L'Institut
Après bien des recherches en ville, jai trouvé mon bonheur : un local en plein centre
ville pour monter mon institut de beauté. Jai tout le matériel voulu depuis les
simples fauteuils jusquaux plus compliqué des matériels.
Je minstalle vite pour gagner ma vie. La première semaine est morne : juste une
épilation rapide de sourcils. Je ne vais pas vivre avec si peu. La deuxième semaine
démarre bizarrement.
Dès louverture, un mardi, une cliente me demande de lui faire le maillot complet.
Dans larrière boutique, à lendroit prévu pour ça je la fais entrer. Delle-même elle
se met nue, totalement nue, sans pudeur. Je la détaille moi aussi sans pudeur : une
femme dune quarantaine dannée, encore bien faite avec des seins du genre solides,
aux aréoles bien rondes un peu sombres avec de légers renflements autours. Poitrine
bien foutue. Son ventre plat est attirant : si jétais un homme je ne résisterais pas
longtemps. Bien sur elle a une fourrure épaisse. Je suis là pour la lui ôter. Je
regarde plus bas, ses jambes sont bien fichues. Elle se tourne comme pour se montrer :
son fessier me donne des envies dy poser mes mains.
Je lai fait se coucher sur le dos, les jambes légèrement ouvertes. Je glisse sur sa
tête un léger coussin. Elle pourra voir mes mouvements. Je passe le savon pour
attendrir ses poils, en débordant un peu sur son sexe. Le rasoir a vite fait de lui
enlever les poils. Je peux voir sa chatte en entier. Jai à peine le temps de passer
le produit apaisant quelle me demande de lui faire du bien. Je la regarde un peu
étonnée :
- Quattendez-vous pour me masturber.
- Je ne my attendais pas.
- Pourtant cest pour ça que je suis venue. Branlez-moi.
Je passe ma main sur son bas ventre, je passe sur ses grandes lèvres, je sens déjà sa
cyprine. Elle me donne envie de participer moi aussi à sa fête des sens, même si je ne
suis pas particulièrement portée vers les femmes : mon chéri pourrait vous confirmer,
moi qui refuse toujours de faire lamour à trois avec une autre fille.
à peine vers son clitoris que je la sens déjà se détendre.
Elle est la première femme que je vais masturber. Je fais faire comme pour moi. Une
main sert à écarter les lèvres pour faire ressortir le bouton. Quand je le vois je
passe deux doigts sur lui, lentement sans trop appuyer, exactement comme pour moi. Je
la regarde : elle ferme les yeux. Je dois bien lui faire du bien, alors je continue
jusquau moment où je la sens se crisper un peu. Je regarde sa chatte : pour la
première fois je vois un vagin se fermer et souvrir en cadence pendant son plaisir.
Jen suis moi aussi mouillée. Je crois que si elle me branlait maintenant
jaccepterais avec grand plaisir. Non, elle se rhabille, me paie et sen va en disant
merci. Je ne sais pas si le merci est pour le travail ou par la masturbation.
Heureusement quelle part, je me mets couchée à mon tour sur la table, jenlève mon
string que je ne remettrais pas après. Jécarte bien les jambes pour me branler à mon
tour. Jai juste le temps de jouir quune autre femme entre.
Elle me demande aussi une épilation totale. Elle aussi est vite nue dans la pièce.
Celle là est blonde, une vrai blonde. Un peu plus grande que la première, la poitrine
moins grosse, le ventre à peine bombé, le reste du corps à lavenant. Je sais davance
que si elle me le demande je la masturberai volontiers et plus si elle veut.
Je la détends largement : elle aussi me demande la suite, comme si cétait normal.
- Quelle suite veut vous, madame ?
- Faites moi jouir.
- Comment, avec mes mains, un gode ou ma bouche.
Je vais un peu loin, le seul gode que jai est dans mon sac, je men sers rarement.
- Commencez avec les mains.
- Bien madame.
Je fais comme avec la première. Cette fois je nhésite plus : je la fait bien jouir.
- Maintenant avec la bouche.
Là, elle me surprend beaucoup, je nai jamais sucé une fille.
pourboire. Je me penche vers elle, ma bouche est presque sur sa chatte. Je sens son
odeur de cyprine qui ne me surprend pas du tout : cest presque la même que moi. Par
contre jéprouve des difficultés à poser ma langue sur elle. Pourtant je suis bien
obligé, cest moi qui le lui ai proposé. Le bout de ma langue est sur son clitoris qui
ressort encore. Je lèche lentement : elle gémit. Finalement son gout est acceptable.
Je mets encore plus de ma langue sur son con. En plus jintroduis deux doigts dans son
puits. Je la doigte comme pour moi. Ajouté au cunnilingus, elle ne tarde pas à jouir.
- Viens sur moi, donne moi ta chatte je vais te sucer aussi.
Nous voilà parties vers des rivages que je ne connais absolument pas. Je vais sur
elle, les jambes bien ouvertes. Je me donne à sa bouche. Je ne savais pas quels
plaisirs donne une bouche de fille. Je jouis sans complexes sur sa bouche pendant
quelle aussi jouit de ma langue. Quel 69 je vis, quelle jouissance inconnue.
