Couple Kabyle : Akila Et Nadir
Lorsque je croise un couple dont lhomme est nettement plus mûr que la femme
laccompagnant, je ne peux mempêcher de penser à notre première année de mariage
datant dun peu plus trois ans, en décembre 2001, lorsquAkila et moi Nadir avions
emménagé dans un petit appartement intégré dans une maison individuelle, à Alger. Le
propriétaire, un veuf de 51 ans, fut dabord très réservé lorsque javais visité
lappartement quil proposait en location car il exigeait des ressources financières
élevées, alors que Akila et moi, bien que très correctement diplômés, gagnions encore
peu à lépoque où chacun débutait. Javais insisté en lui promettant un règlement
régulier et lui demandais dêtre sympa pour un couple de jeunes mariés. Il a répondu
quil faudrait que la jeune mariée soit très jolie pour quil accepte de nous le
louer.
Je me doutais bien quun veuf relativement âgé, même sil portait beau, était du genre
vieux cochon, et je savais Akila si belle quil ne pourrait quaccepter. Après tout,
me disais-je, si cela lui fait du bien de regarder ma belle épouse, il ny avait pas
de mal à cela, même si chez nous "Haramat" de reluquer la femme d'un autre. Akila que
javais mise au courant sétait offusquée, dans un premier lieu puis devant l'urgence
qu'oblige notre réalité elle baissa les yeux. Elle s'est habillée en courte jupe sous
son manteau pour la visite du logement. Abdelkader, cest ainsi quil sappelait cet
ancien serviteur de l'Etat algérien,
avait été subjugué et nous avons signé le bail. La vue des jolies cuisses de ma petite
femme qui avait enlevé son manteau, ayant produit son effet.
Il sétait montré discret au début et nous avons vécu là avec Akila la folie des
premières semaines dun mariage pétillant. Nous faisions lamour comme des fous,
jusquà épuisement. Elle découvrait vraiment le sexe, après nos trois années détude
trop studieuses et surtout les interdits de la société algérienne en la matière.
aimait cela et était toujours partante et mexcitait violemment car elle ne parlait
que de cela, de vive voix, sur nos portables ou dans ses SMS. Jaimais la masturber et
on délirait sur des folies, des fantasmes tout en sadonnant sans retenue à notre
occupation favorite. Elle entrait dans mon jeu en se disant être ma petite putain
personnelle, prête à tout. Puis une fois nous avons repris nos esprits elle rougissait
de honte pour les mots qu'elle venait de prononcer.
Petit à petit, Abdelkader se fit plus présent, venant nous saluer le soir en nous
apportant notre courrier, discutant un peu autour dun café. Il navait dyeux que
pour elle et cette adorable coquine adorait me piquer en shabillant courte dès
quelle rentrait du travail, pour le recevoir craquante à souhait. Il ne cessait de la
complimenter, puis senhardit en plaisantant quen cas de difficultés de paiement de
notre loyer, il se payerait en nature sur elle, ce qui la faisait glousser. Dès que la
porte se refermait sur lui, je me jetais sur elle, et je la traitais volontairement de
tous les noms : elle riait, adorant que parfois je lui parle crûment: " Waqila ma
yettelqekch ! Had erradjel rahou hab inikli merti bedraa ouella blemlaha" On faisait
alors lamour avec fougue, suite à ça, toute la soirée. J'avais pris l'habitude de
prendre un concombre pour introduire Akila avec et on l'a surnommé Abdelkader. Il
devint dans nos fantasmes le pieu d'Abdelkader venant se payer en nature. Ce jeu avait
visiblement le don de beaucoup lexciter, bien plus que lorsque jattribuais le gode
improvisé à tel ou tel de nos amis, car depuis nous nous autorisions cela. Pourtant à
mes yeux, nos amis étaient mille fois plus sexy que ce presque retraité, même sil
navait rien dun vieillard. Elle me disait souvent que ce fantasme sur nos amis ne la
faisait pas vibrer.
avait épousé le plus beau et le meilleur amant du monde (que ça faisait du bien
dentendre ça !).
Manifestement, le concombre "Abdelkader" lexcitait et elle le reconnut volontiers.
