Mon Supporter (Suite)
Jai changé de tactique avec mon mari. Quand il me baise, si, si, ça arrive, il me
fait toujours du bien. Mon esprit est ailleurs, il est avec Julien et le MHRC le club
de rugby que je supporte. Depuis notre premier déplacement de la saison où nous nous
sommes connus physiquement sans que les autres sen aperçoivent nous nous retrouvions
les jours dentrainement de léquipe dans un de ces hôtels suffisamment luxueux pour
ce que nous devions y faire. Un jour jai eu peur de reconnaitre un voisin entrant
avec une dame bien élégante du voisinage aussi. Jai demandé à Julien de changer de
quartier général. Comme il fait tout ce que je demande nous avons trouvé à trois
minute un hôtel similaire.
Je ne sais si cest le changement dendroit ou si un de nous deux avait des envies
spéciales. Nous avons baisé comme des bêtes, surtout moi qui la veille regrettais de
mêtre faite si mal sodomisée. Nous avons fait le tour de la chambre, finalement plus
accueillante que lautre. Comme une gamine jai sauté sur le lit pour juger de la
souplesse du matelas. Julien ma attrapée au vol quand je descendais pour me coucher.
Je ne sais pas comment il a fait, je me suis trouvée nue rapidement. Jai joué à
leffarouchée en cachant mes seins et mon pubis par mes bras et ma main. Il ma
retourné sur le ventre, a mis sa main dans ma raie fessière, a glissé son doigt bien
loin, là bas en bas. Je nai pas pu faire autrement que douvrir mes fesses et mon
anus:; il me faisait du bien rien quen me caressant cet endroit. Ce qui a été bon
cest quil ne ma pas entrer son doigt, enfin pas tout de suite, il a caresser le
tour de mon cul un bon moment, sans appuyer, puis de plus en plus rapidement et cette
fois en appuyant davantage. Je me souviens encore de lorgasme que jai eu, surtout
quand il a entré son doigt au moment de la jouissance.
première fois de laprès midi.
Quand je me suis remise sur le dos, il était presque nu. Sa queue battait la cadence
ordinaire dun bite prête à baiser avec les mouvement de bas en haut et retour.
Jadore la voir faire cette danse de lenvie de baiser. Je laime tellement que je ne
peux mempêcher de lattr au passage pour la gouter. A chaque fois que je lai
dans le bouche il me semble redécouvrir son odeur, son gout et sa fermeté. Comme je
sais quelle va entrer dans le ventre, quelle va me faire du bien, je la cajole un
peu avant, je la mordille tout le long, y compris mais là plus doucement le gland
violacé. Pour Julien je ne sais pas trop quel effet ça lui fait, je suppose autant que
quand sa langue est dans ma chatte. Je ne le suce pas vraiment, il le sait il
voudrait bien que je le fasse jouir, mais il sait quensuite je devrais forcer un peu
pour le faire bander.
Nous pourrions baiser maintenant. Nous ne sommes pas pressés, nos corps se touchent se
caressent. Nous sommes dans un cocon ensemble. Être ensemble nus, cest bon, nous
profitons de notre nudité: jaime son corps de plus en plus. Si nous pouvions vivre
ensemble !!! Hélas nous avons des attaches qui nous retiennent. Un jour peu être que
nous serons ensemble pour le reste de nos jours. Je philosophe pour rien: nous sommes
là pour notre plaisir. Maintenant nous ne nous caressons plus dans le bus en
déplacements, nous ne baisons que dans des hôtels.
