Leslie Vn13
Leslie VN13 - Vacances naturistes, Sylvie
Les amies de Laure, Sylvie et Christine, deux lesbiennes mais qui ne refusent pas de
temps à autre un sexe d'homme, viennent de téléphoner, elles sont en route et
arriveront dans la journée pour passer un week-end prolongé.
Laure ne peux s'empêcher à cette occasion de me raconter sa rencontre avec Sylvie et
ses aventures avec elle
« Jai rencontrée Sylvie lorsque je suis entrée en fac, je la trouvais très belle et
pleine de vie, elle ma certainement remarquée elle-aussi car très rapidement nous
nous sommes parlées et avons sympathisées.
Nous sommes devenues vraiment inséparables, jallais chez elle et elle venait chez
moi, nous faisions toujours nos devoirs ensemble et les week-ends se passaient chez
lune ou chez lautre.
Sylvie, pour les vacances dautomne me proposa de venir chez elle dans la maison de
ses parents, dans le sud à la Seyne sur Mer.
- Cest une propriété avec une grande maison et mes parents ne seront pas là,
nous serons vraiment tranquilles et pourront profiter de la piscine, me dit-elle.
Tu vois, Leslie, me dit Laure, je ne la voyais jamais avec des garçons, mais rien ne
me laissais supposer quelle aimait les filles. Pour moi cétait juste une très bonne
copine, peut-être une amie en devenir. Jaccepte donc son invitation histoire de faire
une petite coupure dans lannée scolaire et profiter des derniers beaux jours avant
lhiver.
Les parents de Sylvie ayant, chacun, une belle situation avaient offerts le permis de
conduire et une voiture pour ses dix-huit ans et cest en voiture que nous nous sommes
rendues à La Seyne sur Mer.
Parties au lever du jour le mercredi, nous arrivons dans la propriété tard en soirée.
Il ny a personne et après un petit repas improvisé avec ce que nous avions amené de
Paris, nous allons nous coucher pour récupérer de la route
La maison comporte plusieurs chambres, une pour les parents, une pour le frère de
Sylvie, celle de Sylvie, avec deux lits et deux autres servant aux invités.
commun accord nous allions donc dormir dans la chambre de Sylvie.
Le lendemain, je me suis levée la première et jai préparé le petit déjeuner. Sylvie
est venue me rejoindre dans la cuisine, peu de temps après, dans un pyjama en fine
toile, laissant deviner les rondeurs de sa poitrine et les pointes de ses seins.
Le petit déjeuner terminé je vais prendre une douche, puis je vais près de la piscine
car la journée est splendide et nous allons pouvoir profiter.
Je suis en maillot deux pièces, avec une serviette de bain, installée dans un transat
quand Sylvie vient me rejoindre revêtue, elle aussi, dun maillot deux pièces.
Elle sinstalle dans son transat, puis me demande :
- Ça ne te gêne pas si jenlève le haut.
En me disant cela elle me lance un grand sourire, comme pour me charmer et que moi
aussi jenlève le haut. À cette époque-là, je navais jamais fait de naturisme,
simplement à la plage en vacances javais pris lhabitude de retirer le haut pour
éviter les marques disgracieuses. Cest pour cela que naturellement je lui réponds :
- Non, pas du tout, dailleurs je vais faire la même chose.
Nous ôtons toutes les deux notre haut et je vois son regard se poser sur ma poitrine
nue de façon soutenue. Elle a le regard dun mec lorsquil regarde les nichons dune
fille, comme pour évaluer.
- Tu as de très beaux seins, me dit-elle, ils sont magnifiques.
- Les tiens sont bien aussi, lui dis-je.
- Jai de tous petits seins et jaimerais quils soient plus gros.
- Cest vrai ils ne sont pas très gros, mais ils sont très mignons.
