Leslie Vn22

Leslie VN22 - Vacances naturistes, Christine et Sylvie, suite et fin

Le lendemain Sylvie nous présenta un ami, Fabien, accompagné d’un ami, Claude, venus
lui rendre visite, ils étaient en vacances et profitaient d’être dans le coin pour
venir faire la bise à Sylvie.

Le soir nous avons bu plus que de raison et fait un repas à base de poissons grillés
et de retour à la villa, Laure mit de la musique d’ambiance et ouvrit le champagne,
une pis deux bouteilles furent bues. Quelques verres plus tard, je commençais à être
un peu gaie et Sylvie me prit dans ses bras pour me faire danser un slow. Pendant que
nous dansions, elle m’embrassa tendrement et je sentis contre sa cuisse pressée ma
queue qui commençait à gonfler, plusieurs slows suivirent et Sylvie m’excitait de plus
en plus avec sa cuisse ou son bas ventre collé au mien.
Laure, elle de son côté, se plaisait à se laisser dans les bras de sa nouvelle amante,
Christine, et ne refusais pas les baisers que lui prodiguait celle-ci. En lacées dans
les slows langoureux qui se suivaient les uns derrière les autres, elles ne se
cachaient pas et se caressaient ouvertement.
Fabien regardait en souriant.
Au slow suivant, c’est Sylvie qui demanda à Claude de me faire danser et là, je
compris que Sylvie avait une idée derrière la tête. Je décidais de me laisser aller et
de voir où nous conduirais cette nouvelle aventure.
Quand Claude se colla à moi pour danser, je sentis immédiatement contre ma cuisse
qu’il bandait déjà et qu’il était sûrement bien été doté par dame nature. Il commença
à m’enlacer tendrement et ses mains commencèrent à s’égarer sur mes fesses.
À la vue de ce spectacle, Sylvie se leva et vint se placer derrière moi, je me
retrouvai coincé entre eux deux. Lentement, Sylvie fit remonter ses mains vers mes
seins et commença à les caresser au travers de la fine étoffe de ma robe, pendant ce
temps Claude se pencha sur moi et m’embrassa tendrement sur les lèvres.

Je commençai à bander sérieusement et excitée comme une puce, Claude devait sentir mon
membre dur contre sa cuisse et sans le vouloir je tentais de me détacher de son
étreinte. Sylvie derrière moi m’en empêcha et ses lèvres collées à mon oreille elle me
dit :
- Ne t’inquiètes pas ma chérie, Fabien et Claude sont au courant pour ton
physique et en plus cela ne le dérange pas car ils sont bi.
Fabien excité par le spectacle se caressait au travers de l’étoffe de son short.
Sylvie continuait les caresses de plus en plus appuyées, une main sur mes seins et
l’autre descendant lentement vers mon bas ventre, arrivée à mon sexe elle commença à
le caresser de façon intime, me branlant au travers de l’étoffe.
La chaleur montait en moi et le désir se faisait de plus en plus fort, jusqu’au moment
où je finis par m’agenouiller entre mes deux compagnon en accrochant au passage le
short et le slip de Claude et là, ce qui se révéla à moi me laissa sans voix.

Je n’avais jamais vu une queue pareille, certains pour décrire la taille d’une bite
vont en centimètres de longueur et de diamètre, pour moi maintenant l’avais devant les
yeux je restais sans voix, car tentant de la prendre entre mes lèvres je ne pouvais à
peine prendre le gland dans ma bouche, et ma main à la base de ce membre ne suffisait
pas pour en faire le tour, en fait j’avais un monstre devant les yeux.
Me relevant il se mit à m’embrasser à pleine bouche, mêlant sa langue à la mienne,
pendant que Sylvie s’attelait à me déshabiller.
Quand je fus nue, Claude prit mon sexe en main et commença à me branler, tandis que
Sylvie, au comble de l’excitation, se mit à genoux derrière moi et écartant de ses
mains mes fesses commença à me lécher la rondelle.
Je compris aussitôt que Sylvie voulait que je fasse sodomiser par son ami, un frisson
me parcouru et me retournant je dis à Sylvie :
- T’es folle, Sylvie, ça ne passera jamais, il est bien trop gros !
- Mais si ma chérie, on essaie pour le fun et si tu as trop mal, promis il
arrête.
- Il t’a déjà sodomisé, demandais-je à Sylvie, comme pour me rassurer.
- Nous avons essayé mais ce n’est pas rentré, mais dans ma chatte il m’a remplie
comme jamais et j’ai eu un orgasme d’enfer.
- Mais mon œillet est plus serré que ta chatte !
- Oui je le sais bien, mais Fabien rêve de sodomiser une belle trans, alors
laisse toi aller.
- OK mais alors, tout doux hein ?
- Bien sûr, ma chérie, on essaie.
Tournant la tête vers Fabien, je remarquais que celui-ci avait enlever son short et nu
il se branlait en nous regardant, et le membre de Fabien n’avait rien à envier à celui
de Claude.

Elle commença alors à me mettre du lubrifiant puis m’introduisit un doigt, puis un
deuxième, avec sa douceur c’était très agréable.
- Allez, vas-y maintenant, encule-la, elle n’attend que cela, dis Sylvie.
Je me mis en levrette, avec une certaine appréhension et il se positionna derrière
moi, pointant de sa bite raide mon petit trou et commença à écraser son gland sur mon
œillet. Celui-ci fit de la résistance quelques secondes puis, sous la pression, le
sphincter céda et sa bite commença son intrusion dans mon rectum, il ne s’arrêta pas
et continua sa lente poussée jusqu’à ce que je sente ses poils pubiens contre mes
fesses.
J’étais partagée entre douleur et excitation, puis lentement la douleur s’estompa pour
laisser la place à une douce chaleur qui m’envahit tout entière. Il accéléra un peu le
rythme et là, je suis partie en enchaînant orgasme sur orgasme, tout le voisinage
devait être au courant de ce qui m’arrivait !

