Leslie Vn21

Leslie VN21 – Vacances naturistes, Christine et Sylvie, suite

Dans la nuit je fus réveillée, j’étais allongée sur le dos et Laure penchée au-dessus
de mon ventre commençais à me lécher doucement le sexe, puis lentement elle le prit en
bouche et je sentis doucement mon sexe gonfler entre ses lèvres humides.
J’attendais sans bouger d’être en érection, appréciant cette douce caresse inattendue,
elle me suçait divinement, puis jugeant mon sexe suffisamment rigide elle m’enjamba,
doucement sans faire de bruit, pour s’empaler d’elle-même.
Ses mouvements furent lents et pendant un bon moment elle se fit l’amour sur moi,
prenant son temps tout en feulant son plaisir à mon oreille et c’est en se mordant la
lèvre pour ne pas hurler quand elle prit son pied en jouissant et inondant mon bas
ventre de sa jouissance.
Puis elle se rallongea dans le lit en se blottissant contre moi, pour se rendormir.

Au petit matin, une furie de sexe nous emporta.
Christine se fit enculer par Laure harnachée de son gode ceinture, tandis que Sylvie
s’était empalée sur moi, la scène était chaude.
- Oh comme je suis bien enculée, dis Sylvie.
- T’es bien un salope d’enculée, dis Christine entre deux râles.
Laure entrais et sortais sans cesse son pal du cul de Christine qui râlait, alors que
pendant tout ce temps Sylvie prenait ouvertement son pied en se sodomisant sur moi.
Christine ne bougeait plus, comme terrassée par la sodomie que Laure lui infligeait et
l’acceptant malgré tout.

Sylvie commença alors à se retirer doucement de moi en me demandant de venir la
prendre en levrette, je me plaçais derrière Sylvie qui déjà en place le cul cambré
n’attendait que ma pénétration dans son boyau intime.
Christine, sous les assauts de mon amante eue un orgasme en jouissant du cul, tandis
que de mon côté je prenais un pied d’enfer en enculant son amante, très vite Sylvie se
mit à hurler son plaisir en disant :
- Ohhh, je jouis du cul, c’est trop bon !

Puis après avoir jouis dans les entrailles de Sylvie, nous sommes restées dans notre
chambre avec Sylvie et Christine, et redormir un moment.

Christine, les lèvres collées à mon oreille, me dit :
- Hier soir, j’aurais aimé que ce soit toi qui m’encule, je rêve de me faire
prendre par une femme à bite depuis longtemps.
- Attends, lui dis-je, lève-toi doucement et attends-moi sur le tapis.
Sans bruit Christine s’est levée et je l’ai suivie, aussitôt elle se mit en levrette
pour me présenter son cul et de ses deux mains s’ouvrit les fesses en disant dans un
souffle.
- Je suis à toi !
Je l’ai enculé sans un mot et lorsqu’elle à prit son pied en hurlant son plaisir, elle
a réveillée Sylvie et Laure.
Après quelques minutes Laure se tourna vers Christine et dit :
- On dirait que tu apprécies la compagnie de Leslie.
- Et aussi de se faire enculée par elle ! Rajouta Sylvie.
Sylvie venait de poser sa main sur la chatte de Christine d’où dépassait, comme chaque
fois qu’elle était excitée, son clitoris et commença à la branler en lui disant :
- J’espère que tu as pris ton pied quand Leslie t’as défoncée le cul !

