J'Aime Les Landes...

Mon prénom est Amandine, J’ai un aveu à faire, j’ai dix sept ans, blonde comme les
blés, formée comme une femme adulte aussi bien en haut qu’en bas, j’habite dans les
landes prés du bassin d’Arcachon, l’été je me fais de nombreux copains de vacances
mais ils ne pensent qu’a coucher dés qu’ils me proposent la botte je me défile, je
suis restée vierge jusqu'à ce fameux jours …
ma copine Delphine a dix neuf ans, elle n’a pas froid aux yeux et n’est plus vierge
depuis longtemps, un jours elle m’a avouée qu’elle avait fait çà avec un homme marié
de quarante ans , cet après midi nous devons aller a vélo chez ma sœur ainée mariée
qui habite à trois kilomètres a condition de passer par la forêt sinon ça fait le
double et puis je n’y ai jamais fais de mauvaises rencontre a part des animaux !
Nous partons donc, Delphine roule devant et je m’aperçois qu’elle n’est pas assise sur
sa jupe et le vent la soulève assez haut pour que je puise voir ses fesses
- Dit donc Delphine tu as mis un slip bleu ce matin
- Quoi ? ha oui ! je suis assise a même la selle tu vois ma culotte ! à part les
écureuils qui veux-tu qui vois mon cul ! tu devrais en faire autant sinon ta jupe va
être froissée et puis l’air frais fait du bien a ma chatoune ! y’a des fois ou je ne
mets même pas de slip ! Hummmm ! un régal ! l’autre jour j’ai demandé à mon frangin de
me relever le nez de la selle, ma pauvre ! si je veux je me fais jouir sur cinq cent
mètres ! je fais rouler mon clito sur le cuir c’est radical !
- Tu as de ces idées …
- Tu ferais mieux d’essayer plutôt que de critiquer, et puis il serait peut être
temps que tu fasses sauter ton truc par un bon mâle pas par un minet qui va décharger
en deux minutes et se tirer en te disant merci !!
- J’ai le temps d’y penser …attention y’a une voiture qui arrive derrière garons
nous sur le coté le chemin est trop étroit
- Qu’est ce qu’il fout sur cette route ce con !
- La voiture arrive elle avance lentement juste derrière nous, haoua une belle
bagnole, Mercedes décapotable intérieur en cuir blanc, un homme est au volant, je me
dis que j’ai bien fais de demander a Delphine de m’accompagner on ne sait jamais en
forêt tout peut arriver …au fait, et si il matait tout simplement son cul, depuis le
temps qu’il nous suit il a bien du voir le slip, nous arrêtons sur le bas coté,
l’homme nous adresse un grand sourire en passant
- Bonjours mesdemoiselles
- Bonjour monsieur…
- Merde ! tu as vu Delphine ?
- Vu quoi ?
- Hé bien le mec a la queue sortie et il bande, j’en ai jamais vue en vrai mais
je sais reconnaitre quand ça bande ! et elle est grosse je peux te le dire !!
- Vite rattrapons-le ! je veux voir !
- T’es folle ?
- Aller pédale !
Nous voilà parties à la poursuite de la voiture, et soudain celle-ci se gare …du coup
nous serons les freins
- Qu’est ce qu’ont fait ?
- Ben il faut bien continuer notre chemin ! aller courage ! je vais jeter un
coup d’œil en douce
Nous pédalons lentement, ça ma fais drôle dans le bas du ventre, je repense a la
réflexion de ma copine sur la position de la selle, effectivement si je me penche en
avant ça déplace mon clitoris de droite a gauche, c’est super !, tout a coup l’envie
de faire comme elle me prend, d’un geste leste je relève ma jupe, elle ne le voit pas
elle roule devant ,la jupe courte vole au grés du vent l’air frais aère mon entre
jambe , j’ai l’impression de faire quelque chose de vachement sexuel, et
intérieurement j’ai envie moi aussi de faire voir a ce mec que je ne suis pas une
gamine coincée
L’homme semble attendre que nous arrivions un bras posé sur la portière, on ne voit
pas l’autre …nous roulons doucement a la limite de mettre pied a terre, évidement nos
regards vont directement sur le siège, … l’homme a posé sa veste sur ses genoux, une
main dessous soulève régulièrement le vêtement, il se branle en douce
- S’il vous plait les filles ! savez-vous ou mène ce chemin ?
