Baise Avec Pierrette
Nous nous sommes endormis très tard. Autant lui que moi, avions envie de baiser. Tout
est parti dune conversation légère pendant le repas. Je lai mis au défit de manger
nu. Défit tenu : il sest déshabillé totalement, il commençait même à bander. Quand il
est venu membrasser jai protesté que mon désir immédiat était simplement de le voir
diner dans le plus simple appareil.
Jai la chance davoir un homme bien musclé, avec de belles tablettes de chocolat en
guise de ventre. Ce qui ne gâte rien il est bien membré, sans être un champion, ses 17
centimètres me font toujours le même effet dans le ventre.
Bref il a fallut quil patiente jusquà la fin du repas : nu, désirable, nhésitant
pas à montrer sa bite en érection avec pour la supporter une belle paire de couilles :
un beau morceau que je vois déjà dans mon ventre ou ma bouche. Il fait tout pour que
nous passions rapidement au lit : il débarrasse la table avec sa queue qui ballotte
dans tous les sens ; il vint vers moi, toujours en bandant. Il touche mon corps avec
son sexe, pour finir pas loffrir à ma bouche : en guise de dessert, je vais être bien
servie. Quand le prends dans ma bouche, je fais coulisser le prépuce avec mes lèvres.
Je sais quil aime ça, comme moi. Jai son goût dans la bouche, avec un peu dodeur
durine : jadore. Ma langue à son tour caresse à lintérieur de ma bouche : sa pine
est entre ma langue et une lèvre. Il est penché en arrière, sa bite bien en avant de
tout son corps. Je sais que si je continu il va jouir. Jaime son sperme et pourtant,
en femme responsable jarrête vite pour ne pas le faire jouir.
Nous passons au lit et là, le schéma classique dun couple libertin, nous faisons tous
ce qui est possible pour jouir le plus possible, le plus longtemps possible. Il me la
mise dans tous les trous. Je regrette même de ne pas en avoir davantage.
Ce que je sais cest que nous nous sommes endormis en 69. Au réveil javais encore sa
bite entre les lèvres. Jai recommencé à faire une bonne fellation comme jaime. Son
sperme est venu dans ma bouche : quel régal que son gout de semence.
Je suis arrivée au bureau avec un peu de retard, Pierrette, ma collègue a dit aussitôt
après mavoir vu :
- Jen connais une qui sest faite bien mettre ;
- Oui, cest vrai et jai fort bien joui.
- Veinarde, je suis seule depuis plus de deux mois.
- Tu te branles bien non ?
- Oui, ce nest pas pareil de le faire seule que de le faire à deux.
Depuis quelques jours elle me cherche, elle aimerait bien baiser avec moi. Je nai
rien contre : je le faisais avec une copine quand jétais jeune, si elle me le demande
franchement, je en crois pas que je dirais non.
- Toi tu as une envie que tu me cache.
- Oui cest vrai jai envie de toi, de te branler pour que tu me suce.
- Tu voudrais le faire où.
- Chez moi, pas ici.
- Cest tout ?
- Non, je te lécherais le cul.
- Si tu me prends par les sentiments
.
- Cest bien vrai, tu accepterais de baiser avec moi ?
- Tu verras en sortant du bureau ce soir.
Cest vrai que quand jétais jeune vers 16 ans, je me suis fait prendre par un copain.
Il mavait loupée complètement. Jen parlais à ma meilleure amie de lépoque qui pour
me consoler minvite à passer une nuit chez elle. Après le repas familial, ma copine,
mentraine au lit. Elle se met nue, me demande den faire autant : jen suis un peu
étonnée. A peine couchées, elle se jette sur moi pour membrasser sur la bouche. Je
garde les lèvres fermées. Elle force à peine pour que sa langue aille taquiner la
mienne. A partir de là je suis tout ce quelle fait.
Elle caresse mes seins lentement, bien mieux que ce dernier des phallocrates me lait
fait : je prends du plaisir avec ses mains sur moi.
ventre pour finir sur mon pubis. Je sens que je mouille plus que quand je me branle.
Elle me fait écarter les cuisses, je que je fais sans peine. Je sens toute sa main sur
ma chatte, je sens quand elle pose un doigt sur mon coquillage en haut des lèvres.
Pour le moment, elle arrête en attendant mes réactions. Je soulève à peine mon bas
ventre, elle commence à masser mon clitoris. Cest délicieux, bien mieux quavec mes
doigts. Elle narrête pas, elle me branle lentement au début pour finir beaucoup plus
vite. Mon ventre se creuse au fur et à mesure que le plaisir sannonce plus fort. Je
me cabre complètement, presque courbée en deux vers le haut. Je serre les lèvres avec
mes dents pour ne pas crier mon bonheur de jouir.
Elle est presque à plat ventre, sa bouche sur la mienne pour recommencer : jai perdu
toute pudeur. Je la veux encore sur ma chatte. Elle y revient, pas comme je le
voulais ; cest sa langue maintenant qui passe partout dans ma chatte. Après sêtre
totalement tournée, elle a oublié ma bouche pour lautre, celle du bas.