Laure avant que Christine n’ait pu réagir sauta sur elle et posant sa bouche sur son
pubis lui aspira son bouton d’amour, sous cette caresse buccale Christine commença à
gémir de plaisir, Laure alternait les mouvements de succion et de léchage comme pour
une bite d’homme, ça devait être divin
Pendant ce temps, Sylvie qui ne voulait pas rester spectatrice se mit en levrette et
me demanda de l’embrocher d’un seul coup avec mon sexe tendu. Au cri qu’elle poussa,
je compris qu’elle aimait que je lui prenne la chatte de cette façon.
Sylvie commença alors à hurler de plaisir et chaque fois que mon ventre venait buter
sur son cul elle disait :
- Ohhh c’est fort, comme tu me prends bien ma chérie.
À ce train Sylvie ne pus pas se contenir longtemps et elle partit dans un orgasme
foudroyant, ses mâchoires se crispèrent la bouche ouverte à la recherche d’un peu
d’air, tandis qu’elle griffait les draps de ses ongles.
C’est le moment que Christine choisit pour crier, à son tour son bonheur.

Après ça, nous avons été déjeuné toutes les quatre à poil, et évidemment à se caresser
à la moindre occasion je ne fus pas longue à bander à nouveau.
Là, c’est Laure qui reprit l’initiative :
- J’aimerais bien me faire prendre, là maintenant, un sandwich.
- On va te faire ça comme à une reine, lui répondit Christine en allant chercher
le gode ceinture.
Christine revint harnachée une minute plus tard et s’allongeant sur le dos à même le
sol du salon, elle dit :
- Laure, empale-toi dessus, Sylvie va te préparer le fion pour que Leslie
t’encule.
Laure se mit donc sur Christine et s’embrocha la chatte sur le gode dressé et Sylvie
la coucha au maximum sur elle pour que je puisse accéder à sa rondelle, qu’elle
commença à enduire de sa salive à grands coups de langue.
Puis elle récupéra le tube de lubrifiant sur la table basse du salon et lui enfonça
un, puis deux doigts tout en commençant des va-et-vient de plus en plus rapides.
Sylvie me suça un peu pour me faire bien durcir et être prêt pour la pénétration de
l’œillet de Laure. Puis bandant comme une folle, je braquais ma queue sur la rosette
de Laure et commençais doucement à l’enfoncer, lentement les fronces s’effacèrent puis
le gland cessa de s’écraser pour finir par franchir la petite porte. Dès
l’intromission du gland, je cessai de pousser pour laisser Laure s’habi à mon
sexe, bien qu’elle connaissait par cœur cette pénétration, et d’ailleurs ce fut elle-
même qui recula doucement pour s’enfoncer mon sexe jusqu’à la garde.
- Voilà Laure, régale-toi maintenant, dis Sylvie en s’éclipsant.

Nous nous sommes mis, avec Christine en mouvement, l’une s’enfonçant quand l’autre se
retirait. Je voyais mon membre qui dilatait l’anus de mon amante qui couinait à chaque
pénétration.
Au bout de quelques minutes Laure commença à crier de plus en plus fort puis elle dit
:
- Allez-y, ne me ménagez pas, j’ai tellement envie !
Elle n’aurait pas dû dire ça, Christine se rua en elle comme une déchainée et je
sentais distinctement les bourses du gode s’écraser contre les miennes tant elle
enfonçait le gode au fond de la chatte de Laure.
Laure la tête en arrière cherchait de l’air la bouche grande ouverte et avait les yeux
révulsés, elle hurlait son plaisir sans discontinuer.
Sylvie revint harnachée à son tour et elle se plaça derrière loi en le disant à
l’oreille :
- Je vais t’enculer et tu vas aimer
Sylvie me prit après avoir enduit ma rondelle de gel, et elle ne se priva pas pour
m’enculer sauvagement de son pal, qui en autre chose était de bonne dimensions. Elle
m’encule comme une reine, elle savait prendre les petits trous, tant est qu’elle me
fit jouir dans le cul de Laure.
Au moment où je lui ai rempli les entrailles, je crois que sous l’effet de son
orgasme, elle perdit un moment connaissance.

Quand Laure repris ses esprits elle embrassa d’abord Christine puis se tournant vers
moi elle me dit :
- C’était divin, j’ai pris un pied d’enfer.

A suivre…