Sous Son Emprise 5... Dîner Et Voeux Exaucé !

J’étais là, face à lui, mes mains sur mes jambes, mes pieds croisés, lui tenait son
stylo à la main regardant sa paperasse.
- Ça fait combien de temps maintenant que l’on ne s’est pas vu ?
- 14 mois et des poussières…
- Quand même… Comment ça se fais que tu as perdus ton job ?
- Restriction de personnel… Répondis-je.
- Ca fait toujours mal…
- Et toi ça à l’air de marcher pour toi ?
- Oui et non, diriger une affaire c’est un couteau à double tranchant, si je me
plante c’est des ouvriers qui perdent leur job et moi dans le pire des cas criblé de
dettes…
- Ah oui, et qu’est ce qui t’a décidé de faire ça ?
- Marre de chercher un taf convenable, alors autant en avoir un et en donner un
à des gens courageux dans la limite du possible.
- Toujours aussi idéaliste… Tu en aurais un pour moi ?
- Tu te vois porter des poutres ? Dit-il souriant et narquois ?
- Non pas vraiment…
- Tu tapes vite à l’ordinateur ?
- Oui, ça va quand même…
- J’aurais peut-être besoin d’une assistante ou une secrétaire, il te faudra une
formation que je pourrais te trouver en cours du soir en plus, c’est à toi de voir
mais ça sera pas facile le cumul des deux…
- Tu ferais ça pour moi ? Dis-je en me levant les deux mains sur la table.
- Disons que tu es une chercheuse d’emploi comme une autre, tu devras laisser de
côté ton amitié, ici ce sera patron et employé.
- Oui, je comprends fort bien.
- Ecoute, est-ce que demain à 14h30 tu es prise ? Vient avec un C.V et nous
pourrions voir au mieux ce que je pourrais te trouver et ce que je pourrais te faire
faire ?
- Je suis disponible, mais j’ai des C.V sur ma clé usb si je l’ai sur moi, on
pourrait faire ça maintenant ?
- Oui, d’accord… Mais avant, mangeons !
Je regardais dans mon sac et trouva la clé usb, je la déposais sur son bureau et on
mangea… On parla de tout et de rien, plus de travail, il était devenu beaucoup plus
sérieux qu’avant ? J’avais envie de recommencer à jouer à nos jeux mais j’avais peur
qu’il ne soit plus cet homme-là ? Alors je me lançais…
- Cap ou pas cap de me dire avec combien de filles tu as couchée depuis que l’on
ne s’est plus vu ? Dis-je sereine, souriante comme au bon vieux temps.

- 3. Répondit-il ne prêtant pas attention.
- Coquin va ! Dis-je en rigolant.
- Et toi ? Dit-il.
- 1…
- Menteuse. Dit-il froidement.
- Que… Pourquoi tu dis ça ?
- Lorsque tu mens tu baisses les yeux.
- 7…
- Eh bien, serais-ce nos jeux qui ont réveillé en toi certains instincts ?
- Peut-être.
Il souriait et regardait mon C.V sur l’ordi.
- Faudra vraiment faire une formation…
- C’est si désastreux que ça ? Dis-je à demi-inquiète.
- Désastreux non, c’est à ta portée mais après la formation, viens t’asseoir ici
au bureau.
Je me levais et lui aussi et je me mis à sa place, il s’assit sur le bord du bureau et
me dit :
- Pourrais-tu me classer ces dossiers et les répertorier ?
- Non… Dis-je après un léger tour d’horizon.
- Bon, que dirais-tu de faire un stage à partir de demain jusqu’à fin de semaine
? Ça ne sera pas rémunéré mais pour tes recherches d’emplois tu auras fait un stage,
je te fais une fleur comme t’es une amie, tu verras ainsi un peu le travail et tu
pourras si tu le veux entamer une formation et nous rejoindre, qu’en dis-tu ?
- Oui d’accord, c’est intéressant et ça pourrais m’aider !
- Parfait ! Dit-il souriant.
Il allait près de son petit bar et servait deux verres de vodka, il vint près de moi
et dit :
- Trinquons à notre future et fructueuse collaboration !
- Chiiiin… M’écriais-je toute souriante.
- Après ça je vais te ramener, demain on se lève tôt.
- J’ai quelque chose à te proposer…
- Oui, dis-moi ?
- Tu te souviens de notre petit jeu ?
- Oui, tu veux y rejouer ? Dit-il en rigolant.
- Oui et non, en fait, je voulais te proposer, te demander quelque chose…
- Quoi ? Dit-il intéresser.
J’étais un peu mal à l’aise, je ne savais par où commencer…
- J’aimerais… J’aimerais t’appartenir…
- Stp ? Dit-il étonné et faisant de grands yeux.
- Oui, tu as bien compris…
- Non, développe ta pensée.
- J’aimerais être à toi, t’obéir comme je l’ai déjà fait… Que tu me guide…
- Tu as brulé un fusible ? Je viens de te proposer un emploi imbécile !
- … Ca ne sera que plus simple… Non ?
