Ma Belle Inconnue
Ma belle inconnue
Je suis vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter. Pendant mon enfance et mon
adolescence, jai mené une existence assez paisible. Mes parents tenaient une
boulangerie épicerie dans un petit village. Je ne suis pas arrivée pucelle à âge
adulte, mais je nétais pas une débauchée. Les occasions de samuser entre filles et
garçons étaient rares.
Quand je ne me trouvais pas chez mes parents, jétais interne au lycée. Les dortoirs
favorisent bien les amitiés entre filles. Les fêtes de campagne et les sorties en
bande sont propices à des jeux avec les garçons. Néanmoins, tout cela nallait pas
loin. Du vice, je connaissais surtout ce que javais entendu, ou ce que javais lu
dans les magazines que mes copines chipaient à leurs parents ou à leur frères, et que
nous feuilletions en cachette.
Il y a une dizaine dannée, je venais de terminer mes études secondaires. Cétait un
dimanche du mois de juillet. Il faisait très chaud. Le matin, comme toujours javais
aidé mes parents à servir mais, laprès-midi, la boutique était fermée. Jétais
désuvrée et je ne savais quoi faire pour passer le temps. Je me suis décidée pour une
promenade.
Mes pas mont conduit, vers le petit bois qui entouraient le village. Je connaissais
un endroit où, depuis que jétais gamine, je me rendais quand mon moral était bas.
Cétait le cas aujourdhui, maintenant que javais mon bac, il fallait me décider de
ce que jallais faire. Javais envie de poursuivre mes études mais mes parents
mavaient fait comprendre, quils ne pouvaient subvenir aux dépenses. Il me fallait
trouver un moyen de couvrir ces frais par moi-même. Ils navaient rien contre à
condition que je le finance aussi de ma poche. Je ne pouvais pas leur en vouloir, car
commerçant dans un patelin cela ne rapporte pas des fortunes.
Jétais arrivée à mon refuge, une grande clairière isolée avec une mare au milieu. Une
pierre plate, dressée contre le pied dun arbre, formait un siège confortable. Je me
suis assise pour ruminer mes pensées. Je ne suis pas restée longtemps immobile, car
avant de sortir, jétais passée à la cuisine pour vider une bouteille deau bien
fraîche. A présent une forte envie de faire pipi me tenaillait. Je me suis levée et je
me suis écarté de quelque mettre pour me placer au pied dun autre arbre. Pas question
de souiller mon fauteuil naturel. Jai soulevé ma légère robe dété et jai baissé ma
culotte. Jaurais pu me contenter de cela mais, je ne sais au juste pourquoi, peut-
être une vague crainte de la souiller, je lai ôtée complètement et je lai posée par
terre. Ensuite, je me suis accroupie.
Jai écarté les lèvres de mon sexe et jai uriné mais, je ne me suis pas relevée tout
de suite. La situation me rappelait ce que mavait confié une copine de pension alors
que nous nous rendions ensemble aux toilettes. Elle mavait avoué que ça lexcitait
énormément de se masturber après sêtre soulagée. Je navais jamais éprouvé une
pareille envie mais, aujourdhui, si, jhésitais à me caresser à lendroit où je
métais vidée, avec cette large flaque devant moi.
Je suis retournée au pied de larbre où se dressait la pierre plate. La robe troussée
à la taille, je me suis accroupie sur la mousse dont le contact frais et doux sous mes
fesses. Les genoux écartés au maximum jai glissé une main entre mes cuisses. Du bout
des doigts, jai tâté le contour de ma fente humide, guère étonnée de constater
quelle baillait. Adolescente, javais déjà des lèvres intimes plus longues et plus
larges que la moyenne. Cela ne sétait pas amélioré avec lâge.
Javais vite découvert que si les bords de mon sexe étaient épais, ils étaient aussi
très sensibles, une caractéristique dont je tirais profit quand je me donnais du
plaisir.
sest pas fait attendre, non seulement mon bourgeon a doublé de volume mais je me
sentais mouiller comme une fontaine. Là aussi, en jouant à touche-pipi avec de
copines, javais compris que mes sécrétions étaient plus abondantes que chez la
plupart des filles. Cela dégoûtait certaines de mes camarades, dautres appréciaient,
au contraire. Quant aux garçons, ils navaient rien de plus pressé que denfoncer leur
queue dans mon vagin. Quil soit sec ou engorgé de cyprine, ça ne changeait rien pour
eux, du moment quils tiraient leur coup.
Je suis passée au stade suivant qui consistait à remuer mon clitoris en le tapotant du
bout de lindex. Jai tiré en arrière sur son prépuce, décalotté il avait lapparence
dune bille écarlate et déjà électrique. Comme la plupart des filles ayant découvert
la masturbation très tôt, je suis extrêmement sensible à ce niveau là. Jai enfoncé
deux doigts dans mon vagin et je les ai fait aller et venir à un rythme de plus en
plus rapide. Dans un bruit de succion décuplé je pressais sur la paroi supérieure de
mon orifice. Quand jen étais là, lorgasme ne tardait pas à me transpercer. Cest ce
qui cest produit une fois de plus et jai mordu le dos de ma main libre pour
mes plaintes quand les décharges ont remonté ma colonne. Même au comble de
lexcitation, je gardais une certaine prudence. En principe il ny avait personne aux
alentours mais on ne sait jamais.
A cet instant, alors que je reprenais mes esprits, je me suis aperçue que
contrairement à ce que je croyais je nétais pas seule. Une fille se tenait à quelque
pas, la mine hilare, brandissant ma culotte comme un trophée.
- Tu nas pas perdu quelque chose ?
Jétais trop surprise et penaude pour réagir. Elle ma tendu la culotte et ma demandé
si je voulais bien que nous bavardions un moment toutes les deux.
