Le Début D'Une Révélation

Bonjour je m'appelle Clarisse, j'ai 35 ans maintenant. Je suis d'origine africaine.
Après 1 relation sérieuse de presque 7 ans avec un homme plus âgé (noir aussi) : il
avait 23 ans de plus, j'avais 17 ans à l'époque, je me suis séparée de lui. Il était
trop coureur, bien que très possessif en ce qui me concernait, et trop hypocrite. J'ai
quitté une province ivoirienne pour retourner à Abidjan : la capitale. C'est là
qu'après une bonne année, j'ai rencontrer Alexis mon mari : blanc, lui. C'était il y a
8 ans. Alexis avait 11 ans de plus. Il était séparé d'une autre Ivoirienne et était
revenu travailler en Côte d'Ivoire. On s'est plu de suite et ça a été le début d'une
grande passion qui continue toujours.
Durant ces presque deux ans (avant que je ne le rencontre), j'avais eu différents jobs
de serveuses (entre autres...) dans des restaurants et des « bars clim's » : proches
des bars à champagne que l'ont trouvent en Europe : exception faite de la partie
« séances privées » et stripteases que souvent les filles travaillant dans ce genre
d'endroit en Europe, effectuent. Cependant, oui ; comme toutes les filles qui
bossaient dans ce genre d'endroit, je portais des robes très courtes et très
décolletées, sexys et provocantes avec juste un petit string dessous, oui je dansais
« Kolé Séré » avec certains clients ; oui je les incitais à consommer et buvais avec
eux, et oui je les laissais me caresser les fesses ou les cuisses en dansant ou
lorsque j'étais assise avec eux et, tout ceci : en acceptant parfois leurs baisers
dans le cou et de temps en temps sur la bouche. Dans les bars où je travaillais,
souvent les filles, se concentraient principalement sur certains clients qui
semblaient plus friqués que d'autres et, moyennant finances ou gratifications ; elles
acceptaient très fréquemment de suivre ces clients chez eux ou à l'hôtel pour baiser
avec eux, mais ; moi pas.

Personnellement, je préférais de beaucoup laisser plus de
clients me caresser en une soirée et seulement dans le bar où je bossais qu'elles,
plutôt que d'aller : comme mes « collègues », plus loin avec eux et accepter
d'accompagner ces clients du bar, pour qu'ils me baisent ailleurs... Bref ! C'était
TRES rare que je couchais... Et, au su de ce qu'elles me racontaient bien souvent
concernant ce qu'elles faisaient pour satisfaire certains gars qui : étaient même
parfois un peu brutaux, je ne le regrettais pas... Cependant, au fond de moi ;
d'autres choses qu'elles me relataient au sujet de leurs "expériences"...
m'interpelaient parfois et... m'excitaient quelque part. Quant au fait que, ça leur
permettait de gagner beaucoup d'argent ; en une nuit : ça n'a jamais été pour moi une
source de motivation. Je trouvais que le prix à payer était un peu trop cher... En
agissant ainsi, j'étais bien souvent, à la fois plus sollicitée et plus respectée par
les clients dans la boîte qu'elles. Pendant cette période, où je ne connaissait pas
encore mon mari, il m'arrivait en une soirée de flirter avec 6 ou 7 hommes différents
(plus ou moins beaux, plus ou moins jeunes... Peu m'importait !) et de les laisser :
me caresser à travers ma robe en dansant, l'intérieur des cuisses lorsque j'étais
assise avec eux ; glisser leurs mains sous la jupe de ma robe pour caresser mes fesses
nues, me caresser devant : à travers mon string ou parfois en l'écartant pour
s'occuper de ma chatte tout en m'embrassant dans le cou ou sur la bouche. Il m'est
arrivée de jouir ainsi sous leurs doigts... Comme cette fois où deux militaires
français : des Antillais très sympas et plutôt mignons, entre lesquels je m'étais
assise, ont commencé à me tripoter et à me caresser ensemble... On avait bu pas mal
et, c'était si bon que... je les avais même laissé enlever mon string : leur ouvrant
bien mes cuisses... Il s'en était fallu de peu : l'arrivée de leur supérieur, pour que
j'accepte de les suivre... tous les deux à l'hôtel... En effet, ils m'avaient incitée
à les branler à travers leurs jeans et, moi – même ; trempée, les sentant grossir
sous mes doigts : j'avais commencé à avoir très envie de leurs queues...