Elle mavoua que depuis quelle sasseyait systématiquement sur le canapé à côté de
lui, Abdelkader profitait toujours que jaille en cuisine chercher le café (eh oui, je
faisais le service) pour effleurer ses cuisses, jusquà les palper ouvertement. Elle
me dit que la première fois que cela s'est produit elle n'avait pas osé me le dire de
peur que je le tue. Mais avec sa spontanéité naturelle elle laisse entendre quil ny
avait pas de mal à lui offrir quelques secondes de bonheur, et me demanda si je lui en
voulais. Au contraire ! Je comprenais mieux pourquoi elle mouillait tant quand je la
prenais dès son départ. Je lai traitée de perverse de "Qahba" attirée par les vieux
messieurs et elle me rappela quelle était ma petite putain : "Ana lqahba dyalek
Nadir, dir biya wach theb, bessah malazemch yessam3ou ennas behyatna" Je crois que si
cela avait concerné un de mes amis comme Dahman, un homme jeune qui me ressemblerait
donc, jaurais été jaloux, mais curieusement son étonnante attirance pour Abdelkader
nen faisait pas pour moi un rival, et cela mexcita beaucoup.
_ Nous entrons, toi et moi dans un tourbillon qui explose les têtes.
_Je suis ta femme et tout ce qui se passe entre les murs de notre appartement
nappartiendra quà nous deux
_Oui, mais il y a un troisième personnage, Abdelkader qui aura pris mon honneur.
_Cest dautant plus juste quil te regardera comme un « tahan » qui accepte.
Le mot « Tahan » est linsulte suprême, en Algérie. Etre traité de PD en est moins
grave.
_Et toi comment tu me verrais si jamais tu lui appartiendrais un jour ?
_Tu seras mon « tahan » à moi et je serai ta qahba.
moi sa femme ?
_Je ne sais pas ! Lidée me rend jaloux mais cest peut être ça qui commence à me
rendre dingue. Je suis amoureux de toi et lidée que tu méchappe un peu me pousse à
te reconquérir.
_Des hommes qui donnent leurs épouses à dautres hommes, je ne pensais pas que cétait
possible. Jen avais pris connaissance de certaines histoires de par des récits venant
dEurope mais chez nous !!!
_Jai honte !
_ Il y a de quoi mon cur.
Dès lors, ce jeu nous excita si violemment que Akila ne cacha plus son véritable
fantasme. Elle mavoua sans gêne, droit dans les yeux, simaginer se pervertir avec
lui, car il lui rappelait un oncle qui navait cessé, lorsquelle était adolescente,
de la peloter. Jen découvrais des choses ! Elle était bien plus coquine que je ne
lavais imaginée, et jadorais, car loin de la choquer, ce jeu malsain lavait excitée
et elle me dit avoir longuement rêvé être violée par cet oncle quelle imaginait velu,
viril et très cochon.
Ce qui confirme que les histoires de en Algérie sont plus courantes que ça.
Je lui ai alors demandé ouvertement si elle désirait réaliser ce fantasme avec
Abdelkader. Elle sembla choquée par lévocation dun passage dun fantasme à la
réalité crue et garda un temps le silence, éducation de chez nous oblige. Jai
regretté davoir exprimé brutalement ce désir, et davoir peut-être brisé le charme.
Puis son visage séclaircit lentement avec lapparition dun sourire malicieux :
Cest toi le cochon ! dit-elle. Avoue que ça texciterait que je couche avec lui !
Tu te dis ma petite putain, mais une putain qui ne couche quavec son mari nen est
pas vraiment une alors
et tu aimes quil te tripote comme ton oncle
Elle me regarda avec intensité et ses yeux brillèrent. Je la connaissais, elle était
excitée. Je lai serrée contre moi et lai embrassée.
dun air coquin :
Tu veux que je te fasse « cocu » (elle insista sur le mot) avec un vieux monsieur,
moi, une jeune mariée amoureuse ? Une fille kabyle déducation stricte ? Tu veux que
ta petite putain ait son premier client ? Tu veux quun arabe nous brise en deux notre
honneur ?
Elle ne me laissa pas répondre, membrassa et sa main glissa dans mon caleçon. Nous
avons fait immédiatement lamour, mais après nous être embrasés, elle me dit ne pas
être sûre doser cela.
Depuis cet échange, je marrangeais pour les laisser seuls plus longtemps, et Akila
me confia quil en profitait pour caresser fugitivement ses épaules et ses hanches
par-dessus sa robe. Elle retenait sa main, pour le principe, mais nempêchait rien.
Quand je lui ai demandé de le recevoir sans culotte, elle sest raidie, a hésité, puis
a décidé den rester à ce jeu coquin et brûlant, sans aller jusquà une caresse
intime. Elle nétait pas prête et je nai pas insisté.