- Naie pas honte ! Tu sais, jai fait pire que toi et je savais quil y avait des
gens qui me regardaient.
Evidemment, javais éveillé sa curiosité. Au premier coup dil, cette fille mavait
lair dun sacré numéro. Il ny en avait sans doute pas beaucoup qui se seraient
amusées à chiper ma culotte. La plupart mauraient épiée, en se gardant bien de se
montrer.
Jai accepté de parler avec elle et elle sest assise à coté de moi. Je ne savais pas
qui elle était mais je lavais vue le matin même à la boutique de mes parents où elle
était venue acheter des provisions avec une femme dune quarantaine dannées. Ses
tâches de son sur la figure on la reconnaissait facilement. Javais un peu honte
mais, au fond, elle me la dit :
- Tu as de la chance, si cétait un garçon ou un homme qui tavait surprise, il
naurait pas manqué de profiter de la situation.
Ma gêne se dissipait. Cela ne métait encore jamais arrivé en plein air, mais elle
nétait pas non plus la première fille devant qui je me masturbais. Elle m'a montré ma
culotte, un dessous très simple, avec pour seule fantaisie un petit nud au niveau de
la ceinture.
- Cest mignon mais pas très sexy !
Jai dû rougir. Jaurais aimé porter des dessous affriolants, comme jen voyais dans
les vitrines ou les catalogues, mais ma mère tenait les cordons de la bourse, et
choisissait pour moi. La fille sest présentée. Elle habitait Lyon elle avait un an
de plus que moi. La femme qui laccompagnait le matin, chez mes parents était sa
tante. Cette dernière avait acheté la grande et belle maison à la sortie du village
quici tout le monde appelait le Château.
Mon inconnue, m'a montré la mare, au milieu de la clairière et m'a dit :
- Il paraît que cet étang fait partie de la propriété de ma tante.
je suis venue le voir. Les étangs, il faut les entretenir en les curant de temps en
temps !
Elle ma demandé si je me caressais parce que mon petit ami me manquait.
Je nai pas osé lui avouer que je navais pas de copain attitré. Elle na pas
insisté. Elle ma dit que le sien était en voyage.
- Moi aussi, je me branle en imaginant quil me baise, mais je nai pas besoin
denlever ma culotte.
Elle a soulevé ses fesses de la mousse en sappuyant dune main et, de lautre, a
baissée lélastique de sa jupe. Elle navait rien dessous. Un vaste triangle de peau
blanche formait un mont de Vénus légèrement renflé. Cette vision surprenante captiva
mon regard. Lamorce du sexe, très basse, se distinguait à peine. Je ne laurais même
pas aperçue si elle ne sétait pas épilée.
- Dis donc, tu regardes mon sexe dun drôle dair. Tu ne tintéresserais pas aux
filles par hasard ?
Confuse, jai gardé le silence. Javais agi par curiosité mais elle navait pas tout à
fait tort. Dans ma contemplation de son bas-ventre imberbe, il y avait aussi une
attirance. Je navais encore jamais eu affaire à une rousse mais des copines mavaient
dit que le goût de leur sexe était encore plus épicé que celui des brunes.
Dune main elle a baissé davantage la ceinture de sa jupe avant de passer son majeur
dans le sillon de son encoche.
- Tu as bien raison, dans la vie, il faut profiter de tous les plaisirs. Moi, je ne me
gêne pas pour sucer les filles. Tu las fait, toi aussi ? Avoue !
Je nai pas osé mentir et jai murmuré un : « oui ! » à peine audible. Mon inconnue
sest faite chatte et sest serrée contre moi.
- Tu ne veux pas maccompagner chez ma tante ? On pourrait faire plus ample
connaissance.
Il aurait fallu être idiote pour ne pas comprendre ce quelle avait en tête. Au fond,
Je savais que ce dimanche après-midi des oncles et tantes devaient débarquer chez mes
parents. Personne napprécierait que je sois absente à ces retrouvailles. Je lai
expliqué à mon inconnue, qui a bien pris la chose.
- Alors, viens me voir quand tu seras libre. Je suis là jusquà dimanche prochain.
Avant de partir, elle ma embrassée. Jai enfilé ma culotte que javais laissée sur
mes genoux, et jai pris à mon tour la direction du village. Cette fille, que je ne
connaissais que depuis quelques minutes, mavait fait une forte impression. Elle avait
plus de personnalité que toutes celles que javais connu jusquà maintenant. Malgré
tout je ne savais pas si javais vraiment envie de la revoir. Elle mavait surprise en
train de me caresser, ça créait une complicité mais nous nétions pas obligées de
devenir copines pour autant. Au fond, javais refusé de la suivre parce que tout cela
venait de se passer de manière imprévue.
Le lundi matin, mes parents laissaient le magasin fermé. Javais donc quartier libre
jusquen début daprès-midi. Jen ai profité pour rendre visite à mon inconnue. La
veille au soir, je nétais pas encore décidée mais javais réfléchi. Loccasion était
trop belle de sen faire une amie. Elle appartenait à un milieu aisé, elle et sa
tante, devaient connaître des gens bien placés. On ne sait jamais cela pouvait être
utile. Javais honte denvisager notre relation sous cet angle, mais je navais pas
les moyens de faire la fine bouche si je voulais arriver à quelque chose.
Jétais souvent passée devant la grille du château mais je ne lavais jamais franchie.
Avant de la pousser, jai hésité, prise dun dernier scrupule. Après tout je ne savais
pas vraiment qui était cette inconnue. Cependant, une chose était sure, elle était
intelligente et volontaire. Elle ne se laisserait pas manipuler comme une marionnette.
Jai remonté lallée, la maison était imposante et semblait mieux entretenue que le
parc qui avait un sérieux besoin dêtre débroussaillé.