Elle rapproche son visage de ma poitrine avec un regard inquisiteur et plein denvie,
Sylvie semble attentive à la texture de mes seins et je mattends à ce quelle tende
la main pour les toucher, mais elle sallonge dans son transat en soupirant
légèrement. Je suis incapable de dire ce que jaurais fait sil elle avait posé sa
main sur mes seins.
Après une baignade et un repos matinal au bord de la piscine, le midi nous prenons une
collation en restant les seins nus, puis nous retournons auprès de la piscine.
Le jardin de la maison et la piscine nayant aucun vis-à-vis, il ny a aucune crainte
quon nous voie, alors Sylvie, comme le matin, me dit :
- Et si maintenant on enlevait le bas.
Joignant le geste à la parole, elle est déjà en train de baisser sa culotte, bien que
peu habi à me montrer nue devant une fille, jôte moi aussi ma culotte de bain en
lui tournant le dos. Quand je me tourne, elle est face à moi totalement nue et nous
restons un moment à regarder mutuellement nos corps.
A cet instant Sylvie, en me regardant droit dans les yeux, me dit :
- Si jétais un mec, je dirais que tes vachement bandante.
Je ne sais pas pourquoi mais je baisse les yeux.
- Si tu tépilais le sexe je te trouverais encore plus belle, rajoute-t-elle.
Je constate alors quelle na plus aucun poil au niveau du pubis, au contraire de moi
qui ne fait que lépilation du maillot.
Elle retourne sallonger sur le transat en sarrangeant pour ouvrir largement ses
jambes, exhibant ainsi son intimité à mon regard.
Je suis et me sens troublée, je suis nue près de cette piscine avec Sylvie, toute
aussi nue que moi, qui me fait des avances en me félicitant pour ma beauté. Je me
demande à cet instant si Sylvie naime pas les filles et que je suis peut-être sa
prochaine proie.
En plus son sexe glabre nest pas fait pour mapaiser, au contraire, je trouve Sylvie
ainsi plus nue que nue et jai du mal quitter des yeux son sexe épilé.
- Tu regardes mon sexe sans poil, me dit-elle, tu sais cest agréable
Sylvie en disant cela passe sa main sur son pubis en ne me quittant pas des yeux.
- En plus cest très doux pour les caresses, agréable pour celle qui est épilée
et pour celle qui caresse.
La caresse de sa main se fait plus intense et devient même très précise, je me sens
troublée, mais je ne peux détourner le regard.
- Tu veux toucher, allez viens toucher.
Je suis dans un état second et je sens que je vais céder à sa demande, mon esprit
vacille et Sylvie me met dans tous mes états, je suis sûr que je mouille en ce moment.
Je mapproche de son transat et appose le bout de mes doigts sur son bas-ventre, il
est vrai que cest lisse et doux, Sylvie me prend le poignet pour guider ma caresse,
elle oblige ma main à descendre juste au-dessus de son sexe légèrement entrouverte et
mêlant ses doigts aux mains elle me guide dans une caresse de son sexe, les bouts de
mes doigts sentent quil est trempé.
Le trouble menvahit, et jai envie de me caresser, et je sursaute lorsquavec son
autre main elle prend un de mes seins pour le malaxer.
Je nen peux plus et je mets quelques instants à reprendre mes esprits pour mextraire
de son étreinte et calmer mon trouble.
Sylvie me dit :
- Tu sais si tu nes pas prête ce nest pas grave, je saurais attendre, mais
sache que je te désire, car je naime que les filles.
Sylvie venait de mavouer quelle me désirait et quelle aimait les filles, je repris
place dans mon transat et le reste de laprès-midi se passa ainsi sur la terrasse avec
quelques plongeons dans la piscine.
Sylvie resta sage et ne massaillit plus de compliments, ni davances. Elle avait sans
doute senti quelle mavait mise mal à laise, mais continua à me regarder avec envie
le restant de la journée.
Le soir nous avons tranquillement dinées et nous sommes parties nous coucher. »
A suivre
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