La Chienne De Monsieur (3)
Le lendemain matin, je me fais réveiller brutalement par de vigoureuses claques sur
mes fesses. Après quelques instants de panique, je reprends mes esprits et me remémore
les événements de la soirée précédente, où Monsieur ma complètement soumis à ses
désirs en me transformant en femelle docile, en « chienne obéissante », comme il se
plaît à mappeler avec une pointe de dédain dans la voix.
Lorsquil constate que je suis bien réveillée, Monsieur cesse ses claques et tâte mon
cul rougi et sensible. À elles deux, ses larges mains couvrent presque en totalité la
surface de mes fesses et le massage auquel sadonne Monsieur, bien que sans la moindre
douceur, me fait bander en quelques secondes.
- Cest lheure de ton biberon, ma belle, mannonce mon mâle en souriant.
Sans hésiter un instant, je me dérobe aux mains de Monsieur et me glisse sous le drap,
entre ses jambes écartées. Dans la pénombre, japerçois lobjet qui ma donné tant de
plaisir hier. Lépaisse queue, qui surplombe deux couilles bien remplies, est toujours
au repos, mais je mefforce de la faire sériger en mattaquant, tout dabord, aux
testicules que je gobe et fais rouler sous ma langue. De ma main gauche, jentame
aussi une lente branlette de la bite de Monsieur qui, à ma grande fierté, laisse
échapper quelques soupirs de satisfaction.
Après quelques minutes de ce traitement, mes doigts peinent à faire le tour de la
queue de Monsieur, signe que celle-ci a atteint son plein volume.
- Suce-moi, maintenant, mordonne-t-il dun ton sec. Et puisquil faut que je parte
travailler dans une demi-heure, tu dois me vider en moins de cinq minutes. Tu crois
que tu peux y arriver, salope ? me demande-t-il, un brin moqueur.
Aussitôt le défi lancé, je me précipite sur la queue bien dure de mon mâle, crache
dessus pour bien la lubrifier, lengouffre dans ma bouche et commence une pipe à
vitesse grand V.
que ma langue cajole les moindres recoins du gland gonflé et que, de mes doigts, je
caresse les bourses sans discontinuer. De temps en temps, Monsieur glisse une de ses
mains sous les draps, me saisit ma tête et effectue quelques mouvements de bassin qui
ont pour effet de planter sa queue détalon encore plus profondément en moi et de me
faire suffoquer, ce quil adore évidemment, comme lillustrent les faibles soupirs
quil pousse alors.
Trois ou quatre minutes après que jaie commencé ma tétée, je sens la bite dans ma
bouche se durcir et laisser échapper un peu de liquide pré-éjaculatoire sur ma langue.
Monsieur alors relève son torse, magrippe fermement la tête dune main et menfonce
profondément sa queue palpitante jusquaux couilles en poussant un long râle de
satisfaction, pendant que ma gorge est inondée de chaude semence matinale.
- Viens me voir, me dit-il, une fois que sa bite a cessé de tressauter et que sa sève
est complètement déversée à lintérieur de ma bouche.
Je sors alors de dessous les draps et mapproche de Monsieur, à quatre pattes devant
lui, les lèvres bien fermées pour ne rien perdre, cette fois, du sperme qui ma été
offert.
- Je veux massurer que tu as bien tout recueilli, petite chienne. Ouvre la gueule
pour que je constate par moi-même. Oh, il y en a beaucoup, dis donc ! Je tai bien
gavée, ce matin ! Maintenant, tu vas me faire le plaisir de tout avaler cette semence
nourrissante, nest-ce pas ?
Je hoche la tête en signe dacquiescement et en gratifiant Monsieur de mon regard le
plus soumis, javale le sperme épais devenu tiède puis passe lentement ma langue sur
mes lèvres. Mon maître est satisfait. Je suis heureuse. La journée débute bien.
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- Tu as des cours, aujourdhui ?, me demande Monsieur (lors de nos échanges en ligne,
je lui avais avoué que jallais à luniversité) en revenant de la salle de bain, lavé
et rasé de près, habillé pour aller au bureau.
- Non, Monsieur, pas aujourdhui.