Elle sen va après un baiser sur la bouche et un confortable pourboire. Je me demande
ce que je deviens, une esthéticienne, ce que jétais encore ce matin ou une pute pour
femme. Une autre dame attend son tour dans la salle normale. Je crains une autre
demande dépilation.
- Pouvez-vous me rafraichir le bas ventre.
- Comme madame voudra.
Me revoilà partie encore une fois avec une cinglée der la baise. Comme les autres
elle est vite nue. Son corps est aussi agréable que celui des autres. Jai peu de
travail, elle ne veut quun simple raccord : en effet des poils poussent plus vite en
haut quen bas ; Je rase ce qui dépasse la norme souhaitée.
- Puis-je vous faire autre chose.
- Non, je vous remercie.
Ouf je suis tranquille. Je naurais pas à branler une autre femme. Ce soir je
raconterais toutes mes aventures à mon époux qui ne me croira sans doute pas.
mon manque de désir lui montre que jai joui plus que prévu. Il me demande simplement
mon cul. Je ne peux le lui refuser. Il me mouille bien lentrée avec sa salive et un
peu de la mienne. Toujours avec sa douceur habituelle il entre au fond de mon anus.
Maintenant il arrive à me faire jouir normalement, même si la sodomie nest pas une
façon normale de baise.
Le lendemain je me dis que la journée ne sera pas comme celle dhier. Je me trompe
beaucoup, le matin je nai quune seule cliente à faire jouir. Je ne peux mempêcher
le finir par un 69 : jy ai pris goût. Jaime la cyprine.
Laprès midi jai deux clientes, deux surs qui ont les même besoins. Je moccupe de
lune pendant que lautre regarde en se branlant. Je suis comme la veille, incapable
de satisfaire correctement mon époux qui commence à râler. Je le suce pour lui donner
son orgasme normal. Son sperme change bien du goût de cyprine, cest presque meilleur.
Les journées se suivent et se ressemblent. Jai enfin lexplication de ma clientèle :
la première a passé le mot à une autre et ainsi de suite : je suis réputée pour bien
faire jouir les femmes en panne dorgasmes
Je suis submergée, je dois faire appel à une employée. Jai passé une annonce dans la
presse, surtout pas au pôle emploi. Plusieurs personnes se présentent. Presque aucune
ne me convient : trop âgées, pas très sexy, je nen retiens que deux en espérant ne
pas me tromper. Je passe mes entretiens dembauche en glissant par hasard la question
de relations sexuelles. Une seule répond quelle aime bien baiser. Bingo, je tiens ma
doublure. Il faut encore passer le dernier test.
Nous passons dans la pièce de soin, je lui demande de se mettre toute nue. Elle hésite
un peu avant Je suis moi même nue. Je lembrasse sur la bouche pour tester ses
capacités : elle répond bien à mon baiser.
sur la chatte : elle écarte les cuisses pour que jaille dans son antre. Je ne cherche
pas longtemps son bouton, dès que je le caresse, elle aussi me caresse. Nous nous
branlons ensemble. Elle memmène vite à lorgasme alors quelle met à peine un peu
plus de temps pour jouir. Je la fait coucher sur la table pour faire un 69. Cette fois
cest elle qui jouit avant moi.
Je mengage pour prendre son service dès le lendemain. Quand une cliente arrive,
cliente que je connais déjà, je lembrasse sur la bouche avant de la diriger vers mon
employée. Elle nest déçue quun court instant. Jassiste à lopération vérité. Ma
doublure se débrouille pas mal, elle envoie au paradis sa cliente. Je suis excitée, je
suis obligée de me masturber devant le couple de fille. Jai simplement relevé ma robe
jusquau ventre, écarté mes jambes, passé ma main sur le sexe pour trouver le bouton.
Jai joui presque en même temps que les deux autres. En partant la cliente paie ma
part, celle de linstitut et laisse un bon pourboire à mon employée satisfaite et
davoir joui et den être payée.
Jai agrandi la pièce spéciale pour recevoir deux clientes à la fois. Quelle histoire
pour la première fois avec deux clientes. Au début elles refusaient de jouir devant
lautre, puis entrainée par le besoin de jouir elles se pliaient à la nouvelle règle.
Si un étranger voyait comment nous agissions il aurait été ou choqué ou excité.
Mon employée avait sous sa main la chatte dune cliente pendant que je me trouvais en
69 avec une autre. Javoue volontiers que jaimais beaucoup cette formule de baise en
commun.
Un jour je posais la question à lune de mes préférées. Elle aurait accepté un homme
pour se faire mettre. Dautres, peu nombreuses étaient dans son cas. Elle prenait
rendez vous et mon mari venait les baiser devant moi et mon employée-amante. Pendant
quils baisent nous autres, celles de linstitut nous nous faisions lamour devant
eux. Mon mari nétait plus jaloux, il voyait comment marchait ma boite, il comprenait
que nous en profitions pour prendre nos orgasmes.
Nous baisons maintenant les jours de fermetures quand mon sexe était « vierge » de
langue féminine. Jaimais toujours quand il me la mettait là où il voulait. Jadorais
faire des 69 avec lui : je dégustais toujours son sperme.
Depuis jai vendu mon affaire à mon employée : je suis devenue une cliente assidue :
tous les 15 jours je vais me faire branler où sucer.
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