Désiré Et Gourmet (Partie 2)
Désiré poursuit ses investigations. À un moment, sa langue m'abandonne. Bien lubrifié, la rosette bien ouverte, je suis tendu pour être enfin pénétré. Mais je n'aurai pas encore droit à sa merveilleuse queue : il me sodomise d'un doigt qu'il enfonce d'un coup, complètement, dans mon rectum. Je tressaille, surpris. Simplement surpris. Cette nouvelle pénétration produit en moi une nouvelle forme de plaisir : tantôt le doigt sort et rentre de plus en plus vite, tantôt il travaille ma rosette pour en élargir l'entrée. Je gémis de contentement tout en léchant lentement, de haut en bas, la hampe de son sexe, tout en malaxant son large paquet de couilles, tout en allant jusqu'à caresser sa propre rosette du bout d'un doigt.
Quelques minutes plus tard, après que Désiré ait copieusement lubrifié ma rondelle d'une abondante salive, ce sont deux doigts qui entrent en moi pour poursuivre le même manège. Je suis si bien ouvert que je les accueille sans problème. Mon partenaire commente :
Tu te dilates déjà comme une vraie gourmande. Ton cul réagit très bien, je le vois se tendre pour toujours plus de sensations. Je t'entends gémir à chaque pénétration de doigts. Si ça continue, ta rosette va bientôt réagir comme une chatte de femelle...
Entre deux léchages de tige et de couilles, je m'enflamme :
J'adore ce que tu me fais. Tu me procures des sensations encore jamais ressenties. Oh que c'est bon ! Si tu veux une chatte, je te donne la mienne. Que mon illet devienne chatte ! Que je devienne femelle pour toi ! Oh oui, transforme-moi à force de désirs et d'extases !
Je vais t'ouvrir comme une pute !
Désiré m'enfonce alors trois doigt dans le fondement. Les tourne pour davantage élargir et assouplir l'ouverture, les pousse entièrement en moi puis effectue délicatement des aller-retours jusqu'à ce que ce qui est devenu, par sa décision, une chatte ait encore gagné en souplesse et en ouverture. La salive de Désiré et la dextérité de ses doigts s'allient pour me besogner avec efficacité.
Jusqu'à présent, les va-et-vient de mon amant me procurent de merveilleuses sensations. Mon imagination et mon fondement sont au diapason d'un désir jusqu'alors inconnu qui, progressivement, me domine tant mes sens s'exacerbent, tant ma raison se soumet aux nouvelles exigences de mon corps. Désiré poursuit longuement son investigation manuelle, élargissant toujours davantage mon illet devenant chatte. Avec une salive abondante, il lubrifie en permanence ses doigts. Je me dilate toujours davantage. À un moment, je me sens : Il vient d'introduire un quatrième doigt en moi :
Maintenant ta chatte commence à vraiment s'épanouir ! Tu vas bientôt pouvoir accueillir mon dard...
La pénétration du quatrième doigt s'effectue plus difficilement. Pour la première fois, mon dépucelage manuel devient douloureux. Mon ouverture est distendue. Je comprends que je dois calmer les pulsions qui me dominent jusqu'alors, maîtriser le rythme de ma respiration et subir sans appréhension l'introduction d'une main qui, maintenant, bien salivée, progresse lentement en moi jusqu'à ce que je sente son pouce buter contre une fesse. Désiré comprend mon appréhension :
Respire calmement. Laisse-toi aller. La douleur va s'estomper progressivement. Maintenant, je vais me retirer doucement et tu vas te détendre. Ensuite, je reviendrai en toi tout aussi lentement et je resterai, immobile, dans ta chatte le temps qu'elle s'apaise et gagne en souplesse.
Les doigts de mon amant glissent hors de moi. Comme il l'a prévu, je me détends, je calme ma respiration et attends le retour de sa main dans mon nouveau vagin. Désiré caresse délicatement le pourtour de ma chatte, salive beaucoup à l'intérieur puis revient en moi. Effectivement, la douleur est moins intense. Les phalanges entrent sans difficulté, les métacarpes beaucoup plus difficilement mais sans pour autant forcer le passage.
Mon petit Gourmet, tu viens de perdre ton deuxième pucelage. Ton cul est devenu une vraie chatte. La chatte qu'attend ma queue depuis bien longtemps... Je vais enfin pouvoir baiser, enculer un garçon comme j'en ai envie... Je vais me servir de ton fondement comme d'un vagin de femelle, je vais te faire grimper au septième ciel de la baise !