Au premier abord, je ne vis aucun signe de vie. A croire quà lintérieur, tout le
monde était encore couché. Cétait sans doute le cas. En effet, quand jai sonné mon
inconnue est venue mouvrir en robe de chambre, les yeux encore embrumés de sommeil.
Me reconnaissant, elle a esquissé un sourire, avant d un bâillement.
- Cest toi ? Tu es matinale. On dirait que tu nes pas en vacances, toi !
Elle navait pas tord, presque chaque jour, je me levais de bonne heure pour servir à
la boulangerie. Le lundi, dordinaire, je paressais au lit mais, cette fois, javais
fait une exception pour lui rendre visite.
Elle ma entraînée à la cuisine. Là, il lui a suffi dune grande tasse de café et dun
petit pain au lait pour être tout à fait réveillée. Comme je lespérais, elle est tout
de suite revenue aux circonstances de notre rencontre. Elle aurait pu montrer une
certaine réserve, une timidité mais, après tout et à cet instant, cétait le seul
souvenir que nous ayons en commun. Elle me demanda si je métais de nouveau caressée.
Presque déstabilisée par autant daplomb, jai eu un sourire gêné. Cétait vrai, la
nuit, dans mon lit, javais fantasmé, comme souvent, en imaginant des scénarios sur
mes rencontres récentes. Elle était trop fine mouche pour ne pas le deviner. Elle ma
pris la main.
- Moi, jai pensé à toi, et
et jai joui. Je te revoyais au pied de cet arbre et ça
mexcitait. Je lavoue sans honte ! Après tout ! Mais
viens dans ma chambre nous
serons plus à laise.
Au moins elle ne perdait pas de temps car en disant ces mots, elle avait à peine
rougie. Etait-elle lesbienne ? Bisexuelle, sûrement. Pourquoi avait-elle flashé sur
moi ? Etait-elle souvent comme cela ? Sa rapidité me fit réfléchir. Après tout je
nétais pas habituée à cela, encore moins venant dune fille. Je lui ai demandé si
elle était seule.
- Oui ! Tante est repartie hier soir pour soccuper de ses affaires car elle nest
pas encore en congé.
Elle sest serrée contre moi, cela ma fait une impression bizarre. En pension, à la
piscine, ou dans les vestiaires, quand il métait arrivé de mamuser une ou deux fois
avec des filles, je navais jamais ressenti de leur part le même abandon que mon
inconnue. Nous nous caressions, nous nous embrassions mais il y avait de la sensualité
et non de la tendresse dans nos gestes. Nous étions là pour nous donner mutuellement
du plaisir rien de plus, même si nous étions de bonne copines. Cétait vrai aussi du
garçon que javais fréquenté.
Mon intuition sest confirmée quand elle a posé sa tête sur mon épaule. Comme elle
était légèrement plus grande, ça lui était facile. Jaurais pu lui demander si elle
était lesbienne. Mais après tout peu importait, et cela naurait rien changé à la
suite de notre relation. Jétais déjà, et le suis toujours, très ouverte sur la
sexualité de chaque individu. Nous étions arrivées à létage. Jai demandé à mon
inconnue si elle avait des frères et surs. Elle ma avoué quelle était fille unique.
Inutile de linterroger pour savoir si elle le regrettait, la réponse sautait aux
yeux. Jai dit :
- Tu nas pas de copains ou des copines ?
- Si, bien sur ! Mais ils ne sont pas marrants, et plutôt égoïstes. Ils pensent
surtout à profiter des autres, les filles autant que les garçons.
Sa réflexion a suscité ma gêne en me rappelant le petit calcul que javais échafaudé
pour me décider à lui rendre visite. Mais la franchise de sa réponse me donnait déjà
un avant-goût de sa personnalité et de ses attentes.
Sa chambre était vaste, mais on voyait quelle nétait pas occupée en permanence. La
seule note intime provenait du sac de voyage posé près de la grande armoire et des
vêtements étalé sur une chaise. La jupe que portait mon inconnue la veille trônait.
Elle a remarqué la direction de mon regard et elle a ri.
- Tu la reconnais, hein ? Mais, tu sais, il marrive de mettre des culottes moi aussi.
La preuve !
Elle a sorti du sac une culotte de dentelle noire dont la simple vue a égaillé ma
jalousie. Le tissu, était si fin quil en devenait translucide. Seul le fond, au
niveau du sexe, était opaque. Malgré sa coupe guère originale, ce dessous était sexy.
Cétait le genre que je rêvais davoir dans ma garde-robe. Comme pour achever de me
tenter, Elle la déployée devant mon nez. Elle avait dû être lavée récemment, daprès
le parfum quelle dégageait. Avec envie, je me souviens lui avoir demandé si cétait
de la soie, et elle a ri.
- Tout de même pas ! Cest du coton, mais très doux. Tu veux lessayer ?
Mine de rien avec ses manières gentilles, cette fille aurait perverti un saint, ou une
sainte. Cependant, elle était grande et mince, avec des fesses petites et rondes. Moi,
javais des hanches et des fesses plus larges.
- Essaie quand même ! Cest élastique. Dailleurs cette culotte est trop grande pour
moi.
Javais limpression quelle était un bon prétexte pour se rincer lil, comme la
veille, quand elle mavait épiée, mais, nous savions très bien pourquoi jétais venue.
Sans paraître gênée, jai débouclé ma ceinture et baissé mon jean. Ce jour là, javais
mis ma plus belle culotte, rose mais pas plus affriolante que celle de la veille. En
la voyant, mon inconnue a fait la moue. Cependant elle na rien dit. Je me suis
débarrassée de mon pantalon. Ensuite, je me suis demandée si je devais enlever aussi
mon chemisier, avant de décider de le garder. Il ne sagissait pas dessayer un
soutien-gorge. De toute manière les siens navaient aucune chance de maller. Javais
au moins deux fois plus de poitrine quelle.