Delphine met un pied a terre, assise sur la selle un genou assez ouvert en sa
direction le type se tord le cou pour essayer d’en voir plus
- Vous avez de belles jambes …
Cette jeune salope dit ‘ merci ‘ et ouvre un peu plus son compas, moi je suis plus
prude et je continue mon chemin malgré ses protestations
- je vais l’attendre au bout du sentier
Dix minutes plus tard elle arrive toute affolée rouge comme une pivoine
- Tu ne sais pas ce qu’il m’a fait faire ? hé bien il m’a demandé de m’approcher
et m’a dit :
- N’ai pas peut petite je ne te veux pas de mal, je suis représentant en
produits cosmétiques, a ton âge il faut déjà prendre soin de ta peau, si tu veux ce
soir je t’invite a mon hôtel , j’ai une grande chambre avec baignoire et terrasse
privée , tu essaieras les sels de bains et les crèmes pour les seins après nous
dinerons aux chandelles sur la terrasse avec du champagne
- C’est que ….

.
- Approche plus prés regarde je n’y arrive pas tout seul aide moi tu seras
gentille……
- C’est alors qu’il a ôtée la veste qui cachait son membre, sa main était
crispée dessus, il a pris la mienne et l’a posée sur sa queue raide, je n’en faisais
pas le tour, par curiosité je l’ai caressée, tandis que son autre main cherchait à
passer entre mes cuisses, et puis il a déchargé dans ma main ! sent mes doigts … c’est
son sperme !
- Poouuaaahhh ! ça pue !
- Tu ne diras pas toujours ça ! je me suis sauvée pendant qu’il me criait ‘ a ce
soir sur la place du village ‘
- Tu va y aller ?
- Ben je ne sais pas … pourquoi pas ? je suis majeure ! Il doit me donner un
coffret de produits, ça vaut vachement cher
- Tu me raconteras ?
- Bien sur demain matin je viens te voir !
Ma petite culotte m’a collée au cul toute la soirée je n’avais jamais mouillé comme ça
! Le soir je me suis masturbée dans mon lit en imaginant être a la place de ma copine,
l’homme m’écartait les cuisses ….j’ai jouis comme une malade !

Le lendemain Delphine arrive toute excitée a son sourire je devine qu’il s’est passé
des choses
- Alors ? raconte, tu y es allée ?
- Ma p’tite chérie ! j’ai passée une soirée de princesse ! je l’ai retrouvé sur
la place, au fait il m’a demandé pourquoi je ne t’avais pas amenée ! je lui ai dis que
tu es mineure, il m’a dit ‘ Boff elle aurait pus venir quand même ‘ je suis montée a
coté de lui il lorgnait sur mes cuisses alors pour l’exciter je lui ai montré
innocemment mon fond de string, dés que nous somment entrés dans sa chambre il m’a
fait couler un bain
- Déshabille toi Delphine tu va tester les produits de bain, pendant ce temps je
commande le repas, un moment après le garçon d’étage est entré avec la table du diner,
dés qu’il est partis Mathieu, oui il s’appelle Mathieu, est entré avec juste un
peignoir sur lui, il s’est approché et l’a ouvert, sa queue se dandinait a
l’horizontale devant mes yeux
- Suce petite…..
- J’ai obéis ….son gland grenat me fascinait, il me tenait la tête en râlant que
je lui faisais du bien et puis sans prévenir il a tout lâché dans ma bouche
- T’as tout avalé ? Berck !
- Si tu savais comme c’est bon …après il m’a séchée en me pelotant bien les
seins, il m’a faite assoir sur le bord du lit pour me bouffer la chatte, il a une
bonne langue le salaud ! j’ai jouis en deux minutes ! après nous avons dinés tous nus
sur la terrasse ! j’ai bu pas mal de champagne la tête me tournait un peu, a un moment
je mes suis levée pour m’accouder au garde fous de la terrasse et admirer le paysage,
des gens passaient en dessous, Mathieu est venus derrière moi, il m’a enlacée il
palpait mes seins avec des bisous dans le cou j’ai sentis sa barre durcir sur mes
reins, avec son pied il m’a faite écarter les jambes
- - je vais te prendre comme une vraie femme
- Il s’est baissé un peu et en remontant il m’a carrément enfilée, mon ventre a
gonflé avec ça dedans ! c’est la première aussi grosse que je me prends ! je te jure
que ça fait du bien ! si des gens avaient levé la tête ils aurait vus qu’on baisait à
poil ! je geignais cramponnée a la balustrade tandis qu’il me pilonnait de plus en
plus fort, j’ai hurlé quand il a giclé dans mon vagin ça me coulait le long des
cuisses, on s’est reculés car quelqu’un nous a vus ! et puis je suis repartie aussitôt
- Houaaaa tu me fais mouiller cochonne !
- Qu’attends-tu pour te faire dépuceler ? il a un sacré coup de reins le gars
- J’n’ose pas …..