Maintenant cest à moi dagir. Jai une jambe posée sur un cuisse. Mon avant bras et
appuyé sur cette cuisse. Je peux le caresser largement sans fatigue ni pour lui ni
pour moi. Je tiens sa queue à pleine main. Elle durcie encore: il a envie de jouir, je
ne veux que lui faire du bien. Je ne veux pas quil jouisse maintenant, alors je le
branle à ma façon: jentoure son prépuce avec tous mes doigts posés sur le haut de sa
bite.
touche pipi. Cest suffisant pour quil conserve son érection. Je peux maintenant le
lâcher, lenjamber comme jaime, poser mon entrée secrète sur son sexe. Je fais comme
jaime en me laissant tomber sur lui lentement. Je sens les chairs de mon vagin
sécarter devant sa queue. Quelle est grosse et bonne cette bite. Je la laisse aller
jusquau fond de mon ventre. Il maide beaucoup en bougeant comme moi. Je sens bien
ses poils contre mon pubis; Je sens surtout sa pine me faire du bien. Que cest bon
quand nous baisons tous les deux. Il me demande souvent si jaime sa queue. Comme si
je la détestait. Si je la hais quand il jouit sans moi.
En tout cas je prend mon pied, mieux que notre première fois rapide dans les toilettes
dun restaurant en revenant dun match. Rien que dy penser ça me fait jouir. Je
continu mon travail de baiseuse, quand je jouis encore.
Cest lui qui le veut: maintenant jai assez eu dorgasme de ce coté. Il me fait
tourner; je me mouille lanus avec ma cyprine, il y ajoute sa salive, jen remet de la
mienne. Jai lanus prêt à une invasion de bites. Je ne le guide plus depuis
longtemps, il sait bien où se trouve mon cul. Je sens sa main guider sa foreuse
spéciale sodomie. Il entre tout doucement pour que je profite de lintroduction de sa
bite dans lanus. Cest vrai, je suis peu être à lenvers des autres, jaime quand la
bite entre dans le sphincter.
Je déguste sa queue. Pour être plus à même de jouir plus, je me branle: cest lui qui
me la appris. Cest bon sa pine et ma main sur le clitoris où dans le vagin,
ensemble. Je pense brusquement quaujourdhui jai porté un petit outil qui va lui
servir pour que je jouisse plus. Je lui demande de fouiller dans mon sac. Il est
obligé de sortir de mes boyaux. Tant pis jen profiterais encore tout à lheure.
trouve le gode que jai porté spécialement pour la sodomie. Je lui demande de
menculer encore. Il le fait, je profite de la profondeur de sa queue dans le ventre
pour loger dans le vagin le gode assez gros finalement. Jai ma double pénétration. Il
me fait jouir comme une folle: je cris mon plaisir.
Il arrête tout, sort le gode, le mets dans le cul et force pour entrer sa bite juste
dans le même trou. Il est fou, jai mal. Il insiste, il a raison. Cette fois je ne
cris plus, jhurle carrément tellement cest bon.
Quand il jouit il sort enfin de moi. Quand je dis enfin ce nest pas pour moi, cest
pour lui: il a la queue presque douloureuse. Et moi dans tout ça: jai le cul
douloureux, mais heureux de cette pénétration inédite pour lui.
Nous nous câlinons beaucoup pour cette première: je décide que la prochaine fois il me
fera pareil en deux temps ainsi que devant. Je pense quil me transforme en véritable
obsédée du sexe et une véritable salpe. Pour le lui prouver jécarte bien les cuisses,
je pose une main sur le cul et lautre sur le vagin Je lui demande de bien regarder:
jenfonce presque lavant bras dans le cul. Je le fait aller et venir comme une bite.
Celle du vagin subit le même sort, jy met plus que la main. Les deux ensemble bougent
simultanément dans mon ventre. Il me regarde en se branlant. Je jouis encore cette
fois pour la dernière fois de la journée sans doute. Il éjacule sur mon ventre. Avec
ses doigts il me donne son sperme que jaime manger.
Entre nous il na jamais été question dinviter un tiers dans nos relation, alors que
mon mari me le demande, comme si javais besoin dun étranger me regarder me faire
mettre. Létranger que jai me suffit largement. Merci encore Julien de me dévergonder
et me faire jouir comme tu sais si bien le faire.
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