Moi La Femme Mariée Devenu Leur Objet Le Temps D'Une Soirée
Jai perdu la tête lors dune soirée, jai complètement oublié ma condition de femme
mariée, mes obligations et je me suis comporté comme une femme objet, une vrai salope
Javais trop bu, cest vrai, mais jai vraiment été trop loin.
Quelques explications simposent :
Un couple damis de nos âges (la quarantaine passée), nous ont invité à diner chez
eux, puis à un petit concert local par la suite, leur fils participant à lun des
groupes se produisant lors de cette soirée.
Notre couple damis ayant peur de faire « taches » à la soirée de concert, compte-tenu
de lâge du public attendu sur ce type dévénement, ils ont trouvé lidée judicieuse
de ne pas sy rendre seul, voilà pourquoi ils nous ont convié à cette soirée (on se
sent moins isolé à plusieurs).
Nous avons donc dinés avec nos amis, mon mari et moi, puis vers 23h00, nous nous
sommes rendu tous les quatre au concert à 20 km de chez eux.
Pour faire un aparté, mon mari nest pas un fou de musique et encore moins de ce type
de sortie, il nétait pas très « chaud » pour cette soirée, mais comme il sentend
très bien avec notre couple dami, et surtout avec lui, il a été assez facile de le
sortir pour une fois (ce qui est assez rare). Tant quà moi, je suis plutôt une folle
de musique et jadore danser, même si ce type de musique « tournant » autour de la
techno, nest pas ma tasse de thé.
Mon mari me connaissant bien, il savait que pouvoir danser et mamuser un peu, était,
pour moi une bouffée doxygène. Il a donc accepté de conduire, et ne pas boire (ou
très peu) bien évidemment.
Arrivée à la salle de concert, surprise, on sattendait à un public très jeune, mais
non, il y avait autant de personne de nos âges que de jeunes, en tout une petite
centaine de fans ou de curieux, le concert étant gratuit.
Le premier groupe ayant commencé à jouer, mais lambiance nétait pas spécialement
festive, il faut dire quil ne fallait pas être devin pour savoir que ce groupe nira
pas très loin dans le domaine musical. Donc on passe tous notre temps au bar à
discuter avec des connaissances de nos amis, personnes que nous, nous ne connaissions
pas, mais plusieurs dentre eux étaient assez sympathiques. Ce qui nétait pas lavis
de mon mari qui est plutôt dun tempérament « casanier » et nest pas très à laise
avec des inconnus, et comme il ne pouvait pas boire, je voyais que la situation
commençait sérieusement à lénerver.
A 23h45, vient enfin le tour du groupe auquel participe le fils de nos amis, on se
rapproche de la scène, les morceaux joués ne sont pas extraordinaires, mais lalcool
aidant, javais trop envie de me défouler et de danser. Je commence à me déhancher au
rythme de la musique, mon mari restant à lécart en faisant la gueule, la soirée le «
pompait » sérieusement, et notre couple dami ne semblait pas très enclin à la danse
(je ne les connaissais pas assez pour men être douté), ils regardaient avec une
certaine fierté leur fils et se retournaient fréquemment sur la salle pour observer le
public qui dansait, ça augmentait leur orgueil, je crois quil nétait pas nécessaire
dinscrire sur leur front « cest notre fils », tout le monde pouvait le deviner,
attitude, somme toute, tout à fait compréhensible pour des parents.
Heureusement pour moi, une autre femme qui faisait partie de notre groupe au bar, se
lâchait totalement sur la piste, je nai pas réfléchi longtemps pour laccompagner et
en faire autant.
Dès la fin du groupe, 30 mn plus tard, mon mari minterpelle et me dit que cest fini,
on part. Je voyais bien quil en pouvait plus, bien sur il nétait pas utile de tenter
de la faire changer davis, à son regard, il était clair quaucune négociation ne
pourrait aboutir.
A contre cur, jaccompagne mon mari pour saluer nos amis et prendre congé. Ils ne
peuvent que constater que je ne suis pas très enthousiaste à ce départ, ils le font
remarquer, mais mon mari reste ferme sur sa décision.
