Le Vétérinaire
Il flotte un parfum de lavande sur la garrigue. Le soleil tape comme souvent chez moi.
Dès le matin en ouvrant les volets je savais quil allait faire chaud. Les cigales me
lont confirmé un moment après. La nuit déjà chaude ma obligé à dormir nue. Ce matin,
avant daller préparer le petit déjeuner, jai regardé mon mari: il bandait comme
souvent. Je lai laissé à ses rêves érotiques quil me racontera tout à lheure dans
la cuisine.
Je suis dans la cuisine préparant le café et le lait. Yvon arrive, vient membrasser
sur la bouche. Il bande encore. Je sais déjà que nous allons nous caresser juste après
avoir bu. Ça ne manque pas, dès sa dernière goutte de café au lait avalée, il mattire
sur ses genoux. Il sais, le salaud, que jadore quand il me pelote, quil passe sa
main entre mes jambes pour attr mon bouton. Je me laisse faire pendant quil me
caresse lentement, je jouis toujours vite le matin. Je ne loublie jamais, je commence
par prendre par prendre son sexe à pleine main, comme il aime. Je fais les mouvements
quil aime aussi: je le branle comme il ma appris, bien mieux que ce que je savais
faire avant lui. Je marrange pour venir les jambes écartées sur lui, mon dos contre
lui: je peux me faire mettre par derrière pendant quil caresse mes seins et que je
passe deux doigts sur ma chatte. Comme presque à chaque fois nous jouissons ensemble.
Drôle de journée dété qui commence: il a rendez vous en ville. Il savait pourtant que
nous attendions la visite dun vétérinaire pour voir la chienne malade. Je me
débrouillerais sans lui, pourtant jaurai aimé quil soit là, cest sa chienne après
tout.
Yvon prend sa douche pendant que je me débarbouille: il bande encore. Ca lui passera
avec le jet de la douche: il se branle je nai pas à intervenir. Quand je suis là il
lui arrive de me demander de le soulager, aujourdhui il ma oublié.
Il est sur le point de partir quand dans la chambre, jai envie de jouir encore. Je ne
peux pas le retenir: il va être en retard. Je vais me contenter seule comme souvent:
jaime bien me masturber depuis toujours. Je caresse mes seins avant de toucher ma
chatte déjà ou encore mouillée. Quand je met deux doigts dans mon puits, je sens
encore son sperme: il a bien jouit tout à lheure. Il est parti quand jai un bon
orgasme.
Je reste nue pour les travaux dans la maison, joublie lheure qui passe. Joublie le
véto. Lui noubli pas, il frappe à la porte et jallais sans men faire, lui ouvrir
la porte. Je prends juste le temps de passer un peignoir.
- Entrez, cest pour la chienne, Diane qui est malade.
- Je sais, votre mari me la dit en téléphonant. Où est la bête ?
- Derrière, je vous conduit.
Me voila comme une infirmière pour cette bête que je naime pas tellement. Il
lexamine sommairement pour conclure par
- Il faut que je lemmène au cabinet pour bien lexaminer, elle ne me semble pas aller
très bien.
Il transporte lanimal dans sa voiture. Je pense quil va partir. Jaimerai quil
parte. Hélas, il sincruste il me semble. Je lui offre un café pour la peine. Le temps
de le servir il sinstalle dans le séjour. Quand je reviens le peignoir souvre,
offrant à sa vue tout mon corps. Sur le moment je suis gênée. Et une boule de chaleur
envahi mon bas ventre. Je pense à la vitesse dun éclair: et alors, il va me faire
quoi, me baiser peut-être. Jaime bien ça, et alors;
Il me regarde étonné: ce nest pas tous les jours quune femme sexpose à lui. Il fait
celui qui ne voit rien. Ou il est impoli ou cest un Tartuffe. Je massois en face de
lui, il ne peut plus ne pas me voir. Je croise mes jambes bien haut. Cette fois il
examine mon trésor, celui entre mes jambes. Je regarde sa braguette: il commence à
bander.