- Viens lacer mes chaussures, je nai pas envie de me pencher.
Surprise par cet ordre inusité, je mapproche de ses pieds et magenouille pour faire
ce quil ma demandé. Je navais jamais réalisé à quel point il est difficile (toutes
proportions gardées, bien sûr) de nouer les lacets de quelquun qui nous fait face.
Une fois ma tâche accomplie, je pose timidement les yeux sur lentrejambe de Monsieur.
La légère bosse que forme son gros paquet, même au repos, me donne encore une fois
leau à la bouche.
- Alors tu vas rester ici. Il y a amplement de quoi manger dans la cuisine. Occupe ta
journée comme tu le souhaites, mais prépare-moi un bon souper pour ce soir. Et garde
ton plug dans ton cul tout laprès-midi pour que je puisse bien moccuper de toi dès
mon retour. Je veux quà 17h30 précises, tu mattendes à genoux devant la porte
dentrée. Je te veux toute propre, nue sous un tablier de cuisinière et le cul
lubrifié. Il y a du lubrifiant dans la table de nuit à ta droite et de largent sur le
comptoir, pour payer le souper. À ce soir.
Avant même que jaie pu répondre, Monsieur quitte la chambre dun pas leste et,
quelques secondes plus tard, jentends la porte de la maison claquer. Je suis sidérée.
À aucun moment, dans ses instructions, il ne lui est venu à lesprit que je pouvais
refuser de lui obéir. Comme lors de nos ébats, il sest adressé à moi comme si mon
corps autant que ma volonté lui appartenaient.
Mais au fond, il a raison ! Chaque fois quil me parle, jimagine sa grosse queue
puissante et ses belles couilles qui reposent entre ses cuisses ! Ma seule envie, dans
ces moments, est tout faire pour y avoir droit à nouveau. Déjà, dailleurs, je me mets
à réfléchir à ce que je ferai pour me rendre la plus désirable possible pour le retour
de mon mâle
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À 17h20, je me lève du fauteuil où, recroquevillée sous une couverture de laine, je
regardais la télévision en attendant avec impatience lheure fatidique.
cuisine, je mets le tablier à motifs de fleurs rouges et jaunes que jai trouvé dans
une armoire et, petite fantaisie qui, je lespère, plaira à mon mâle, jinstalle sur
mes cheveux un petit bonnet de ménagère confectionné à partir dun linge à vaisselle
plié. Je vais ensuite me positionner comme Monsieur me la demandé, cest-à-dire à
genoux devant le tapis de la porte dentrée, mes fesses appuyées sur mes talons, le
dos et la tête bien droits. En attendant, je lisse consciencieusement mon tablier sur
mes cuisses pour quil ny ait aucun pli et que Monsieur me trouve parfaite à son
arrivée.
Quand Monsieur est parti, ce matin, je me suis rendormie pour quelques heures afin de
me remettre de mes émotions de la veille. Après une douche au cours de laquelle
jinsérai le plug dans mon anus, selon les instructions de mon maître, je déjeunai de
tranches de pain recouvertes de marmelade. Je sortis ensuite pour visiter les
environs, prendre un peu lair et trouver de quoi préparer un souper. Au cours de ma
promenade qui me mena hors des quartiers résidentiels, je tombai sur une pharmacie et
décidai dy entrer sans but précis. Errant à travers les étalages, je finis par
arriver dans la rangée des parfums et du maquillage féminins. Jeus alors envie de
faire une petite surprise à mon maître et achetai un parfum bon marché, à larôme
fleurie, du vernis à ongle écarlate, un tube de mascara et un autre de brillant à
lèvres. Dans un marché voisin, jachetai deux steaks, quelques légumes et un sachet de
riz. De retour à la maison de Monsieur, je ramassai le courrier distribué pendant mon
absence et appris que mon mâle sappelait Louis Gendron. Peu mimportait son nom, en
réalité ; pour moi, il était et resterait « Monsieur ». Lui non plus, après tout, ne
mavait jamais demandé comment je me nommais. Nos rôles nous suffisaient.