Jai glissé mes pouces sous lélastique de ma culotte et jai jeté un coup dil. Une
lueur sétait allumée dans son regard et sa bouche avait pris un pli particulier,
celui dune qui attend une friandise. La transformation ne passait pas
inaperçue. Un instant plus tôt, javais à faire à une jeune fille aimable, maintenant
cétait une vicieuse à lexpression cynique. Elle ne se donnait pas la peine de le
cacher et, moi, ça ne me dérangeait pas. Au contraire, je trouvais que ça donnait du
piquant à sa personnalité. En prenant mon temps, jai baissé ma culotte. Quand mon
bas-ventre est apparu, mon inconnu que je ne cessais pas dobserver, a eu un petit
rire.
- Quel minou ! Il est encore plus fourni que celui que javais. Hier, en le voyant, je
me demandais si je ne rêvais pas.
La veille, javais bien constaté quelle avait focalisé son regard sur mon sexe. Bien
sur, comparée à elle, je paraissais négligée. Un peu trop naturelle peut être. Sans me
raser ou mépiler, mon pubis était taillé et ne débordait pas de ma culotte sur mes
cuisses ou sur mon ventre. Peut être, le fait que je sois brune rendait ma toison plus
impressionnante sur ma peau blanche. En y ajoutant les petites lèvres dune largeur
supérieure à la moyenne, laspect de mon sexe pouvait sembler presque vulgaire.
A lépoque cela avait plutôt excité un petit copain et, moi, ça ne me gênait pas. Une
camarade me lavait pourtant déjà fait remarquer, un jour, au lycée, elle mavait
suggéré de me raser ou de mépiler le contour. Javais refusé par manque de
motivation. Je soupçonnai déjà en venant, que cétait ma toison qui avait provoqué
lintérêt de mon inconnue pour moi. Jen ai eu confirmation quand elle sest
agenouillée devant moi comme une jeune fille en prière. Cétait bien à une adoration
quelle se livrait, mais dun genre particulier. Plus tard elle mavouera ne pas aimer
les poils sur son propre corps mais être comme fascinée par les sexes de femmes. Elle
a repoussé mes mains et a saisi la ceinture de la culotte que je mapprêtais à
quitter. De mon ton le plus innocent jai dit :
- Quest-ce que tu fais ? Tu ne voulais pas que jess
?
- Laisse tomber et écarte plutôt les cuisses.
Dagréable bouffées de chaleur naissaient déjà dans mon bas-ventre. Son comportement
ny était pas pour rien. Elle a tiré la culotte à mes chevilles et a soulevé mes pieds
lun après lautre pour men débarrasser. Ensuite, elle la retournée comme un gant
pour en examiner le fond.
- Tu es une petite coquine, tu as déjà mouillé ta culotte ! Tu nas pas honte ?
Ce nétait pas seulement son visage mais aussi sa voix qui exprimait son vice. Comme
je devais le constater par la suite, elle devenait plus aiguë sous leffet de
lexcitation. Je nai rencontré cela que chez mon inconnue et je ne crois pas quelle
avait conscience quelle parlait avec ce ton. Elle a jeté ma culotte sur le lit.
Ensuite elle a caressé ma toison pubienne. Comme de juste, quand ses doigts ont
effleuré les bords de mon sexe, jai réagi en donnant de violents coups de reins.
Prise de court, elle sest figée, main tendue.
- Comme tu es sensible ! Je te touche à peine et tu remues comme une hystérique.
- Je ny peux rien ; jai toujours été comme ça. Avouais-je en rougissant.
Elle a répliqué que javais de la chance dêtre aussi chaude. Pourtant, elle ne devait
pas avoir grand-chose à menvier de ce coté là. Elle ne portait rien sous sa robe de
chambre dont le col baillait largement, laissant voir ses seins aux pointes dressées.
Elle a repris ses caresses du bout des doigts sur les lèvres de mon sexe. Visiblement,
ça lui plaisait de me rendre folle mais elle aussi était excitée. Très vite elle sest
relevée et sest attaquée aux boutons de mon chemisier.
En un instant je me suis retrouvée nue. Dun mouvement dépaule elle sest débarrassée
de sa robe de chambre et, enfin, jai pu la voir entièrement nue pour la première
fois. Ses épaules osseuses et carrées dabord, ses seins menus, aux mamelons centrés
et haut placés, son ventre plat, avant de finir, pressée, par ce bas-ventre qui
cumulait deux spécificités. En plus dêtre glabre, il était fendu à lhorizontale. Ce
qui rendait son sexe quasi invisible lorsquelle était debout.
Emportée dans son mouvement, elle ma ensuite agrippée à la taille. Ce nétait plus la
fille taquine que javais vue la veille à la clairière mais une petite furie. Nous
avons roulé lune sur lautre. Bien que plus mince que moi, elle était très forte. Ce
qui navait aucune importance, je navais pas lintention de défendre ma vertu, au
contraire.
Nos bouches se sont soudées. Puis, naturellement, nous nous sommes très vite
retrouvées couchées sur le coté, tête-bêche. Je connaissais déjà cette position et je
la soupçonnais den savoir encore plus long que moi sur les jeux sexuels entre filles.
Son pubis me faisait face. Je navais encore jamais fait lamour avec une fille au
sexe intégralement épilé. Jaurais pu me sentir gênée, bloquée ou refroidie par ce
pubis de gamine. Du bout des lèvres jai baisé ce triangle de peau chaude et soyeuse.
Elle avait une vraie peau de rousse, laiteuse et parsemée de tâche de rousseurs qui
fonçaient sous la montée de lexcitation.