- Je vous plais ainsi ?
- Ououi. Beaucoup.
- Pourquoi vous ne venez pas vers moi.
- Jai peur de faire une bêtise.
Jen ai assez, il a peur de me caresser, de me baiser. Le mufle. Je me lève pour aller
lui présenter ma chatte sous son nez. Cette fois enfin il réagit; sa langue vient sur
mon bouton. Jaccentue mon mouvement. Cette fois cest toute ma féminité quil peut
lécher. Je suis en chaleur, il faut quil me baise maintenant. Je prend sa tête dans
mes mains, je la soulève pour quil vienne membrasser.
Nous bouchent sembrassent comme il nous navions jmais embrasser une autre personne.
Nos langues sont occupées entre elles. Il fait tomber la guenille que je porte:: je
suis nue, maintenant il peut faire de moi ce quil veut. Je préférerais quil me
baise: Yvon ma déjà enculée ce matin. Je tripote sa queue à travers le pantalon
jusquau moment où il est nu. Belle bite bien dressée; il a envie de moi. Pour une
femme cest toujours agréable de se savoir désirée. Il est debout contre moi, je sens
sa bite contre mon ventre: je la voudrais dedans
Je me lève sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur. Je prends sa pine pour la
mettre là où elle doit être. Il se laisse faire sans bouger. La seule action est quil
me caresse les fesses. Cest bon, pas suffisant, je pose une main sur son postérieur
et le pousse vers moi. Il comprend enfin quil faut me baiser.
Le voilà enfin parti pour la grande cavalcade. Il baise bien ce type. Jai peur quil
jouisse trop vite. Jessaies douvrir ma chatte au maximum pour retarder son
éjaculation. Jai de la chance, je jouis eux fois avant lui qui bande toujours. Je me
souviens que mon mari ne doit pas tarder à entrer. Tant pis, il ma souvent dit quil
aimerai me vois baiser une autre. Quil arrive vite pour voir et quil participe
aussi.
surpris de me voir sucer un autre homme. Je suis surtout surprise de sa réaction; il
est nu en un rien de temps. Il bande comme un âne, pose sa bite sur mon épaule: sil
pouvait il la mettrai entre mes seins. Jarrête la fellation, jentraine et le véto et
mon mari dans la chambre. Je connais vaguement la suite: je suis nue avec deus hommes
nus également dans une chambre.
Cest Yvon qui prend la situation en main. Il membrasse les seins, ma caresse
partout, suivi de peu par mon amant. Je me trouve avec deux paires de mains qui se
promènent sur mon corps: jai la chatte trempée: il me tarde quon me mette les queue
dans le ventre; je les voudrai ensemble. Le dieu des amours écoute certainement. Mon
mari me pousse sur le lit, il donne ma chatte au véto pour quil me suce. Encore un
bon orgasme à venir. Les deux hommes se branlent ensemble. Je ne savais pas quYvon
aimait se faire astiquer le queue par un autre. Heureusement pur moi quil ne
jouissent pas.
Enfin le véto se couche, je vais sur lui, jai lhabitude avec mon mari, jaime baiser
ainsi. Jai la bite au fond du vagin, je commence les mouvements quand mon mari se
pose sur mon cul. Je reconnaitrais sa bite parmi des milliers dautre tellement elle
est spéciale dans mon cul. La sentir croiser lautre à travers mes fines parois
mexcite tellement que je jouis trois ou quatre fois. Je ne peux connaitre leur
plaisir que pare ce quils disent: je suis une pute, une salope qui aime se faire
mettre, etc., etc. Cest vrai tout ça, jaime me faire mettre, je suis salope, je ne
suis pas une pute, enfin pas encore;
Et la chienne dans tout ça, elle est guérie. Quand le véto est revenu nous avons
encore baisé en trio. Meilleur que la première fois.
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