Je passai le reste de laprès-midi à faire du ménage dans la maison, flambant nue, en
espérant que mon maître soit fier de moi et me récompense à son retour. Vers 16h,
jentrepris de me préparer : je pris une nouvelle douche, me nettoyai avec attention
lintérieur du cul, le lubrifiai généreusement de même que mon plug et me maquillai
pour la première fois de ma vie. Une fois le maquillage terminé, je contemplai dans le
miroir mes lèvres brillantes, mes cils allongés et plus foncés quà lordinaire et fus
certaine que Monsieur aimerait que je me sois faite si belle pour lui. Enfin, je me
parfumai légèrement, appliquai le vernis rouge sur mes ongles, fis cuire le riz et
revenir les légumes dans une préparation orientale et allai masseoir au salon.
17h30. Aucun signe de Monsieur.
17h35. Toujours rien. Je suis de plus en plus excité par mon accoutrement vulgaire et
ma position soumise.
17h45. Je nen peux plus dattendre et commence à avoir mal aux genoux. Jespère quil
ne tardera pas trop !
17h50. La porte souvre enfin sur Monsieur qui a un air bourru, signe quil a peut-
être passé une mauvaise journée au bureau. Sans même me regarder, il me lance un ordre
: « Souliers ! ». Sagement, je me penche, défais les lacets et retire un à un les
souliers noirs. « Manteau ! » Je me lève alors et vais derrière lui pour lui enlever
son long manteau de feutre.
- À genoux, salope ! Et vite ! Jai eu une journée assez merdique comme ça, ne me fais
pas attendre en plus ! Ferme les yeux.
Je sens alors Monsieur passer quelque chose autour de mon cou puis entends un bruit de
bouton-pression. Je suis ensuite autorisée à ouvrir les yeux pour constater que je
porte maintenant un joli de cuir auquel Monsieur saffaire justement à y rattacher une
sangle. Comme une vraie chienne, jai maintenant un collier et une laisse.
- Jai acheté ça pour toi, aujourdhui. Et je ne le regrette pas. Ça va à ravir avec
ton allure de ménagère en chaleur ! me lance-t-il. Cest bien que tu te sois autant
e coller à ton rôle, ajoute-t-il plus doucement en me tapotant la joue. Et joli
chapeau, en passant.
- Merci, Monsieur. Je suis heureuse de pouvoir vous plaire.
Intérieurement, je jubile. Mon initiative a été bien accueillie et jai même reçu un
cadeau qui me plonge encore plus dans mon rôle de chienne.
- Jai faim. Le souper est prêt ?
- Dans quelques minutes, Monsieur, le temps de griller les steaks.
- Quest-ce que tu attends, alors ? me demande Monsieur en tirant sur la laisse, ce
qui approche dun coup mon visage du sien menaçant, qui contraste avec les caresses
presque affectueuses dont il vient tout juste de me gratifier.
Rapidement, pour ne pas subir les foudres de mon Maître, je me dirige vers la
cuisinière pour faire cuire la viande et réchauffer les accompagnements pendant que
Monsieur va sasseoir à la table que jai dressée pour deux convives, en disposant
aussi des bougies afin de donner une ambiance intime au repas.
Une fois la nourriture prête, je sers Monsieur qui en profite pour me pincer une fesse
exposée par mon tablier et, mon assiette à la main, vais masseoir devant lui.
- Quest-ce que tu fais ? minterroge aussitôt Monsieur en fixant sur moi des yeux
gonflés de rage.
- Euh
je
pardon Monsieur
euh
- Tu nes pas ma femme, espèce de pute ! Descends de là et viens de mettre près de moi
!
- Oui, Monsieur. Je suis désolée, je croyais
- Tout de suite !
Je vais alors magenouiller, le dos bien droit, à côté de la chaise de mon Maître
pendant quil mange avec appétit le souper que jai préparé. Lodeur de nourriture me
donne leau à la bouche. Je suis affamée. Lorsquil a terminé son assiette, Monsieur
prend la mienne et dévore la moitié de ma part. Il dépose ensuite nonchalamment
lassiette sur le sol et me jette un regard empli de dédain :
- Tu peux manger, mes restes, maintenant, me dit-il en éteignant dun souffle les
bougies. Mais ne laisse rien.
- Merci, Monsieur.