Voyant mon désarroi, ils proposent de me raccompagner dici une demi-heure, une heure,
le temps à eux daider le groupe de leur fils à « embarquer le matériel.
Mon mari, ne cherche même pas à discuter, la musique du nouveau groupe qui passait
semblait lénerver encore plus. Il acquiesce, et je le raccompagne à la voiture lui
faisant plein de bisous pour le remercier.
De retour à la salle, je fais une petite pause cigarette à lextérieur, dans lespace
délimité pour les fumeurs.
Cest là que jai rencontré Samuel, un jeune âgé de 20/25 ans et deux autres dans les
mêmes âges, voir un peu plus jeune, au moins pour lun dentre eux. Il sétait
approché de moi avec les banalités habituelles, sauf pour une remarque « au moins toi
tu changes des autres grognasse » !!!! Bizarre comme remarque, si sest pour âge, on
peut pas dire que ce soit très élégant, et coté tenue, la mienne était plus soft au vu
de la plupart des jeunes filles qui portaient des tenues assez provocantes, alors que
moi jétait vêtu dun simple jean, près du corps cest vrai, mais rien de provocant,
dun léger pull en haut légèrement échancré, mais sans plus, surtout si lon compare
aux autres filles qui étaient présentes, on pouvait apercevoir mon soutien gorges à
travers, mais il fallait vraiment observer, la transparence du pull était loin dêtre
évidente, puis des chaussures noir très simples à talons, pas non plus des talons de
10 cm.
Donc drôle de remarque, mais bon, il était plutôt sympa, une drague un peu direct,
mais il était beau gosse et ça me déplaisait pas de le voir essayer de me draguer,
cétait même plaisant.
donner de lassurance dans son approche et ça mamusait.
Bref, après quelques minutes je décide de le laisser à ses espoirs ou fantasmes avec
moi et de retourner sur la piste.
Là je maperçois que la population avait changé ! Les « vieux » ayant été remplacés
par des « jeunes » et en nombre bien plus important, il était dur de danser sans être
bousculé, leur état alcoolisé amplifiait cette gêne, mais je men accommodais, javais
vraiment envi den profiter et je nétait pas sobre non plus, sans être bourré.
Après 30 mn de danse intensive et un peu violente à mon goût, il est nécessaire de
prendre lair et donc une nouvelle pause clope simpose. A peine arrivé dans le coin
fumeur, je vois Samuel qui me suit de près, il na pas abandonné, il recommence sa
drague et dune façon un beaucoup plus direct, ses deux potes étant toujours avec lui
pas très loin, les termes sont un peu direct « tu sais, je te trouve bonne », « cest
rare de voir des meufs de ton âge qui bouge comme ça », « tes super bandante »
Il
avait sérieusement augmenté son taux dalcoolémie depuis la dernière pause, ce qui lui
donnait plus dassurance et toutes précautions dans son approche de drague lui
paraissaient certainement inutiles. Il est vrai que dans dautres circonstances, je
naurais pas accepté ce type de parole, mais là, je mettais ça sur le compte de
lalcool et de lambiance, notre précédent échange ayant été plus soft, en plus étant
un peu enivré moi aussi, cette drague un peu « hard » me faisait un petit effet,
cétait curieux, mais je me surprenais à ressentir de lexcitation, je le motivais
même par mes petits sourires, voir y répondre par « ah bon, Mumm »
A ce moment, toute mon excitation retombe lorsque mon amie me retrouve enfin après
mavoir cherché un peu partout, elle me signale que les voitures sont chargées et
quil faut partir.
Dur réalité, moi qui me retrouvais presque dans un rêve qui mavait ramené 20 ans en
arrière, au temps où jétais libre et que je sortais pour draguer ou me faire draguer.
Fini tout ça, je nai plus 20 ans, contrairement à lui, je pourrais être sa mère et je
suis mariée, je ne vais pas recommencer mes bêtises, et les amis sont là pour ça,
heureusement.
