Leslie Vn19

Leslie VN19 – Vacances naturistes, Christine et Sylvie

- C’est donc cette fille-là, demandai-je à Laure, qui était une véritable
fontaine ?
- Exactement. Christine quand elle jouissait se répandait comme une véritable
fontaine.
- Et cette partie à trois, non à quatre, tu en retiens quoi ?
- Une bonne expérience sexuelle, un vrai bon plan cul, surtout avec Damien et
son sexe de folie, mais l’expérience ne s’est pas renouvelée avec eux.
- Et avec Sylvie ?
- Nous sommes restées longtemps ensemble, j’étais libre de faire ma vie comme
bon me plaisais et j’étais bien avec elle. Nous avons explorées ensemble toutes les
possibilités du saphisme, puis nous nous sommes séparées quand elle à rencontrer une
autre fille.
- Mais tu as tenue ta promesse du fameux soir ?
- Oui le lendemain je l’ai sodomisée et elle à hurler de plaisir, comme à chaque
fois d’ailleurs que je lui ai pris sa rondelle.
- Elle aimait ça.
- Oui beaucoup, après notre séparation, par la suite j’ai tout tentée, moi et
deux gars et une fille avec un gars, des bons moments de délire. Mais c’est avec
Sylvie que j’ai découvert les amours entre femmes. C’est pourquoi avec Sylvie nous
nous sommes revues souvent et gardons cette amitié et une relation particulière, car
quand une occasion se présente nous en profitons.
- Tu continues à avoir des relations avec elle ? Lui demandais-je
- Bien sûr et je ne serais pas étonnée qu’elle me demande de te partager.
Laure avait les yeux brillants en me racontant cela, d’ailleurs elle rajouta :
- Je suis bisexuelle, j’aime autant faire l’amour avec un homme qu’avec une
femme. C’est pour cela que tu m’as tout de suite attirée et que je suis bien avec toi.
Car avec toi j’ai le mâle que je désire et qui avec son membre me donne du plaisir et
j’ai la femme et sa sensibilité qui est en toi.

J’ai le tout réunis en toi,
d’ailleurs, ma chérie, je t’aime.
Je comprenais tout à fait ce qu’elle disait et mon amour pour elle n’était pas
exclusif. Entre Laure et moi, l’amour sans que nous le sachions était là depuis notre
première rencontre.
Je prenais conscience que Stéphanie n’était que de passage dans ma vie, pour un temps,
et qu’un jour je reviendrais vers Laure, mon Amour.

Laure voulut finir de me raconter son aventure avec Sylvie.
« Suite à notre pan cul, Sylvie se tourna un moment vers les hommes, non pas pour
devenir bisexuelle, mais juste pour parcourir ce domaine et en savoir un peu plus.
Elle fit venir chez elle, lorsque ses parents n’étaient pas là, des hommes rencontrés
par hasard et qui pour un instant lui plaisaient, juste pour le sexe.

Sylvie un jour, en rentrant me montra ce qu’elle venait d’acheter au sex-shop non loin
de chez elle, deux godemichés, un gros très réaliste et un plus petit, je fus excitée
quand elle les posa sur son lit en me disant
- Ce soir nous allons vibrer ensemble !
Nous basculâmes sur le lit et nous nous sommes caresser pendant plusieurs minutes,
visitant chaque parcelle de nos corps avec nos lèvres, nos langues et nos doigts. Dans
un 69 endiablé, nous nous sommes léchées la chatte et le clitoris lubrifiant nos
vagins.
Sylvie prit alors le plus petit gode et le présenta à l’entrée de ma grotte. Elle
parcourut mes lèvres avec, allant et venant tout au long de ma vulve, touchant à
chaque fois au passage mon clitoris tendu et presque douloureux.
Puis je sentis l’objet entrer doucement en moi, tout en douceur sans brusquerie. La
sensation était divine, ce petit objet si fin en moi me faisait vibrer. Mais j’en
voulais plus et je voulais qu’il entre plus en moi, alors je m’empalai dessus jusqu’à
sentir le bout des doigts de Sylvie à l’entrée de ma chatte.
C’est pour cela qu’entièrement en moi, sentant le bout du gode contre le col de mon
utérus, je sursautai de plaisir. Sylvie entreprit alors de faire entrer et sortir
l’engin de ma chatte en mettant la vibration en marche, ce qui me donna des sensations
extrêmement jouissives.
Sylvie sortit le gode de moi me faisant grogner de déplaisir, mais aussitôt je sentis
l’autre gode investir mon sexe, ce gode au diamètre beaucoup plus impressionnant
m’investissait en m’écartant les lèvres.
J’étais tellement mouillée, Sylvie me masturbant le clitoris, qu’il entra sans
difficulté tandis que mon vagin semblait se dilater pour accepter en lui tout
l’intrus. Sylvie fit aller et venir le gode en moi pendant un long moment, alternant
les instants de douceur et de rapidité afin de faire monter lentement en moi le
plaisir et ce fut un véritable tsunami qui déferla en moi, m’emportant loin de là,
sans que je puisse me le contrôler ou m’en échapper. Je criai en m’accrochant aux
draps terrassée par une transe incontrôlable.
Tout mon être éprouva une jouissance inouïe et je restai comme assommée pendant de
longues minutes, à la merci totale de ma partenaire qui en profita pour me sodomiser
avec le plus petit des deux godes.
Elle joua avec moi ainsi pendant de longues minutes, me prenant les deux orifices et
me faisant perdre connaissance au plus fort de mes orgasmes.

Lorsque je repris conscience, à mon tour je me suis occupée de Sylvie en lui prenant
les deux orifices, mais en utilisant le plus gros des godes pour l’enculer. »

A suivre…