- Et pas dustensiles, bien sûr. Tu as déjà vu une chienne manger avec un couteau et
une fourchette, toi ?
- Jamais, Monsieur. Vous avez raison, Monsieur, que je lui réponds dune voix faible,
déçue que je suis par le peu de nourriture quil me reste pour me sustenter.
Jai horriblement honte de manger ainsi, à même le sol, et à soutenir en même temps le
regard dur de mon Maître.
- Les mains dans le dos. Lèche lassiette, mordonne-t-il une fois que je crois avoir
terminé.
Aussitôt, je mexécute en mefforçant de jeter vers Monsieur mon regard le plus soumis
possible. Déjà, le fait que je me retrouve à même le sol pendant que lui est assis sur
une chaise exprime bien tout lascendant dont il dispose.
- Quest-ce quon dit ? me demande-t-il dun ton brusque lorsque lassiette est
redevenue immaculée.
- Merci, Monsieur.
- Au salon, maintenant ! Il y a un match qui commence dans deux minutes et je ne veux
pas le manquer, me dit-il en tirant sur ma laisse pour que je le suive, ce que je fais
difficilement à cause du tablier qui sempêtre sous moi.
Enfin, nous arrivons au salon où Monsieur sassoit sur le canapé et allume la
télévision pendant que je demeure à genoux à son côté, comme une bête fidèle. Après
une dizaine de minutes dun match ennuyant, Monsieur tire sur la laisse et donne des
tapes rapides sur le coussin à sa droite pour me signifier dy grimper.
- Jai besoin de décompresser un peu. Viens me sucer, mais fais durer le plaisir. Si
tu me fais jouir ou manquer une seconde du match, je te fous à la porte. Eu tu devras
trouver un nouveau maître pour soccuper de ton cul de chienne en chaleur.
La menace a de quoi faire réfléchir, car je me sentirais atrocement démunie sans mon
maître pour me dresser. En quelques heures, il a pris une telle importance dans mon
existence que je me demande comment je faisais pour vivre avant de le rencontrer. Il
me semble que désormais, tout tourne autour de lui et de ce que je dois faire pour le
satisfaire.
Une fois sur le canapé, japproche mes doigts aux ongles écarlates de sa braguette et
fais descendre la fermeture éclair. Je plonge ensuite ma main à lintérieur. Cest
chaud. Je me sens comme un chasseur de trésor à la recherche dun sceptre royal.
Toutefois, le membre flasque que jextirpe du caleçon me déçoit un peu : je croyais
avoir excité mon maître davantage avec ma féminisation.
Résolue à obtenir tout de même une certaine preuve dexcitation, jaspire la bite
entre mes lèvres. Je suis même en mesure, après avoir fait sortir ses couilles à lair
libre, de lécher celles-ci en même temps que javale lentièreté de la queue molle.
Jignore si Monsieur apprécie : il est tellement concentré sur lécran de télévision
quil ne maccorde aucune attention. Avec mon tablier fleuri, je me sens vraiment
comme une ménagère sans la moindre autorité et tout juste bonne à obéir aux ordres de
son homme. Cest cliché, certes, mais ça mexcite et jespère que ça excite aussi
Monsieur !
Une trentaine de minutes plus tard, pourtant, sa queue nest toujours quà moitié
bandée dans ma bouche, ce qui me frustre énormément. En plus, mes mâchoires et ma
langue commencent à être fatiguées par mon effort acharné. Enfin, jentends larbitre
siffler la fin de la demie et Monsieur daigne soccuper de moi. Il me relève la tête
vers lui et approche ses doigts de mes lèvres luisantes pour que je les suce, ce que
je fais avec passion en fixant mes yeux suppliant dans ceux de mon Maître, pour quil
voit bien que je lui suis dévouée. Il rabat ensuite ma tête sur sa queue qui a déjà
gonflé davantage en trente secondes que dans la dernière demi-heure. Je reprends ma
pipe et sens le plug être retiré de mon cul et remplacé brusquement par trois doigts
qui senfoncent dans mon anus béant sans rencontrer la moindre résistance. Après
quelques minutes dun doigtage intense qui marrache plusieurs gémissements de
plaisir, le plug est remis en place et Monsieur me dit :
- Viens tempaler sur ma queue, ptite pute.