Bon allez, il faut être lucide, mais là Samuel ne lentendait pas comme ça, il
sadresse à moi en me vouvoyant en plus ! Et de façon très respectueuse contrairement
à ses dernières paroles, surprenant !!! :
- Nous on peut vous ramener si vous le souhaitez, cest Christelle qui nous
ramène et elle ne boit pas
Il finit sa phrase en nous montrant furtivement cette fameuse Christelle, elle discute
gentiment avec un autre garçon à quelques mètres. Elle parait être dans les mêmes âges
et semble effectivement navoir pas bu, elle est plutôt plaisante et habillée très
simplement tout en étant attirante, une jeune fille assez jolie.
Mon amie parait surprise de lintervention de Samuel et ne comprend pas vraiment ce
quil vient faire dans notre conversation, elle me demande même si sest un de mes
anciens élèves (heureusement que non). Elle est surprise de me voir en pleine
réflexion et hésitant à la suivre, il est vrai que je suis tenté de resté, pas
spécialement pour mamuser, mais le revirement de Samuel me surprend, je suis curieuse
de comprendre ce changement, sa drague plus que direct que javais attribué à son état
alcoolisé, était-ce vraiment lalcool, sa façon de minterpeller, me prendrait-il pour
une femme facile ? A quoi joue t-il ? Et en dehors de ces questions qui demandent
réponse, pourquoi ne pas retrouver cet état dexcitation quelques heures de plus, je
suis folle certainement, mais jaccepte la proposition de Samuel et rassure mon amie
en lui assurant que si je voyais que Christelle ne pouvais pas conduire, je ferais
appel à un taxi et surtout que je souhaitais danser un peu encore.
Mon amie na pas insistée, elle a fait demi-tour rapidement, elle semble vexée !
Samuel, lui, ne perd pas de temps, et oubli vite le vouvoiement :
- Tas tout compris toi, tu viens boire un coup
Il ne me laisse pas le temps de répondre, me prend par la taille pour mentrainer vers
le bar, sa main ayant dailleurs tendance à descendre sur mes fesses. Pourquoi pas, je
noppose pas de refus, mais je maperçois que je nai pas un centimes sur moi, mon sac
à main était dans la voiture et mon mari ne ma rien laissé ! Je ne vais pas me
laisser « entretenir » par ce jeune mec, il va se croire avec une fille de son âge qui
dit oui à tout !
Je suis gêné, je ne sais pas comment men sortir, une femme de mon âge sans un
centimes invité par un jeune, ça fait « couguar », cest peut-être à la mode, mais moi
je déteste cette image. En plus japerçois mon amie au fond de la salle en pleine
discussion avec son mari, ils ne sont pas encore partis ? Je ne me pose pas de
question sur le sujet de discussion, facile à deviner.
Ca tombe bien, pas dargent, plus mes amis encore là et qui pourrait se poser encore
plus de question en me voyant au bar avec ces jeunes mecs, je dis à Samuel que jai
trop bu, jarrête là lalcool et je veux profiter de la soirée et danser.
Je retourne donc sur la piste sans lui laisser le temps de réagir, chacun son tour.
Tout en dansant, je vois enfin mes amis quitter la soirée, ouf, je ne sais pas
pourquoi ? Je suis rassuré ? Comme une gamine en faute !!!
Mes pieds commencent à me faire mal, des talons cest usant pour ce style de danse
quand on nen a perdu lhabitude. Je prends la décision dôter mes chaussures, ça peut
paraitre surprenant, mais ça marrive souvent en boite, enfin ça marrivait souvent,
aujourdhui les sorties sont exceptionnelles. Je les pose dans langle de la scène,
qui va voler des chaussures ? Et lemplacement est discret.
Je retourne mamuser sur la piste pendant une bonne demi-heure, il fait chaud, je
commence à être crevé et en plus jai hyper soif. Je fais une pause, mais au moment de
reprendre mes chaussures, plus de chaussures !
Pas un centimes, plus de chaussures, ça commence à faire beaucoup.
Je regarde partout, observe la foule, recherche léventuel coupable, ça sent la
panique.
Quest que je vois au fond de la salle, coté bar ? Lun des copains de Samuel, debout
tout sourire, exhibant ma paire de soulier !