Le soir où il sest aventuré sur son corps, elle ne parlait pas beaucoup. Pensive,
elle devait refaire le film dans sa tête. Elle ne savait pas ce que je pouvais penser
delle. Elle, fille de policier, qui a grandi dans une éducation militaire et très
orienté Amazigh, est entrain de devenir la pute dun arabe.
Jadorais son corps, et je ne pouvais mempêcher en le regardant de limaginer nue aux
côtés dAbdelkader : cest le contraste, type la Belle et la Bête, Kabyle et Arabe qui
mexcitait le plus, et dailleurs cest aussi ce qui visiblement lexcitait, car il
navait rien de vraiment attirant, en tout cas pour une belle jeune femme de 25 ans et
je me croyais plus viril que lui, tout en étant aimé delle. Ses cheveux noirs mi-
longs tombant sur les cheveux, ses yeux marron foncés, sa peau très blanche, ses seins
fermes aux aréoles rosées, son épaisse toison noire, son sexe joliment dessiné et
souligné par un fin duvet sur ses lèvres charnues, ses fesses rondes et fermes, tout
cela maffolait. Ajoutons à cela un beau visage aux traits fins, un sourire désarmant
et une expression constante de fausse timidité qui lui donnait avec ses fines lunettes
quelle portait trop rarement à mon goût un air très sage contrastant avec son appétit
sexuel, ses fantasmes crus, sa désarmante franchise.
Plus le jeu se prolongeait, plus elle évoquait son oncle dans nos délires, disant
regretter quil ne se soit rien passé dautres que des attouchements, surtout quand
elle eut 18 ans (je lai connue à 19, étudiante). Cest là que jai su que le soir
même de notre mariage, en pleine fête, alors que son oncle la faisait danser (les
fêtes étant mixte, en kabylie) et quelle était éblouissante de beauté, il lui a dit
quelle était si jolie quil aurait dû aller au-delà de ses gestes, quil aurait dû
lui faire lamour alors que désormais cest moi qui avais cette chance. Jai ainsi
appris quil me détestait et aussi que laveu de loncle avait violemment excité ma
petite femme, le soir de ses noces, même si elle cachait les velléités de son oncle de
peur que son père le tue. Il lavait alors serré très fort, elle lavait senti bander
et elle lui a dit quil aurait dû oser, car elle en avait rêvé, et quelle en rêvait
encore mais quil était trop tard. Cet aveu bouleversa loncle, se traitant
dimbécile, qui lui promit de lui faire lamour bientôt, malgré ce mariage quil
maudit. Cela me glaça.
Pourquoi avoir épousé un jeune de ton âge, alors que les vieux tattirent ? Je
texcite moins queux ? Si je dois attendre encore 25 ans, davoir presque 50 ans,
pour texciter comme eux ?
Mais non, idiot ! Cest toi que jaime ! Je ne sais pas pourquoi ça mexcite, cest
comme ça, je ne me pose pas de question, peut-être parce que cest très différent de
toi ? Que dirais-tu si jétais attirée par les hommes te ressemblant ? Mais avoue que
ça texcite aussi que jaie ces fantasmes, non ?
Fantasme ou désir ? Ton oncle, il ne faudra pas que je te laisse seule avec lui
Hummm, non ! A moins que tu souhaites vraiment être cocu, que ça texcite de me
partager avec lui
ou dautres
? Après tout, ça texcite bien quAbdelkader me
touche, et tu lui facilites la chose, non ? Peut-être que tu aimerais que je me
débauche réellement ? Ce nest pas toi qui as proposé que je le reçoive sans petite
culotte ?
Elle était magnifique. Elle me regardait avec intensité, cherchant à deviner mes
pensées. Allongé nu contre elle, jai tendu mon bras et jai recommencé à caresser son
sexe englué de sperme. Elle ferma un instant les yeux et me sourit.
Tu rebandes déjà ? Cest parce que je te parle de mon oncle ou cest ma seule beauté
qui tinspire ?
Ta beauté ma chérie
Fis-je sans conviction
Elle tendit la main et se saisit de mon membre dressé.
Jai lu récemment quil y a des hommes qui rêvent dêtre cocus, que leurs femmes
soient infidèles et même qui les poussent à avoir des amants
Peut-être es-tu un de
ceux-là ?
Elle sourit.
Je vois que ça texcite quand je te dis être ta putain, « nekkini d lqahba inek » ou
quand je te dis quAbdelkader me touche les cuisses, ce qui nest pas grand-chose. Ad
i yeqqu waarav a nnagh, keccini d cmata, limer zik ad kenghen sut taddart ay atehan.
