Mon Premier Fistage
Je réunis tous mes amis : jen ai pas mal. Jai 40 ans, je me sens âgée, jai décidé
de restreindre ma vie sexuelle sans doute trop active. Ceux qui sont là sont mes
anciens amants ou amantes. Je ne suis pas sectaire, jaime autant lamour au masculin
quau féminin. Avec retard, jai découvert lamour au singulier, avec tous les jouets
actuels les plaisirs solitaires sont accessibles à tous.
Pour que la fête soit complète jai décidé dorganiser une méga partouze. Avant de me
présenter à mes invités je me regarde dans la glace : jai mes seins biens durs, même
sils tombent légèrement (je serais la seule à le savoir) mes fesses sont toujours
aussi dures. Bref je suis baisable. Je « mhabille » en mettant une jupette style
tennis, en plus court. Le haut, un simple foulard suffira : cest facile à enlever. Je
sais que mes proches, mes moins anciens amants(tes) savent pourquoi ils sont là.
Jarrive un peu après les autres que jabreuve de champagne. Quelques couples se
forment sans aller jusquà être nus encore. Je suis accueillie comme une reine. Je
reçois les hommages qui me sont dus. Jai fait lamour avec tous les hommes réunis
ainsi quavec les nombreuses filles. Ils connaissent tous mon corps, mon sexe et mon
cul. Si cétait possible je voudrais quils viennent tous encore une fois me baiser.
Je décide que la fête commence : mes invités savent quils peuvent faire ce quils
veulent : ils ne se gênent pas. Je remarque même deux hommes dans la trentaine qui
mavaient fait lamour une fois les deux ensemble (je garde un souvenir inoubliable de
leurs queues, une devant lautre derrière) Jen avais un autre dans la bouche, au
moins tous mes trous étaient remplis. Donc ces deux hommes sembrassent sur la bouche.
Je ne savais même pas quils étaient homos. Jaime voir deux hommes se donner du
plaisir, la dernière fois les deux faisaient un 69.
se sucer pour jouir dans la bouche de lautre. Je les regardais en me branlant.
Sinon les couples se forment pour une première baise, sauf une jeune fille qui est
seule, nue, au milieu de couple occupés à recevoir un sexe ou le mettre. Je ne la
connais pas, je me demande qui elle est. Je vais vers elle nue, moi encore habillée.
- Je ne te connais pas, qui es tu ?
- Je suis la fille de Marcel, un de tes ex qui ma demandé de le remplacer.
- Je me souviens de Marcel, nous avons baisé lan dernier je crois.
- Cest ce quil ma dit.
- Ton père te parle de ses maitresses ?
- Oui, jaime savoir.
- Et toi tu baises ?
- Bien sur je parais jeune, jai quand même 19 ans, je baise depuis que jai 13 ans et
mon père le sait, cest pour ça quil ma dit de venir.
- Tu naimes que les hommes.
- Non par particulièrement, je préfère les filles, sil ny en a pas, je vais avec des
hommes : jaime me faire sodomiser.
- Si te veux je peux te baiser.
- Toi, je te croyais hétéro.
- Je suis bisexuelle. Comme toi je pense, jaime aussi avoir une bite au cul, nous
pouvons trouver une bite compatissante. Je nai pas envie de baiser en public
aujourdhui. Je lemmène dans une petite chambre au premier.
Elle enlève ma jupette et le foulard. Je pensais avoir affaire à une gamine, jai
droit à une fille drôlement dominante. Elle membrasse immédiatement, sans me faire
une proposition. Cette gamine me donne des leçons de baise : sa langue est vite dans
ma bouche pendant quune main est déjà sur ma chatte. Je sens un doigt sur mon
clitoris quelle fait ressortir très vite. Je ne sais même pas comment elle fait. Ce
que je sais cest que mon plaisir atteint très vite le sommet : je navais jamais joui
aussi vite. Mes spasmes sont à peine finis quelle me doigte ; jai le puits occupé
par sa main.
Elle me pousse sur le lit. Jécarte les jambes pour une suite que jespère. Elle
menjambe pour me sucer : son con est juste contre ma bouche. Elle sent bon, elle a
bon gout. Ma langue ségare dans les replis de sa chatte. Son clitoris gonfle vite
sous ma langue. Je lui mets deux doigts dans le rectum. Elle les accepte bien sur. Je
lime son cul avec ma main.
Elle aussi me lèche, je sens quelle me met beaucoup de salive sur ma chatte. Je me
demande bien pourquoi. Jai la réponse quand je sens quelle entre presque tous ses
doigts à la fois, quelle fait quelques vas et viens avant dentrer toute sa main.
Elle me fait un peu mal au début. Quel bonheur davoir son vagin envahi de la sorte.
Je ne gémis pas, jhurle mon bonheur dêtre totalement remplie. Mon corps nest que
plaisir alors quelle noccupe quun petit endroit. Ma jouissance est continue. Aucune
fille ne mavait faite jouir ainsi à ce niveau.
Je la laisse faire en me disant pourvu quelle continue. Pour continuer, elle va plus
loin, cest au tour de mon anus dêtre pénétré de la même façon. On appelle un cul
petit trou, ce nest plus le cas : elle rentre son autre main encore plus profond.
Elle est à genoux devant moi, entre mes jambes ses deux mains dans mon corps, elles
les agitent en cadence. Et moi je cri de plus en plus fort. Je ne suis plus que
jouissance, mes orgasmes se confondent.
Je suis complètement dans les vapes : ma jouissance ne finit pas. Jai la bouche
sèche, je voudrai sa bouche pour quelle me donne de la salive. Je voudrais aussi sa
chatte pour lécher sa cyprine. Je veux tout sauf quelle arrête. Elle pousse le vice
jusquà poser ses lèvres sur le clitoris, ou ce qui en reste hors de mon ventre. Sa
langue appuie comme jamais : elle connaît bien les femmes pour me donner ce genre de
caresses que je ne connais pas, que je vais demander souvent ;
Elle arrête pendant que je jouis une dernière fois.
Je montre presque à la moitié de son avant bras. Elle conserve pour elle la main qui
était dans mon cul.
Maintenant elle vient sur moi en 69. Position que je connais bien. Je recommence à la
lécher. Je lui mets pratiquement tous mes doigts dans lanus :
- Oui, plus profond, encules moi. Fais moi comme je tai fait en te fistant.
Je vais essayer de faire comme elle. Je sais que je dois mouiller son entrée encore
plus que pour une sodomie normale. Ma bouche oublie son con. Je me consacre à essayer
de lui mettre ma main fermée dans le conduit anal. Elle oublie mes cuisses pour
écarter les siennes au point que je crois presque que ses fesses font se séparer. Elle
force à peine pour ouvrir le cul. Je fais lessai en entrant dabord lindex et le
majeur avec le pouce. Je ne force pas de tout. Jenfile le dernier doigt pour que ma
main aille le plus loin possible dans ses boyaux : elle gémit fortement, sans arrêter
le cunnilingus. Je suis surprise de voir avec quelle facilité je la fiste. Elle doit
en avoir lhabitude. Ma main va et vient sans cesse : je sens souvent des crispations
autour de ma main : elle jouit comme moi tout à lheure. Je vois avec curiosité son
anus se refermer sur lavant bras. Je continue jusquà quelle demande grâce.
Quand je me lève jai mal au cul. Jai mal comme elle. Mais quel délice de jouir
ainsi. Jen ai oublié mes invités. De femme peu recommandable je devient une femme
vouée à un seul plaisir ; le fistage.
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