Cécille Dans Le Bois
Nous sommes quatre à habiter en banlieue lointaine. Un jour nous décidons de faire du
covoiturage, nous avons les mêmes horaires, nous ne travaillons pas trop loin. Chaque
semaine nous changeons de véhicules : nous économisons de lessence et des kilomètres
à nos compteurs. Nous bavardons entre nous : cest plus sympa que de se morfondre
seul. Il arrive, rarement, que lun de nous ne puisse venir soit parce quil est
malade, soit parce quil doive aller faire une course.
Un matin arrive limpensable, les deux hommes font faux bond. Nous nous retrouvons
seules avec Cécile. Cest notre premier voyage seules. Au début nous évoquons les deux
hommes presque comme des disparus.
- Tu sais je crois que si nous étions seules sans arrêt tu me ferai faire des bêtises,
me dit Cécile.
- Quelle genre de bêtises ?
- Regarde où tarrive la robe.
Elle a raison le bas de ma robe pourtant sage est presque à la limite de ma culotte.
Cest bien la première fois quune copine me fait ce genre de réflexion. Jessaie
comme je peux de redescendre ma robe, je ny arrive pas. Cest Cécile qui dans un
geste honorable arrive en forçant pendant que je me relève un peu à remettre la robe
en place. Nous entrons en ville quand je remarque quelle regarde vers mes jambes.
Encore un coup du tissu de la robe.
- Si tu reste comme ça longtemps je vais avoir envie de toi.
- Pourquoi tu es lesbienne ?
- Non, je pourrais le devenir à force de voir tes belles jambes.
Sur le moment je ne relève pas le désir, nous arrivons, donc au soir.
Pendant mon travail je repense à Cécile et son désir. Finalement, étant célibataire
par contrainte, je ne dirais pas non à une brève rencontre. Et puis non, je ne
pourrais jamais plus la revoir comme copine et que diraient les autres. A force de
remuer laffaire jai envie de me masturber.
toilettes. Je pars en oubliant de remettre ma culotte. Tant pis, elle est aussi bien
dans mon sac.
17 heures nous voilà en route pour la maison. Cette sacrée robe fait des siennes. Je
repense maintenant que je ne porte pas de sous vêtement. Cécille risque de voir ma
chatte. Je conduis en descendant sans arrêt le bas de la robe.
- Tu en fais bien des histoires avec ta robe, laisse la faire comme elle veut, tu nen
mourras pas.
Je ne vais pas lui dire que je suis nue dessous : elle prendra ça pour une invite.
- Reste tranquille, tu vas nous faire avoir un accident.
- Ca vas jai compris, tu veux voir mes cuisses : les voici.
Je laisse le tissu monter comme il veut. Bien sur mon figue est en vue. Cécille le
voit bien elle aussi. Elle ne dit plus rien, regarde la route, pas mes jambes ; Cest
quand je sens sa main sur ma cuisse, caressantes main que je comprends que son désir
nest pas feint. Je ralentis pour ne pas me laisser distraire par une suite
inévitable.
Sa main vient entre mes cuisses, là où la peau est sensible aux caresses. Je ralentis
tant que jengage la voiture sur un petit chemin forestier ou je stoppe.
- Je préfère arrêter ici, jai peur de provoquer un accident.
- Tu as raison.
- Continue si tu veux.
- Je veux, justement, jai envie de te donner du plaisir.
Sans réponse de ma part elle continue sa caresse. Cest drôlement agréable de se faire
caresser, surtout que la caresse monte vers ma chatte. Je sens que je suis totalement
mouillée. Quelle se dépêche, jai envie de jouir encore. Ce que jai fait aux
toilettes ne compte pas pour moi. Je sens distinctement son pouce sur ma jambe et les
autres doigts montant lentement. Enfin elle arrive à me toucher le point névralgique,
elle est rapidement sur mon bouton durci par le désir. Elle effleure mon pistil
lentement trop lentement.
que ma robe monte encore plus. Je sens maintenant le tissu du siège rugueux sur mes
fesses. Je mexcite seule en plus. Cécille accentue sa pression, elle fait monter dans
mon ventre le début dun orgasme. Je serre les dents pour ne pas jouir si vite.
Pourtant jai beau faire je narrive pas à retenir mon souffle quand je pars dans un
bel orgasme. Je reste prostrée un instant quand :
- Tu as jouis ?
- Oui.
- Branles moi.