Oui mon chéri, tu vas me baiser. Tu vas m'enculer... Je suis à toi, je deviens ta femelle. Prends-moi !
Nous quittons alors notre position tête-bêche et Désiré me place en travers de la banquette, à genoux sur celle-ci, les reins creusés, la croupe tendue. Je jette un regard en arrière pour voir le membre de mon possesseur avant qu'il ne m'encule, pour nourrir mon imagination de ses dimensions. Pendant ce temps, Désiré caresse la hampe de son sexe pour le faire raidir davantage. Quel spectacle ! Celui d'un monstre qui va me dévorer, auquel je vais me donner sans retenue... Une queue longue de 30 cm, large de 6 cm, aux veines saillantes, dominée par un gland impressionnant que ma bouche a accueilli non sans difficulté... Quelle vision ! Quelle envie ! Je n'y tiens plus, je délire :
Baise-moi ! Viens me foutre ! Donne-moi ta queue !
Avec un beau sourire, sûr de lui, Désiré s'approche de mes fesses, les caresse avec douceur. Cela m'apaise, calme quelque peu mon excitation. Je me détends. D'une main, mon partenaire saisit son braquemart et pose son gland à l'entrée de ma chatte. Il effectue alors de lents mouvements de va-et-vient entre mes fesses, caresse ma raie culière avec l'extrémité de sa queue. C'est doux, c'est bon. Je gémis d'aise sous cet effleurement soyeux. Je me détends.
Et puis, Désiré positionne son gland à l'entrée de ma chatte. Le moment est enfin venu de mon premier enculage par une bite géante. Avant que la pénétration commence, d'affolantes images défilent dans ma tête. J'imagine être enfilé par une monstrueuse matraque, toute chaude et bien juteuse.
Voilà que je commence à te foutre ma petite femelle chérie. Voilà que la tête de mon nud écarte minutieusement les bords de ta belle chatte si bien poilue. Voilà que ta rondelle s'ouvre pour m'accueillir...
Instinctivement, les reins bien cambrés, je tends ma croupe le plus possible pour venir au-devant du divin cylindre. Mon cul est alors béant, ma chatte est ouverte pour un profond enculage. Résultat du long massage manuel de Désiré, venant facilement à bout de la résistance symbolique de mes sphincters, l'énorme gland se faufile en moi sans rencontrer de résistance. Je geins, tant la largeur de cette tête distend les parois de mon rectum, me faisant éprouver l'intense sensation d'un plaisir nouveau, terriblement excitant. Je me sens progressivement rempli, possédé par une chaude masse rigide et conquérante.
Enfonce-toi complètement. Baise-moi à fond. Je veux sentir tes couilles taper mon cul. Je te veux tout entier en moi... Baise-moi... Baise-moi !
Sans céder à ma supplique, Désiré enfonce petit à petit sa queue qui progresse avec mesure dans mes entrailles. Tout aussi crescendo, celle-ci modèle ainsi un nouveau vagin dont les parois s'adaptent au fur et à mesure à son épaisseur. Je suis littéralement envahi et mes gémissements, des feulements, accompagnent cette pénétration douce mais totale. Quand, enfin, je sens le paquet de couilles et le pubis velu de mon possesseur buter contre mes fesses, j'éprouve un extrême plaisir, intense et profond : Je suis enfin possédé par un mâle ! Et quel mâle ! Il vient de m'enfiler avec sa queue géante ! Je suis rempli de lui !... Me voici enfin devenu femelle, j'ai maintenant une vraie chatte d'homosexuel. Désormais, je suis prêt pour être baisé, enfilé, culbuté, enculé... Je suis prêt pour accueillir le foutre d'un enculeur...
Bien calé au fond de moi, Désiré cesse de bouger.
Mon enculeur se retire lentement. Mon vagin se vide comme à regret. La queue sort entièrement de ma chatte et j'éprouve aussitôt comme un manque. Je comprends immédiatement que le sexe de Désiré m'est devenu indispensable, nécessaire pour poursuivre mon épanouissement de femelle. La bite de mon amant, c'est ma drogue !
La queue raide, Désiré s'assied au plus profond du canapé. Sans hésitation, ma bouche s'empare de son gland, imprégné du fumet de mes entrailles. La sensation est nouvelle et agréable. Avec de larges coups de langue, je nettoie gland et hampe. Je vais jusqu'à gober chaque couille et puis, sans qu'il ait pu faire un geste, je m'installe à califourchon sur les cuisses de mon amant. D'une main, je saisis son membre, place le gland devant l'entrée de ma chatte et m'assied lentement dessus.
