Martine Se Revele Maso

Ma femme, Martine, a toujours été assez exhibitionniste. Nous pratiquons en effet le
naturisme depuis des années au CAP D’AGDE et je m’étais rendu compte qu’elle ne
faisait pas dans la discrétion durant ses séances de bronzage sur la plage, exposant
sans réserve toutes les parties de son corps, sans se préoccuper de la présence de
nombreux vacanciers certes aussi nus que nous mais plus discrets dans leur
comportement. Je ne lui ai jamais fait aucune remarque car cela m’excitait de la voir
ainsi observée par nombre de regards intéressés, réprobateurs pour certains,
concupiscents pour d’autres, aussi bien d’ailleurs masculins que féminins.

Ce que je ne savais par contre pas, malgré maintenant nos 8 ans de vie commune, c’est
qu’en plus, elle avait des tendances maso très prononcées, qu’elle ignorait peut-être
elle-même. En tous cas, c’est cette découverte que je vais vous raconter :

Que je vous présente d’abord Martine :

Martine est une jolie brune de 35 ans assez grande et élancée (170 cm)
Pour un poids de forme de 58 kg.
Elle est dotée d’une superbe paire de seins légèrement en poire très peu tombants et
fermes malgré une maternité qui lui a laissé de belles aréoles presque brunes et de
superbes tétons qu’elle a accepté récemment de se faire percer pour les orner de jolis
anneaux d’or – peut-être une première révélation maso, car elle m’a avoué que cela «
ne faisait pas du bien » - .
Ses longues jambes musclées se terminent coté pile, par une superbe paire de fesses
bien rondes et tout aussi musclées, résultat de la pratique régulière de gymnastique.
Coté face, son pubis est orné d’une très belle fourrure noire et soyeuse que
j’entretiens régulièrement, en lui laissant un V assez fermé dont la pointe est posée
juste en haut de la vulve, au point de rencontre des deux grandes lèvres, au dessus du
capuchon du clitoris.


Sous cette toison tout le sexe est exempt de tout poil, les petites lèvres
suffisamment longues pour ressortir de la fente des grandes lèvres en un ourlet
sinueux de couleur légèrement plus foncée.

Revenons maintenant à mon histoire :


Il y a maintenant quatre mois, j’avais invité trois de mes vieux amis à la maison pour
fêter ma récente promotion et j’avais demandé à ma femme si elle acceptait de leur
faire la surprise d’un strip tease à l’issue du lunch, ce qu’elle acceptât avec
beaucoup d’entrain.

Elle avait déjà pratiqué cet exercice, mais pour moi seul, à l’occasion de mon dernier
anniversaire. J’avais beaucoup apprécié ce cadeau et lui avait dit qu’elle avait
réalisé sa prestation comme une authentique professionnelle.
Elle avait apprécié ce compliment en m’avouant que cela lui avait également beaucoup
plu, ce dont je me suis rendu compte dans la foulée, en constatant l’humidité rarement
égalée de sa vulve qui en coulait presque et la fougue de notre rapport qui en suivi.

Jean, l’un de ces amis, récemment divorcé, avait déjà eu l’occasion de voir Martine
nue lors de précédentes vacances au camp naturiste. Il était alors accompagné de son
épouse, elle aussi naturiste. Par contre, les deux autres amis, tous deux
célibataires, ne connaissaient Martine qu’habillée, avec toujours beaucoup d’élégance.

Comme prévu, après un lunch excellent et bien arrosé nous nous retirâmes au salon pour
prendre le café que Martine était allée préparer.
Au bout d’un petit quart d’heure, celle-ci nous revint avec le dit café mais habillée
en soubrette, robe noire et tablier blanc, chaussée de souliers noirs portés sur des
chaussettes blanches montantes.

La surprise de nos trois invités !!!!

Après avoir déposé le plateau et servi avec sourire mais sans un mot la tasse
de chacun, elle enclencha un CD qui se mit à diffuser une musique digne du crazy-
horse.
Martine entama alors une danse lascive à deux mètres de son public pour le
moins étonné par ce spectacle inattendu, puis commença son effeuillage subjuguant
totalement mes trois amis.

Après le tablier et la robe éliminés assez rapidement, Martine se retrouva en
slip et soutien-gorge de dentelle noire bizarrement assortis aux longues chaussettes
qui lui arrivaient très haut au dessus des genoux. Le soutien-gorge laissait largement
deviner les aréoles larges et foncée mais sans révéler les anneaux, repliés sous les
tétons. Le slip était de forme classique et la dentelle laissait soupçonner l’ombre de
la toison bien épaisse mais taillée de frais pour l’occasion
A cette étape du spectacle, chacun avait avalé son café, quitte à se brûler un peu la
langue.

Après quelques déhanchements suggestifs en accord parfait avec la musique,
comme une vraie professionnelle, elle se débarrassa de son soutien-gorge, pour exhiber
sa magnifique paire de seins et leurs mamelons affublés de leurs anneaux d’or.
Tout en plongeant son regard successivement dans les yeux de chacun de nos
invités, elle accentua ses déhanchements et ondula en de larges mouvements d’épaules
qui eurent pour effet d’entraîner les seins dans de grands mouvements désordonnés qui
mirent en émoi les 4 mâles totalement muets et rivés au spectacle qui leur était ainsi
offert. Ce premier épisode dura bien cinq bonnes minutes.