La blague me fait pas rire, mais je respire, je prends sa direction, arrivée à sa
hauteur, il se déplace vers Samuel et lautre gars assis à une table. Je mapproche de
lui, essaye dattr mes chaussures, mais ils les passent à son copain, et ainsi de
suite, me faisant tourner en bourrique comme une gamine de cinq ans avec qui on
samuserait.
Je maperçois même que je fais lobjet de moquerie et rire par les autres gamins qui
regardent le spectacle. Je commence à ménerver :
- Les gars, ça suffit, ça ne mamuse pas, je ne suis pas une de vos copines,
alors vous me les rendez tout de suite
Samuel se saisit de mes chaussures, les poses sur la petite table ronde, pousse la
chaise vide me faisant signe de massoir et me dit :
- Cétait pour blaguer, ténerve pas, allez pose ton jolie petit cul ici, tu
veux boire quelque chose ma belle ?
Je massois, remet mes chaussures et lui répond :
- Merci pour le « jolie petit cul », mais je te lais dit je ne suis pas ta
copine, ne te trompe pas, mais oui jai hyper soif, et je nai pas un sou, mon mari
est parti avec, tu pourrais moffrir un truc sans alcool stp ?
Pas très crédible quand même, je lui rentre dedans et après je lui demande quil me
paie à boire, mais jai vraiment trop soif.
Samuel me donne un billet de 10 et me dit :
- Prend toi ce que tu veux au bar, cest moi qui offre
Il a un air suffisant, voir victorieux ? Je naime pas trop ce genre dattitude, en
plus coté galanterie les temps ont changés, cest à moi de me déplacer ! Bon, je ne
fais pas la difficile, je prends un Perrier, revient à la table et lui remet la
monnaie.
Je bois mon verre, ça fait du bien, le copain de Samuel me regarde (celui qui avait
pris mes chaussures) et dit :
- Oh la meuf, ce nest pas gratuit les pompes
Il désigne mes chaussures que jai remis depuis, met sa main sur son sexe de façon
vulgaire et ils se mettent tous à rigoler comme des malades.
Je trouve quils poussent là :
- Là, tu rêve mon grand
Samuel prend la parole :
- Prend pas la mouche, mais pour le verre tu pourrais me remercier MOI
Je crois comprendre ce que veux dire remercier pour ce petit con, vu le geste de son
copain, il me prend pour qui ce gamin
- Bien sur, tu peux y croire, tu moffre à boire et moi je te suce, tu es un
grand malade toi, il faut grandir un peu
Samuel :
- Mais non, un petit remerciement sympa, cest tout, tu peux bien membrasser au
moins
Je me dis « si ça peut lui faire plaisir », ça ce nest pas très compliqué. Je
mapproche de lui, et je dépose un bisou sur sa joue gauche.
Samuel est un peu surpris, pose sa main su ma cuisse droite et me dit :
- Ca cest pour les gamins de 10 ans, moi je veux que tu me roule une pelle
Je suis conne, jaurais du men douter :
- Ca va pas, je nembrasse pas les mecs comme ça ? Tu es en plein rêve, tu crois
vraiment que je vais tembrasser ? En plus devant tout le monde !!
Samuel :
- Aucun problème, si ça te gêne, on va dehors à lécart, tu va aimer jen suis
sur
Moi :
- Ca va pas, pas devant tout le monde, mais pas du tout surtout, non hors de
question
Et là, le troisième copain, qui sétait fait plus discret, regarde Samuel et dit :
- Raté Sam, cest ta tournée, allez allonge le fric
Ce nest pas vrai, ils avaient fait un pari sur moi, bande de gamin
Samuel :
- Attend elle na pas dit non
Son copain :
- Lave toi les oreilles, elle a dit NON, allez sort ton fric
Samuel est agacé par le ton de son copain, il me ferait presque pitié, et son copain
ménerve, son ton est ironique, même méchant vis-à-vis de Samuel.
