Un Fantasme Devenu Réalité
Depuis des années, je rêve de subir un viol. Pas un truc violent, non. Simplement me
faire enlever et que mes ravisseurs m'obligent à des jeux sexuels. Bien entendu, je ne
résisterais pas. Dans cet optique, en sortant de l'école, et maintenant du travail, le
soir, je fais un détour par un petit bois, pas loin de chez moi. Ca fait des mois que
je traverse ce bois et jusqu'à hier, il ne m'était jamais rien arrivé.
On me recouvre la tête avec une cagoule épaisse. On m'attache les mains
dans le dos et quelqu'un me tire par un bras. J'entends une portière de voiture qui
s'ouvre. On appuie sur ma tête pour me faire entrer dans la voiture. Je ne sais pas où
nous sommes allés. On m'a attrappé par le bras pour me faire descendre et on m'a tiré.
J'ai entendu une porte s'ouvrir et on m'a poussé à l'intérieur. On m'a poussé, je
suppose, dans une pièce.
Quelqu'un a déboutonné ma chemise. On m'a délié les mains, juste le
temps de me retirer la chemise et on m'a rattaché. On a défait la ceinture mon
pantalon et on l'a baissé trés lentement. On a ôté mes chaussures et enlevé mon
pantalon. Des mains me caressaient partout sur le corps. Des lèvres se posaient sur
moi, Des langues me lèchaient. Tout à coup, plus rien. Je me demandais ce qui se
passaient. Des mains se posèrent sur mes fesses et les caressaient doucement. Elles se
posèrent sur mes hanches et s'emparèrent de mon slip. Les mains le descendirent
lentement, lentement. A mi-cuisses, mon sexe bondit hors du vêtement, déjà raide.
Plusieurs minutes falurent au léger tissu pour atteindre mes pieds. Une main prit ma
cheville et la souleva pour faire glisser le slip. Cette fois, plein de mains se
posèrent sur moi et me palpèrent.
Puis, d'autres mains se posèrent sur mes épaules et sur mes hanches,
elles me poussèrent vers le sol.
heurtèrent mes joues, mon front, mes tempes, mes yeux, jusqu'à ce que l'un d'entre eux
se posa sur mes lèvres. Son propriétaire, poussa pour forcer l'entrée de ma bouche. Je
l'ouvris et le sexe entra. Il était sur ma langue. Les mains de son propriétaire, du
moins je crois, se posèrent sur mes joues. Le sexe commença à glisser entre mes
lèvres. Les mains imprimaient le mouvement. Puis, on me délia. Les mains prirent les
miennes et les posèrent sur des hanches. Je compris pourquoi. On voulait que ce soit
moi qui marque le tempo. Je sentais le sexe durci dans ma bouche. J'accélèrai un peu
et le sexe se tendit. J'accélèrai encore et il a explosé. Les sperme coulait dans ma
gorge.
Quand ce fut fini, on me prit par le bras pour me relever. On me
tira devant moi et des mains me prirent aux chevilles et écartèrent mes jambes. On
m'en releva une et me fit enjamber quelque chose. Quelqu'un posa ses mains sur mes
épaules et je me retrouvai à genoux. Quelqu'un me tira en arrière par les hanches et
je sentis un sexe frôler ma raie. D'autres mains écartèrent mes fesses et un sexe
s'enfonça dans mon cul. Je m'assieds carrément pour que le sexe s'enfonce compètement.
Je sentais les poils et les couilles sur ma raie. Des mains passèrent sous mes fesses
et me soulevèrent et me laissèrents retomber plusieurs fois. Je compris la leçon. Je
montais et descendais le long du sexe planté dans mon cul.
Quand j'eus atteint la vitesse voulue, un sexe se posa sur mes
lèvres. Jouvris la bouche et il entra. Des mains se posèrent sur mes tempes et
faisaient glisser mes lèvres sur le membre. Quand elles me lâchèrent, je faisais
glisser moi-même un sexe dans ma bouche et l'autre dans mon cul. Tant et si bien
qu'ils ont craché leur sperme en même temps. Celui qui était dans mon cul se retira,
remplacé par celui qui était dans ma bouche, lui-même remplacé par un autre convive.
Quelques heures plus tard, je n'entendais plus un bruit. J'ai
enlevé ma cagoule, j'étais seul. Ils étaient partis en laissant un mot : Tu es
vraiment très beau
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