La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 68)
(suite de l'épisode 62 avec encorebelle)
Walter, qui avait assisté à la fin de la scène avec un sourire narquois, vint annoncer
que le déjeuner était servi. Ces Messieurs se dirigèrent donc vers la salle à manger,
où la table avait été dressée, Walter suivait, tenant encorerebelle en laisse. En
entrant dans la pièce se trouvait, à droite, une file desclaves mâles et femelles
alignés.
- Mon cher Maître Aristocrate, je vous invite à choisir les deux esclaves qui
soccuperont de vous, à votre guise, le temps du repas
- Merci Mon cher Marquis. Japprécie. Voyons voyons
. Celle-ci, et celle-là, dit
Maître Aristocrate en désignant e77 et e27, qui aussitôt sortirent du rang pour le
conduire à sa place.
Alors que Sir Evans effectuait son choix, Maître Aristocrate suggéra à Walter de
rajouter sa chienne dans la file. Encore humide de sa séance apéritive, encorerebelle
obéit docilement. Elle avait compris quil ne servait à rien de résister, et quelle
ne ferait que mettre en colère son Maître bien-aimé, ce quelle voulait à tout prix
éviter. Elle sétait donc décidée à obéir à tout ce quon lui demanderait, quoi quil
lui en coûte.
Cependant, ni le Marquis, ni David ne la choisirent. Et, contrairement aux autres
esclaves qui restaient là pour le cas où lon voudrait se servir deux, elle fut
emmenée par Walter afin dêtre préparée pour la suite de la journée. Cest donc à
quatre pattes quelle découvrit les longs couloirs du château. Dabord jusquà la
cuisine, où plusieurs esclaves saffairaient toujours sous les ordres de celle quelle
découvrit comme étant Marie, la cuisinière.
- Tiens Marie, voici la soumise de Maître Aristocrate. Je te la confie pour la suite.
Je dois quant à moi aller veiller que tous les préparatifs se déroulent bien pour ce
soir
- Merci bien Walter.
un sourire quelque peu sadique. e69, apporte sa gamelle !
- La voici, Madame Marie, répondit lesclave, quencorerebelle avait déjà croisé lors
de la course.
La gamelle fut donc posée devant la soumise, qui dit simplement merci. La cravache que
tenait Marie fusa aussitôt sur la croupe dencorerebelle.
- Merci qui ?
- Heu
merci Madame Marie, répondit-elle en se souvenant de lappellation que lui
avait donné e69.
- Voilà qui est mieux. Dépêche-toi de manger, il y a encore du travail à faire sur toi
ensuite
- Bien Madame Marie
Encorerebelle se pencha donc sur sa gamelle. Manger ainsi ne la dérangeait nullement,
son Maître ly ayant habituée depuis fort longtemps. Et, ainsi quil plaisait à ce
dernier, elle avait les avant-bras posés au sol, afin davoir le cul bien en lair et
exposé. Lorsquelle eut terminé, elle fut autorisée à se relever. Cest toujours
néanmoins en laisse quune esclave la mena jusquà un cachot, où, pour seul mobilier,
se trouvait un matelas. Nayant pas été autorisée à lui parler, lesclave lui fit
comprendre par geste quelle devait se reposer. Nétant pas esclave du Marquis,
encorerebelle ne fut pas attachée à la chaîne qui pendait au mur. Elle nen demeurait
pas moins enfermée. Elle avait entendu tourner la clé. La mélancolie la gagna peu à
peu, éloignée de son Maître, dans des lieux qui lui étaient inconnus
Une larme perla
à son il, quelle essuya très vite. Cela aurait déplu à son Maître. Elle sallongea
sur le matelas et repensa à cette matinée quelle venait de vivre. Même si certaines
épreuves lui avaient paru insurmontables sur le moment, elle réalisait avec le recul
quaucune navait été si terrible que ça. La plupart avait même été plutôt excitantes.