Je ne sais pas pourquoi, jai eu envi de prendre sa défense avec son petit air
malheureux, je me tourne vers Samuel, et ne sachant pourquoi là aussi, en mettant ma
main sur la sienne toujours sur ma cuisse, je lui dis :
- Ok, jaccepte, mais pas ici, pas devant tout le monde
Les deux autres en restent bouche bée, Samuel lui arbore une lattitude du petit con
qui a gagné, mais je préfère ça, je rajoute :
- On y va tout les trois, comme ça la preuve sera faite
Là je sais pourquoi jais dit ça, je me connais, et je ne suis pas sur de savoir
marrêter si jamais il lui venait à lidée de pousser lexpérience, ma faculté à dire
non est très limité dans certaines situations et surtout avec un mec qui me plait,
jen ai déjà fait lexpérience. Avec les deux autres à coté, le jeu sarrêtera au
baiser, du moins le pensais-je.
Samuel a tout de suite accepté, trop heureux de gagner, ses copains semblaient ravis
également de ma proposition ?
On se dirige tous à lextérieur, Samuel la main sur mes fesses, si ça peux lui faire
plaisir, ce nest pas très grave.
Nous voilà dehors à chercher un coin discret et à labri des regards, comme quatre
gamins voulant se cacher de leurs parents, à mon âge quand même !
On trouve enfin un endroit, au coin de la salle de sport à proximité du bâtiment du
concert, un renfoncement peu éclairé par le lampadaire public et à labri des regards
indiscrets.
On a lair de quatre idiots se regardant, je prends linitiative, et surtout je veux
leur montrer que je ne suis pas une gamine. Je pousse Samuel dos au mur, je
mapproche, passe ma main derrière son coup, lautre sur sa joue, mes lèvre se collent
aux siennes et je commence à lembrasser comme une folle, les autres devaient en
tomber à genoux derrière moi.
Je relâche mon étreinte, Samuel me souri, met ses deux mains derrière ma tête et me
rend mon baiser, tout en inversant nos places, je me retrouve dos au mur, je me laisse
faire, jadore sa façon de membrasser, fougueux et viril, je me sens vraiment femme.
Je sens sa main sur mon ventre, il relève mon pull jusquà la hauteur de mon soutien
gorges, je ne suis même pas surprise, jen ai envie, la présence des deux autres
métant complètement indifférente, je ne suis plus moi-même, dans un tel état
dexcitation que je ne suis plus capable de lui dire non.
Mon absence de résistance lui confirme quil peut me posséder comme il lentend, ses
gestes sont plus brusques, ses paroles moins douces, je lis une certaine fierté sur
son visage.
Il mempoigne par les cheveux, me regarde fixement avec son petit sourire de vainqueur
et me dit :
- Enlève ton pull salope et baisse ton fute, je vais te baiser, tu attends que
ça, tu en as envie, hein, petite garce ?
Ma soumission est totale, je ne peux que lui répondre :
- Oui
Pendant que jôte mon pull, me retrouvant en soutien gorge et dégrafe mon jean, je
vois bien que Samuel sérige en vainqueur en sécartant légèrement pour que ses
copains puissent me voir me déshabiller, il mexhibe comme un trophée devant eux, et
pour assoir sa supériorité il rajoute :
- Je vous lavais dis les mecs, les femmes mariées sont les plus chaudes,
regardez cette salope, une vrai cochonne en chaleur
Ils semblent boire les paroles de Samuel, le plus vieux des deux (aux alentours de 25
ans certainement), pas spécialement moche, mais pas beau non plus, je dirais
quelconque, par contre très costaud, des cheveux rasés, un regard noire qui pourrait
faire peur, il me regarde avec vulgarité, cest en tout cas limpression quil me
donne, son sourire est ironique, il est le seul à répondre à Samuel :
- Cest une pute
Ses paroles confirment limpression quil me donnait, il na aucun respect pour les
femmes.
Le second, plus jeune (la petite vingtaine), on ne peut pas dire que ce soit une
beauté, il a un petit gabarit, assez frêle, il semble hypnotisé à la vue de mes seins
cachées dans mon soutien gorge balconnet à dentelle noire, son regard est admiratif,
voir « gourmand » tel un puceau, ce qui dailleurs ne me surprendrait pas.
