Kathy
Voilà maintenant deux semaines qui se sont écoulées. La vie a repris son cours. Et un
jour, en rentrant dune réunion de travail, alors que je fouille dans mon sac pour
retrouver mes clés, je trouve un morceau de papier froissé. Je le déplie. Il sagit de
la note de ce fameux restaurant et, au dos, le numéro de téléphone de Kathy, la
serveuse, avec laquelle jai eu la chance de connaître un rapprochement plus que
plaisant.
« Lapéritif ma laissé sur ma faim » précédé dun numéro de téléphone. Je lis et
relis cette phrase. Je ferme les yeux et retrouve la douceur de sa bouche contre la
mienne, de sa peau sous mes doigts. Je me sens excitée à cette pensée. Je saisis mon
téléphone et envoie un SMS : « A quand le plat de résistance ? », puis pose mon
téléphone et pars me changer.
Lorsque je reviens dans le salon, je vois que mon téléphone clignote, mon cur
saccélère, espérant que ce soit elle. Et je souris en lisant « Mmm dès que possible,
je finis mon service à 22h, nous pouvons nous retrouver dans lhôtel en face du
restaurant ». Un rendez-vous dans un hôtel avec une inconnue
Cest à la fois
intimidant mais aussi très excitant. Cela ne laisse aucune ambiguïté sur ce quil va
se passer.
Jappelle donc la réception et réserve une chambre pour ce soir. Jenvoie un SMS à
Kathy pour lui donner le numéro de la chambre. Laprès-midi me semble interminable. Je
regarde les heures passer, ne pensant quà ses courbes, sa peau. Je me fais couler un
bain et y plonge mon corps. De longs massages avec une lotion gommante, une épilation
fraîchement réalisée. Je veux me faire belle pour elle.
Je guette régulièrement lécran de mon téléphone, espérant un message de sa part.
Malheureusement, elle reste silencieuse. Jenfile une guêpière et un string noirs,
attache mes bas avec les porte-jarretelles, et enfile une robe noire, sur laquelle
jenfile un boléro rouge.
paupières de brun, et passe un rouge à lèvres discret sur mes lèvres. Je lime mes
ongles et passe un vernis transparent. Ces odeurs de maquillage, purement féminines,
me ramènent sans cesse à penser à elle. Son corps sera transpirant du travail, elle
pourra commencer par prendre une douche si elle le souhaite. Je pourrai même peut-être
lobserver
La porte dentrée souvre, me sortant de mes pensées. Cest mon mari qui rentre du
travail et semble étonné de me voir ainsi habillée. Je lui explique que ça nest
malheureusement pas pour lui, et lui raconte les messages échangés avec Kathy. Il me
sourit et me dit « vous en avez mis du temps
» Il me donnait ainsi son accord pour
courir la retrouver. Mais avant, il voulait profiter un peu de sa femme, et javoue
que je me sentais déjà terriblement excitée. Il glissa ses mains sous ma robe, et put
constater à quelle point jétais prête pour mon rendez-vous. Il mentraîna jusque dans
notre chambre, massis sur le lit, et me demanda de le déshabiller. Je le pris en
bouche, et commença de lents va-et-vient, ma langue chatouilla ensuite ses testicules.
Il me poussa alors en arrière et me pris ainsi, sans rien dire, sans même un baiser,
comme si lenvie qui le submergeait était trop forte. Jadore cela, cette bestialité
qui déborde de passion. Je gémis, puis crie sous ses assauts. Dans un dernier râle je
le sens se répandre en moi, et nous jouissons à lunisson.
Je reste allongée là un moment, pour me remettre de mes émotions. Puis je regarde
lheure, je maperçois quil est déjà 21h. Je file dans ma salle de bains retoucher
mon maquillage et ma coiffure, puis embrasse mon mari et me sauve, il semble trouver
mon agitation amusante. Il est vrai que jai limpression dêtre une jeune lycéenne,
je ressens le même stress et la même excitation que ces premières fois.
ma voiture et conduit en direction de cet hôtel, jécoute de la musique, je murmure
distraitement les paroles tout en pensant à elle, espérant que ce nétait pas une idée
en lair, quelle ne renoncera pas. Jarrive et me gare. Il est 21h30. Je récupère la
clé et monte dans la chambre, prend connaissance des lieux. Face à la porte un grand
lit, recouvert de coussins. A sa droite, une commode en bois verni, et sur la gauche
un grand coffre en bois, sur lequel je dépose ma veste et mon sac. Jentre dans la
salle de bains, me passe les mains sous leau, comme pour permettre au fil de mes
pensées de se calmer, pour reprendre pied. Je réalise très vite que je ne saurai
patienter ici jusquà 22h. Je ressors donc et me dirige rapidement vers le bar du
restaurant où Kathy travaille. Un verre me fera le plus grand bien ! Jentre et
minstalle au bar. Je commande un Tequila Sunrise, et attire le regard dun homme
seul, assis à lautre bout du bar. Nous discutons un moment. Il cherche à savoir ce
que fait une jeune femme telle que moi seule ici. Son discours est évident, comme son
apparence dailleurs. Brun, rasé de près, portant un costume fade, il semble être un
homme daffaire quelconque. Je lui réponds que jattends quelquun, que je dois
retrouver à lhôtel en face.
Alors quil me dit quil a bien de la chance, je souris et Kathy arrive. Je lui
propose de sasseoir et de prendre un verre avec moi avant que nous partions. Elle
rougit et sinstalle au bar. A son regard, je vois quelle désire que nous soyons
discrètes, elle ne souhaite surement pas que ses collègues sachent. Nous buvons donc
sagement. Dès que le barman sabsente, je promène mon pied le long de sa jambe, ce qui
semble la faire rougir davantage. Une fois laddition payée, elle se lève et je la
suis. Malgré sa tenue de travail froissée, je la trouve très élégante.
droite avec ce chemisier blanc, elle est à croquer. Alors que nous allons pour passer
la porte, je latt par la taille et lance à lhomme du bar un regard entendu. Il
semble se décomposer, et commence à se lever alors que nous traversons la route.