- Tu sais quoi ? hé bien je lui ai dit que tu allais chez ta sœur aujourd’hui tu
serais seule sur le chemin, pourquoi ne le ferais tu pas ave lui ? je te jure que
c’est un bon coup, il m’a dit que si tu venais il te ferait un cadeau incroyable ….
Delphine est repartie, à nouveau je me suis masturbée en pensant à lui à sa queue… Je
peux bien aller me promener sur le chemin après tout on verra bien …Le cadeau je m’en
fous c’est ma moule qui crie famine !
L’après midi j’enfourche mon vélo, la selle me met tout de suite en condition, ma
moule gonfle a vue d’œil soudain mon cœur fait un bond, au loin je vois l’arrière de
la voiture garée entre les pins, il est assis sur la malle, je m’arrête en restant
assise sur le vélo, mes cuisses sont largement découvertes
- Bonjours Amandine tu te balade ?
- Oui, il fait beau j’en profite
Il s’approche de moi, pose une main sur mon genou et lentement il remonte ….
- Tu as du pédaler, tes cuisses sont brulantes ! relève ta jupe ça va te
rafraichir ….
Il bande déjà je remarque la bosse a sa braguette, il soulève mon vêtement…
- Ouuuh oui ! ta petite culotte est mouillée de sueur dit donc
- C’n’est pas de la sueur…
- Cache ton vélo dans le fossé et suit moi, tu va te reposer, j’ai mis une
couverture dans les fougères
Morte de trouille je le suis, effectivement au beau milieu des fougères une couverture
est étalée, la couche ou je vais me faire dépuceler ….
- Assied toi amandine …Ta copine m’a dit que tu n’avais jamais fais ça ?
- Oui c’est vrais je suis vierge …
- Elle m’a dit aussi que tu n’avais jamais vue d’aussi grosse verge que la
mienne ?
- C’est vrai aussi
- Tu veux la voir ? la toucher ? tiens, pour commencer tu va la sortir toi même
tu va apprendre comment extraire une queue bandée d’un slip étroit … va y je
m’allonge, je ferme les yeux pour ne pas te troubler
Maladroitement défais la boucle de la ceinture et je tire sur le zip de la braguette,
l’élastique du boxer est là, je passe mes doigts entre … la bête est là, dure et douce
…. Je l’empoigne et tire vers le haut, la tête jaillis comme un diable, je suis fière
de moi !
- Biennnnn, maintenant tire sur le pantalon enlève tout …
Ma chatte devient fontaine, la queue se dresse vers le ciel je la saisie a deux mains
tandis qu’une des siennes glisse entre mes cuisse j’ouvre les genoux je veux sentir
ses doigts sur moi
- Oui fait bien coulisser la peau jusqu’au fond, Aaaaaaahhhhhh tire encore plus
fort…ouiiiiiiiiiiiiiii va plus vite ….c’est ça branle bien ma bitte, approche ta
bouche passe le gland sur tes lèvres, c’est doux hein ? Tu veux essayer de lécher ? Je
ne te force pas mais tu va voir comme c’est bon, après je vais te manger la
cramouille elle est en eau
Le salaud a passé un doigt dans ma culotte et lisse mes lèvres dégoulinantes évitant
d’enfoncer les doigts, je détaille de prés cette tige zébrée de grosses veines bleues
, on dirait la queue d’un satyre les poils poussent jusqu’en moitié de la pine, le
gland est taillé en forme de champignon, je passe ma langue dessus je suis surprise
par sa texture satinée, j’ouvre en grand la bouche et j’avale ce fruit gorgé de sève
et en même temps je secoue la tige a toute vitesse, je me vois déjà en train de
raconter fièrement a ma copine que moi aussi j’ai gouté au sperme
- Ooooooooohhhhhhh je vais venir petite attentioooooooonnnnn
Le membre grossit entre mes doigts et une secousse propulse son foutre violemment dans
ma bouche, je recrache mais j’ai la bouche gluante, je déglutie …. Muuummm, j’aurais
dut tout avaler !
- Merci amandine, tu devrais partir maintenant je ne veux te prendre…..
- POURQUOI ?
- Je suis trop vieux pour toi
En le fixant dans les yeux je soulève mon top sous lequel mes seins sont nus, puis
c’est ma jupe, les mains sur les hanches les jambes écartées je le provoque, la
chienne qui sommeillait en moi se réveille, je ne me serais jamais crue capable de
prononcer de telles paroles
- Alors ? c’est toujours non ? vient renifler ma chatte tu changeras d’avis !
je suis en chaleur !