Le plaisir de la première pénétration se renouvelle aussitôt. Le braquemart entre en moi. Je m'empale dessus jusqu'à poser mes fesses sur les couilles, jusqu'à être caressé par un pubis doux et velu. Je suis à nouveau plein de Désiré. Je suis à nouveau rempli, cette fois volontairement possédé. Je marque un temps d'arrêt, savourant l'instant de ce remplissage, savourant les sensations de mes parois. Et puis, j'entame un va-et-vient tout au long des 30 cm de la queue qui me bourre. Je la quitte entièrement pour mieux me l'enfiler à nouveau. Tout en poursuivant ce manège, je me caresse la poitrine des deux mains, saisis mes tétons, les titille.
Désiré me saisit aux épaules, m'incline vers son torse jusqu'à ce que nous soyons poitrine contre poitrine. Sa fourrure caresse mes tétons érigés, déclenchant en moi d'intenses vibrations. Nous nous embrassons à pleines bouches. Sa langue m'envahit, joue avec la mienne. Nous salivons à n'en plus finir jusqu'à en perdre le souffle. L'inclinaison de mon corps vers l'avant libère la queue de mon possesseur qui jaillit brusquement de ma chatte, formidable matraque luisante de mes sécrétions. D'une main, Désiré saisit l'engin et le replonge en moi en haussant son bassin jusqu'à venir, à nouveau, frapper mes fesses de ses couilles. Comblé, je suis comblé...
Ah ! Oui !!! Baise-moi ! Baise-moi ! Encore ! Encore... Défonce-moi... Rentre tout, ta queue, tes couilles... Tout ! Tout ! Je veux tout...
Désormais béante, ma chatte aspire entièrement le braquemart. Je mouille comme une vraie femelle, inonde les couilles de Désiré qui prend alors son paquet à deux mains et en bourre mon cul en même temps qu'il projette sa queue au fond de mon vagin. Dilatée à l'extrême, ma chatte accueille sans difficulté et, même, avec reconnaissance cette intrusion d'une nouvelle dimension qui achève de me transformer en vraie bête de plaisir.
Désiré prend mes hanches de ses deux mains, se maintient un instant entièrement en moi. Et, alors que nous reprenons nos baisers, que la fourrure de sa poitrine exacerbe toujours mes tétons, il me pilonne, montant et descendant son bassin tantôt lentement, tantôt avec furie, marquant quelques temps d'arrêt pendant lesquels, bien au fond de mon vagin, il y entre à nouveau ses couilles. Et moi, j'aime ça. Baisé comme une salope, j'en redemande. J'en veux encore plus.
Et puis, mon enculeur me pousse doucement en arrière. Je me retrouve assis sur son pubis, pieu et couilles en moi. Immobile. Désiré prend ma queue d'une main et, de l'autre, s'empare de mes couilles. Il me branle.
Tu vas jouir, mon petit Gourmet, ma petite pute. Je vais te faire cracher ton foutre...
Quelques va-et-vient plus tard, je jouis avec une telle puissance que mon sperme jaillit en longues saccades jusque sous le menton de Désiré. Je délire de plaisir tant c'est fort. Groggy. Je suis groggy. Au même moment, la queue de mon amant vibre au fond de mes entrailles. Je me sens inondé par d'intenses et chauds jets liquides. Désiré jouit en moi ! Je ressens plusieurs vibrations, chacune accompagnée par une nouvelle projection de foutre. Les yeux fermés, les mâchoires crispées sous l'effet de cette longue jouissance, Désiré se retire. Son sperme jaillit alors de mon orifice. Il y a bien de quoi emplir un demi-verre...
L'un et l'autre reconnaissant, repus, nous nous enlaçons tendrement. Désiré a le mot de la fin :
Désormais, nous voici tous deux amants et bons baiseurs, moi ton possesseur, toi ma petite chatte. Tu me donnes ton cul, ton désormais vagin. Je te donne ma queue et mes couilles. Sans que tu me le dises, je te sens voué à cette queue et moi, j'adore enfiler ta chatte devenue si accueillante. Je sens que nous allons bien profiter, savoir jouir l'un avec l'autre.
Comblé en cet instant, je n'imaginais pas que d'autres lendemains lubriques et pervers m'attendaient. Désiré détenait encore bien des secrets que j'allais devoir progressivement découvrir au prix de mon cul...
(à suivre)
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