Je nutilise pas beaucoup de mots crus comme toi parfois, mais quand je te dis « cocu
» ou je me dis « putain », tu aimes, tu bandes ! Qui sait, tu as peut-être envie de me
prendre au mot ? Dis-moi, tu aimerais que jaie des amants, que je couche avec
Abdelkader ou avec mon oncle, réellement ? Ou mon très séduisant patron, Allaoua qui
me fait les yeux doux comme je te lai déjà dit ? Il veut que je le suive à Tiaret
pour un séminaire de la SONATRACH. Tu aimerais assister, ou tu préfèrerais plutôt que
je te raconte ?, ou bien que je te dise simplement que je me débauche avec mes vieux
amants cochons, ou même que je le fasse sans rien te dire ? Ta jalousie, pourquoi elle
ne fonctionne pas quand Abdelkader glisse sa main sous ma jupe, ou quand je te dis
être toujours excitée par mon oncle ? Inid, inid ay tehhan siked ar wallen-iw, iniyid
ma d akka i tevghid ad tili tamettut-ik !
Elle parlait vite, les questions succédant aux questions. Je ne savais pas quoi
répondre. Javais très envie quon corse notre sexualité, quelle joue avec ces
hommes. Peut-être le fait quils soient vieux ne me gênait pas, alors que jaurais été
écarlate de jalousie avec des jeunes ? Elle attendait une réponse. Jétais persuadé
quelle en avait envie, même inconsciemment, ces fantasmes étaient forts, constant et
elle en parlait. Jai poussé ma caresse et mon doigt glissait contre son sexe
délicieusement inondé.
Je ne suis pas jaloux dAbdelkader
mais de ton oncle. Peut-être parce quil me
déteste ? En fait, cest lui qui est jaloux de moi parce que je tai épousée. Il na
quà oser pour te cueillir ? Cest bien ça non ?
À la différence que je suis mariée, amoureuse et fidèle
Je suis une putain oui,
mais sans client, « ta » putain. Ce nest pas à moi de chercher des clients, mais à
toi si ça texcite vraiment dêtre mon petit « cocu » chéri
puisque tu aimes ce mot.
Une fois encore, elle me cloua le bec en membrassant goulûment. On tournait autour du
pot depuis un moment, mais là, elle venait de se dire prête à franchir le pas si je le
voulais. Pour échapper à une réponse qui me faisait peur, je lai prise avec vigueur,
et on sest étourdis.
Javais conscience dêtre lâche, de ne pas assumer mes désirs fous. Nous continuâmes
nos jeux coquins, nos délires sans revenir trop près en parole dun passage à la
réalité pour ne pas avoir à nous retrouver à nouveau devant une décision. Abdelkader
venait chaque soir, et lorsquil pleuvait et que nous ne sortions pas le week-end, il
passait désormais une heure laprès-midi pour boire un café disait-il, peloter Akila
traduisais-je. Il devenait de plus en plus audacieux lorsque je méclipsais. Akila
continuait à le retenir sans vraiment le repousser. Elle ma dit avoir été enlacée à
plusieurs reprises et avoir nettement senti son érection.
_Yekkeras d webbuc-is, yerrayit id ar u3abud-iw
Lorsque soudain la boîte la société de Akila (SONATRACH) la licencia, ce fut dabord
un coup pour notre équilibre. Très affectée, elle promit de sactiver pour chercher un
nouveau travail, et je la savais compétente, débrouillarde, mais je savais surtout
quelle allait être plus présente chez nous, donc sans moi, à la merci dun vieux
cochon opportuniste, et elle aimait les vieux cochons.
Abdelkader feignit dêtre affecté, certainement ravi au fond de lui, et dit de ne pas
nous inquiéter pour le loyer. Ses propos me revenaient en mémoire
En y réfléchissant,
cette catastrophe nétait pour moi que matérielle. Javais envisagé déconomiser pour
nous construire au plus vite une maison, et la perte du salaire de Akila ne
contrariait en fait que cela. On avait le temps finalement, et jai relativisé. Pour
le reste, je me surpris à penser quil allait enfin se passer quelque chose à laquelle
je navais pas osé dire oui, mais que je souhaitais au fond de moi. Bizarrement,
bêtement peut-être en raison du risque de corrompre ma jeune mariée adorée, mais cela
mexcitait, je devais me ladmettre.