- Et pourquoi me demandes-tu cela ?
- Lorsqu’on à cesser de se voir, j’ai commencé à coucher à gauche à droite, je
suis devenue le vide couille de 2 mecs… Mais je n’avais aucun plaisir !
- Mais tu sais ce qui se passerait si tu m’appartenais ?
- Oui…
- Dis-moi ?
- Je ferais tout ce que tu veux sans refuser.
- Tu es vague là.
- Je serais à ta disposition quand je veux, j’obéirais à tes ordres,…
- Tu restes vague, donc je vais t’éclairer, tu as raison pour ce que tu as dit,
mais je pourrais t’exhiber, t’offrir, t’humilier et j’en passe…
- Oui, c’est ce que je veux ! Dis-je certaines de moi.
Je vis que je le choquai, il se réservait un verre de vodka pur et bu.
- Mais qu’est ce qui te prend ? Me dit-il.
- C’est seulement ainsi que je trouverais mon plaisir…
- Ok… Alors, comme tu es déjà devant l’ordi fais-moi un contrat comprenant
chaque point qu’on signera tous les deux et de là tu m’appartiendras, ça sera ton
premier travail en même temps d’assistante/secrétaire, je n’ai pas encore choisis
exactement ta fonction.
- Merci ! M’écriais-je avec le sourire.
Je fis une mise en page comme j’avais vaguement appris et tapa le corps du texte, le
plus important.
« Par la présente moi Aurore xxx, affirme que sous ma demande je serais l’objet, la
soumise, le jouet de Mr xxx avec consentement.
Il pourra faire de moi l’objet de tous ses désirs et ses fantasmes sans limites !
J’affirme être à son entière disposition et de ne jamais refuser ses demandes.
Le contrat prendra fin si je perdais mon emploi dans les 5 ans qui viennent. »
En bas à gauche était mis : La soumise avec lu et approuvé ainsi que ma signature qui
serais suivie suite à l’impression et le maitre était indiqué de l’autre côté avec lu
et approuvé.
- Voilà j’ai terminée !
Il lut et dit :
- C’est assez court et tu as mis une clause… C’est pas mal, tu es sur de vouloir
être à ma disposition ?
- Oui !
- A l’instant même où tu auras signé, je te ferais faire des trucs que tu n’as
jamais fait.
- Je suis d’accord.
- On en reparlera.
Il imprima et je signais après avoir mis « lu et approuvé », il fit de même. Nous
avions chacun un contrat en notre possession.
- Déshabille-toi, les mains derrière la tête et les jambes écartées.
- Oui…
Je fis glisser les bretelles de ma robe le long de mes épaules et ma robe finit par
s’écraser au sol, j’enlevais chacune de mes ballerines et dégrafa mon soutien gorge…
Je le regardais et fit glisser mon string le long de mes jambes et ensuite fit passer
chacun de mes pieds pour être entièrement nue.
J’écartais les jambes et mit mes mains derrière ma tête.
- Très bien. Dit-il en s’avançant vers moi.
Il leva sa main et claqua mon sein gauche de l’extérieur de sa main.
- C’est maitre lorsque nous sommes seul et au travail Mr xxx.
- Pardon…
Une seconde claque mais sur l’autre sein.
- Pardon ?
- Pardon maitre…
- Très bien, alors comme ça tu es devenue une vide couille ?
- Oui maitre…
- Et tu aimais ça ?
- Oui et non… J’attendais plus…
- Qu’attendais-tu ?
- D’être votre chose…
- A genou !
Je me mis à genou et il sortit très vite son sexe, je compris que je devais le sucer,
ce que je fis avec plaisir et j’étais assez contente, j’avais l’impression que son
sexe avait grossis depuis la dernière fois ? Surement des idées….
Il tenait fort ma tête et puis la retira, il envoya sa semence dans un verre, il y en
avait en grande quantité l’air de rien, il me tendit le verre… J’avais compris ce
qu’il voulait, je le pris et le bu, je lui rendis le verre et dit : « merci maitre ».
- Très bien… C’est assez pour aujourd’hui, demain soit ici pour 8 heures, tu
t’habilleras assez cours, et laissant imaginer tes formes.
- Oui maitre, d’accord.
- Aller viens on y va, prend tes affaires mais ne les remets pas à part tes
ballerines.
J’enfilais mes ballerines et le suivit au sous-sol, l’air de rien il était tard, on
rentrait dans la voiture et démarrait.
Sur le chemin on ne parlait presque pas, une fois arriver devant chez moi, il
s’arrêta.
- A demain alors !?
- Oui, je peux me rhabiller ?
- Non, tu rentres ainsi chez toi et n’hésites pas à te toucher sans te faire
jouir.
- D’accord… Merci maitre…
Je sortis de la voiture, je regardais aux alentours et avançait lentement vers ma
porte, je savais qu’il n’aurait pas apprécié que je cours pour rentrer, j’ouvris la
porte, lui fis signe et rentrait… Je montais, prit ma douche et me couchais dans mon
lit, pour me mettre à me toucher…