Toujours vêtue du tablier fleuri, jenjambe alors Monsieur qui empoigne fermement mes
fesses pour me faire asseoir sur son bassin, un genou de chaque côté de lui. Dune
main assurée, il retire à nouveau le plug de mon cul pour, un instant plus tard, y
engouffrer dun coup sa grosse queue. Je me sens déchirée par cette intrusion brutale
à laquelle, décidément, je ne mhabiai jamais, et pousse quelques gémissements
haletants, entre douleur corporelle et plaisir psychologique.
- Allez, salope, pompe-moi avec ta chatte, maintenant, commande Monsieur lorsquil
sent que la douleur sest apaisée.
Comme je ne comprends pas trop ce que mon Maître veut dire, je lui lance un regard
interrogateur qui vaut de vigoureuses gifles sur mon petit cul.
- Je veux que la petite salope de ménagère que tu es pompe le gros dard quelle a dans
la chatte. Tu montes et tu descends lentement, comme si tu maspirais avec ta bouche.
Et cambre bien les fesses. Et pas un son, pas un gémissement de chienne, rien : le
match recommence, me dit-il en tournant sa tête vers lécran de télévision.
Apparemment, je nai même plus un cul, maintenant, jai une chatte !
Pendant que Monsieur est absorbé par son sport, jentame donc des mouvements de haut
en bas le long de la grosse queue fichée en moi. Je mefforce de contracter mes
muscles fessiers lorsque je monte et de les relâcher quand je descends de façon à, je
lespère, créer une impression daspiration. Impossible de savoir si ma technique
fonctionne, Monsieur ne me jette pas le moindre regard. Quant à moi, après quelques
minutes de cette lente chevauchée, je menhardis et effectue des mouvements de plus en
rapides et de plus en plus amples, sentant le gland de Monsieur sortir presque de mon
anus à chaque remontée. Quand je me laisse ensuite retomber, mes cuisses claquent
toutefois sur celles de mon Maître qui me ramène à lordre en me giflant le visage
tellement fort que jen tombe sur le plancher.
- Je tai dit de me pomper, ptite conne, me crie-t-il en tirant sur ma laisse, pas de
sauter comme une lapine ! Allez, recommence.
Je remonte donc sur lui et reprends précautionneusement mes mouvements de pompage de
sa queue. À chaque aller-retour, je sens la bite de mon mâle se frayer un chemin dans
mon cul serré comme si je me faisais défoncer pour la première fois. Parfois, lorsque
les couilles de Monsieur sont bien écrasées sur mes fesses et que mon cul est
entièrement rempli par sa grosse bite, jeffectue quelques oscillations du bassin pour
que Monsieur puisse bien profiter de létroitesse de mon cul.
Tout à coup, jentends les commentateurs sportifs pousser des cris de rage, ce qui me
laisse croire que léquipe adverse a marqué un but. Intérieurement, jespère que cest
léquipe de mon maître qui vient de prendre les devants, mais lorsque jentends son
poing frapper le cuir du canapé, jappréhende, avec un mélange diffus de crainte et
denvie, que sa frustration ne se transfère sur moi.
- Équipe de merde ! Même pas capable dempêcher une passe télégraphiée ! hurle-t-il en
levant les bras. Ils sont payés pour faire quoi, cte bande de fumier ?!
Il se tourne alors vers moi qui na pas cessé de pomper sa bite malgré son explosion
de fureur et me jette un drôle de regard, comme sil venait tout juste de se rappeler
ma présence et quil comptait bien en profiter.
- Oh toi, tu vas encaisser, sale pute, cest moi qui te le dis !
