Sous Son Emprise 4... Ça Redémarre !

Alors qu’il avait dit que les choses sérieuse allait commencer suite à des petits
soucis de son côté nous n’avons plus eu l’occasion de nous voir… Je lui envoyais de
temps en temps des photos de moi dénudée…
Je finis par sortir avec un garçon, de là je m’éloignais encore plus de lui et on fit
nos vies chacun de notre côté… Je ne le lui dis que 2 mois plus tard que j’étais avec
quelqu’un.
Il me fit une scène comme quoi il n’était pas content que je continue à le chauffer et
lui envoyer des photos de moi, ce que je pouvais comprendre… De là tout contact fut
rompu et je savais qu’il ne reprendrait pas contact trop fier pour le faire !
Je me décidais donc à lui envoyer un message :
« Coucou, comment va tu depuis le temps ? »
- Ca va et toi ?
« Ca va ! Quoi de neuf ? Le travail ? Les amours ? »
- Rien de bien neuf, j’ai ouvert ma boite et personne en ce moment et toi ?
« Je viens de perdre mon job et c’est fini avec mon copain… »
- Désolé pour toi.
« Dis, ça te dirais que l’on se revoit ? »
- C’est pas que je ne veux pas mais je ne rentre presque jamais chez moi
tellement je suis débordé !
« Je peux passer à ton travail si tu veux ? J’irais chercher à manger, on mangera et
discutera là ? »
- Si tu veux, passe à 20 heures.
Il m’envoyait l’adresse et je n’eus pas de nouvelles de la journée.
En réalité, mon copain m’avait trompée et pas qu’une fois et avec plusieurs filles, au
niveau sexe ça n’allais pas entre nous, je n’aimais plus le conventionnel et je
m’ennuyais vraiment… Bref, je pense que je n’avais rien perdu ! Depuis que c’était
fini avec lui j’avais multiplié les expériences mais je n’étais jamais satisfaite,
j’avais même essayé de me mettre avec une fille, sans espoir !
Il faisait chaud ce jour-là, je devais faire mon ménage et il manquait d’air chez moi
! J’avais été faire mes recherches d’emplois et déposer des C.

V la matinée, j’ôtai mon
tee short et mon pantalon ainsi que mes chaussettes et chaussures et mon soutien-
gorge, au final, personne ne me voyait !
Je fis le ménage et pensait à la soirée, au fur et à mesure que j’y pensais, j’avais
des images de notre relation passée et je dois avouer que j’éprouvais une certaine
excitation… Lorsque j’eu fini, je contemplai mon travail, essoufflée par la chaleur
qui m’empêchait de respirer mais pas peu fière de mon travail malgré que je
transpirais !
Je partis dans la salle de bain et fit glisser mon string le long de mes jambes, je
fis passer un pied et puis l’autre, le laissais là et rentrait dans ma douche !
L’eau chaude coulait le long de mon corps, je me savonnais et une fois arrivée à
hauteur de mon sexe je commençais à caresser… Il fallait que je me calme !
Je finis par assez vite sortir de ma douche, je m’essuyais et mit l’essuie autour de
moi et un autre autour de mes cheveux, je partis dans ma chambre pour voir ce que
j’allais mettre, mon portable sonnais, je reçu un message, je le lu :
« Coucou ma belle que fais-tu de beau ? »
- Je viens de finir de me laver et toi que fais-tu ?
« Je me disais que je pourrais passer ! »
- Non, pas aujourd’hui, je n’ai pas envie…
« Tu ries ? Tu as toujours envie… »
- Oui, mais pas aujourd’hui désolée…
« Tu as déjà vu quelqu’un d’autre ou tu vas voir quelqu’un d’autre ? »
- Non pourquoi ?
« Parce que tu m’appelles souvent pourtant d’habitudes… Je vais me vider où moi ? »
- Hey ! Je ne suis pas une vide couille !
« Excuse-moi mais qui j’ai payé pour avoir des relations sexuels ? TOI ! Qui
m’appelle et m’attends ensuite les jambes écartées ? TOI ! Alors excuse-moi encore
fois, mais tu n’es qu’une vide couille ! »
Je me retrouvais bête face à son message, il était vrai que j’avais couchée quelques
fois avec lui pour de l’argent, mais sans travail j’avais besoin d’argent parfois… Et
il avait raison aussi, j’étais son vide couille…
- Ca va tu peux venir mais fais vite…
« Ok, attends-moi comme d’habitude alors ! »
Je jetai le téléphone sur le lit et regardait dans ma garde-robe ce que je pourrais
mettre, je voulais être bien habillée et un peu le provoquer aussi mais pas de trop !
