Leslie Vn15
Leslie VN15 Sylvie, suite
« Sitôt le petit déjeuner terminé, Sylvie, pleine de désirs, mentraine dans sa
chambre.
Je la suis me laissant guider comme une esclave sous le joug de sa maîtresse, non sans
avouer que je mouille déjà comme une dingue.
A peine la porte de la chambre passée, Sylvie se colle à moi dans léchange dun
baiser profond où nos langues se mêlent, nous sommes nues debout, près du lit, collées
lune à lautre.
La main de Sylvie sinsinue entre mes cuisses cherchant du doigt mon clitoris, elle le
trouve et le roule du bout du doigt en constatant que je suis déjà trempée.
- Dis-donc ma jolie, tu mouilles comme une cochonne, me dit-elle.
Seul un soupir sort de ma gorge en guise de réponse.
Elle me doigte un moment puis appuyant sur mes épaules elle me contraint de
magenouiller à ses pieds, puis prenant ma tête entre ses deux mains elle colle ma
bouche sur son pubis mincitant à moccuper du son sexe déjà humide. Pour moffrir un
meilleur accès à son intimité et permettre à ma langue de simmiscer en elle pose une
de ses jambes sur mon épaule en se tenant à la tête du lit.
Largement ouverte ma langue fouraille en elle, et maidant de mes doigts je la branle
à la recherche de ses zones érogènes, elle reprend ma tête entre ses mains pour jouir
et juter dans ma bouche telle une fontaine et déséquilibrée elle tombe à la renverse
sur le lit.
À ma totale merci, allongée, je me mets à califourchon au-dessus de la tête, lui
offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, aussitôt elle agite sa langue sur mon
intimité. Les mouvements de sa langue sur mon sexe son précis, effleurant par moment
mon clitoris érigé, sans oublier mon cul quelle lèche avec passion, ces caresses sont
absolument divines. Puis elle saide de ses doigts sans retenue pour memmener dans le
plaisir.
Pourtant je résiste le plus possible pour ne pas jouir immédiatement. Sylvie est une
experte et le plaisir monte en moi intensément.
Quand jexplose, la jouissance plus violente, dévastatrice, cest comme une vague qui
memporte dans ses rouleaux dans linfini inconnu et en me vrillant le corps
irrésistiblement dondes incontrôlables. Je vibre alors de tout mon être dans un
plaisir infini et une peur de la perte de conscience, un plaisir qui irradie ma tête,
mon ventre, mes seins, mon sexe dune chaleur immense.
Puis, changeant de position, nous ouvrons nos jambes en les mêlant comme deux fourche
et nous collons nos chattes lune à lautre, sexe contre sexe, et par un doux
mouvement de rotation de nos bassins nous nous branlons ainsi mutuellement.
Il ne nous faut pas attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le
firmament. Nous explosons conjointement dans un orgasme qui nous tétanise.
Sylvie me dit alors quelle à retrouver son calme :
- Tu sais ce serait tellement meilleur si ton pubis était épilé !
- Je la regarde et lui réponds :
- Alors épile moi ma chérie, maintenant.
Sylvie se lève et va vers la salle de bain et elle revient peu de temps après avec
tout ce quil faut pour procéder à la séance dépilation de mon pubis.
En peu de temps je me retrouve complètement imberbe, le pubis glabre comme une jeune
fille, grande ouverte les lèvres apparentes et le clitoris dégagé.
Je me caresse dune main en trouvant la sensation agréable et à cet instant je ne
regrette pas davoir succombée aux désirs de mon amante.
Nous nous endormons ainsi, dans les bras lune de lautre.
Lorsque je me réveille, le jour se lève et éclaire la chambre légèrement.
Sylvie est encore endormie et alanguie, offerte les jambes largement ouvertes, elle
soupire. Alors doucement je place ma tête entre ses jambes et avec le bout de la
langue, je lèche tendrement sa vulve par petites touches.
seins qui sérigent et sa poitrine se gonfle et durcit, Sylvie gémit doucement.
Plus tard au petit déjeuner, Sylvie mavoua sêtre réveillée alors que je moccupais
de son sexe, mais avait fait semblant de me faire croire quelle dormait encore, tant
mes caresses étaient délicates et agréables et lui donnaient du plaisir.
Durant la journée nous avons passées notre temps dans la chambre en visitant les
terres de Lesbos. Nous nous donnons mutuellement des caresses et maintenant je ne suis
plus seulement passive, je donne autant que je reçois.
La découverte, cest lorsque nous mettons nos sexes en contact lun de lautre, le
mien maintenant lisse comme le sien, alors nos lèvres vaginales sont en contact les
unes avec les autres et nos clitoris se touchent intimement et lexcitation monte en
nous lorsque nous bougeons en frottant nos vulves lune contre lautre. La jouissance
nous emporte sans retenue, alors terrassées de plaisir nous restons dans les bras
lune de lautre en laissant nos doigts inquisiteurs profités de nos intimités
humides, tandis que nos bouches collées lune à lautre échangent de merveilleux
baisers.
