Encore En Retard...

Merde… Encore une fois, j’ai loupé le bus pour aller au lycée, trop occupée à me
préparer. Si je rentre à la maison, maman va me . Tant pis, je vais faire du stop.
Je me place au bord de la route, et lève mon pouce. Des voitures passent sans
s’arrêter et j’ai envie de les insulter. Quelques uns ralentissent et me donnent de
faux espoirs.

Soudain, un homme s’arrête et me demande où je vais. Je lui donne le nom de mon lycée
et il veut bien m’y déposer. Je monte donc dans le voiture, et nous bavardons. Il
s’appelle Nicolas. Je lui donne la quarantaine, quoiqu’il soit assez bien conservé, ce
doit être un sportif. Au vu de sa voiture et de son costume, il doit bien gagner sa
vie. Je lui fais la remarque et, en effet, il est courtier.

Nous arrivons pas trop loin du lycée, mais il s’arrête au bord de la route.

« Dis donc, je t’ai prise en stop, tu ne voudrais pas me remercier en me donnant ton
numéro ? »
« Désolée, mais je n’ai pas de portable et j’habite chez mes parents. »
« Ah, c’est pratique ça ! Pff, toutes les mêmes ! »
« Mais je serais très heureuse de te revoir ! Pourquoi ne pas se donner rendez vous,
ici même, entre midi et deux ? »
«Pourquoi pas… Mais qu’est ce qui m’assure que tu vas venir ? »

J’enlève alors mon T-shirt et dégrafe mon soutien-gorge. Je le lui tends.

« La voilà mon assurance ! »
« Effectivement, vu comme ça… Remets donc ton T-shirt, on va te voir ! Et vite, tu vas
être en retard ! » dit-il en souriant.

Il redémarre et me dépose juste devant mon lycée. Je lui fais un petit bisou sur la
joue, avant de sortir de la voiture.

« A tout à l’heure »

Toute la matinée, j’attends avec impatience la pause de midi. Quand enfin la cloche
sonne l’heure d’aller manger, je me précipite au point de rendez-vous. Il est déjà là.



« Tu es en avance ! »
« J’ai failli attendre ! »
« Désolée… »
« Ah ah, je rigole, attache ta ceinture et allons-y. »

Il démarre. On commence à rouler. Il pose une main sur mon jean, au niveau de ma
cuisse.

« Dis donc, tu ne veux pas enlever ce gênant pantalon ? »
« Mais t’es taré ! On est encore en ville ! » dis-je en m’esclaffant.
« Allez, personne ne te verra… »

Je fais glisser mon jean le long de mes jambes en gigotant, gênée par le manque de
place. Je finis néanmoins par y arriver.

« Les lycéennes portent des strings, maintenant ? »
« Oh, ça va, la plupart, fais pas ton prude ! »

On roule un petit quart d’heure avant de trouver un endroit calme, dans la campagne à
la sortie de la ville. Comme le matin, nous avons discuté, à la différence près que
cette fois sa main droite me caressait. Je suis donc déjà humide quand il coupe le
moteur.

« On va à l’arrière ? »
« D’accord, mais maintenant toi aussi tu enlèves ton pantalon ! »

Il s’assoit à l’arrière, je me place à califourchon sur lui et nous commençons à nous
embrasser. Je sens son pénis commencer à se dresser. Il me retire alors mon T-shirt.

« Voici donc les deux beautés que j’ai pu apercevoir ce matin ! C’est au moins du C,
ça, je me trompe ? »
« Oui, c’est du D »
« Félicitations » dit-il en me fourrant sa langue dans la bouche.

Quand je sens que sa bite est prête, je glisse à genoux devant lui et la retire de son
caleçon avant de la prendre dans ma bouche qui en salivait d’avance. Ma langue tourne
autour de son gland comme d’une crème glacée, puis je l’enfonce profondément, et fait
faire des allers et retours à son membre dans ma bouche, tantôt rapidement, tantôt
lentement. Puis je le lèche de la base jusqu'à la pointe.

« Hmmm, quelle experte ! Sortons de la voiture pour continuer »

Je le suis.


« Vas-y, penche toi, à moi de te donner du plaisir ! »

J’appuie donc ma tête sur le capot de la voiture. Il est chaud, mais non brulant comme
je le craignais.
Lui caresse mes fesses, puis les empoigne à pleine mains.

« Quel joli cul comme je les aime ! Petit, blanc et rond ! »

Il se penche alors et embrasse ma fesse droite. Il en profite pour me débarrasser du
triangle de tissu qui lui empêchait l’accès à ma fente. Il enfile alors un préservatif
et me pénètre. Bien qu’il ne possède pas le sexe le plus gros qui soit, la souplesse
de ses ondulations de bassin me comble. Il n’est jamais rapide, ni violent, mais à mes
gémissement et à ses râles, force est de constater que nous prenons tous deux beaucoup
de plaisir.
Il agrippe mes seins de ses mains fortes d’homme expérimenté, et fais rouler mes
tétons entre ses doigts. Je commence à crier de bonheur. Il se penche sur moi et
m’embrasse le cou.

« Je vais venir… » me chuchote t-il dans l’oreille
« Attends, je ne veux pas gaspiller… »

Je me remets à genoux, lui enlève sa capote et le pompe énergiquement. Très
rapidement, un jet salé et chaud coule dans ma bouche, et je m’empresse de l’avaler.

Je me relève alors, nous nous embrassons, et je le laisse une dernière fois toucher a
mon corps nu avant de devoir repartir au lycée…

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