Lorsque j'ai connu Alexis, je ne travaillait plus dans ce genre d'endroit depuis 4 ou
5 mois et je gérais mon centre d'appels internationaux et cyber - centre. Il habitait
à deux pas. On a bien sympathisé et deux semaines plus tard, il m'invita à
l'accompagner à l'anniversaire d'un de leurs amis dans une discothèque. J'ai ressorti
l'une de mes anciennes robes « d'hôtesse » de bar. Je vous laisse apprécier et...
deviner l'effet que je lui est fait à l'époque : d'autant plus que c'était, il y a...
12 ans... Durant la soirée nous avons flirté et ; le soir même je me retrouvais nue
dans son lit... Je fus très agréablement surprise. En effet, je n'avais jamais baisé
avec un « blanc » et certaines de mes ex – collègues ou amies ; m'avaient dit qu'ils
avaient le plus souvent « une petite bite »... Alexis : ce n'était pas le cas... Il en
avait une plus longue et plus grosse que mon ancien compagnon, plus « gaillarde » que
celle de nombres d' hommes avec lesquels j'avais déjà baisé : exception faite d'un
métisse (l'un des rares clients du dernier bar où j'avais bossé avec lequel j'avais
couché). Lui, avait une sacrée trompe : très longue et surtout très large... Quand il
me baisait, je me sentais complètement possédée, écartelée : limite douloureux au
début, mais après quelques vas et vient... lorsque j'étais complètement ouverte et que
je dégoulinais ; hummm ! Le pied : je criais de plaisir... quand il me limait... Et,
j'en redemandais...
Alexis avec sa grosse et surtout longue queue : bien dure, n'atteignait pas les les 24
ou 25 cm, pour un très gros calibre, du gars dont je parlais ; mais avec ses 21 cm de
« paf » pour une circonférence adaptée et conséquente, hummm ! Vous le sentez passer
aussi, mon chéri ; lorsqu'il vous la met et qu'il vous baise !
Je ne sais pourquoi... Mais entre lui et moi : ça a tout de suite était extra
sexuellement ; l'osmose comme il le dit... Comme si chacun de nos corps, chacune de
nos « pulsions sexuelles » se cherchaient depuis longtemps afin de se compléter et de
se réunir : de s'unir charnellement...
Même si j'aimais déjà beaucoup le sexe avant de le connaître, j'avais certaines
réserves et pudeurs, certaines hésitations et une certaine retenue avec mes amants :
exception faite (parfois mais pas toujours...) ; de celui à la bite d'éléphant dont je
parlais plus haut mais, quand ça arrivait avec lui ; c'était irrésistible car,
purement physique du fait, oui : je le dis... de son énorme « teub » qui me retournait
la chatte et les ovaires quand j'étais prête et qu'il me défonçait bien... Mis à part
son cas, et seulement de temps en temps ; je ne me lâchais jamais complètement
question sexe...
Avec Alexis : c'était différent. Dès le 1er soir, il m'a surprise : il s'est placé
entre mes cuisses, les relevant ; et a commencé à me lécher la moule et même le petit
trou. C'est ainsi qu'il m'a fait jouir une première fois. Puis, Alex m'a demandé de me
retourner. Me plaçant ainsi en 69 sur lui, il a continué à me lécher, me « brouter »
la chatte et le petit trou et il a commencé à me doigter la petite entrée bien
lubrifiée de mes fesses. C'était exquis... Il m'a donné ses « consignes » :
« - Suces – moi... Oui c'est ça... lèche moi la bite puis prends la, en bouche...
Oui... Monte ; descend... Hmmm... Tu as une belle bouche, une langue bien agile et tu
suces bien Clara... Dès que je t'ai vue : j'ai eu envie de te la mettre dans la
bouche... ». Je lui ai répondu :
« - Ca te plaît, on dirait... »
« - Oui... et à toi ? »
« - Quoi ? Ce que tu me fais... où ce que je te fais ? »
« - Les deux, ma Chérie... »
« - J'aime te sucer... et, Hummm... Oui ! Ce que tu me fais : oui ! ça me plaît
trop... Oooh ! »... A ce moment là, c'est tout un doigt qu'il m'a mis dans l'cul...