Il empoigne alors mes fesses de ses deux larges mains, me soulève légèrement au-dessus
de lui jusquà ce que je me retrouve en position accroupie, ce qui, je le sens déjà,
maximise la pénétration, et il commence de rapides et puissants mouvements de bassin
qui me font pratiquement défaillir de plaisir. À chaque fois que sa queue gonflée de
désir autant que de rage mécartèle, cest-à-dire au moins trois fois par seconde, ses
bourses viennent claquer sur mon cul. En quelques secondes, je mentends gueuler de
plaisir pendant que mon Maître grogne sous moi en se contentant de me défoncer comme
si je nétais quune vulgaire poupée de chiffon portant un tablier. Ce que je suis, au
fond. Incapable de résister, jempoigne ma bite mince mais durcie jusquà la douleur
et commence à me branler rapidement. Une gifle bien sentie de Monsieur me ramène
toutefois à lordre et je sens sa queue sortir de moi.
- Pas question que tu te branles, petite chienne ! Cest de moi seul que dépend ton
plaisir, cest compris ? me dit-il en replantant de plus belle sa queue au plus
profond de moi.
Je ne peux alors mempêcher de fermer mes yeux remplis de larmes et de serrer les
dents tellement la sensation dintrusion est forte. Enfin, après quelques minutes
dune cadence effrénée, Monsieur ralentit ses mouvements jusquà immobiliser
complètement sa queue puissante en moi tandis que jappuie ma tête contre son torse de
mâle en sueur. Nous reprenons tous deux notre souffle et Monsieur en profite pour
dénouer le cordon qui retenait mon tablier et me retirer celui-ci.
Quelques instants plus tard, Monsieur me soulève jusquà ce que son engin sextirpe de
mon cul, puis il mordonne :
- Dos à moi. Tu tempales, mordonne-t-il en pointant sa queue vers le plafond.
Je me lève alors, me positionne devant lui, une main sur chacune de ses cuisses, et,
toujours une jambe de chaque côté de son corps, je me laisse descendre vers le long et
large pal de mon Maître qui glisse lentement mais sûrement en moi. Jai limpression
que la descente ne finira jamais, jusqu'à ce que je sente mes fesses appuyer sur le
pubis de Monsieur. Celui-ci en profite pour saisir mes hanches et me faire décrire des
cercles pour que sa bite assouplisse bien mon conduit. Quelques secondes plus tard, il
met fin à ces mouvements circulaires et, sans que cela ne paraisse lui demander trop
defforts, imprime un va-et-vient vertical à mon corps. Simultanément, il recommence
son intense pilonnage. De ma position, je ne peux quapercevoir les cuisses de
Monsieur se soulever à un rythme régulier et sentir son énorme queue mouvrir le cul
tandis que, la bouche grande ouverte, je pousse des gémissements incontrôlables
tellement la puissance de mon Maître mimpressionne. Le claquement de nos deux corps
résonne dans toute la pièce, accompagné par les ahanements de mon mâle et par mes
gémissements qui se transforment bientôt en cris aigus de femelle en chaleur. Encore
une fois, cest lui qui a le contrôle total de mon être, cest lui qui me baise à sa
guise, lui qui me fourre comme si je nétais rien dautre quun trou où sa queue se
trouve serrée et bien au chaud.
Sans pour autant cesser de me défoncer à toute vitesse, Monsieur me ramène vers lui,
enfonce une de ses mains profondément dans ma bouche pour me tourner la tête et me
demande, entre deux coups de boutoir :
- Jadore humf quand tu couines comme ça humf. Ça prouve que tu mes humf
bien soumise humf , ptite pute.
Priant pour que cette saillie digne dun marteau-piqueur ne cesse jamais, je hoche la
tête frénétiquement en jetant vers mon mâle un regard soumis qui doit être
terriblement vulgaire étant donné que le maquillage qui a coulé sur mon visage.
Pendant je ne sais combien de temps, la bite de mon étalon continue de me transpercer
ainsi le cul avec une régularité de métronome. À plusieurs reprises, tout de même,
Monsieur décule et moblige à venir sucer sa bite odorante et poisseuse. Il dit que
cest pour bien la lubrifier, mais jai davantage limpression que cest simplement
pour mhumilier, pour avoir le plaisir de contempler mon visage défait et sa grosse
queue tout juste sortie de mon cul sengouffrer à lintérieur de mes lèvres
distendues. Toutefois, puisque je suis une bonne soumise, je ne rouspète pas et me
contente de profiter de lhonneur que me fait mon Maître denfoncer son membre viril
dans ma gorge.