Il nous interpelle du trottoir tandis que nous traversons la route. De toute évidence,
il souhaiterait passer la nuit avec nous. Je lui lance « - Soirée entre filles désolée
! ». Nous rions et entrons dans lhôtel. Nous montons jusquà la chambre et là,
jassiste à la métamorphose de Kathy. Comme je my attendais, elle mannonce quelle
va prendre une douche rapide et quelle revient. Je mallonge sur le lit et allume la
télé. Une fois que leau coule, je me lève et vais jeter un regard discret par la
fente de la porte. Après tout, je pense quelle a fait exprès de laisser cette porte
entrouverte. Je distingue sa silhouette dans les vapeurs deau. Elle est fine,
élancée, se frictionne le corps de manière gracieuse. Je reste plusieurs minutes à la
contempler ainsi, puis réalise quelle est en train de se rincer et ne va plus tarder.
Je retourne sur le lit.
Environ 10 minutes plus tard, une autre femme passe la porte, elle est méconnaissable.
Elle porte un déshabillé noir, ses cheveux sont détachés, ses yeux maquillés dun noir
intense. Son piercing à larcade brille sous ces lumières et intensifie son regard.
Elle me demande déteindre la télé, ce que je fais sans hésiter. Elle sapproche du
lit, sinstalle au-dessus de moi et membrasse à pleine bouche. La petite fille timide
du restaurant a disparu, elle a laissé place à une véritable tigresse. Alors que je
suis plaquée le dos contre le matelas, elle promène ses lèvres sur mon corps, en
profite pour me déshabiller. Elle commence par défaire le boléro, pour accéder à mes
épaules quelle mordille avec envie.
mains me promener sur ses hanches. Puis elle glisse sa langue dans mon décolleté,
chatouille mes seins de sa pointe, tout en glissant une main entre mes jambes. Elle me
regarde fixement en souriant, comme pour me montrer quelle aussi peut se montrer
entreprenante, et je confirme, elle se débrouille même très bien. Elle glisse un doigt
à lintérieur de mon string, il fait des va-et-vient entre mon antre humide de désir
et mon clitoris, il glisse à merveille.
Je caresse ses fesses, seul un léger string les habille. Jai tout loisir de profiter
de la douceur de sa peau. Puis elle sattelle à retirer ma jupe, et recule un peu pour
mobserver. « - Tu es magnifique et terriblement sexy ». Ses mots me font chavirer, je
latt, lui enlève son déshabillé. Elle retire son string, elle est maintenant
entièrement nue. Sa peau est blanche, lisse, et dune douceur
Mes mains ne se
lassent pas de la parcourir, mes lèvres de lembrasser, pendant quelle se débat avec
mes porte-jarretelles pour les détacher. Elle retire mes bas en les faisant glisser
doucement le long de ma jambe, accompagnant leur descente de baisers. Elle me tourne
ensuite brusquement sur le ventre et défait es agrafes de ma guêpière. Puis elle
sassoit sur mes fesses, et commence à me masser les épaules. Une fois quelle me sent
détendue, elle commence à membrasser dans le cou, descend le long de la nuque, puis
parcourt mon dos, pour finir sur mes fesses. Sa langue simmisce entre mes deux lobes,
je tremble dexcitation. Elle écarte mes jambes et se fraie un chemin jusquà mes
lèvres brûlantes dimpatience. Elle les lape avec méthode, noubliant aucun recoin, ce
qui me fait jouir très rapidement.
Je profite dun relâchement de sa part pour inverser les rôles et suis sur elle, je
lembrasse langoureusement, lèche avec douceur le bout de ses seins, les titille. Je
les sens durcir dans ma bouche et je dois bien avouer que jadore ça ! Je descends
jusquau nombril, puis ma langue descend vers son clitoris. A peine quelques poils le
camouflent, elle est épilée de près. Je joue avec son bouton, le lèche, laspire, le
mordille. Elle sagite sous moi, me repousse et me retiens en même temps. Je la
pénètre ensuite du bout de ma langue, puis revient au clitoris. Quelques minutes de ce
traitement suffisent à la faire jouir à son tour. Elle crie, et me surprendrait
presque de la force de son râle.
Nous nous allongeons alors lune face à lautre, et nous masturbons mutuellement. Nous
entrons deux, puis trois doigts dans notre compagne du soir, et adaptons notre rythme
à lexpression de son visage. Il faut bien reconnaître quelle est très douée, et je
pense quelle doit avoir plus lhabitude que moi de donner du plaisir à une femme. Il
est peut-être même possible quelle naime que les femmes. Mais je nai pas envie de
savoir. Jaime le mystère qui entoure ce moment, moi et ma quasi-inconnue, nues dans
cet hôtel. Nous jouissons à lunisson, puis nous endormons dans les bras lune de
lautre.
Le lendemain matin, alors que je me sens réveillée par une drôle de sensation,
jentends frapper à la porte. Machinalement, je crie « - Oui entrez ! », ne me
rappelant plus vraiment où je suis. Alors que le serveur, un peu gêné, dépose
rapidement le petit-déjeuner et se dirige vers la porte, je réalise que je suis nue,
le drap me couvrant à peine, et que cette drôle de sensation nest autre que Kathy
qui, la tête entre mes jambes, compte me servir un orgasme avant les croissants ! Je
laisse aller ma tête sur loreiller en gémissant tandis que lhomme sort de la chambre
en hâte, et la laisse memmener droit au 7ème ciel
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