En se tournant sur le dos, elle memmena avec elle. Ecartant les cuisses, elle me
montra le chemin que, de toute façon jétais bien décidée à savourer. Jhumectais mon
majeur que je faisais ensuite coulisser dans la fente de sa vulve en insistant de
plus en plus. Elle mouillait déjà. Sans doute que, comme moi, cette histoire de
culotte et de sous-entendus lavait chauffée. A lautre extrémité de mon corps, la
diablesse me rendait mes attouchements. Jouant de ses doigts dans les replis de mon
sexe. Glissant tout contre mon clitoris. Clairement, elle savait travailler une fille.
A mon tour, jouvrais sa cicatrice. Etonnamment elle navait pas de petites lèvres, ou
très peu, elles semblaient être restées atrophiées. Lintérieur de son sexe brillait
de plaisir et jaurais eu peu deffort à faire si javais voulu la faire jouir de
suite. Mais pour une première fois je nallais pas me faire si expéditive, dautant
plus que sa langue allait se montrer patiente avec moi. Je déposais des baisers sur
lintérieur de ses cuisses, sur les renflements de ses grandes lèvres. Sa bouche se
figea un instant sur mon sexe.
De mes pouces, je maintenais espacés les deux quartiers de son sexe. Ma langue ce posa
à lamorce du clitoris et glissa sur toute la longueur. En prenant garde de ne pas le
toucher, javançais du méat à léchancrure du vagin en insistant sur les chairs
déchiquetées et à vif que je trouvais sur ma route. Elle me mordit par réflexe puis,
je lentendis respirer plus fort. Là, jai pu vérifier le détail qui mintéressait la
mouille était plus épicée que celles des quelques filles que javais pu lécher jusque-
là. Mais jai vite pensé à autre chose. Je répétais ces mouvements que je faisais
circulaires, juste sous le gland de son clitoris. Adroitement je passais de part et
dautre de la hampe que je sentais sengorger sous mes piques.
La vicieuse me rendait les même baisers et, naturellement je ne pus me retenir bien
longtemps. Je ne le cherchais pas dailleurs. Je sécrétais déjà beaucoup et, comme je
my attendais, une giclée de mouille inonda ses lèvres en même temps que mon bassin
lui échappait. Elle ne sattacha pas à contenir mes fesses. Volontairement, elle avait
su mamener à la limite. Elle mavait frustrée et jappréciais. Comme si nous nous
étions donné le mot, nous avons enfoncé mutuellement nos langues dans nos fentes au
même moment. Cette langue me rendait folle. Elle allait et venait de mon clitoris aux
bords de mon vagin avec la rapidité dun papillon mais sans la légèreté. Je la sentis
plus décidée et, pressentais que cette fois serait la bonne.
Lobscénité de son sexe à lapparence immature avait fini par me conquérir. Tout cela
me paraissait si indécent, si génital que mes fantasmes auraient suffi à me faire
jouir. Mon inconnue, néanmoins, ne me laisserait pas toute seule. Elle était bien trop
consciencieuse dans ces moments là. Bientôt jai senti la montée de lorgasme dans mon
ventre. Et je compris quelle aussi était proche de lextase lorsque je vis sa liqueur
coulée de son vagin à létoile de son anus. Inondant son périnée et disparaissant
entre ses fesses. Seulement, javais beau lécher de mon mieux, elle me ferait jouir
avant elle. Je ne sais pas pourquoi, une fierté mal placée sans doute, ça me vexait
que mes partenaires se montrent plus habiles que moi. Alors, jai eu recours à ma
botte secrète en mordillant son clitoris, mais la petite vicieuse connaissait
lastuce, elle sest empressée de me rendre la pareille, et elle a eu le dernier mot.
Je cambrais les reins une dernière fois, longuement, immobile, la nuque brisée en
arrière. Les mains crispées sur ses cuisses. Lâchant un râle inconscient. Puis des
spasmes, des convulsions secouèrent mon ventre pendant que, hardiment, mon inconnue
finissait de me sucer. Sans honte, je savais que je me vidais dans sa bouche, ça me le
faisait à chaque fois, lorsque lorgasme était trop fort. Mon seul regret était de ne
pas avoir pu la finir correctement. Je nosais pas lui demander si elle avait aimer,
certainement pas autant que moi. Mais je me promettais de lui rendre la monnaie de sa
pièce dès que loccasion se représenterait. Elle se dégagea et me sourit, visiblement
fière delle, en me voyant des larmes aux yeux et les joues rougies. Elle pouvait
lêtre. Jamais je ne métais autant impliquée dans des jeux entre filles, et son
savoir faire ny était pas étranger.
Nous nous sommes blotties lune contre lautre. Jétais bien dans ses bras, la
réciproque était vraie sans doute. La situation était dautant plus propice aux
confidences que mon inconnue était curieuse comme une pie. Elle na pas tardé à me
faire avouer mon rêve secret : devenir styliste de mode. Javais toujours été bonne en
dessin et, gamine, jadorais déjà jouer aux chiffons. Lidée de combiner les deux pour
bâtir une carrière était naturelle mais pour obtenir les diplômes nécessaires, je
devais aller à Lyon. Je nai pas précisé que je nen avais pas les moyens, cétait
sous-entendu. Tout le monde aurait compris. Sourcils froncés, mon inconnue
réfléchissait. Enfin elle a dit que sa tante allait revenir avant la fin de semaine.
- Il faudrait que tu parles avec elle. Je suis sûre quelle pourrait taider.
Je ne demandais pas mieux que de la croire mais, compte tenu de mes horaires à la
boutique, je ne pouvais pas voir sa tante avant dimanche. Elle ma assuré que cette
dernière serait là et me dit :
- Je la préviendrai !
Après cette conversation, je suis partie. Mon inconnue aurait volontiers recommencé
nos ébats mais le temps avait passé pendant notre bavardage. Il était près de midi. En
chemin, jéprouvais des sentiments mitigés. En venant, jétais gênée à lidée de la
manipuler, maintenant, je me sentais mal à laise parce que javais atteint mon
objectif sans rien demander. Elle avait mené la conversation de bout en bout. Cétait
à croire quelle avait lu dans ma tête.