Et... J'adorais ça... Mon mari (futur mari... à l'époque) : voyant l'effet que ça me
faisais, m'a alors demandé de... lui lécher l'anus aussi... Je ne l'avais jamais fait
à quelqu'un... Et, jamais je n'avais sucé avec une telle application un homme. Je
montais, descendais : je me lâchais, lui prenant la bite dans la bouche jusqu'aux
couilles avant de les lui lécher ; de les prendre en bouche.. utilisant mes lèvres, ma
langue et même un peu les dents. Puis, je lui mettais à nouveau la langue dans sa
rondelle... et remontais jusqu'au gland... Je dégoulinais, grognais et... Alex lapait
avec plaisir ma mouille...
« - Il est temps de passer aux choses sérieuses... Tournes – toi, Clara ! »
« - Oui... J'ai trop envie de sentir ta grosse bite me baiser ! ». Je me suis placée
au dessus de lui en lui faisant face.
Alex m'a demandé :
« - Atts la alors, et mets la dans ta chatte : bien loin ! »
J'ai attrapé son gros truc bien dur et... je me suis empalée dessus : lentement mais
sans difficulté car j'étais tellement béante et trempée que ça glissait sans problème
à l'intérieur... Mon Chéri m'a attrapée par les hanches, faisant pression dessus ; en
me disant, pour mon plus grand plaisir :
« - Plus loin : vas – y ! Je veux que tu te la mette jusqu'aux couilles ! »
« - Oh ! Oui... à fond ! » :
Moi – même, je voulais la sentir tout au fond de moi...
« - Oui, c'est bien... Ooh ! T'es trop bonne... » : normal ! À peine aie - je mis sa
« pine » bien profond, que... j'ai commencé à onduler vicieusement des reins et du
bas – ventre et à monter et descendre sur mon étalon... Alex me mettait dans un état
d'excitation : pire que « bite d'éléphant » ! Je crois que je suis loin d'être la
seule femme dans ce cas ; quand c'est comme ça : je me sens comme libérée. Ainsi
stimulée, je perds quasiment toute retenue, toute pudeur... Comme si je n'étais non
plus simplement une fille qui prends son pied mais... que je ne devenais plus qu'un
sexe de la tête aux pieds : une chatte uniquement là pour jouir et donner de la
jouissance... Lui – même m'a définie à ce moment précis :
« - Oooh ! Salope... hummm... c'est trop bon ! »
J'ai aussitôt commencé à jouir :
«  - Oooh ! Qu'est ce que ta queue est bonne... OOOooh ! Hummm mm... Huuummm !!! 
Oui... ouUiii.... c'est bon ! Ooh ! Baises ta salope !! Baises - moi à fond A.. lex
!!! OOoh ! ».
«  - Et comment !... Tournes – toi Clara, tournes – toi ! »
Vive, je me suis déplacée :
« - Oui, oui...Comment tu m'veux , comment ? »
« - J'vais mettre derrière toi ! »
Je me suis mise en levrette et Alex s'est placé derrière moi : il m'a remis toute sa
bite dans la chatte et, en un seul coup de rein puissant... C'était trop bon ! J'ai
repris mes mouvements : j'allais moi – même à la rencontre de cette bite qui me
possédait entièrement : ondulant de gauche à droite, de bas en haut : lentement
vicieusement...
«  - Hmmm ! Quelle salope tu fais... » : il a – do – rait et... moi aussi...
J'ai crié mon orgasme et : il a suivi. Il m'a balancé un long flot de foutre dans la
chatte, s'est retiré : aspergeant mes fesses un peu et il m'a dit de lui vider les
couilles avec ma bouche... Pas très friande de cela habituellement... là, j'ai tout de
suite obtempérer avec... beaucoup d'excitation : le prenant entre mes lèvres, recevant
son foutre sur la langue, dans la bouche ; avalant sa queue goulûment : en hoquetant
presque... Avant de le branler sur mes seins et de le finir avec ma langue sur son
gland...
« - Oooh ! Tu me suce comme... une pute ! OOOoh !!! »
« - Hmmm ! C'est bon : ça te plaît ?
« - Et comment ! »
On a fait une pause. Je l'ai à nouveau sucé, lui m'a léchée encore et nous avons
encore et encore baisé... Le lendemain : nos draps étaient trempés et la chambre
sentait la sueur, le sperme et le plaisir...
Il a voulu me sodomiser mais : encore vierge de ce côté là, j'avais des appréhensions
et je n'ai pas voulu... Un mois plus tard, alors qu'on vivait ensemble ; cette carence
fut vite comblée et... bien comblée... Mais : ça, ce sera pour un prochain épisode...




Bisous ! Clara
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