- Bon d’accord tu as gagné mais avant je vais te faire un cadeau et t’expliquer
quelque chose
Il va à sa voiture et revient avec un coupon de papier
- Voilà tu va remplir ce papier, il s’agit d’un concours par tirage au sort,
mais comme je fais la pluie et le beau temps a la boite c’est toi qui seras déclarée
gagnante d’un voyage pour quatre personnes dans une ile paradisiaque , la bas a la
nuit tombée sur les plages de nombreux jeunes noirs montés comme des ânes recherche
des femmes de quinze a soixante dix ans , si tu peux échapper a la vigilance de tes
parents tu pourras te faire tringler comme une reine, mais pas question de
préliminaires ils sont là pour se vider les couilles et combler les chattes en
chaleurs, il vaut mieux être préparée a cela donc tu ne dois pas y aller vierge
,alors maintenant je vais te dépuceler…
- Mange moi la cramouille avant, c’est bien ce que tu m’as promis tout a l’heure
?
Il devient comme fou en arrachant sauvagement mon slip
- Allonge toi salope tu t’en souviendras toute ta vie !
- J’y compte bien !
Il se met à fourrager entre mes cuisses sa langue ouvre mes lèvres m’arrachant de
petits cris, c’est plus fort que moi je serre les cuisses sur ses oreilles, d’un
geste rude il maintient mes cuisses écartées en mugissant, ses doigts faute de pouvoir
pénétrer mon vagin s’enfoncent dans mon cul, je crois que je vais défaillir ! J’essaie
de me débattre mais le bougre me tient fermement, je sens ma liqueur de femme se
répandre dans sa bouche, il lape comme un chien, l’orgasme n’en finit pas, enfin il
daigne me lâcher ….son visage est trempé par ma mouille
- Alors ?? qu’en dis-tu ?
- J’ai cru que tu allais me ! Ta queue ! je veux ta queue !
- Patience ça vient ! reste comme ça que j’admire ta chatte avant de l’ouvrir
définitivement
Je remonte mes genoux sur mes seins, je sais que dans cette position ma vulve est
éclatée
- Oh ! putain t’es une vraie salope toi ! ne bouge plus ……
Sa queue monstrueusement bandée à la main il avance entre mes cuisses, longtemps il se
frotte le long de ma fente, je trépigne d’impatience
- Baise-moi ! baise-moi ! VIIIITE !
Sans crier gare le gland repousse mes lèvres et d’un vigoureux coup de reins il
s’enfonce, une brulure atroce me fait hurler
- Ta gueule on va se faire repérer ! c’est fait, c’est à peine si tu saigne,
maintenant tu va apprécier la grosseur et la longueur et le travail de ma bitte,
relève la tête et regarde entre tes cuisses elle va disparaitre entièrement
Ma chatte commence à s’habi a ce corps étranger, des qu’il bouge ça me fait comme
des décharges électriques plutôt agréables, peu a peu la queue disparait entre mes
cuisses, mes lèvres distendues ne ressemblent plus a rien ! Ma gaine vaginale se
déploie pour la première fois dans sa totalité, le gland butte au fond et il reste de
la chair à enfiler
- Ohhh Mathieu tu me fais du biiieeeennnn ! je veux sentir tes couilles sur ma
chatte !
- Ok, Si tu n’a pas mal je vais te secouer
Il pose ses mains sous mes fesses et m’attire a lui chaque coups de reins m’ouvrent
davantage, mon con ruisselle, il ahane a chaque coups de bitte, sous le choc je
recule a chaque fois de cinq centimètres, enfin ses testicules frappe mon anus, ça y
est je suis bien enfilée son pubis est collé au mien
- Voilà maintenant tu peux te faire enfiler par qui tu veux, tu la sens bien ma
bitte ?
- Ho oui j’ai l’impression qu’elle va me ressortir par la bouche, donne moi ton
sperme ça va me faire jouir
- Ok je décharge à la demande, juste le temps de me concentrer trente secondes
…….Aaaaaaahhhhhh ooooooohhhhh vaaaaaoooooohhhh !! prend toooouuuuuut !
- Ooohhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! je sens ta queue qui gonfle a chaque
décharges c’est booooooonnnnnnnnnnn je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Nous revenons lentement a la réalité sa queue diminue de volume dans mon ventre et
elle s’éjecte quand une contraction involontaire de ma chatte survient, le foutre
s’évacue dans un gargouillis immonde qui nous fait éclater de rire, la couverture s’en
souviendra ! A la hâte je me rhabille impatiente d’aller raconter mon aventure a
Delphine, Mathieu n’a pas menti, deux mois plus tard elle m’a accompagnée pour le
voyage de huit jours sur une ile ou comme il l’avait dit nous avons partagés nos
amants noirs montés comme des ânes