Scenes De La Vie Quotidienne - Émotions Indiscrètes
ÉMOTIONS INDISCRÈTES
Quelque temps plus tard, Rosy a envie de revoir Paul. Peu impressionnée par ses
performances sexuelles, elle est surtout fascinée par sa capacité à en susciter chez
les autres. Elle se rend à son domicile et, trouvant porte close, en familière des
lieux elle contourne la maison. Arrivée sur la terrasse, un léger murmure l'incite à
la prudence. Elle s'approche sans bruit d'un volet entrebâillé.
A l'intérieur de la chambre, Paul, uniquement vêtu d'un court tee-shirt, est affairé
au-dessus du lit. Josiane y est allongée entièrement nue. Elle écarte ses bras potelés
tout en contemplant son reflet dans les larges glaces d'une gigantesque armoire. Paul
attache ses petites mains aux montants du lit avec de larges bandes de tissus. Il lui
caresse la poitrine puis l'embrasse sur les lèvres. Sa bouche descend doucement le
long du torse replet jusqu'à effleurer l'aine. Lorsque le baiser devient plus
insistant, les jambes de Josiane se resserrent brutalement. Rosy se déplace sans bruit
pour mieux profiter du spectacle grâce au reflet dans les glaces. Elle est étonnée de
la beauté des rondeurs dénudées. La courbe des seins, leur absolue symétrie, la
finesse de la peau, la rassurante largeur des hanches et du ventre offertes au regard
l'émeuvent. Les cuisses replètes et coniques se prolongent par deux mollets bien
dessinés et juvéniles. De petits pieds, finement ciselés, complètent l'ensemble. Paul
murmure maintenant à l'oreille de Josiane et descend du lit. Elle écarte doucement ses
jambes. Paul s'en saisit et attache d'un ruban, l'une après l'autre, les fines
chevilles aux pieds du lit. Rosy est estomaquée par la souplesse de Josiane. L'angle
formé par ses jambes est suffisant pour ouvrir largement sa vulve. Il se saisit d'un
blaireau couvert de mousse savonneuse posé au sol.
frisée de son amante. Le geste est lent, les dérapages à l'intérieur du sexe
fréquents. Le dos de Josiane est agité de soubresauts et ses liens se tendent
brutalement en entrant dans la chair de ses poignets et de ses chevilles. L'effet
combiné de la douleur et du plaisir la maintient au bord de l'orgasme. Paul entreprend
de la raser avec un long outil que seuls les coiffeurs utilisent. Son amante manifeste
son plaisir par de courts cris rauques. Son corps est à peine agité de légers
tressautements. Son ouvrage fini, Paul passe ensuite un long moment à l'exciter en
alternant caresses de plus en plus précises et ruptures brutales. Le petit sexe de
Josiane, qui n'a jamais connu la maternité, s'expose à Rosy avec une impudeur
troublante. Les réactions violentes de sa propriétaire laissent supposer de brusques
montées d'adrénaline que Rosy finit par ressentir quasi physiquement.
Lorsque Josiane lui semble suffisamment pantelante, Paul s'installe tête bêche au-
dessus d'elle. Elle saisit la verge ainsi offerte dans sa bouche et entame une
vigoureuse fellation. Son amant s'empare du clitoris entre ses lèvres et le stimule
rapidement. Ensuite il pénètre délicatement d'une longue langue son sexe ouvert. Il
imprime à sa tête un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Ceci accélère la
bouche de Josiane et finit d'écarteler les larges cuisses dont les trésors cachés sont
offerts au regard indiscret de Rosy. N'y tenant plus, celle-ci déboutonne prestement
son short dévoilant ainsi de petites fesses presque masculines. Elle caresse lentement
ses cuisses, ses fesses puis sa vulve en contemplant la scène par les volets mi-clos.
Le soleil darde pleinement la terrasse de ses rayons et Rosy en ressent la chaleur sur
sa peau ainsi dénudée. Tout à son plaisir, elle ôte son court bustier et libère deux
petits seins aux pointes fièrement dressées.
qui borde la terrasse et se laisse tranquillement glisser vers le sol. Sa nudité,
presque indécente, est soulignée par quelques bijoux, d'élégantes sandalettes et de
jolies lunettes de soleil perchées sur ses longs cheveux.
Lorsque Josiane approche de l'orgasme, Paul lui arrache rapidement ses liens. Il la
retourne tête en bas, sa large croupe levée, comme offerte, quasi écartelée. Il la
prend en levrette. Rosy, tout à son plaisir, ne perçoit pas l'orgasme des deux amants.
Elle est maintenant assise au pied du mur, les cuisses écartées à leur paroxysme, la
main droite affairée à l'intérieur des grandes lèvres. Seul son râle attire
l'attention d'un voisin. Consciente de ce regard, elle se redresse pantelante et
regagne en courant sa voiture, les fesses à l'air, la toilette encore en désordre.
Ceci restera dans la mémoire collective du quartier car, par essence, le voisin est
bavard.
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