Soudain, alors que je suis à nouveau dos à lui en train de me faire transpercer le
cul, Monsieur me pousse brutalement vers lavant et me fait choir sur le plancher. Il
se lève du canapé et, sagenouillant près de moi étendue, mempoigne par les cheveux.
- Finis-moi, sale chienne ! Fais-moi juter, que jarrose ta face ! crie-t-il en
introduisant son gourdin noueux dans ma bouche pour, par la poigne dont il dispose sur
ma tête, me défoncer la gueule à vive allure pendant que je suis toujours affalée par
terre.
Lorsquil sent enfin que sa jouissance approche, Monsieur sort sa bite et se branle
devant mon visage. Il na même pas besoin de me donner dordres, car cette fois
encore, la vision fabuleuse de cette belle queue aux veines saillantes qui sapprête à
me cracher son foutre, me pousse instinctivement à sortir ma langue et à regarder mon
mâle avec mes yeux de chienne obéissante.
- Aaaaarrgh ! hurle soudain Monsieur pendant que ses premiers jets de sperme crémeux
sont projetés directement dans mes yeux.
Rapidement, je me retrouve le visage recouvert de semence chaude. Jen ai partout :
dans les yeux, les narines, sûrement dans les cheveux, sur mes joues, dans ma bouche,
aussi, puisque Monsieur y a enfoncé sa bite pour finir de se vider et pour que je la
lui nettoie, comme à lhabitude. Je ne peux ouvrir les yeux à cause du sperme qui
sest logé sur mes paupières, mais jimagine que mon visage fait peur à voir,
recouvert de toutes parts de mascara foncé et de semence blanchâtre. Après quelques
minutes, la queue de Monsieur a perdu de sa dureté et ressemble maintenant davantage à
une trompe quà un tronc. Il finit par renoncer au chaud fourreau que lui procurait ma
bouche et se met à messuyer le visage avec son membre flasque. Lorsquil estime avoir
recueilli suffisamment de sperme, il tapote ma langue de sa queue pour que je la lèche
et aspire avec mes lèvres les dernières gouttes de son nectar. Jai limpression
dêtre un chiot qui essaie dattr la tétine de sa mère ou celle du biberon que lui
tendrait son Maître. Une fois le plus gros du foutre disparu dans ma gorge, je lèche
mes doigts un à un en signe de contentement. Monsieur se lève alors et reprends ma
laisse en main.
- Viens, ma belle, on va prendre une douche.
À quatre pattes et le regard encore embrouillé par les restes de semence, jemboîte le
pas à mon Maître vers la salle de bain. De là où je suis, je peux apercevoir son
imposant braquemart ramolli qui ballotte entre ses cuisses à chacune de ses enjambées.
Heureusement, la douche est assez grande pour nous permettre de ne pas être coincés.
Leau tiède qui gicle sur ma peau me pousse, moi qui suis habituée à des douches
brûlantes, à me blottir contre le torse musclé de mon mâle, debout face à moi, qui
mentoure de ses bras, le temps dun instant, avant de me tendre un pain de savon :
- Lave-moi, me commande-t-il dun ton sans appel.
Obéissante, je me mets à savonner son corps empreint de puissance. Je promène le savon
sur son torse velu, ses bras, sous ses aisselles poilues, je frotte consciencieusement
son dos et ses fesses, ce qui me force à me plaquer de nouveau complètement contre mon
Maître. Une fois larrière terminé, je fais les yeux doux à mon mâle et, esquissant un
sourire coquin, je fais courir le savon sur son sexe épais même au repos je
décalotte tout de même le gland pour être bien certaine de noublier aucune saleté ,
sur ses couilles légèrement poilues et le long de son périnée jusquà atteindre son
anus. Monsieur plante alors son regard dur dans le mien et saisit fermement ma main
pour la repousser. Jai compris : zone interdite. Il me tourne alors pour que je lui
fasse dos.
- Lave-toi, maintenant ! Tu es pleine de foutre et tu sens la chienne mouillée !
