devant mon corps, et surtout mon sexe qui était luisant de mouille.
- Bonne chienne. Mais oui, tu es une bonne chienne. Viens ici me présenter ton cul.
Je me suis remise dans la même position que le matin même, et cette fois je nattendis pas avant décarter les jambes.
Il me caressa la chatte et le cul et je me pris à suivre ses mouvements du bassin. Je le sentis alors bouger sa main et il menfonça un énorme gode dans la chatte, sans pourtant me faire mal tant jétais mouillée.
Je poussai un cri de plaisir, et il réagit aussitôt en me donnant une tape sur le cul.
- On se tait la chienne.
Il soccupa maintenant de mon cul en retirant dun coup le petit gode, avant dégalement sortir celui de ma chatte. Je me retiens démettre le moindre bruit alors que jen mourrais denvie.
Il mit alors un gode de taille moyenne et le fit coulisser dans ma chatte.
- Tu peux crier si tu le souhaite ma chienne.
Presque immédiatement je me mis à gémir et je bouger mon bassin de manière suggestive alors quil faisait tourner le gode dans ma chatte.
- Tes vraiment bandante ma chienne.
Il dit cela dun ton qui me rendit très fier et cest à peine si je le sentis retirer le gode de ma chatte pour lintroduire plein de ma mouille dans mon cul. Je voulus me retirer sur le coup mais il me tenait fermement. Il remit alors lénorme gode dans ma chatte.
Javais un énorme gode dans ma chatte, et léquivalent pour mon cul. Je ne savais pas ce qui dominait, le plaisir ou la douleur, bien quen fait les deux se mélangeait. Il me cintra alors et me posa ce que jappris être une culotte de chasteté afin de faire tenir les deux godes en moins.
Il me fit alors me lever et je me sentis complètement distendu. Cétait une sensation incroyable.
Mon maître regarda son uvre dun il satisfait avant de me pencher vers lavant et de me faire avaler sa verge complètement tendue.
- Allez ma chienne viens, oui
tu vois que tu sais prendre au fond de ta gueule ! Je tavais dit que tu allais thabi !! Aller suce ! Suce chienne !
En effet jarrivais à le prendre entièrement et jen étais très fière. Alors que je le suçais au mieux, il attrapa ma ceinture et tira dessus afin de faire rentrer encore plus les godes en moi.
Jeus envie de hurler tellement ça faisait du bien et je mappliquai encore plus à ma pipe.
- Oui, ma salope
chienne
viens sucer ton maître
oui
oui ! Je vais te juter dans la gueule ma chienne alors avale ! Cest un ordre !
Et en effet il me juta dans lsophage. Moi aussi javais jouie et je sentais une humidité le long dune de mes jambes.
- Tu es parfaite comme ça ma chienne. Tu as interdiction de te laver. Je veux que tu reste comme ça pour tout à lheure après le diner. Je vais te distendre complètement le cul ma pute.
Tu vas aimer, tu vas voir. Allez va et reviens dans une heure.
Je suis partie en marchant bizarrement, marche qui fit gigoter les godes en moi et qui fit monter une nouvelle jouissance. Pas assez pour jouir, mais suffisamment pour avoir du plaisir à travers la douleur. Oh oui jallais être prête, ça cétait sûr
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