Durant le reste de la semaine, jai souvent pensé à mon inconnue, et aussi à sa tante.
Je navais vu celle-ci quune seule fois mais leur ressemblance mavait frappée, au
point que je les avais prises pour la mère et la fille, une confusion excusable
puisque, lors de notre bavardage, mon inconnue mavait appris que sa maman et sa tante
étaient jumelles. Mais quen était-il de leur caractère ? La tante était-elle aussi
vicieuse que sa nièce semblait lêtre ? Dans ce cas, quelles étaient leurs relations
?
Mon esprit séchauffait. Jai toujours eu beaucoup dimagination, en particulier quand
il était question de sexe. La nuit, quand jétais dans mon lit, ce que javais baptisé
ma petite machine à fantasme tournait à plein régime. Jinventais toutes sortes de
scénarios plus pervers les uns que les autres avec mon inconnue et sa tante comme
actrices. Je nai pas tardé à majouter à leurs jeux. Tant est si bien que le dimanche
après-midi suivant, si je pensais toujours à mon projet en prenant le chemin du
château, ce nétait pas ma seule préoccupation, loin de là.
Cette fois, la grille était grande ouverte et une grosse voiture était rangée près du
perron. De toute évidence, elles étaient bien là. Et mon inconnue devait me guetter,
elle a ouvert avant que jaie eu le temps de sonner. Elle na rien dit mais elle sest
précipitée dans mes bras et a plaqué ses lèvres sur les miennes. Prise de court par la
fougue et la sensualité de lassaut, jai chaviré.
Mon inconnue ne ma lâchée que quand nous avons été à bout de souffle. Il était
difficile dimaginer un accueil plus chaleureux. Javais les jambes molles et des
bouffées de chaleur naissaient dans mon ventre. Javais déjà approché des filles
insatiables mais jamais autant quelle. Tout en membrassant, elle sétait appuyée sur
moi pour minfliger un massage de la poitrine au bas-ventre. Mis à part que nous
étions habillées, ce pelotage me replongea aussitôt dans les ébats que nous avions eus
huit jours auparavant.
Après cette réception pleine dexubérance, mon inconnue a enlacé ma taille et ma
entraînée à lintérieur de la maison. Dans lentrée, elle ma expliqué que, comme
promis, elle avait parlé de moi à sa tante.
- Elle a vite trouvé une idée pour taider. Elle tattend avec impatience.
Mon rêve semblait se concrétiser mais il aurait fallu être bien naïve pour ne pas
sentir toute léquivoque des derniers mots de mon inconnue. Sa tante se tenait dans un
petit salon meublé à lancienne. Je ne my connaissais guère mais le canapé où elle
était assise aurait sans doute fait le bonheur dun antiquaire. Devant elle, des
classeurs et des documents étaient éparpillés sur une petite table. Apparemment, ses
affaires laccaparaient mais cest surtout son somptueux déshabillé qui a retenu mon
attention. Pour être honnête, en le voyant, jai dû pâlir de jalousie. Taillé dans un
tissu vaporeux, il lenveloppait comme un voile rose. Un tel vêtement aurait mis en
valeur même une femme banale, et elle ne létait pas.
Comme sa nièce, elle était grande avec les cheveux blonds cuivrés, mais ceux-ci
étaient plus longs et ramenés en une coiffure compliquée au-dessus du front. Elle
était moins fine mais ses formes plus rebondies compensaient ce détail en donnant une
allure plus sensuelle à son corps. Quand elle a relevé la tête, jai constaté que ses
yeux étaient aussi bruns et pas moins pétillants de malice que ceux de mon inconnue.
Elle sest mise debout et sest approchée de moi. Négligeant ma main tendue, elle ma
prise dans ses bras et ma embrassée, à ma grande confusion. Après tout, nous ne nous
étions vues quune fois, et seulement quelques minutes. Dans la famille, on semblait
avoir le baiser facile. Elle me dit :
- Alors, cest toi ? Ma nièce a raison : tu es mignonne ! Grande, mince, bien,
proportionnée, et avec du charme en plus, ce qui ne gâche rien.
Je rougissais sous ces compliments sans équivoque mais, une question me traversa
lesprit ? sa nièce lui avait-elle raconté que nous avions eu un rapport ? Nous nous
sommes installés sur le canapé, avec un petit rire, cette dernière a pincé la toile de
mon jean, juste au-dessus dun de mes genoux, là où il faisait une poche.
- Pour quelquun qui veut devenir styliste, tu nes guère portée sur lélégance.
Embarrassée, jai expliqué quun pantalon était quand même plus pratique pour rouler à
bicyclette, surtout sil sagissait dun vélo pour homme. Jai eu un sursaut quand
elle a posé sa main à plat sur ma cuisse. Son geste était peut-être destiné à évaluer
la texture du jean, mais je ny croyais guère. Il confirmait plutôt mes soupçons. Elle
savait ce qui sétait passé entre sa nièce et moi, et javais la nette impression
quelle non plus ne dédaignait pas les aventures sexuelles avec les filles.
- Pardonne-moi, cest de la déformation professionnelle. Il faut toujours que je
mintéresse à la façon dont les femmes shabillent.
Jai dressé loreille, sa nièce navait pas dit ce que sa tante faisait et je navais
pas osé linterroger. Ses activités avaient-elles un rapport avec les habits ou les
sous-vêtements féminins ? Si cétait vrai, elle était effectivement bien placée pour
maider à réaliser mon rêve.
La nièce est arrivée et tenant un plateau garni de trois tasses, avec leurs soucoupes
et leurs petites cuillères, dun sucrier, dune boite de biscuits et dune cafetière
fumante. Amusée, sa tante lui a fait remarquer quelle se débrouillait comme une vraie
pro. Elle a répondu quelle avait été serveuse pour se faire de largent de poche. Je
la croyais pourtant issue dune famille riche, mais peut-être quelle avait de temps
en temps envie de gagner sa vie par ses propres moyens.
