Collection Fétichiste. Martha, La Prof De Piano (1/1)

• Bonjour Christophe, que faisons-nous aujourd’hui.
• Ce que vous voulez madame Martha.
• Christophe, quel âge as-tu ?
• Bientôt 20 ans, madame Martha.
• Madame Martha, madame Martha, depuis combine de temps tes parents te payent des cours de piano avec moi !
• Dix ans madame Martha, la première leçon, ça a été mon cadeau pour mon dixième anniversaire.
• Martha, Martha, Mart si tu le veux Christophe, ça me ferait plaisir.
À moins que notre différence d’âge te bloque.
• Mart, non, il faut que je m’habitue.
Votre âge, ton âge, quel âge as-tu, 30 ans, 10 ans d’écart, rien comparé à l’immensité de l’univers ?
• Flatteur avec ça, huit de plus, je suis à la porte de mes quarante ans.
• Moi l’âge, je m’en fiche, je juge les gens à leur intérieur.
• Mon appartement te plait, je l’ignorais depuis le temps que je te donne des cours.
• Je parlais de ton moi intérieur, l’aura qui dégage de toi.
• J’ai compris, je suis un peu une dinde par moments.
Bon, je prends l’initiative, à quatre mains, on va travailler à quatre mains, je sens qu’à chaque fois, tu aimes beaucoup ça.

Comme Mart l’a dit, je m’appelle Christophe, 20 ans dans huit jours, signes particuliers, puceau.
Puceau et adorateurs de dessous féminins.
La première fois, c’était ici dans ce pavillon à deux pas de chez nous.
J’ai eu besoin de me rendre aux toilettes, madame Martha, elle l’était encore ce jour-là, m’a fait voir où ils étaient.
Nos villas, c’est comme ça que dans notre quartier nous appelons ces maisons ouvrières toutes construites sur le même modèle.
Trois pièces, cuisines, salles de bains, salon, salle à manger et deux chambres.
Toutes avec un petit jardin de 200 mètres carrés.
À oui, un grenier, tout du moins chez moi.
Sur la cinquantaine de ces villas, certains, comme mon père, ont engagé des travaux afin d’agrandir d’une grande pièce en aménageant le grenier.


Velux sur mes quatre pans du toit, donnant une belle luminosité.
Nous couchions avec ma sœur, attendez, ces mots sont ambigus.
Nous avions la même chambre avec ma sœur et quand j’ai entendu ma mère pour la première fois lui mettre une baffe, elle si douce, je me suis demandé ce qu’elle avait fait de mal.
Dans les jours qui ont suivi, mon père à commencer à faire des plans et surtout ouvrir la trappe qui permettait d’accéder à ce grenier.
Le premier travail, ça été de mettre un escalier escamotable, donnant dans le couloir entre les chambres.
Inutile de faire le détail de tous les travaux, mais j’avais 12 ans quand je suis monté et que j’ai tiré l’escalier escamotable derrière moi, me retrouvant chez moi.
J’en avais 14 ans quand j’ai découvert la masturbation.
C’est grâce à Robert mon pote seul être humain avec maman autoriser à faire descendre l’escalier et entrer dans mon antre.
C’est un peu lui qui m’a mis la puce à l’oreille, et qui m’a montré, comment se branler.
C’était à celui qui giclerait le plus loin, nous avions le même âge.
Donc, salle de bains, toilettes dans ces maisons de briques rouges, car les architectes avaient fait le mini pour des gens de basse classe sociale des années 60.
Avec l’envie de fuir les HLM construit dans ces mêmes années, ces villas sont devenues tendances et ce sont des bourges qui y habitent.
C’était le cas de Mart, étant venu s’installer avec son mari, mais qui huit jours après leur emménagement est mort fauché par un chauffard.
Assurance vie, assurance du chauffard et petit pécule laissé par les parents du défunt.
Elle s’ennuyait et comme elle avait un piano, sans en avoir réellement besoin, elle a commencé à donner des cours aux jeunes qui le désiraient.
Maman et elle se rencontrait à la boulangerie et c’est là que l’idée de me donner des cours a germé.

Ce jour-là, je me suis rendu dans cette pièce pour soulager un besoin naturel.

J’étais assis pour faire la grosse commission quand avec mon bras, j’ai tapé une panière en osier qui est tombée.
Il y avait plusieurs sous-vêtements dont deux petites culottes, une bleue et une rose.
J’ai rangé la rose, j’aime le bleu et je l’ai porté à mon nez.
L’odeur, les effluves, je les ai encore dans le nez, même si de temps en temps, je retournais en sentir une autre.
Certains gardent en eux pour toujours, les premières lèvres embrassées, d’autres la première chatte qu’ils ont sucée.
Robert alors que je lui parlais de mon addiction à la petite culotte de Mart que j’ai fini par piquer, m’a expliqué qu’il connaissait un gars qui prenait son pied en mordillant le lobe de l’oreille de ses petites amies
À partir de ce jour, quand je la sentais en me masturbant, chaque fois je le battais en distance.
Un après-midi où nous étions seuls, la trappe bloquée, mes parents travaillants et ma sœur Anne chez une copine, je l’ai vu redescendre.
Il est remonté et a sorti de sa poche un carré de dentelles blanc.
J’ai compris de suite, qu’il était allé dans notre bac à vêtements sales et vu la grandeur du bout de tissu, ce devait être la petite culotte de ma sœur qu’il se permettait de sentir et de sucer.