Après le déjeuner, alors que je reposais nue sur le lit, Sylvie est arrivée harnachée
dun gode ceinture, très réaliste aux dimensions plus quhonorables, il lui donnait un
petit air pervers et quelque peu inquiétant.
Sylvie me dit en sapprochant de moi :
- Il est tant que nous passions à dautres plaisirs.
Quelque peu inquiète sur les propos de mon aimée je lui ai demandée ;
- Tu penses à quoi ?
- Je vais te faire lamour comme un mâle, te possédée par tous les trous.
- Tu veux aussi me sodomiser, dis-je.
Un frisson ma parcouru en regardant lengin dressé sur le bas ventre de ma compagne.
- Pourquoi pas, me dit-elle, je te sens en de bonne dispositions pour moffrir
ton cul.
Elle monte sur le lit et propose le gode à ma bouche en disant :
- Suce ma chérie !
Jai déjà sucée des mecs et je ne suis plus vierge, jai un gode à la maison dont je
me sers en solitaire, un petit assez fin et qui vibre lorsque je me lenfonce en moi.
Javoue quil ma visité le petit trou et jai adorée, mais il na pas les dimensions
de celui de Sylvie et je nai jamais sucée de gode ceinture dans des ébats lesbiens.
Sylvie le pose sur mes lèvres et force lentrée sans me laisser le temps de réfléchir,
alors je mexécute et commence à prendre lengin en bouche. Sylvie parait heureuse de
me voir faire et me lenfonce de plus en plus profondément au fond de ma gorge, puis
elle se place entre mes jambes et sans un mot menfourne le gode au fond de ma chatte.
Je suis trempé et Sylvie na aucun mal de me le rentrer de toute sa longueur me
faisant pousser un cri, il est épais et me remplit complètement distendant mes chairs
intimes.
Je nai pas lhabitude de me faire sodomiser par un sexe dune telle grosseur, les
mecs avec qui jai couchée nétant pas si membrés que cela et cest pour cela que jai
acceptée quils menculent . Le gode qui me possède me coupe le souffle et je gémis
doucement alors que Sylvie sactive sur moi.
Elle me prend ainsi pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et
observant mes réactions, poussant plus loin en moi le gode, dun terrible coup de
reins, quand elle estime que je ne réagis pas assez à ses introductions.
Mon ventre est irradié par une vague de plaisir et je hurle quand un orgasme me
terrasse, je ne sais plus où je suis sinon que sentir ce pal qui vient et va en moi,
Sophie en veux plus de moi et me retourne sans ménagement et me fait mettre à quatre
pattes.
Je sais que cest le moment de me faire enculer et je proteste mollement en disant :
- Non, Sophie, non.
Elle me tient fermement par les hanches en mobligeant de ne pas me dérober le pal
appuyé sur ma rondelle, elle attend soit par plaisir ou pas sadisme que jaccepte
cette sodomie. Je suis partagée entre la crainte, et par la peur davoir mal, et le
désir qui me dit de me laisser aller. Sophie sent que je suis à sa merci et dun coup
de reins menfonce le gode au fond de mon fondement.
Je gueule terrassée par la douleur vive qui irradie mon cul et mes reins, je tente de
méchapper à cette pénétration, mais Sophie me tenant fermement enfichée sur le gode
je ne peux. Sophie mencule sans un mot, rentrant et sortant le gode de mon illet
avec une régularité sans faille jusquau moment ou un nouvel orgasme monte dans mes
reins et me fait jouir du cul.
Sophie me câline en disant :
- Alors tas aimée ?
- Jai jouis mais je pense quil faudra un peu de temps pour aimer sans douleur.
- Alors jai ce quil te faut.
Plongeant la main dans le tiroir de sa table e nuit elle en sort un plug en me disant
:
- Tu vas le porter et il va télargir un peu, ainsi tu seras prête pour ma
prochaine sodomie.
Et elle me lenfonce dans le cul sans un mot de plus.
En fin daprès-midi alors que nous sommes nues en position de 69, le cul toujours
plugé, mon regard part vers la fenêtre doù un bruit attire mon attention, cest alors
que je vis ce visage dhomme qui nous regardait derrières les volets. Je poussais un
cri en me détachant de Sylvie tout en essayant de cacher ma nudité. Je me sens
honteuse, prise en faute, découverte. Mon amante tourne la tête en direction du voyeur
et lâche :
- Ah non, merde, quest-ce que tu fais là, toi ?
Et à mon attention elle dit :
- Cest mon frère ! Damien. Il nétait pas prévu au programme lui.
- Continuez, continuez, nous lance le mec sans se démonter, cest divin de vous
voir deux nanas se brouter ainsi
Sylvie, nue, sort pour parler à son frère. Il est arrivé à limproviste sans prévenir
et dans nos ébats nous navons pas entendu sa voiture se garer près de la maison.
Il a vu une partie de nos jeux, et je suis certaine quil va profiter de cette
occasion pour assouvir des désirs. »
A suivre
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