- Je noserais pas
- Jai bien osé oui.
- Oui.
Elle enlève son string, relève sa jupe et me montre sa chatte. Je vais comme elle, je
caresse dabord les cuisses pour arriver sur son clitoris. Je ne sais pas faire comme
elle, alors je la branle comme je me branle. Il faut croire que je réussis bien, elle
jouit en geignant.
Je ne pensais jamais ce matin en partant quau retour nous en serions à ce point.
- Vas plus loin avec la voiture, nous baiserons là bas ;
Sans réfléchir javance la voiture dun bon kilomètre pour nous trouver totalement
isolées. Nous sortons du véhicule : je ne connais pas la suite qui arrive vite ;
Cécille commence à me déshabiller : le plus fort est que je me laisse faire. Je suis
dans ces bras, elle membrasse sur la bouche. Japprécie ce baiser plus que dune
bouche dhomme, je ne sais pourquoi. Cécille a pris ascendance sur moi. Elle me
demande de la déshabiller à mon tour.
Nos corps nus senlacent. Nos bouches sont toujours occupées dans un long baiser.
Japprécie de sentir sa poitrine contre la mienne. Elle appuie son pubis contre le
mien. Si nous étions sur un lit, nous pourrions nous coucher, mais là sur un chemin
forestier, mis à part une souche ou le capot de la voiture nous navons rien pour nous
caresser. Cécille encore elle choisit le lieu : la souche darbre. Elle a raison, il y
a de la place pour nous deux.
Nous sommes assises, nues, exposées aux regards de tous. Nous ne nous préoccupons pas
de regards étrangers ; nous sommes prises par le démon du plaisir partagé. Nues nous
embrassons encore, penchées que nous sommes vers lautre. Elle prend un sein, le
caresse : je sens mon téton bander. Je suis mal placé pour lui rendre la caresse. Il
me semble quelle en profite. Je prends sa taille pour au moins la serrer contre moi.
Je sens sa chaleur contre mon corps, je voudrai la sentir contre moi, sur moi.
Elle place à nouveau sa main entre mes jambes. Je les écarte plus que nécessaire. Elle
est très douce, je lattends sur le clitoris, elle met directement deux doigts dans le
puits damour. Elle me masturbe comme si elle avait une bite dans ma chatte. Je crispe
les muscles sur vagin pour lieux la sentir. Jaurais du lui en faire autant en même
temps, je nai même pas eu lidée de le faire. Linévitable arrive quand je sens
monter encore une fois lorgasme. Dieu quelle branle bien.
Enfin à mon tour je pose ma main directement sur son abricot. Il est juteux à point,
je le touche à pleine main avant de le gouter en léchant mes doigts. Je reviens sur
elle. Jentre directement un doigt dans son vagin, je ne force pratiquement pas quand
jen mets un autre dans son cul presque ouvert. Ma main va et vient dans ses
entrailles. Le résultat nest pas maigre, elle jouit bien mieux que la première fois.
Et puis je ne sais ce qui se réveille en moi, je me mets à genoux devant elle,
jécarte ses cuisses, ma tête est entre ses jambes. Je vois bien maintenant tout son
sexe : ça mexcite encore plus. Je lèche ses cuisses, à lintérieur, jarrive ainsi
petit à petit sur sa moule : quel festin pour moi. Je lèche, jaspire son jus, je la
baise avec la langue que je descends sur son rectum dans lequel jentre avec plaisir.
Ses doigts caressent mes cheveux, ma tête, je ne sais plus.
nombreux spasmes dorgasme presque continus.
Quand le me relève elle tient à mes lèvres : elle goute ainsi tous ces gouts. Elle se
lève pour membrasser encore, venir sur mes seins, et se pencher complètement pour me
rendre ce que je lui ai fait. Je sens sa langue partout sur ma chatte, même dans des
endroits inédits.
Cest la nuit tombante qui nous oblige à nous rhabiller et partir. Pendant le reste du
trajet nous nous mettons daccord pour nous rencontrer en secret (dans les petites
banlieues il est impossible de se voir souvent la nuit). Nous pouvons nous trouver une
passion commune respectable comme les timbres par exemple. Cest-ce que nous faisons
depuis plusieurs mois sans que personne ne se doutent que nos collections sont des
orgasmes accompagnés de caresses buccales ou manuelles et depuis plusieurs semaines
par des godes bien utiles pour les filles pas encore complètement convertie à Lesbos.
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