Elle a posé son plateau sur la table et sest assise à coté de moi. Coincée entre sa
tante, qui navait pas retiré sa main de ma cuisse et elle, jai eu la nette
impression dêtre une innocente brebis cernée par deux louves affamées. A peine la
comparaison sétait-elle formée dans ma tête que je lai trouvée ridicule, mais je
nai pas réussi à la repousser.
La tante a rapproché sa main de lentrejambe de mon jean. En même temps, dun ton très
naturel, comme si sa tête ne se rendait pas compte du manège de ses doigts, elle ma
dit que sa nièce lui avait parlé de mon projet. Elle connaissait la directrice dune
école spécialisée. Elle pouvait me recommander auprès delle, et même me faire obtenir
des bourses. Pour le logement, ce serait encore plus facile. Une de ses amies qui
gérait un foyer pour jeunes travailleurs, recherchait une secrétaire à mi-temps.
- Comme ça, non seulement tu seras logée mais payée, en plus. Mais nous discuterons de
tout cela plus tard si tu veux bien.
Cétait trop beau pour être vrai mais, à cest instant, mon attention était légèrement
distraite par deux détails, dabord, les doigts de la tante avaient atteint la
braguette de mon jean, ensuite la nièce sétait levée pour passer derrière le canapé
et poser délicatement ses mains sur mes épaules. Pendant que la nièce me massait la
nuque, la tante cherchait à saisir la tirette de ma fermeture Eclair, et je nosais
pas bouger.
Depuis quelques minutes il me semblait que la température avait augmenté dans la
pièce, et la chaleur du dehors ny était pour rien. Au fond, en venant, je savais que
les choses tourneraient de cette manière. Comme je le soupçonnais, toutes les deux
étaient aussi vicieuses lune que lautre. En plus, je nétais pas en état de leur
refuser quoi que ce soit puisquelles me rendaient service. Elles le savaient,
naturellement et elles en profitaient. Pour être honnête, à leur place, jen aurais
sûrement fait autant.
En se plaçant accroupie face à moi, la tante était plus à son aise pour arriver à ses
fins. Elle a baissé le zip puis passé deux doigts dans louverture. Le bouton du haut
na pas résisté à leur intrusion et, comme je ne portais pas de ceinture, mon pantalon
sest ouvert largement, laissant le champ libre à ma vis-à-vis. Elle en a profité pour
glisser ses doigts sous le revers de ma culotte de coton. La nièce savait à quoi sen
tenir mais sa tante a esquissé un sourire admiratif en tirant sur lélastique.
- Cest mignon davoir tout gardé. Ma nièce mavait prévenu de ton coté nature. Les
filles de votre âge commencent à chercher à en avoir le moins possible, mais pourquoi
pas.
Visiblement ça nallait pas la déranger plus que sa nièce. Elle a fait crisser ses
ongles dans ma toison, griffant par la même occasion les bords hypersensibles de mon
sexe. Une onde de plaisir ma envahie de la tête aux pieds. Bien que déjà concentrée
sur ces attouchements, je lai entendu me faire léloge du rasage intégral et que, son
premier cobaye avait été sa nièce, quelle avait convertie à cette pratique toute
jeune.
- Mais toi, tu as bien raison ! Quand on na quun duvet ridicule autant tout enlever,
ça a son charme, on a lair dune gamine vicieuse. . Mais une belle toison, on la
garde, ça fait femelle.
Tout en parlant elle avait jeté un regard entendu à sa nièce, et elle avait glissé
deux doigts de chaque coté de ma fente. Elle se partageaient le travail. Alors que
lune sintéressait à mon intimité, lautre était descendue sur ma poitrine et, comme
je ne portais pas de soutien-gorge, faisait rouler mes tétons au travers du débardeur.
De mon coté, malgré les ondes de plaisir qui me traversaient, je ne laissais pas mes
mains inactives. Je passais ma main dans la chevelure de la tante, et fermais les
yeux.
Les images de mon après-midi dans les bras de mon inconnue remontaient dans ma
mémoire. Elle et sa tante se ressemblaient de façon troublante. Elles avaient la même
taille, et presque la même corpulence. Bien sûr, elle était moins mince que sa nièce.
Après tout elle avait le double de son âge. Ses seins, étaient légèrement plus gros,
avec des aréoles plus larges et plus foncées, et avaient tendance, de par leur taille,
à fléchir mais, question fermeté, ils se défendaient bien, tout comme la finesse et la
douceur de sa peau.
Je nosais imaginer les petites fortunes quelle devait laisser chez lesthéticienne,
entre autres. Derrière moi, la nièce avait glissé ses mains sous mon débardeur, et
jouait avec mes seins. Elle les caressait, les pétrissait, en étirait les pointes. Sa
tante ma aidée à me lever avant de me dépouiller prestement de mes chaussures, de mon
pantalon, de mon haut et de ma culotte. Ensuite elle ma rassise, nue, face à elle, à
sa disposition.
- Tu es bien plus appétissante sans tous tes vilains vêtements.
Mentrouvrant les cuisses, la tante a rapproché son visage de mon sexe, pendant, quà
nouveau, la nièce se consacrait à mes épaules et à ma poitrine. Elle avait baissé son
visage tout près de son oreille et, en plus de son souffle, je lentendais vaguement
me susurrer des mots doux emplis damour. Jadorais ce petit jeu à quatre mains sur
mon corps. En femmes expertes, leurs bouches noubliaient rien. Déposant leurs baisers
délicieux sur mon ventre, mes cuisses, mon cou, mes lèvres.