Assez parlé de moi, quoique, revenons à ma leçon de piano à quatre mains.
Je m’installe, Mart à mon côté.
Veuve, peut-être des amants, peut-être, mais sans s’afficher, dans le quartier nous la croisons toujours seule.
Veuve, mais coquette jupe courte qui remonte lorsqu’elle s’assoit.
J’ai parlé de ses petites culottes dont celle que je lui ai volée mais que dire de ses soutiens-gorge pigeonnants, découvrant ses seins plus durs à cacher.
Quand je tourne la tête, elle me montre deux parties de son anatomie.
Ses jambes gainées de bas noirs, la lisière découverte et ses seins en partirent reposant sur ses balconnets, deux boutons de son chemisier étant toujours ouvert.

Je regarde, je tape sur les touches, je regarde rapidement.

Merde une fausse note.

• Tu es perturbé Christophe, ou va ton regard, mais tu mattes mes seins.

Je deviens rouge de confusions, j’ai vingt ans et étant puceau comme je l’ai dit, une femme, certes, d’un certain âge, mais tout de même bandante me fais envie.

• Mais tu bandes, Christophe, c’est moi qui te fais cet effet.

J’allais répondre, quand elle met sa main sur mon pantalon de survêtement.
Après la musique, je dois partir courir pour rejoindre Robert et ma sœur.
Eh ! oui, de sa petite culotte, c’est sa chatte qu’il doit sucer.
J’avais parié que je perdrais mon pucelage avant lui, c’est lui qui a gagné, mais il a joué la facilité, il vient presque tous les jours chez nous.
De ma chambre où il se branlait en douce.
Ma chambre jusqu’au lit de ma sœur, au bas de l’escalier escamotable.
Il lui a été facile d’ouvrir sa porte et de se rouler sur ce qu’il y a quelques années était encore le mien.
Elle sort ma verge et me masturbe.
Et si ma sœur refusait de baiser avant son mariage, je vais pouvoir gagner mon pari.
Que la bouche d’une femme est douce, mais je veux sa chatte.
Pardon, sentir sa petite culotte directement au contact de ses lèvres et de la cyprine qui doit dégouliner de cette fente tant convoitée par les jeunes hommes en mal de sexe.
Je me lève, enlèvent mes vêtements pendant qu’elle ôte les siens
Nous sommes nus, elle me guide vers son canapé.
Elle écarte mes cuisses, c’est certainement chez Janine, l’esténossienne, place de la mairie où je l’ai vu entrer qu’elle se fait tailler les poils de la chatte dans un joli triangle.
J’avance ma bouche, je sens ma queue qui commence à battre de l’aile.
Tout en buvant pour la première fois à la source d’une femme, je m’astique le manche comme dirait Robert.
Le moment de la pénétrer arrive.
Morne plaine, panne de courant, ma verge s’est vidée de son sang.
Quand elle me voit me redresser la queue base, en femme d’expérience elle a pitié de moi.


• C’est souvent comme ça la première fois pour beaucoup d’hommes.
Tu as dû penser à ce moment tellement de fois que c’est naturel que ton envie soit retombée.
Tu sais avec ta bouche, tu aurais continué deux minutes de plus, un orgasme m’assaillait.

Cause toujours, si toute ma vie, pour satisfaire les femmes, j’y arrive » seulement avec ma bouche, le temps va me sembler long.
Et comment j’aurais des s, une idée me vient ?

• Place toi en levrette, mais avant remet tes sous-vêtements.

Elle doit se demander ce que je veux faire, mais elle remet slip rose, le bleu il est chez moi et balconnet et paire de bas.
Elle se place à genoux sur le canapé comme je lui en ai donné l’ordre.
Je viens derrière elle et je lèche sa culotte de sa fente à son anus.
En deux minutes, même certainement moins mon manche se tend à m’en faire mal.
Je me relève, att la partir fine de la culotte avec les doigts .
Je la plante la faisant hurler de plaisir.

Si j’ai eu peur de lécher la chatte dénudée de Mart, la culotte en relançant mon érection me montre que toute ma vie, je serais adique des sous-vêtements des femmes.
Elle jouit, je jouis m’ouvrant la porte à bien d’autres chattes, dont la sienne que je compte bien visiter régulièrement alors que dans ses tiroirs, elle aura d’aussi belles lingeries.

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