De plus je devais prendre en compte qu’il faisait chaud…
Je sortis toutes les robes et je finis par mettre une bleu ciel légèrement décolletée
et un rien plus haut que mes genoux, je préparais des sous-vêtements de la même
couleur et des ballerines approprié que j’amenais dans la salle de bain…
J’eu le temps de boire un coup d’eau et je reçu un message.
« Je suis là dans 10 minutes prépare toi, comme d’habitude ! »
Je déposais le téléphone sur ma table de chevet et ouvrit le tiroir, je sortis les
menottes et le foulard, j’attachais une menotte à mon poignet droit et mit le foulard,
je m’assis sur le lit et fit passer mon poignet droit derrière ma tête et avec ma main
gauche je fis passer la menotte de l’autre côté du barreau de mon lit, je fis attachée
et j’entendis le « click ». Je me laissais descendre dans le lit, les mains attachées
au-dessus de sa tête, les yeux bandés et j’écartais les jambes.
J’entendis la porte s’ouvrir et des pas, des vêtements qui tombaient par terre, une
braguette qui se défait… Et je sentis sur mes lèvres… Son sexe.
J’ouvris ma bouche, il mit sa main derrière ma tête et fit des va et viens dedans, il
se retira et j’entendis le tiroir de ma commode être tiré, puis refermé…
C’était froid et il le pénétra en moi et le mit en marche, il fit aller le
vibromasseur…
- Alors qui vas-tu voir ? Me dit-il.
- Personne ! Répondis-je commençant à me tortiller.
Quelque chose se referma sur mon téton.
- Aaaaah ! Criais-je.
- Qui vas-tu voir ? Seconde et dernière fois !
- Personne ! Je te promets !
- T’es vraiment qu’une menteuse !
Ça se referma sur mon second téton et m’arracha un second cri de douleur. Il fit
bouger ce qui était contre mon sein et sortit de la pièce puis revint…
- Bon tu en finis ? Dis-je.
- Tais-toi ! Répondit-il en m’envoyant l’eau de son verre au visage.
Il retira les pinces de mes seins ce qui fit des lancements et retira le vibromasseur
par la même occasion, il appuya son sexe contre le mien en relevant mes jambes au-
dessus de ses épaules et l’inséra profondément en moi, il me tenait par les fesses de
manière à ce que ça ait bien au bout.
Il fit les va et viens, ça dura assez longtemps et lorsqu’il eut finit se retirais, il
m’ouvrit la bouche et versa le liquide de son préservatif qu’il avait enfilé sans même
que je ne le sente.
Il détacha mes mains et j’enlevais mon foulard, je levais les yeux vers lui.
- Tu veux une compensation ?
- Je ne suis pas une pute !
- Je ne dis pas ça pour ça, je sais que depuis que tu as perdu ton travail tu as
du mal.
- Non merci !
- C’est comme tu veux, je file moi.
- Ok, bonne soirée.
- Merci toi aussi et tu sais où appeler quand tu as besoin !
Il sortit et je restais un petit moment sur le lit, je regardais mes tétons un peu
rouge… Il était plus que temps que tout redevienne comme avant !
Je me levais et retournais prendre une douche, je fis un message de confirmation que
c’était toujours ok pour le soir, la réponse fut affirmative.
J’enfilais mes sous-vêtements et ma robe ainsi que mes ballerines et partit chercher
un chinois et me dirigeais vers l’adresse indiqué dans son message.
C’était un petit bâtiment, une maison rénové je dirais sans trop de certitude ! Je
sonnais et j’entendis « j’ouvre, monte, première porte à droite ».
Je me dirigeais donc vers où il me dit, frappa à la porte et entra.
- Coucou !
- Hey là comment va tu ? Assieds-toi.
Je le trouvais impressionnant, il avait une petite chemise, il n’était pas du genre à
se prendre au sérieux, même en tant que chef, un tas de dossier devant lui.