Je suis surprise de la douceur de sa langue et du plaisir quelle me donne. Je reste
immobile, sans rien lui faire. Je sens simplement que je ressens des plaisirs
inconnus. Je ne sais même pas si cest bien moral : je men fiche complètement. Ca me
fait du bien, cest tout.
Quand elle pose sa langue sur mon anus, je suis surprise dune part par ce quelle
fait et dautre part par le plaisir trouble que je ressens. Elle entre sa langue dans
un endroit où je nai jamais eu que des suppositoires. Mon Dieu que cest bon, jen
veux encore. Je ne sais pas encore manifester mes désirs, il faut quelle les trouve
seule.
Quand elle estime que jai assez joui, il faut que je lui rende tout. Cest facile de
la branler avec la langue sur le bouton que jai trouvé facilement.
langue dans sa chatte où je trouve son vagin. Cest à ce moment que je sens et son
gout particulier et son odeur de fille en chaleur. Jy entre pour sentir quelle aussi
a du plaisir. Je nhésite plus à poser ma langue sur son rectum. Là jai quelques
doutes sur mes capacités à entrer la langue dans ce que je considère uniquement comme
le dernier passage de la nourriture. Pourtant je ne sens pas dodeurs nauséabondes
particulières. Alors je durcis le bout pour entrer : elle gémit en me tenant la tête.
- Ca ta plu ?
- Bien sur tu mas faite jouir bien mieux que lautre.
- Nous pouvons recommencer quand tu veux.
- Cet après midi chez moi ?
- Bien sur. Est-ce que tu as un godemiché.
Jignore totalement ce quest un godemiché. Elle ouvre son tiroir pour en sortir
comme une bite en verre : cest son cousin qui le lui a offert après une baise quelle
avait beaucoup aimé, depuis elle sen sert souvent pour remplacer une bite ; elle en
jouit beaucoup.
Jy ai droit le lendemain quand elle me baise bien mieux que la première fois. Elle
ma réconcilié avec les bites. Jen suis devenue une bisexuelle convaincue. Nous avons
continué bien longtemps, même quand javais un petit ami qui me baisait bien.
Mariée, je nai pas osé en parler à mon époux. Qui sait, il aurait sans doute aimé.
En attendant maintenant jai Pierrette pour satisfaire mes besoins de filles.
Chez elle, nous nous embrassons immédiatement. Je trouve sa salive merveilleusement
bonne. Nous nous déshabillons totalement : nous ne perdons pas de temps : nous avons
envie toutes les deux de nous baiser. Dans sa chambre je prends linitiative en la
jetant sur le lit. Je me jette sur elle comme pourrait le faire un loup. Jai faim de
ce corps de femme agréable à regarder et à toucher. Je la lèche de haut en bas depuis
le cou en passant par les seins, les cuisses les pieds pour remonter entre ses
cuisses.
maintenant de sa fourche. Je peux voir tout son sexe : il me plait tellement que
jembrasse son sexe en entier. Cest à ma langue dagir.
Jadore ce gout un peu amer de son con. Ma langue lèche sa chatte comme un esquimau.
Elle geint sans arrêt. Je prends ses seins dans mes mains. Je sens une de ses mains
sur la mienne comme pour me diriger alors que je ne tiens aucun compte de ses
mouvement, sauf quand ils viennent de son ventre. Je fais durcir ces tétons. Je sens
ses seins gonfler aussi.
Son clitoris semble aimer ma langue : je la lèche sans arrête, même si je la sens
jouir. Jabandonne ses seins pour me consacrer à sa fente. Je peux entrer deux doigts
dans son vagin, je cherche à peine et trouve le fameux point G. Je le caresse sans
trop de douceur avant que mon, autre main aille sur son cul. Jaime bien faire des
sodomies, même petites à mes amantes.
Je vois sa tête aller dans tous les sens, les yeux fermés, ses mains sur ses seins.
- Oui, baise moi encore, encule moi. Lèches moi. Tu me fais jouir, il y a longtemps
que je nai pas joui comme ça.
Je me tourne complètement pour ce quelle attend certainement : un 69. Je sens sa
langue prendre possession de mon bouton. Elle lèche tellement bien que je ne tarde pas
à jouir. Je fais comme elle : je gémis.
Je pense que si je sais bien faire jouir une femme, elle est comme moi : elle sait et
aime mon jus. Elle aussi entre ses doigts dans mon intimité. Elle me fait jouir, je ne
sais combien de fois.
Nous sommes rompues toutes le deux. Je sors le gode de mon sac, elle sort le sien et
nous nous enculons de concert, seules dabord ensuite en couple, je lencule elle me
le rend. Jaime voir les mouvements de son anus autour de mon gode quand elle jouit.
Je vois tous les spasmes de son cul.
Jentre enfin à la maison : mon époux mattend inquiet. Je suis un instant dubitative
avant de lui dire la vérité.
Il me prend sur ses genoux, passe sa main entre mes cuisses pour vérifier que je suis
encore mouillée.
- Tu me présenteras ta copine que je puisse vous voir ensemble.
- Et tu la baiserais ?
- Si tu me le demande et si elle est daccord, bien sur sinon je me branlerai en te
regardant jouir.
Je mattendais à une bonne engueulade méritée parce que je lavais trompé. Le
lendemain jen parle à mon amante qui est daccord même sil veut la baiser aussi.
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