Essai Avec Un Homme (Suite)
Après mêtre fait baiser par le vieux pervers dominateur, je savais que jallais y
retourner. Mais je ne voulais pas y retourner de suite. Mais au bout de quelques
semaines, le désir était trop fort. Je voulais ressentir à nouveau cette sensation :
ne plus sappartenir pour ne plus être quune boule de plaisir réagissant au bon
vouloir dun mâle.
Je lai donc appelé et il ma dit de venir le weekend suivant. Quand je suis arrivé
devant sa porte, elle était ouverte comme lautre fois et javais cette même boule
dans lestomac comme la 1ère fois. Je respirais un grand coup avant de frapper mais à
ce moment-là il est apparu dans la porte. Jétais pris au dépourvu, ma soumission
allait commencer plus tôt que je ne lavais prévu. Je mapprochais pour rentrer quand
il me dit, à voix haute, que jétais une salope et que je ne rentrerais me faire
prendre que quand je laurais sucé comme il se devait. Jétais déjà mortifié car il
parla fort et il y avait deux autres portes à cet étage. Javais peur que quelquun
entende.
Voyant quil ne plaisantait pas, je me suis mis à genoux et jai défait son paquet
pour lui faire une fellation. Jen avais envie et à vrai dire, le risque de se faire
surprendre par les voisins a été une source supplémentaire dexcitation. La peur
dêtre vu se mêlait à lenvie dêtre observé. Jai sucé le gland du vieux pervers
comme si jaimais ce gland. Jétais déjà soumise au pénis, je le léchais, le cajolais
et le frottais contre mon visage.
Je pensais quil allait se vider dans ma bouche mais il minterrompit.
- Tu es une belle salope
- Oui maître, jen suis une. Jaime en être une avec vous
- Alors entre
Quand je suis rentré, jai regretté mes derniers mots et le sourire de plaisir qui
ornait mon visage car il y avait un autre homme chez lui qui devait avoir tout
entendu.
avoir entendu ce que javais dit et fait, mais en plus il devait sûrement être au
courant de ma relation avec le vieux pervers. Craignant quil naille trop loin je
pris peu peur mais il mimposa de rester sur un ton très sec qui me fit leffet dun
impératif insurmontable. Mon désir prenait le pas sur mes peurs.
- Tu en as mis du temps pour revenir. Pourquoi ?
-
- Tu nas pas aimé la dernière fois ?
- Si Maître mais je ne voulais pas accepter ce que vous aviez fait de moi.
- C'est-à-dire ?
- Me traiter comme une salope
- Mais tu es revenu
- Jai admis que javais aimé être traité de la sorte. Et je souhaite que vous
recommenciez.
Ces mots prononcés létaient avec émotion car jétais tiraillé entre la honte et
lexcitation quils produisaient
- Aboua, je te présente le garçon dont je tai parlé. Comme tu las constaté il
est très docile et prêt à faire tout ce que je dis. Marc, voici un invité et tu auras
à cur de lui obéir car il va aussi te faire ressentir la plénitude sexuelle. Tu
lappelleras Monsieur.
- Bien Maître. Monsieur.
Se donner à un homme était une chose, se donner à deux en était une autre. Mais le
vieux pervers était malin car il savait que la surprise et mon envie de redevenir sa
chose sexuelle mempêcheraient de dire quoi que ce soit. Dès lors je navais plus le
choix, je devais leur obéir et en fait, ça me plaisait.
Le silence était à la fois frustrant et terrifiant. Mais le noir se leva et minspecta
; son pénis flaccide se frottais à ma jambe et à mon pénis. Il me déshabilla sans
ménagement. Puis il me palpa les fesses, la bite, il tira mes bourses, me fessa, me
saisit le gland et le serra. Javais du mal à respirer. Tout mon corps était rigide et
cest avec force sur mon épaule quil me fit me mettre à genoux.
attrapé son sexe avec la langue et jai entamé une fellation à ce pénis noir comme
lébène. Ma langue senroulait autour du gland, léchait la tige. Je serrais le pénis
dans ma bouche pour le pénis durcir. Le vieux pervers se leva et je dus alors alterner
entre ces deux queues. Jaime vraiment sucer des queues et jhésitais toujours entre
lune et lautre ; à peine celle du noir dans ma bouche que je regrettais le gland
proéminent de lautre, et inversement. Pendant que je les suçais, mes mains flattaient
leurs boules. Enfin, ils saisirent leur queue et je mattendais à une douche de sperme
sur moi. Alors jouvrai la bouche en grand et tirait la langue, comme dans les films
et attendaient avec envie leur sperme. Mais en fait ils ne jouirent pas et se
contentèrent détaler sur mon visage ma salive et le liquide séminal avec leur gland.
Javais limpression dêtre marqué et souillé. On se regardait dans les yeux, eux
moqueurs et moi implorant.
- Quelle roulure ! Jadore les salopes qui nont aucune limite ni aucune dignité
- Maintenant mets-toi à 4 pattes sur le sol et prépare toi, chienne
Je me mettais en position, les genoux écartés. Le vieux pervers se mit derrière moi et
le noir devant. Je nosais les regarder car je savais ce quil allait arriver. Le
vieux pervers sinséra en moi sans la douceur de la première fois tandis que le noir
insérait son pénis dans ma bouche. Le tableau devait être affligeant. Le vieux me
pénétrait déjà rudement et le plaisir arriva. Je souhaitais crier mais javais la
bouche pleine. Tantôt ils alternaient la poussé : lun menculait à fond me poussant
vers la bite de lautre qui donnait un coup de rein pour aller au fond de ma gorge et
me « renvoyer » vers lautre bite, balloté comme un hoché. Tantôt ils me pénétraient
en même temps ressentant la pleine pénétration.
dêtre privé dair et violenté. Leur bite, trop grosse me forçait à baver énormément.
De temps en temps ils alternaient leur place, me laissant vide et haletant pendant
quelques secondes.
Je ne pouvais pas hurler mon plaisir mais leurs gémissements saccompagnaient de
paroles éloquentes qui décuplaient le plaisir :
- Quelle salope ! Son cul est encore neuf, ça se voit comme il me serre la bite
!
- A ce rythme on laura vite usée ! Je ne pense pas quil y ait une chose
quelle ne ferait pas !
- Elle avale ?
- Elle veut avaler ! Elle na aucune inhibition !
A bout dun temps indéterminé, ils se plantèrent au plus profond en moi et ils
finirent par jouir. Le noir vida ses couilles dans ma bouche tandis que jétais sailli
par le vieux. Je sentais le flot de sperme se déverser à lintérieur. Sans la moindre
attention ils sen allèrent et je restais là, à quatre pattes sur le sol à reprendre
mon souffle, encore transit par le plaisir. Ce nest quau bout dune minute que je
mécroulais par terre.
Limage était également représentative de ce que jétais devenu : nu, sur le sol,
rouge de partout à force dêtre fessé, lanus dilaté par lequel sortait du sperme, le
bassin baignant dans mon propre sperme, le visage dans le sperme du noir et dans ma
salive. Le noir mordonna de lécher le sperme sur le sol, le sien et le mien. Je le
fis. Cest ainsi que je mendormais à même le sol.
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