Pendant que la tante me suçait et me mordillait loreille, la nièce me tira tout au
bord de lassise en mécartant les jambes à léquerre. Javais compris son approche,
et désirais de tout mon corps être travaillée par la langue de cette femme
dexpérience. Je sentais lair sec de la pièce se poser sur les lèvres humides de mon
sexe. Jobservais, au travers des bras de la nièce, le regard gourmand de sa tante
envers ma cicatrice.
Mes petites lèvres hypertrophiées ne semblaient pas la déranger, visiblement elle en
avait vu dautres. Lorsquelle approcha sa bouche, son souffle figea mes premiers
suintements de cyprine sur les poils de mon entre cuisses. Avec habileté ses baisers
parcoururent les plis de laine, lamorce des cuisses, évitant de sapprocher trop
près du feu de mon entaille. Toutes ces minutieux manèges, menivraient au plus au
point.
Au dessus, la nièce me pinçait les tétons. Plaçant sa tête en avant, elle déposa un
trait de salive à la base de mon cou, quelle accompagna de sa langue jusque dans le
sillon de ma gorge. Jétais en train de fondre entre ces deux chattes en chaleur et,
je ressentais, à ce moment précis toute lattention et la douceur que seules des
caresses féminines peuvent nous apporter.
Lorsque la tante se décida enfin à déposer un premier baiser sur le renflement de mes
lèvres, un frisson me remonta léchine. Je savourais ce délicieux moment de
frustration. Elle ouvrit mon fruit charnu de ses pouces et pointa sa langue dans les
sillons laissés par mes nymphes. Je mouillais déjà beaucoup, cest dans ma nature, la
tante sen aperçu et, remontant le périnée, elle lapa léchancrure de mon vagin pour
stopper lécoulement. Je lâchais un cri instinctif.
Ma suceuse sen prit alors à la tige de mon clitoris. Je me devinais bander entre ses
lèvres. Elle aspira, mordilla ce doigt de chair que je lui offrais. Je la sentis téter
mon ergot, pétrir mes cuisses de ses mains puis, plus rien. Surprise jouvris les
yeux, juste pour découvrir, que la tante sétait levée pour faire tomber son
déshabillé de tulle à ses pieds. Je parcourus alors rapidement toute la hauteur de sa
féminité. Une peau moins pâle que celle de sa nièce, une poitrine qui confortait ma
première impression et un bas-ventre lisse. Les différences entre leurs sexes étaient
encore moins évidentes que pour leurs seins. Toutes deux étaient épilées, avec des
petites lèvres inapparentes. Dans ma tête, je lentendais me provoquer :
- Alors, comment me trouves-tu ? Pas mal pour une nana de 40 balais, non ?
Effectivement, jaurais bien voulu être comme elle à son âge. Elle se repositionna
entre mes cuisses et reprit là où elle mavait laissée. La nièce vint sasseoir à mes
cotés, aussi nue que sa tante et moi. Pendant quelle sappliquait à stimuler toute la
sensibilité de ma poitrine, je glissais une main aventureuse entre ses cuisses
repliées sous elle. Mes doigts ne mirent pas longtemps avant de dénicher labricot de
velours quelle mavait fait déguster huit jours plus tôt.
Je lui massais la fente de mon majeur quand je sentis dun coup laffamée me
décalotter le clitoris de ses deux pouces. De ses ongles, elle appuyait sous la tête
du nerf pour juger de son répondant. Elle me lécha, maspira, me suça le clitoris. La
nièce tournant ma tête pour porter ses lèvres aux miennes. Ces deux expertes faisaient
de moi leur chose sexuelle, leur petite femelle de jeu. Et je me soumettais bien
volontiers à leurs initiatives.
Entre leurs mains et leurs langues, je me voyais partir dune seconde à lautre. La
tante en avait le déclic entre ses lèvres. Elle me pénétra de trois doigts. Léchant
frénétiquement le coté de ma tige turgescente, elle cherchait à me faire plier
rapidement. Elle se faisait expéditive et me voulait un orgasme violent. Il était
inutile de me retenir plus longtemps.
Je magrippais à la tête de la nièce au moment où mon ventre fut pris de torsion, où
mes muscles, mes sphincters se contractaient. Malgré la sueur, la tante contint mes
convulsions pour me finir correctement pendant que sa nièce membrassait avec fougue.
Emportée dans un orgasme primaire, je me secouais comme une démente lorsque la tante
aguicha sans discontinuer la pointe de mon clitoris. Certainement une giclée de
mouille emplit sa bouche, ça me le faisait à chaque fois que leffort était trop
violent. La nièce me rassura en serrant fort ma tête entre ses deux mains et en
posant son front sur le mien :
- Cest bon, cest bon. Cest fini. Dit-elle.
Je finis par maffaler sur le canapé sur lequel nous sommes restées un long moment
sans bouger, le souffle court, le visage de la tante sur ma cuisse et celui de la
nièce sur mon épaule.
- Ça va ? Demanda la nièce ?
- Ou
ouihhh ! Soupirais-je exténuée.
Les deux femmes avaient fini par obtenir de moi ce que nous avions en tête depuis le
début. Elles mavaient extrait cette jouissance qui leur tenait tant à cur. Ce
nétait pourtant quun début. La tante, ayant retrouvé la première des forces, nous a
entraîné dans sa chambre, sa nièce et moi, pour une nouvelle série de jeux lesbiens.
Le lendemain, la nièce mavouera que cest cette tante, qui lavait initiée aux
plaisirs solitaires et à ceux entre filles dès son adolescence. Quelle avait touché
une femme bien avant son premier garçon, et que ses plus beaux orgasmes lui avaient
été procurés par sa tante.
Quand je suis rentrée chez mes parents, quelques heures plus tard, jen avais appris
sur les relations sexuelles entre filles davantage en un après-midi que pendant des
années de pensionnat.
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