Samuel ne perd pas plus de temps, il sort son sexe, se colle à moi, sa main écarte mon
string, Mumm jen peux plus, il me prend dun coup sec, sans ménagement, sa seule
parole :
- Salope
Il accélère, ses coups sont puissants, je ne peux mempêcher de pousser des petits
cris, je me retiens, il me reste encore assez de lucidité pour penser au voisinage, je
ressens toute sa virilité de ce jeune macho, ma seul pensée se fixe sur cet instant «
vas y, baise moi comme une salope, continu tu va me faire jouir », mon excitation
montait en même temps que mes pensées et là Samuel me fait redescendre :
- Tu prends la pilule ?
Oh non, de quoi me parle til ce petit con, baise moi, tarrête pas !
Mais sans attendre de réponse, il se retire dun coup, se recule de 50 cm et éjacule
entre mes pieds
Cest pas vrai, il ne ma même pas fais jouir ce con, ça na duré à peine une minute,
je suis frustrée, jai même honte de moi, je remonte mon jean, réajuste mon string, je
suis trempé, quel salaud.
Samuel referme son jean également, il sest vidé, ça semble lui suffire, il se
retourne vers ses copains :
- Profitez en les mecs, cest une vraie chienne
Et il se barre !!!!!!!!!!!
Jai vraiment honte de mêtes fait prendre comme ça, je me penche pour récupérer mon
pull au sol, mais là je sens une main ferme qui moblige à me redresser, cest le plus
âgé des deux qui ma agrippé et me dit :
- Oh tu fais quoi là ?
Il avait sortie sa bite et lexhibait à mon regard, la tenant fièrement. Je nai pu
mempêcher de la fixer, énorme ! Samuel était monté normalement, mais lui il était
impressionnant, elle était longue et surtout très épaisse, il a tout de suite vu que
jétais impressionné, il sest mis à rigoler :
- Ahahah
Elle te plait ma grosse bite salope, taime les grosses bites sale
pute
Ok cest moi qui commence à me la taper
Les dernières paroles étaient adressées à son jeune copain, toujours aussi obnubilé
par mon corps.
Ce type était loin de mattirer, malgré son engin impressionnant, il avait plus
tendance à me faire peur et là je lentends me dire :
- A genou salope, suce ma bite
Voyant que je ne réagissais pas, ne sachant quoi faire ou dire, il rajoute :
- Oh, tes une pute à bite, magne-toi et viens gouter ma grosse teub, allez
grognasse
Il ne voyait pas en moi une femme, mais une pute qui devait le satisfaire, ces paroles
sont insultantes voir blessantes, mais oui je les ai suivi ici, oui je me suis laissé
baiser par Samuel à leurs regards, oui je nais opposé aucune résistance, normal que
je sois insulté
Tout en étant dans mes pensées, mon regard redescend sur sa bite, quelle bite quand
même ! Inconsciemment ou non ? Je me retrouve à genou devant lui.
- Regarde, elle demande que ça cette chienne
Il menfonce sa bite, jai de la peine à respirer, ça lamuse
- Ca te change salope, hein ? Dit-le ?
Il me retire un instant, je reprends mon souffle, mais ce nétait pas ce quil
attendait
- Ca te change davoir une vrai bite, hein, bien grosse, dit-le que tu la veux
Moi :
- Oui, cest vrai
Lui :
- Quoi qui est vrai, cest mieux que la petite bite de ton mec, hein
Il avait besoin de se sentir supérieur aux autres, se comparer à mon mari, dêtre le
vrai male, ça le mettait dans un état dexcitation maximum.
Je ne pouvais que répondre en son sens :
- Oui, ça me change de la petite bite de mon mari
Ma réponse la mis en transe, même si ce nétait pas totalement faux, il sest mis à
me baiser la bouche en minsultant de tous les noms, aussi obscènes les uns que les
autres.
Jen avais des hauts de cur, son traitement me faisait pleurer, ma tête obligé de
suivre sa cadence.