Elle remercia intérieurement son Maître de la pousser de cette manière à repousser
encore ses limites.
quelle en arriverait à ce point, elle aurait tout de suite arrêté
Et maintenant elle
naurait pu vivre sans tout cela, sans son Maître, sans son dressage, sans la fierté
quelle lisait dans ses yeux, sans son bonheur de lui appartenir, sans ces limites
sans cesse repoussées avec ô combien de plaisir. Ainsi perdue dans ses pensées, elle
ne sentit pas le sommeil la gagner
Pendant ce temps, dans la salle à manger, le repas se déroulait allégrement. Sir Evans
et Maître Aristocrate, qui navaient jusque là échangé que dun point de vue
épistolaire, en profitèrent pour faire plus ample connaissance, tandis que les
esclaves choisis soccupaient du service de bouche, dans tous les sens du terme. De
temps en temps, sur un signe de main de lun ou lautre des Maîtres, un des esclaves
passait sous la table afin de soulager une excitation sans cesse grandissante.
Après le repas, le Marquis proposa de profiter du beau temps pour fumer le cigare au
bord de la piscine. Une fois installés, David et Maître Aristocrate entreprirent alors
de narrer à Sir Evans la bataille navale de la matinée. Lidée ne fut pas pour lui
déplaire, et il se promit de la tester très rapidement sur sa favorite, e46
Cest le bruit de la clé tournant dans la serrure qui réveilla encorerebelle. Quelque
peu désorientée, la traction effectuée sur sa laisse par lesclave qui venait la
chercher lui remit les idées en place. Elle se releva et la suivit, sans poser de
question, ayant bien compris les règles de silence. On la conduisit dans une petite
salle de bains, où elle fut intégralement lavée de ses épreuves matinales. Ses
cheveux, une fois séchés, furent parfumés, sont corps oint dune huile satinée
répandant des effluves légères dylang-ylang. On lui remit ensuite son collier de
chienne et, toujours en silence, elle fut conduite dans les sous-sols du château.
Elles sarrêtèrent devant une porte, gardée par un grand noir, à qui lesclave tendit
la laisse dencorerebelle avant de repartir. Encorerebelle se vit mettre un bandeau
sur les yeux, avant dentendre la porte souvrir. Tout en se laissant guider, elle
tentait de masquer de son mieux son appréhension. Quallait-on encore faire delle ?
Elle sentit une corde lui lier les poignets, puis ses bras tirés vers le haut, jusquà
ce quelle se trouve sur la pointe des pieds, dans un équilibre précaire. Puis elle
entendit la porte se refermer.
Combien de temps resta-t-elle ainsi, elle ne le sut. Mais ses bras commençaient à être
bien douloureux lorsquelle entendit de nouveau la porte souvrir. Des bruits de pas.
Elle devina plusieurs personnes, deux, peut-être trois. Des mains se mirent à lui
palper tout le corps. Des doigts fouillèrent sa fente, rendue humide par les
attouchements, avant sinsinuer sa bouche que le plaisir avait entrouverte. Elle lécha
avidement son intimité tout en gémissant sous les doigts qui lui malaxaient les seins
et lui pinçaient fortement les tétons. Quelques instants plus tard, elle sentit le
froid de lacier à ses chevilles, qui furent maintenues écartées par une barre, puis
la morsure de pinces sur ses lèvres. Son bandeau lui fut ensuite retiré. Dun regard,
elle comprit quelle se trouvait dans un donjon, les divers instruments quelle put
voir ne laissant aucun doute à ce sujet. Bien que devinant la suite quelque peu
mouvementée, elle fut néanmoins heureuse de revoir son Maître.
- Mon Cher Marquis, cette pièce est formidablement bien équipée !!
- Nest-ce pas ? Vous allez voir, cest un plaisir que de se divertir en ces lieux
Tandis que Sir Evans la détaillait, ainsi offerte et vulnérable, un sourire pervers
aux lèvres, encorerebelle entendit la voix de son Maître lui susurrer à loreille
quil navait pas oublié le champagne renversé
- Tu vas maintenant recevoir la punition que tu mérites, ma chienne, mais tout cet
équipement me donne envie de corser un peu le jeu
(à suivre
)
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