Martine nous tourna alors le dos et s’attaqua au slip en commençant par en
transformer le triangle arrière en une simple ficelle disparaissant entre ses deux
fesses tout en accentuant encore ses déhanchements et en martelant le sol ce qui eut
pour effet de faire vibrer la chair ferme de sa croupe.

Toujours parfaitement synchronisée avec la musique qu’elle connaissait
parfaitement elle se pencha en avant, toujours le dos tourné, nous offrant alors le
double spectacle de ses seins oscillant mollement de chaque coté du torse et de sa
croupe animée de mouvements saccadés, uniquement protégée d’un slip devenu string tiré
fortement des deux mains vers le haut.

Ainsi offerte à nos regards, nous devinions l’anneau brun et strié de son anus
barré de dentelle et le triangle avant du slip plaqué sur la vulve dont on devinait le
contour des lèvres.
Mon sexe devint très dur et difficile à contenir dans mon slip. Je me disais
que cela devait également être le cas chez mes amis dont l’état d’excitation se
traduisait sur leur visage par une coloration rouge, (cramoisi pour Jean-paul). Tous
avaient le visage humide et les yeux brillants.
Je me demandais si j’avais bien fait de leur offrir ce spectacle et comment ils
allaient retrouver leur état normal à l’issue du spectacle.

A ce moment de ma réflexion, le morceau de musique toucha à sa fin et Martine
se redressa. L’assistance, convaincue que le strip prenait fin, remercièrent l’artiste
par de chaleureux applaudissements pour ce spectacle inattendu mais qui, visiblement
les avait échauffés.
A notre grande surprise (moi y compris, convaincu comme les autres que le spectacle
était terminé) un autre morceau démarra ce qui mit fin aux applaudissements. Le
spectacle continuait

Je vois encore les regards de mes amis quand ils la virent se tourner vers nous et
entamer une sorte de danse du ventre.
Enserrant ses deux seins entre ses bras, de ses deux mains elle repoussa les bords du
slip pour faire au triangle avant le même sort qu’au triangle arrière en le tirant
fortement vers le haut. Réduit également à l’état de ficelle, le slip pris place dans
la fente de la chatte laissant apparaître un triangle de poils noirs brillants et bien
fourni, les grandes lèvres un peu gonflées renvoyées de chaque coté de l’étroite bande
de tissu écrasant en les cachant, petites lèvres et clitoris.

Les déhanchements qui suivirent devinrent carrément pornographiques laissant planer un
moment sur les spectateurs, une sorte de gêne que tout le monde avait l’air de
ressentir, moi y compris.

Cela ne dura qu’un instant. Pour chasser ces états d’âmes je me mis à frapper dans mes
mains au rythme de la musique, vite rejoint par mes compères, encourageant Martine à
poursuivre ses déhanchements.
Les 4 paires d’yeux ne savaient plus s’ils devaient fixer les seins dodelinant en
rythme ou scruter la vulve, dont la ficelle de plus en plus humide laissait maintenant
apparaitre un peu les petites lèvres de chaque coté

Puis le slip descendit lentement jusqu’aux chevilles pour être ensuite adroitement
lancé dans ma direction (après tout, cette soirée était en mon honneur).
A ce moment j’étais sincèrement convaincu que le spectacle se terminait. -Martine
ayant parfaitement accompli son « contrat » -, et qu’elle allait nous quitter pour
aller revêtir à nouveau une tenue décente

Pourtant, Martine, maintenant totalement nue et comme en transe, continuait
son déhanchement en parfaite synchronisation avec la musique qu’elle avait choisie
très dynamique et saccadée ce qui nous donnait le spectacle de ce corps de femme,
toujours en mouvement, sans aucune pudeur, dévoilant maintenant les parties les plus
intimes de ce qui, normalement m’étaient exclusivement réservé, levant les jambes,
l’une après l’autre, presque à la verticale (plus jeune, Martine avait fait de la
danse classique) vous laissant imaginer le spectacle inouï qu’elle offrait et en
prenant des poses de plus en plus osées jusqu’à la fin de la musique. J’étais envahi
de sentiments divers mais ne fis aucune remarque, ni pour interdire ni pour
encourager.

A ce moment je ne savais pas ce que pensaient vraiment mes amis de Martine et
dans quel état ils étaient. Mais manifestement ils avaient apprécié le spectacle et la
remercièrent par une nouvelle salve d’applaudissements assortis de « bravo Martine »
, « merci Martine ».

Martine comme une véritable artiste, se courba devant ses spectateurs.

Mais, au lieu de se retirer, elle resta alors debout devant nous, complètement nue, à
l’exception de ses grandes chaussettes blanches qu’elle avait curieusement conservées,
les jambes légèrement écartées, ce qui nous permettait d’admirer, nous qui étions
assis, la fourrure brillante et humide, la fente de la vulve, de laquelle ressortaient
les franges des petites lèvres qu’elle a assez épaisses lorsqu’elle est excitée.

Elle se mit les mains rassemblées sur la nuque et sa respiration rendue rapide par la
prestation entraînait le léger mouvement des deux seins entre lesquels perlaient des
gouttes de sueur qui descendaient, via le nombril, dans la touffe moite de la chatte.

Je me demandais ce que Martine attendait dans cette position. Ce qu’elle avait fait, à
ma demande, même si je ne lui avais pas demandé d’aller aussi loin, était un véritable
pousse au viol.

Elle avait l’air d’attendre que quelqu’un décide de ce que l’on ferait d’elle.

Ce qui en suivi vous sera raconté dans un second envoi si vous m’y encouragez

Je vous confirme que cela est une histoire vraie

PR-D

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