La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 75)
(suite de l'épisode 71 avec encorebelle)
Walter en vieux vicieux et voyant la soumise ainsi offerte répondit avec envie :
- Je vous remercie Monsieur... Mais, puis-je lemmener à la cuisine et aussi en faire
profiter notre Marie ?
- Mais faites donc mon cher, lui répondit Maître Aristocrate, usez et z sans
modération de ma chienne ! elle est à vous !
Alors Walter détacha encorebelle et tirant sur la laisse lemmena dans la cuisine.
Marie qui était en train de punir à coup de cravache les fesses dun esclave car la
vaisselle était mal rangée dans un placard, vit arriver le majordome et la chienne
- Quest-ce que tu mamènes, Walter ?
- Une chienne nous est offert, alors au lieu den profiter tout seul, jai pensé
partager mon plaisir en ten faisant profiter
si ça te dit, Marie
- Et comment, mon ami, attache-moi cette putain sur la table, on va samuser un peu
ha ! ha ! ha ! répondit Marie avec des yeux sadiques .. Elle congédia de suite le
soumis puni par un simple coup de pieds dans les côtes, tandis que Walter ligotait
encorebelle à la massive table de chêne en plein milieu de la grande cuisine rustique.
Il se trouve que Walter est un expert en divers bondages et nuds et cest assez
facilement quil attache la belle soumise. Celle-ci à plat ventre sur la table, a la
tête relevée par les cordages tirant sur ses épaules et rejoignent ses chevilles. Elle
est obligée de plier les genoux, qui pendent de part et dautres du plan de
travail et de relever les pieds. Son cul ferme et tout en rondeur remonte dune
façon extrêmement obscène. Pour finir, ses bras sont liés dans son dos. Elle se sent
vraiment impuissante ainsi, à la merci du couple de serviteurs du Marquis. Ils nont
même pas pris la peine de la bâillonner.
La cuisinière sapproche de la soumise, celle-ci sent les doigts de la cuisinière qui
glissent sur son cul, et sinsinuent dans la raie si bien exposée.
les globes des fesses, pousse son index dans la fente, débusque lillet de lanus et
fait tourner la pulpe de son doigt sur le pourtour du trou anal. encorebelle gigote
instinctivement comme pour refouler ses caresses impudiques. Mais elle ne peut rien
faire, ligotée comme elle est et subit les caresses perverses de Marie qui sattarde à
son anus en la doigtant
Le majordome reste pour le moment à bonne distance et se contente de regarder Marie à
loeuvre. Encorebelle sent son regard qui pèse sur son corps. Le doigt de Marie se
faisant plus pressant, elle en met désormais deux maintenant. La cuisinière remarque
que son travail rectal excite la chienne. Les premières gouttes de sa mouille affleure
lorée de sa chatte. Encorebelle se transforme en fontaine lorsque la cuisinière
remplace ses doigts par sa langue. Des deux mains, elle écarte encore plus la raie et
la soumise perçoit les coups de langues sur son trou. Puis le contact froid de quelque
chose de métallique, une sorte de petite boule. La soumise comprend rapidement que
Marie a la langue équipée dun piercing quelle fait tourner sur son anus et quelle
approche de plus en plus souvent de sa chatte.
Walter savance alors et tire sur les cordes pour lui faire relever encore un peu plus
la croupe. Marie lui mange littéralement tout le sillon, de lanus jusquau sommet de
la vulve. Encorebelle se surprend à gémir quand elle effleure de son piercing le petit
gland de son clito et quelle le happe avec ses lèvres. Malheureusement, elle le
quitte déjà, la laissant un peu sur sa faim. Se faire lécher par une femme avait un
goût exquis pour la chienne encorebelle
Mais la cuisinière revient vite et cette fois-ci, ce nest plus sa langue que la
soumise ressent en elle. Cest plus mécanique, ça manque de chaleur. Marie sadiquement
enfonce un objet oblong dans le cul de la chienne.
godemichet de cette matière, en métal. Ca ressemble à un sexe dhomme mais en plus
froid. La cuisinière le fait aller et venir avec régularité dans le fondement. Ce
nest pas la première fois que la soumise se fais enculer et son cul absorbe sans
broncher le calibre de lengin, qui doit être de taille raisonnable.
Mais quelle ne fut la surprise dencorebelle quand elle sent lobjet qui se met à
vibrer en émettant un bruit discret. Oui elle ressent une sorte de choc électrique au
plus profond de son ventre. Comme pour ajouter à son trouble, la cuisinière lui masse
la chatte sans douceur. Une fois de plus, la chienne coule sur la main de Marie. Elle
ne peut plus retenir ses gémissements et ses fesses commencent à rouler de droite à
gauche pour accompagner le mouvement du vibromasseur qui disparaît entièrement dans
ses entrailles et les caresses de la femme. La soumise ronronne, elle miaule presque
de plaisir. Ca dure un bon moment. Pas assez longtemps à son goût. Elle sent que sa
dompteuse tire sur quelque chose et son anus expulse lobjet qui vient de lui faire
éprouver tant de bien-être. La mouille de sa chatte coule sur ses cuisses. Et elle se
sent sale mais juste lespace dun instant car ses pulsions de chienne reprennent vite
le dessus. Et cest cette sensation davoir été possédée du cul quelle garde en elle,
plus que de se sentir sale.