Akila consacra sa première semaine de chômage à démarcher les entreprises locales, et
profita de sa présence en ville pour venir me chercher au travail. On rentrait
ensemble et ABDELKADER neut pas le loisir den profiter pour se manifester. Je le fis
remarquer un soir à Akila.
Cest mieux comme ça, non ? On rentre ensemble. Si je rentre avant toi, il va
sûrement se précipiter
mais cest peut-être ce que tu désires, me savoir seule avec
lui ? Dis-moi
Eh, tu veux une autorisation ? Fis-je amusé
Ay aghyul ! lança-t-elle. Mon mari est un idiot, hi, hi ! Je suis toujours ta femme
fidèle, non ? Cest le rêve de tous les hommes, non, à moins que ce que jai lu sur
certains dentre eux
?
Ceux qui aimeraient que leurs petites « putains » les fassent « cocus »
En il
faudra bien payer le loyer dune manière ou dune autre
et Abdelkader se montre si
conciliant.
Elle eut une expression très coquine.
Et tu vois ça comment ? Tu veux que ta petite femme se prostitue ? QuAbdelkader
devienne mon client et me paye en oubliant de demander le loyer ? Tu veux que je fasse
la putain, dis-moi
Tout dépend si tu en as vraiment envie
Non, dis-moi toi, ce que tu as envie que je fasse.
A nouveau son regard de braise me transperça. Ce qui me plaisait en elle, cest quil
ny avait jamais de faux semblant. Elle était nature, directe, franche. Jimaginais ma
jolie et jeune épouse écrasée sous le poids du propriétaire, à recevoir son sperme en
paiement dun loyer quon ne pouvait plus payer. Et je bandais !
Au risque de te choquer, jaimerais que tu le fasses, lui dis-je enfin.
Tu veux me prosti, dis-moi
Oui, prostitue-toi pour moi, avec lui, avec Abdelkader, avec tous les vieux qui te
tentent.
Parle-moi crûment, ça mexcite, fit-elle en se serrant contre moi
Jai retiré sa petite culotte, et jai palpé ses fesses comme Henri aimerait le faire.
Des gros mots ?
Ce que tu veux, dis-le avec tes mots.
Je veux que tu te prostitues, que tu fasses la putain, que tu deviennes très salope
avec tes vieux cochons. Je veux le savoir, que tu me dises tout, peut-être même le
voir, je veux te posséder après eux, pleine de leurs spermes, je veux que ma tendre
épouse me fasse cocu, me le montre, me le prouve
Je veux dormir dans nos draps tachés
par tes amants
arr iyi d atahan !
Là, cest moi qui perdais les pédales, jallais trop loin, je disais nimporte quoi,
jallais tout foutre en lair en la choquant, et je lai embrassée longuement.
Le week-end venu, nous sommes allés chez ses parents à At Yanni. Nous y avons vu son
oncle, le frère de son père, qui la dévorait des yeux le salaud. Ce nétait pas prévu
et cette confrontation me glaça. Il avait de la chance me dis-je, alors quil était
persuadé que cétait linverse. De retour dimanche, nous avons déliré sur la route sur
cet oncle charmeur de 52 ans, bel homme, qui avait bêtement ignoré que la petite
victime quil avait allumée sans vraiment le savoir était devenue une jeune femme
épanouie et gourmande, même de lui au moins en rêve pourtant cest une pensée
complétement ueuse.
Abdelkader, bien sûr, vint. Il est venu une demi-heure après notre arrivée. Akila,
émoustillée par sa rencontre avec son oncle et nos propos croustillants sur la
route avait cette fois accepté de retirer sa culotte. Ce fut pour moi à la fois un
soulagement et une terrible angoisse, sentiment paradoxal fait dexcitation et de
crainte. Fuite en avant. Jai servi le café et ai prétexté devoir compléter le niveau
dhuile dans la voiture pour les laisser. Je suis remonté une bonne demi-heure après,
en faisant beaucoup de bruit. Akila avait le regard brillant des moments de grande
excitation. Abdelkader était rouge
Je me doutais bien quils nétaient pas passés à
lacte, mais il a dû se passer quelque chose, sembrasser peut être ! Ils auraient
tout le temps le lendemain, et tous les jours qui allaient suivre. Quavais-je fait,
quavais-je osé ? Je me pris pour un fou, un fou qui pourtant bandait fort. Ughalagh
d cmata ! Paradoxe encore. Terrible paradoxe dune envie hors norme, excitante parce
quelle était hors norme, et angoissante aussi pour cela.