Pendant que je fais glisser le savon sur ma peau ruisselante, Monsieur palpe mes
fesses de ses doigts noueux puis, sans un soupçon de délicatesse, enfonce deux dentre
eux au fond de mon cul et les incurve pour former un crochet par lequel il élargit mon
anus et soulève mon cul. Je sens ensuite ses doigts se mettre à tourbillonner en moi
pour distendre mes parois anales déjà pourtant bien assouplies. Puis, un troisième se
met de la partie et je dois mappuyer dune main sur la paroi de céramique pour ne pas
défaillir de plaisir. Les trois énormes doigts de mon Maître me fouillent en
profondeur et marrachent des râles qui ont pour effet dexciter à nouveau mon mâle
puisque je sens sa bite grossir contre ma cuisse. Sa résistance et sa capacité de
récupération me rendent fière : Monsieur a envie de moi. Le monstre qui gonfle à côté
de moi me confirme que je suis une bonne salope excitante.
Justement, Monsieur extirpe ses doigts de mon cul et les remplace aussitôt par son
gland turgescent, puis par lensemble de sa volumineuse queue qui se fiche en moi sans
rencontrer de véritable résistance. Il entame ensuite des va-et-vient brutaux qui me
soulèvent du sol à chaque fois. À nouveau, la puissance de mon Maître me stupéfie et
mexcite. Ses bras musclés qui tiennent fermement mes hanches me font aller à la
rencontre de sa queue pendant quil me défonce à sa guise. Je ne mappartiens plus.
Lengin qui me fouille le cul occupe seul mes pensées et je commence à pousser les
couinements que Monsieur aime tant. Il plaque alors mon corps contre la paroi vitrée
de la douche et continue de mouvrir le cul ainsi pendant une bonne dizaine de
minutes. Il est vraiment infatigable. À chacun de ses vigoureux coups de boutoir, mon
sexe tout mou est écrasé contre la vitre. Il noue ensuite ses bras autour de mon corps
et colle mon dos contre son torse, me soulevant légèrement pour coller mes fesses
contre ses abdominaux. Je suis surpris de ne pas voir son gland faire une bosse sur
mon ventre tellement je me sens bien embrochée.
- Tu la sens bien, hein, ptite pute ? Tu sens bien ma queue dans ta ptite chatte de
femelle ?
Ses biceps bandés me maintiennent bien en place et Monsieur et moi sommes désormais
complètement emboîtés sous le jet de la douche. Je me sens totalement à la merci de
mon mâle qui me transperce le cul par de rapides mouvements de bassin. Tel un pantin
désarticulé, mes bras virevoltent en tous sens pendant que ma tête, penchée vers
larrière, repose sur lépaule de Monsieur qui me serre le cou dun de ses larges
mains, comme sil métranglait. La bouche ouverte, manquant dair et me sentant comme
en transe, je crie maintenant mon plaisir tandis que je jouis sans même bander ce qui,
comme lors de ma première saillie en tant que femelle, déclenche la jouissance de mon
Maître qui serre davantage ma gorge et déverse son foutre au plus profond de mon cul
en étouffant quelques grognements. Sa queue palpitante nen finit plus dexpulser sa
semence crémeuse en moi. Enfin, Monsieur lâche mon cou, se retire de mon cul et appuie
sur mes épaules pour que je penche vers lui et vienne, bien quencore étourdie par ma
jouissance dévastatrice et le manque doxygène, nettoyer sa bite qui demeure
étonnamment raide malgré deux éjaculations assez rapprochées. Monsieur profite de
cette raideur bienvenue pour faire de lents mais profonds allers-retours au fond de ma
gorge et y déposer quelques dernières gouttes de sperme. Les avaler me fait mal à
cause de ma gorge qui a été violemment comprimée. Je sens également plusieurs doigts
tâter mon anus et sy enfoncer, comme pour évaluer les dommages quil a subis.
- Ma belle, on dirait quun régiment au complet vient de passer dans ta chatte ! Tu es
vraiment la pire des salopes !
Comblée, avec la trompe de mon Maître qui ne cesse daller et venir, toujours bien au
chaud dans ma bouche, et ses gros doigts qui fouillent avidement mon cul, je regarde,
avec de petits yeux de chienne soumise, le mâle qui ma donné autant de plaisir.
- eri, onieur !
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