Une Langue Bien Pendue...
Mes lèvres collées sur son sexe depuis maintenant 20 minutes et la vision de sa vulve
bien ouverte ne me faisait pas oublier la position humiliante dans laquelle je me
trouvais pour la troisième fois cette semaine.
A genoux, les mains menottées dans le dos et nu face à Catherine assise sur le rebord
du fauteuil feuilletant négligemment le magasine télé, je fouillais avec application
son intimité, derrière moi jentendais le générique de début de NCIS quelle savait
que jappréciais particulièrement.
Comment en étais je arrivé là ?
Elle avait découvert sur lordinateur de la maison quelques sites pour adultes que je
consultais régulièrement et qui ne laissait aucun doutes possible sur mes gouts
prononcés pour la soumission. Elle avait donc décidé de tirer profit de la situation
pour avoir son mari à ses pieds aussi souvent quelle le désirait et sachant que jy
trouvais moi aussi mon bonheur elle nhésita pas longtemps avant de devenir une femme
des plus exigeantes avec moi. Cest ainsi que, assise devant lécran de lordinateur
elle mappela pour avoir des explications à propos de ses connections douteuses,
explications que je ne su lui donner hésitant longuement entre la plaisanterie
douteuse et le mensonge flagrant ce qui lavait mise de colère et avait ordonnée un
cunnilingus:
«Puisque tu aime ça, mets toi a genoux devant moi et lèche ma chatte! Et tu as intérêt
de me faire moi jouir, sinon cest la punition assurée : la fessée et au coin! »
Cest donc le derrière rouge écarlate, le pantalon et le slip en bas des cuisses
quelle menvoya au coin.
Un coup de feu ! Visiblement Gibbs avait du fil à retordre jaurais aimé, sans mes
menottes et sans être pris entre ses jambes pouvoir me retourner , car jentendais la
voix de son assistante (tout aussi jolie dailleurs), inlassablement je poursuivais
mon lèche minou , ses cuisses à présent remontées sur les accoudoirs, elle feignait
toujours lindifférence, je ressentais parfois pourtant quelques tressaillements de sa
part .
Je repartais dans mes pensées et me souvint de la lente évolution de nos relations,
les fessées et les punitions se multipliaient , le cunnilingus obligatoire se
généralisait et le 69 sintensifiait. Il nétait pas rare maintenant quelle
mattache dans le lit conjugal et quelle « oublie » de me détacher durant la nuit,
profitant de moi à loisir. Sur le plan relationnel je perdais aussi confiance en moi,
il arrivait alors que jétais dans la même position quaujourdhui, quelle discute au
téléphone avec des amis et quaprès avoir dit que je nétais pas là glisse des jeux de
mots vaseux du style
« Cest vrai quil a la langue bien pendue ! » ; « il ferait mieux de tourner 7 fois
la langue dans sa bouche », ou encore « je ne sais pas où il a encore été fourrer son
nez !
Le énième whisky emplissait le verre de Gibbs, manifestement on approchait du
dénouement , je navais pas démérité, me semblait il, et dailleurs malgré son
détachement je sentais Catherine au bord de lexplosion, son sexe était plus humide
quAbbeville en automne , quelques soupirs lui échappaient à présent. Ses cuisses se
refermaient sur mes deux oreilles et le frottement de ses bas mexcitaient au plus
haut point.
Dans le même temps ses pieds redescendaient peu à peu vers mon bas ventre pour entamer
une masturbation rugueuse, cétait à présent son nouveau dada.
Peu après jentendis la musique de fin du téléfilm ,Catherine sans un mot se releva,
contempla ma verge tendue et humide, (jétais si excité que mon sexe coulait) esquissa
un sourire entendu et me dit:
« je vais me coucher mon chéri, quant à toi tu garde les menottes, tu serras quitte de
faire des bêtises cette nuit et je te mettrai quelque chose sur les fesses sinon tu
vas salir les draps tellement tu mouille! »
Je la suivi penaud, honteux et la verge bien droite jusquà la chambre à coucher pour
la voir ouvrir son tiroir doù elle en sorti une de ses culotte en dentelle quelle
me fit mettre dautorité avec un «dépêche toi denfiler ça !» puis je la regardai se
déshabiller et se glisser sous les draps frais du lit.
patiemment ses ordres car je savais par expérience que je ne devais en aucun cas
prendre linitiative de me coucher sans sa permission. Elle me contempla un instant
lair satisfaite puis mindiqua que je pouvais me coucher, me fit un baiser et coupa
la lumière me laissant seul avec mes pensées.
Dans le noir je repensais encore à sa prise de pouvoir, lorsque honteux javais reçu
la fessée suite à un cunnilingus interrompu par une de mes question stupide , elle
mavais tirer sans ménagement par loreille et voyant que je tentais désespérément de
la suivre en remontant mon pantalon elle mavait mis une tape sur une fesse en
ajoutant:
« Tu reste cul nu, tu ne mérite pas dêtre habillé devant moi, cest ta punition!»
Cest ainsi que 15 mn plus tard ma femme commença mon éducation car elle profita
rapidement de la situation pour mettre les choses au point avec moi ce qui fut quand
jy pense particulièrement claire. Mappelant sur un ton faussement mielleux , elle
mordonna de la rejoindre:
« Met toi nu et viens te mettre à genou devant moi, jai deux ou trois choses à
mettre au point avec toi mon chéri »Jôtais rapidement mes affaires et ne mis que
quelques secondes pour lui obéir!
« Bien, pour commencer et avant toutes choses tu te remet entre mes jambes cest là
que tu es le mieux, sort ta langue et applique toi cette foi si, et ne tavise pas de
parler» Je minstallai donc entre ses cuisses ouvertes, et repris consciencieusement
mon travaille de lèche minou. Je la sentie se détendre lentement sous mes coups de
langue, elle inspira profondément avant de mexpliquer mes nouvelles directives:
« Dorénavant, tu devras mobéir sans discuter, tu vivras entièrement nu ou tu porteras
la tenue que je voudrai bien te donner et sans discuter! Jexigerai de jouir souvent
et tu ty appliqueras attentivement en mappelant Madame » Elle tapota sur ma tète:
« Applique toi! »
À suivre
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