Quand Abdelkader fut parti, je me suis précipité sur elle pour caresser son sexe.
Plein de sève, naturellement, mais apparemment rien dautre.
Je nai pas couché avec lui si cest ce que tu veux vérifier
Il ta embrassée ?
Oui, embrassée, caressée
Et toi ? Tu las touché ?
Oui
Elle membrassa, comme toujours quand elle était embarrassée. Elle baissa les yeux
Si tu es jaloux, je le comprendrais, fit-elle.
Tu las sucé ?
Un peu
Jeu un coup à lestomac
Il a éjaculé ?
Elle ne répondit pas. Je caressai avidement son sexe humide et surmontait péniblement
mon angoisse. Lexcitation se fit enfin la plus forte, et je me sentis libéré,
surexcité.
Ma petite putain me trompe en suçant le propriétaire ? Ma petite salope a fait une
pipe à un autre homme que moi ? Dis-moi, il en a une grosse ?
Elle fouilla dans mon pantalon et saisit ma queue, dure comme du bois
__Oh, ce nest pas très important la grosseur, tu sais !
_je compris quelle ne voulait pas me vexer
__Elle est plus grosse cest ça ?
Oui plus grosse, mon cur mais cest toi que jaime. Aussi il a de très grosses
couilles, comme un taureau ! Cela fait bizarre. Et quelle quantité il a expulsé ! Il
nest peut-être pas normal de ce côté là
En tout cas, ça ma excitée comme une folle.
__Je suis détruit par la jalousie et pourtant je bande comme un âne.
__Tu nas pas su mempêcher de plonger vers ça. Tu las voulu, nest-ce pas ! Je te
demande de supporter la douleur que ça te procure et daccepter. Accepte ton état
maintenant et ravale ta rage. Intègres ton nouveau statut, celui du cocu que tu es
devenu, peut être que cela apaisera ton cur. Autre chose, demain quand tu croiseras
Abdelkader tu pourras baisser tes yeux. Les Arabes nous dominent et lun deux baise
ta femme.
__Il ta baisé ?
__Non, pas encore mon chéri, mais toi et moi savons que le processus est enclenché.
__Ah, mais si demain je voudrais tout arrêter ?
__Cela changera tout, bien entendu, mais penses-tu être toujours le maitre de la
situation ?
__Tu veux dire que tu ne voudrais plus revenir en arrière ?
__Je taime Nadir, Hemmelagh-k, je ne ferais jamais ce qui briserait notre amour. Mais
Abdelkader lentendra-t-il de cette oreille ?
__Cest moi qui te possède pour linstant.
__Je sais mon cur, enfin, quand je dis je sais je noublie de me poser la question
suivante : Ne tas-t-il pas dépossédé, en partie, de ton épouse ? Les Arabes sont
ainsi faits mon amour, ils arrivent en locataire et ils finissent propriétaires des
lieux. Je pense que cest notre destiné à nous les Kabyles. Ils nous ont dépossédés de
notre langue, notre culture et je ne crois pas quils sarrêteront là. Beaucoup de
psychologue indiquent que lacceptation de la défaite est un apaisement. Ce nest pas
pour rien que je te demandais de baisser les yeux quand tu rencontreras Abdelkader.
Tu pars avec moi au travail demain ?
Elle se recula, bras tendus autour de mon cou.
Jai rendez-vous demain après-midi pour un entretien. Si tu le veux toujours, je
resterai demain matin ici
Cest lui qui viendra, ou toi qui iras ? Demandai-je la gorge nouée.
Chéri
cest toi qui as dit que tu voulais ça dans nos draps, mais si tu préfères
Non, cest très bien ! Dis-je en linterrompant. Si tu as envie comme ça cest le
principal. Dis-moi, toi, des mots crus sil te plaît, jen ai besoin, là, maintenant
dis-moi que tu es une salope
Cest à ce moment que jai remarqué que son chemisier était taché. Cela ma fouetté,
et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois
encore mon excitation. Je lai prise le soir, et surtout le matin avant de partir.
Elle allait juste après faire lamour avec Abdelkader qui piaffait dimpatience en
attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, lArabe. Il va prendre ma
femme. Cest moi qui lai épousé et cest lui qui va la niquer. Et je voulais quelle
garde les traces de moi. Cétait stupide, mais je lai voulu comme ça.
Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve.
Akila a reçu Abdelkader chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre.
Moi qui croyais quà partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi,
elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais quelle raconte, pudiquement ou
crûment selon mon degré dexcitation, cest moi qui décidais.
Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle ma
serrée fortement et jai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu
et si adoré, que je savais avoir été possédé le matin même, pour la première fois, par
un quinquagénaire viril qui lavait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari
et jai eu terriblement envie delle.
Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après quAbdelkader ait
regagné son appartement. Il mévitait en disant à Akila : « je ne veux pas rencontrer
le tahan pour linstant ». Pourtant elle lui avait dit que jétais daccord et que
cela mexcitait quelle me fasse cocu avec lui. Elle était encore au lit, nue, une
énorme tache sétalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras.
Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement engluée dun sperme épais qui
continuait lentement à séchapper dentre ses lèvres. Même dans les films X, je
navais jamais vu ça. Cela aurait dû me dégoûter, mais cétait là le même cadeau que
javais fait lundi matin à Abdelkader, que cela navait visiblement pas gêné. Ça ma
violemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés,
puis je lai fait parler pour faire taire cette angoisse stupide qui à nouveau
menvahissait et affectait mon érection. Enfin, nen pouvant plus, je lai pénétrée,
souillée, inondée et lai pistonnée comme un fou. Elle gémissait vivement, ses doux
gémissements émis au rythme du bruit de clapotis que faisait mon membre dans son vagin
plein de sperme. Jy ai ajouté le mien, puis suis allé me doucher, en proie à ces vifs
sentiments paradoxaux qui ne mont pas vraiment quitté de la semaine.
Akila ma fait rire en mexhibant en fin de semaine lépaisse serviette quelle
noubliait plus dutiliser pour mettre sous elle, pour éviter de changer chaque jour
les draps, toujours son sens pratique. Elle est vite devenue la « serviette
dAbdelkader ».
Je nai vu Abdelkader que le Vendredi matin suivant, en lui rendant visite. Un peu
inquiet de mapercevoir en ouvrant sa porte, je lai rassuré dun sourire et lui ai
dit que jallais faire un peu de vélo, pour mentretenir, jusquà midi. Je ne lai pas
regardé dans les yeux, je ne pouvais pas. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna
plus. Elle eut ses règles et se refusa à lun comme à lautre, comme dhabitude, pour
se rattr ensuite avec ferveur. Elle aimait ça, ne sen cachait pas, et convainquit
Abdelkader, réticent au départ, de me laisser parfois les regarder quand vraiment jen
avais envie. Ce fut plus torride que tout ce que javais imaginé. Ma belle petite
jeune femme nue contre cet homme un peu ventru, bien conservé à part cela, aux
étonnantes couilles velues pendantes qui produisaient en quantité industrielle un
sperme épais que le vagin étroit de Akila, saturé, expulsait rapidement et
abondamment, et qui se répandait sur la serviette sous ses fesses. Elle était excitée,
jouissait à répétition, bien plus quavec moi je devais bien me lavouer. Jétais
fasciné par son sexe pénétré, ses lèvres velues dessinant un O autour de la grosse
bite dAbdelkader dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Il la
baisait en me disant : Chouh yal 3attay, chouf kifach erdjal inikoulek mertak ya
ettahan. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même lodeur si
délicieusement musquée de lamour, et plus encore louïe enchantée par les sons
quelle produisait en faisant lamour : elle respirait fort, bruyamment au rythme où
on la prenait. Akila me regardait droit dans les yeux en disant : Tamtuut-ik d lqahba
n wa3ravec a nadir, akka i dirgaze nagh !!! Tefkam tilawin nwenn iwa3raven aten
tteqqun
. D netta i d argaz-iw tura a cmata a l3ar n yergazen. À chaque expiration, un
petit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, des
gémissements brefs accompagnaient le rythme jusquà un plainte continue annonçant son
orgasme couronné dune longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblements
de son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant son
jeu favori dembrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une main
cherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches.
Jaimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il en
voulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite lui
procurait des orgasmes à répétition : Ferragh fi kerchi Abdelkader, rekkeb-li ldjouf
ou radjli ichouf
. La serviette était parfois à tordre et
nous ne payions plus de
loyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé,
dans un grande entreprise nationale. Notre vie sexuelle ne sassagit pas pour autant.
Ce quelle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs par
semaine, parfois avec nous deux, à la file. Akila navait pourtant pas changé. Elle
restait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine dhumour et
adorant le mien.