Après sêtre assuré de sa docilité, Walter sapproche et la détache. Il sest, entre-
temps, déshabillé et cest entièrement nu quil sapproche de nouveau. Encorebelle
peut apprécier le sexe dressé au bas du ventre du majordome. La main de celui-ci est
posée dessus et la soumise aime à penser quil sest branlé pendant que sa compagne la
soumettait avec le gode métallique.
Walter lui fait comprendre que, même libérée de ses liens, elle est dans
limpossibilité de senfuir, daller retrouver son Maître.
serait totalement inutile, celui-ci ayant prêté sa chienne aux domestiques, il la
renverrai de suite à la cuisine. La porte de cette pièce justement nest même pas
fermée à clef. Walter fait allonger la soumise sur le dos, à même le carrelage du plan
de travail de la cuisine incorporée. Encorebelle obéit, consciente dêtre à la merci
du couple démoniaque.
Elle doit exposer la fente de sa chatte, les jambes repliées sur le ventre, les bras
passés sous ses genoux. Entre ses cuisses, elle peut voir la cuisinière qui savance,
ses nichons pointés, une sorte de batte de base-ball à la main. Lengin est bizarre.
Il se termine un peu particulièrement, par un gros gland taillé dans le bois, suivi de
deux petits renflements. Subitement, la soumise prend peur. Walter la tient fermement
par les épaules et plaque brutalement sa grosse main sur sa bouche. Elle a peur parce
que elle est persuadée que la sadique bonne va tenter denfiler son gros mandrin dans
son cul. Encorebelle nest quà moitié soulagée quand elle comprend quelle en veut en
fait à sa chatte béante et si bien exposée
Le gros nud qui surmonte la batte vient appuyer sur la fente de la vulve ouverte.
Walter écarte peu à peu les lèvres du sexe trempé. Tandis que la femme se met à
branler le sexe de la chienne, le vrille, le secoue légèrement de droite et de gauche,
comme pour en assouplir le trou. Les lèvres sécartent facilement, le vagin bien
dilaté par lexcitation sagrandit aisément. La soumise sent alors le bout qui pénètre
en elle, au risque de la déchirer. Le voilà, ce gros nud de gland en bois qui se loge
dans sa grotte. Ce nest pas fini. Il nest pas encore au fond. La vicieuse pousse
encore, élargit le passage. Cest au tour du premier renflement douvrir encore plus
ce sexe quasi béant. Le second suit de près.
remplie par le phallus factice. Cest alors que la femme commence à le faire aller et
venir lentement, ne lui laissant pas une seule seconde de répit. Une fois de plus, la
chienne sent le désir monter dans son ventre.
Mais ce nest pas fini avec ces deux pervers. Cest sans compter sur leur imagination
débordante. La cuisinière savance encore un peu plus près du fondement de la soumise.
Elle se met à lui ouvrir le cul avec ses doigts. Elle lui dilate la rondelle encore
une fois, qui souvre assez facilement après le passage du god métallique. Son anus
palpitant se souvient donc encore du passage récent du vibro et se montre
effectivement docile, souple. Bientôt, la cochonne fait disparaître trois doigts dans
le conduit anal, puis quatre, cinq ! Tandis que Walter lui triture les seins dune
main ferme et puissante. Encorebelle se sent ainsi ouverte possédée, totalement
ouverte, elle comprend alors quelle lui fiste le cul. Elle ressent un désir peu
commun et énorme au fond du ventre.
Maintenant le majordome présente son sexe dur et dressé devant la bouche de la chienne
et encorelle lengloutit dun coup dans sa bouche grande ouverte pour accueillir ce
gros mandrin. Pendant quelle suce le majordome, Mari continue à lui dilater lanus.
Au bout dune minute ou deux, Walter se retire de la bouche de la soumise sans
éjaculer et bousculant amicalement Marie pour quelle sécarte, il encule encorebelle
dun coup à grands coups de butoirs bien profonds. Marie se met à insulter, à humilier
de tous les noms la soumise, la traitant de catin, de salope, de putain de bas
quartier, etc
. Tout en linjuriant, la cuisinière nest pas en reste, elle donne des
claques violentes à chaque tétons de la chienne, les vrille à son tour, les étire,
enserre de sa poigne les seins, les maltraite pendant que la soumise se fait posséder
violemment le fondement
Walter ne lui tarde pas à jouir en elle tellement il lui prenait le cul sauvagement
pendant que Marie de son autre main lui masse les couilles avec délice et perversité.
Ainsi une fois que le majordome sest retiré après multiples râles de jouissance
puissants. Marie récupère de sa main quelques gouttes de foutre dégoulinant du sexe de
Walter. Et approche cette main près de la bouche de encorebelle qui se met à lécher le
sperme de Walter quelle avale goulûment.
- Cest une bien bonne chienne
nous nallons pas là laisser ainsi ! dit Walter,
ramenons-là à son Maître !
(à suivre ..)
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