Le plus surprenant ? Jétais aussi dun un état dexcitation extrême, je mouillais
comme jamais, et ce malgré la grosseur de son sexe et ses coups violents. Ce nétait
pas sa bite qui mexcitait, ni sa façon de me baiser la bouche, mais un ensemble, ses
insultes, sa virilité de ses mouvements, cette supériorité quil avait sur moi, me
sentir un objet sexuel, une salope à sa merci semblait me plaire, moi une femme mariée
plutôt traditionnel avec le sexe, ayant eu quelques expériences adultérines, mais très
peu, jétait persuadé que ces quelques expériences (une et demi), mavaient excité par
le sexe, mais nest-ce pas limpression dêtre traitée comme une garce qui me plait ?
Comment pouvais-je mouiller à ce point avec un mec qui me traitait avec si peu
dégards ?
Puis ses coups stop airent, sa bite toujours en bouche, il me soulève le menton pour
voir mon regard, des larmes coulaient :
- Putain, ça te plait salope, dit le
Je ne pouvais que répondre :
- Humm mm
Il retire son sexe :
- Tu va me faire gicler et jen ai pas fini avec toi, approche viens en
profiter, lève toi salope
Il sadressait à son copain et à moi
- Viens tamuser avec elle, je la baiserais après
Son copain sapproche, la main sur son sexe, toujours dans son jean, il pose lautre
sur mes seins, ses gestes étaient maladroits, mais doux, et jentends lautre :
- Excite-le salope, allez fait ta pute
Ok, jais compris, cest bon, jôte mon soutient gorge, à la vue de mes seins, je fait
du 95B, je nest plus une poitrine de jeunette, deux s ça compte, la fermeté
nest plus là, mais lui il les dévorait, il se jette dessus, les embrasses, ne sachant
lequel choisir, il passait de lun à lautre comme un devant une glace trop
grosse pour lui, ses deux mains caressant mes seins, mon ventre, mes fesses, mes
cuisses
il était très maladroit, quil soit puceau ne faisait aucun doute, je
décidais de laider et comme mon excitation me tiraillait, je voulait quil me prenne,
peu importe quil soit maladroit, je voulais être prise.
Je déboutonne mon jean pendant quil safférait sur mon corps, le baisse, met la main
sur sa bite et lui chuchote à loreille :
- Sors ta bite, tu va me baiser
Il ma regardé droit dans les yeux, javais limpression de lui offrir le plus beau
cadeau de sa jeune vie, ça lui faisait plaisir, même si mon geste nétait pas dans ce
but, je voulais égoïstement jouir, être prise.
Il déboutonne son jean, sors tant bien que mal sa bite, plutôt moyenne, assez fine, et
comme il nallait pas assez vite à mon goût, je lui dis, sans chuchoter cette fois ci
:
- Baise-moi, vas-y, prend moi
Telle une nymphomane en chaleur, ce que je ne suis pas pourtant, je lui prends sa
bite, écarte mon string, et je lenfonce. Il est collé, sa tête sur mes épaules,
membrasse mon cou, donne des petits coups de reins, humm mm il va me faire jouir ce
con.
Je lentends me dire doucement à loreille :
- Quest que vous êtes belle madame
Madame ! Javoue que mon excitation est légèrement retombée.
Sa tête me fait face, il membrasse, je le laisse faire sans vraiment participer, il
se colle à ma joue et je lentends éjaculer :
- Aaaaa aarghhhh
Il a éjaculé sans se retirer ce con,
Il se retire, remet son sexe dans son jean, je suis là, appuyée au mur comme une
conne, toujours pas joui, maintenant stop, on arrête là, le jeu est terminé.