Cest alors quun soir où exceptionnellement elle avait repoussé Abdelkader venus nous
rejoindre dès notre arrivée en lui demandant de nous laisser seuls, elle me reparla de
son oncle
Jai eu un pincement au cur, une bouffée de jalousie. Il lavait contactée
par téléphone, lavait invitée à passer seule un week-end chez lui à Boukhalfa, 11 km
avant darriver à Tizi Ouzou, disant se sentant seul surtout depuis la mort de la
tante de Akila Nana Ldjo, pourtant si gentille. Elodie mavoua avoir été vivement
excitée par cet appel mais avoir été très déçu par les propos quil lui avait tenus à
mon endroit. Sil avait envie delle, il jouissait surtout par avance de me cocufier,
disant que je ne la méritais pas, quils allaient séclater dans mon dos alors que je
resterais seul chez nous, et dautres méchancetés. Elle avait failli lui répondre que
jétais un cocu heureux et excité, mais se reprit. Cétait trop personnel et chez nous
les Kabyles cest presque une question de vie ou de mort. Elle avait conscience quil
me voulait du mal et quand on veut détruire un homme, chez nous, on lui prend sa
femme. Et cela a cassé son désir, en même temps que ça la excité. Elle déclina
linvitation en lui disant quil navait pas honte de draguer sa nièce, que si son
papa le savait il le ait et puis cétait trop tard, quil aurait dû le lui
proposer avant son mariage, et quelle madorait. Puis elle membrassa amoureusement.
Je ne te ferais jamais du mal, me dit-elle. Nos jeux sexuels sont excitants, je fais
la putain par jeu, jai un client régulier, je te fais « cocu » sans te trahir puisque
tu aimes bizarrement cela et quon le veut comme ça, tous les deux, mais je ne ferai
rien dans ton dos.
Cest pourtant ton premier fantasme, et tu éprouves du désir pour lui.
Oui, mais pas comme ça. Tant pis pour lui. Je taime. Dis-moi
On forme un couple
bizarre nous deux, non ? Tu es le meilleur des maris Kabyles, quelle chance jai.
Ce soir-là, nous avons fait lamour tendrement, en amoureux, poussant nos confidences,
nos désirs. Elle me parla du bébé quelle voulait de moi. Elle me demanda si je
néprouvais vraiment aucune jalousie vis à vis dAbdelkader.
Tu vois, quand on navait que le gode pour jouer, je disais que cétait mes copains,
notamment Dahman qui en pince pour toi. À ce moment-là, javais vraiment envie que tu
lacceptes à mes côtés dans ton lit. Erreur, jaurais été très jaloux, cest sûr. Si
tu fais avec un autre comme moi, je me dirais pourquoi ne pas me préférer ? Mais si tu
fais avec des hommes plus âgés, différents, ce nest plus pareil. Et puis
il y a un
côté très pervers, un peu bestial qui fouette mon excitation. Putain, cocu, ces mots
mexcitent avec un vieux, pas un jeune. Et puis, il est un peu ton client puisque tu
te prostitues avec lui pour le loyer, et une prostituée mariée, cest violemment
excitant ! Non, je ne suis pas jaloux. Cest bizarre, mais cest comme ça. Cest aussi
grâce ou à cause de la situation de notre pays.
Moi aussi jai des goûts bizarres, et ils se complètent, heureusement ! Jouer à me
prosti mexcite beaucoup ! Léducation stricte de ma famille est entrain de volée
en éclat.
Hi, hi ! Tu veux augmenter ton chiffre daffaires ?
Idiot !
Je jouais avec ses poils, palpait ses seins fermes.
Non
Mais je vais bientôt arrêter la pilule, le bébé. Je ne pourrais plus jouer,
plus recevoir de sperme autre que le tien. Tu vas peut-être me maudire, mais
je vais
devoir devenir sage. Mais rassures-toi, je serai toujours ta petite putain prêt à tout
! Alors, ne va pas voir dautres femmes, hein ! Si tu nes pas jaloux, et même si ça
te semble étonnant par rapport à ce que tu me laisses faire, je naimerais pas du tout
être cocue
Je réalisais que la platitude dune vie sexuelle conformiste nallait pas être
vraiment facile à accepter. Quand on a lhabitude de manger épicé, un plat sans sel
Tu veux larrêter quand cette pilule ?
Jaimerais après mes règles de la semaine prochaine.
Tu sais que jai étudié ça dans mon cursus. Après cinq ans de pilule, ça ne
démarrera pas tout de suite. Regarde ta sur, il lui a fallu six mois pour être
enceinte. Le premier mois sans, sûr que tu ne risques rien.
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