À ce train, Claude ne put tenir longtemps, trop heureux de sodomiser une trans qu’il
l’acceptait dans son fondement, il ne tarda pas à s’épandre en moi et pas qu’un peu.
Quand il se retira, je sentis dégouliner son sperme sur mes cuisses des litres de
sperme.
Claude, bien qu’ayant joui n’avait pas débandé, alors le faisant s’allonger sur le dos
je dis à Sylvie de se mettre au-dessus de lui et de s’embrocher sur sa queue.

Aussitôt, trop heureuse de se faire mettre pas la chatte, elle vint se positionner au-
dessus de son pieu puis lentement elle descendit jusqu’à ce qu’elle sente le gland
entrer en elle, en couinant comme une truie. Sous l’effet de la pesanteur, elle
continuait à glisser inexorablement vers le bas et le membre de Claude continuait à
entrer lentement en elle. Jamais je n’avais vu une chatte autant dilater et Sylvie
devait se sentir bien remplie, elle finit par arriver en butée sur sa bite, et là,
Fabien commença à l’à faire remonter lentement et au moment où je crus que le gland
allait sortir de sa chatte, il la lâcha et d’un coup elle se retrouva embrochée
jusqu’à la garde en poussant un cri. Il répéta la manœuvre une dizaine de fois jusqu’à
ce qu’elle craque et parte dans son premier orgasme de la soirée.
Laure et Christine s’était données du plaisir et avaient jouis dans un 69 endiablé.

Nous avons pris un verre, et assise entre les deux garçons et je ne pouvais pas
m’empêcher de loucher sur le membre de Fabien, même au repos il était impressionnant.
Bien sûr, les garçons s’aperçurent de mon petit jeu et c’est Sylvie qui relança la
partie.
Elle m’allongea sur le dos et s’attaqua à mon sexe qui commençait à pointer en pensant
à la queue de Fabien.
Claude, sentant mon attirance pour Fabien se plaça entre Christine et Laure, qui sans
se faire prier se mirent à le sucer. Elles se posaient la question de savoir qui
profiterait de ce beau membre en premier.

De son côté Fabien me présenta sa queue au repos que je pris en bouche avec
difficulté. Sylvie continuait à me donner du plaisir avec sa bouche et sa langue.
Très vite le membre de Fabien raidit et je ne pus le tenir en bouche tellement il
était devenu énorme. Alors Fabien, prenant l’initiative, me mit en levrette et
commença à me lécher le petit trou.
- Ma chérie, tu vas vivre un instant inoubliable, me dit Sylvie, Fabien va
t’enculer !
En levrette comme il m’a placé je m’en doutais un peu, mais il est encore plus gros
que celui de Claude.
- Oui c’est vrai, tu vas le sentir passé, mais Claude t’as bien préparé ton
petit trou est encore entrouvert.
- Je ne suis pas sûre de pouvoir encaisser un engin pareil.
- Laisse faire, tu vas bien t’éclater.

Sylvie me prépara comme elle sait si bien le faire, puis elle prit la queue de Fabien
pour la placer sur ma petite porte. Lentement il commença à exercer une pression sur
ma rondelle, je sentais sa queue dure et raide poussée sur mon trou et je sentais mon
œillet s’entrouvrir lentement sous la pression.
Mais mon muscle résistait à cette pénétration hors norme, alors il me prit par les
hanches pour m’attirer vers lui et ainsi faire céder mon œillet qui résistait.
La pression qui me tirait des larmes entama la résistance de mon muscle interne et
finit par céder et laisser entrer cet énorme membre en moi, en me faisant hurler.
Jamais je n’avais été distendue comme ça, et Fabien s’enfonça irrémédiablement en moi
jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre mes couilles, il était entièrement
en moi et je gueulais de souffrance et de joie d’avoir cet engin en moi.
Il entama alors de lents mouvements d’aller et retour. Je commençais à m’habi à sa
présence et la douleur fit place à une agréable sensation, mon ventre commençait à se
remplir de chaleur et mon corps se couvrait de gouttes de sueur.
À un moment, Fabien de retira complètement de mon cul en m’écartant les fesses et
Sylvie put admirer mon trou. Fabien ne laissa pas le temps à mon petit trou de se
refermer et l’investit à nouveau d’un coup jusqu’à la garde. J’en eus le souffle coupé
et un orgasme s’ensuivit immédiatement. Il se mit alors à me pilonner à toute vitesse.
Je hurlais de plaisir, ma jouissance était quasi ininterrompue. Quand Fabien se vida
dans mon boyau, je défaillis quelques secondes.

En reprenant mes esprits, je me trouvai nez à nez avec la verge de Fabien toujours au
garde-à-vous, alors, comme pour le remercier je lui taillais une pipe magistrale
jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche et j’avalais sa liqueur d’amour jusqu’à la
dernière goutte.
Il faut que je vous dise que, pendant que Fabien me sodomisait, Christine et Laure se
sont fait prendre par tous les trous par Claude et c’est avec les trous ouverts
qu’après ces émotions, nous partîmes nous coucher.

A suivre…