A peine ais-je eu le temps de réfléchir, que lautre est déjà sur moi, sa bite en
main, prêt à me prendre :
- Je vais te montrer comment il faut baiser une salope mariée
Il rentre sa bite dans mon sexe, ohhhh ce nest pas le même gabarit, ni la même
intensité, je ne peux mempêcher de crier :
- Aaaahhhh,
Et lui :
- Cris salope, je vais te défoncer la chatte
Ses coups étaient violents, il me faisait jouir et crié comme une chienne, jamais je
navais autant crié en jouissant. Le petit jeune regardait sans en perdre une miette,
mes cris avaient même attirés des curieux, javais cru apercevoir deux têtes à
quelques mètres, mais ma jouissance étant telle que plus rien ne mimportait, ses
insultes ne faisant quenrichir cette jouissance :
- Espèce de garce, taime la bite toi, vas y, cris salope, taime ça hein, dit
le que taime te faire baiser
Moi :
- Ouiiiiiiiiii cest bon, continuuuu, ouiiiiiii
Il me regardait et voulais que jen fasse autant, fière de son emprise :
- Ouvre les yeux salope, regarde moi faire cocu ton mec, taime le faire cocu
petite chienne, hein, taime ça
Il pouvait dire tout ce quil voulait, je lui répondais favorablement tellement je
jouissais
- Baise moi, il est cocu, ouiiiii, mais baise moi salaud,
Il mavait fait jouir, lui ce mec hyper bien monté, mais qui ne mattirait pas du tout
et en plus me traitait sans aucun respect, pourtant cest lui qui me faisait jouir,
cest lui qui me possédait.
Il ma laissé jouir et ameuter tout le quartier, il se retire, me prend par les
cheveux :
- Putain salope, tes bonne, à genou
Je tombe à genou devant lui, sa main sur ma tête, de lautre il se branle devant mon
visage.
Il fait pression sur ma tête en mobligeant à me tourner vers ma droite, oh non !
Japerçois six jeunes, quatre garçons et deux filles à quelques mètres qui rigolent en
discutant entre eux, ils narrêtent pas de me regarder en souriant.
- Tu vois, tes peut-être mariée mais pour eux tu nes quune salope
Et il se met à me gicler dessus, jen reçois sur le visage, sur les cheveux, sur les
seins, il ne lâche pas son étreinte voulant être sur que je reçoive tout son jus,
jentends en même temps des clameurs provenant du groupe de jeune, une voix féminine
:
- Je ny crois pas, elle est mariée !!!!
Je me retrouve à genoux, seins nus, en string, mon jean aux chevilles, le visage plein
de sperme sous le regard amusé de ses six jeunes, de lautre copain qui semble
découvrir une nouveauté et lui qui referme sa braguette, debout face à moi, un petit
sourire sur les lèvres semblant dire « je tes baisé salope ». Il se retourne, dit à
son copain :
- On y va, elle a eu ce quelle voulait cette salope
Ils sortent de mon champs de vision, je nest même pas bougé, mon regard toujours
tourné vers les six jeunes qui mobservent en rigolant, la honte me monte aux joues,
je ne sais plus quelle attitude avoir, ils mont vu me faire baiser, ils ne pouvaient
que constater que jaimais ça vu mes cris de jouissance, me faire jouir dessus comme
la dernière des salopes, quelle honte pour une femme de mon âge !
Une des jeunes filles sapproche de moi, me tend un paquet de mouchoir et me dit :
- Ca sera mieux, non ?
Et en se penchant pour me remettre le paquet, elle me dit tout bas :
- Merci pour le spectacle, jai apprécié
Elle rejoint ses copains tout en leur disant :
- Mariée, faut le faire quand même !!!
Après quelques regards du groupe en ma direction, ils repartent
Quest quelle a voulu dire, apprécié de voir une baise en réel ou cest moi qui lui
plaisait ? Les jeunes daujourdhui vacillent souvent sur la mode de la bisexualité ?
Je naurais jamais la réponse.
Bref, je messuie le mieux possible, me rhabille,
Une seule envie, rentré chez moi, me doucher, dormir.
Le plus drôle, cest que mon portable était aussi dans la voiture, et la fameuse
Christelle qui devait me ramener nétait évidemment pas la copine de Samuel, juste une
fille qui était là au bon moment pour servir dexcuse.
Jai donc été obligé de retourner voir Samuel, cétait malgré tout le seul que je
connaissais, pour lui emprunter son portable, appeler mon mari pour quil vienne me
chercher, ce quil a fait.
Bien évidemment je lai attendu assez loin de la fête pour éviter tout ricanement ou
indélicatesse des jeunes de la soirée vis-à-vis de mon mari.
Depuis cette soirée, je me pose encore plus de question sur moi, sur ma sexualité, à
plus de quarante ans je ne sais plus ou jen suis !
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