La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 85)
(suite de l'épisode 77 avec myna)
La vie poursuivait inexorablement sont cours au château. Les journées et les semaines
étaient cadencées, tel un métronome. Chaque matin, Myna devait se rendre dans la
chambre du Maître avant son levé. Chaque matin, la chambre était vide. Le Marquis
dEvans partageant ses nuits entre sa favorite, Laetitia, qui était rapidement tombée
enceinte, et son compagnon David.
Chaque matin, il arrivait dans ses appartements, vêtu simplement dun pantalon
dintérieur. Chaque matin, elle sentait leur odeur sur lui, et elle en concevait une
grande jalousie. Car malgré ses efforts pour lui plaire, il navait pas daigné la
déflorer. A tel point quelle en était devenue la risée de ses consurs. Chaque matin,
elle devait lui servir son petit déjeuner, comme il le lui avait appris lors de la
semi-libération de sa favorite. Ensuite il lallongeait sur ses genoux. Il sentait
son sexe lisse à travers la toile de son pantalon contre sa cuisse. Ses doigts et ses
yeux se posaient sur les marques laissées par les fessées matinales et les punitions
quelle recevait. Le Maître ne parlait pas, se contentant de caresser les deux globes
qui avaient bien souffert. Il sentait ses fesses se contracter dans la prévision des
claques à venir. Et puis ses larges mains sabattaient sur son derrière,
inexorablement, faisant de grands bruits.
Lorsquil avait fini, Myna était en pleurs. Il la faisait alors sagenouiller et
tandis quil allait se doucher. En sortant, elle devait le sécher soigneusement et
lhabiller. En général, Monsieur David arrivait sur ces entrefaites. Ils partaient
ensemble à leurs occupations, sans plus un regard pour la jeune esclave. Monsieur le
Marquis navait en réalité aucunement besoin de travailler, mais le métier quil
avait choisi lui plaisait et lui permettait de rencontrer énormément de gens et de
tenir son carnet dadresse à jour.
différents cours. Monsieur le Marquis tenait à ce que tous ses esclaves reçoivent une
éducation complémentaire à leurs études acquises depuis lenfance. Ils recevaient des
cours de danse, de musique, de littérature, etc. Ils étaient également éduqués à lart
de satisfaire les plaisirs des Maîtres et Maîtresses auxquels ils pourraient avoir à
faire durant leurs années de servitude au Marquis Edouard dEvans. Le sport aussi
faisait partie intégrante de leur programme. Deux heures minimum, trois fois par
semaine. Une fois par semaine, le médecin venait visiter tous les esclaves, afin de
sassurer quils étaient tous en bonne santé. Les journées étaient ponctuées par les
soins et/ou les punitions administrées par les valets. En bref, les jours étaient bien
remplis.
Chaque soir, tous les esclaves qui nétaient pas déjà entravés dans les couloirs,
devaient se trouver dans le hall dentrée. A genoux, assis sur leurs talons, genoux
écartés, mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut. Les mâles dun côté, les
femelles de lautre. Afin daccueillir leur Seigneur et Maître.
eNatacha avait été libérée au bout de quarante jours. On lavait présenté à
lassemblée des esclaves pour leur montrer ce qui pourrait leur advenir. Tous avaient
été marqués de voir son état. Tremblante, sale, les cheveux tombants, des marques de
flagellations récentes et anciennes. On lavait alors remise à son valet pour quil la
remette en état. eNatacha avait été assignée au service particulier, de Dame Laetitia,
pour quelle reprenne son éducation à zéro. e48 avait elle aussi été libéré. Monsieur
David avait été autorisé à le faire satisfaire, puis il avait dû la remettre à Dame
Laetitia en personne. Elle avait beau rechigner, pleurer, supplier, au point de passer
une nouvelle nuit au Donjon.
emmener e48 dans laile sud du château.
Dame Laetitia, quand à elle, était donc rapidement tombée enceinte. Elle avait donné
naissance à un petit héritier, oui cétait un garçon que lon avait confié à une
nourrice. Le Maître, le Marquis dEvans lavait installé dans une maisonnette à
lautre bout du grand parc. Lorsque le sexe du bébé avait été connu, Monsieur le
Marquis avait fait apprêter Myna et lavait emmené dans laile sud. Avant dentrer
dans les appartements de sa favorite, il remit entre ses mains une boite carrée et
plate. Il lui ordonna de la remettre à sa favorite dès quil le lui dirait.
Sir dEvans fit signe et deux colosses débène en pagne ouvrirent les doubles portes.
Dans lantichambre, nue, à genoux, Dame Laetitia. Malgré sa soumission, Myna pouvait
sentir sa prestance et sa fierté.
Le Maître pris sa main et laida à se relever. Il lemmena jusquà sa chambre. Il
ordonna à Myna de les suivre, de sagenouiller dans un coin et de rester silencieuse.
Dans un coin e64, un esclave male nu et en érection, il avait les mains sur la tête et
était agenouillé, buste droit, tête baissée, il ne bougeait pas, on aurait cru à une
statue. A lopposé de Myna, se trouvaient 2 femelles, e48 et eNatacha eux aussi à
genoux. Le Maître leur ordonna de vêtir sa favorite. Ils se levèrent et se dirigèrent
vers un fauteuil. eNatacha sagenouilla devant Dame Laetitia et laida à enfiler une
paire de mules. Tandis que48 lui passait un manteau dintérieur, queNatacha ferma.
Enfin, le Maître fit asseoir sa favorite devant une coiffeuse.
- Myna, approche ici !
Conformément à lordre précédent, la jeune esclave sapprocha et tendit le paquet
humblement à Dame Laetitia. Cette dernière le prit sans un regard pour Myna. La
favorite regarda un instant la boite, puis son Maître, et encore la boite.
rosirent.
- Allons ouvre lui dit-il presque tendrement.
Dame Laetitia défit le clapet doré et ouvrit la boite. A lintérieur, une véritable
rivière de diamants purs et des rubis dun éclat inoui et une paire de boucle
doreilles assorties.
- Douce Laetitia, relèves tes cheveux, Myna va te passer le collier et poser les
boucles, Puis il se tourna vers Myna : Enlève le collier de Dame Laetitia et passe
lui celui-ci
Myna se releva sur ses genoux. Elle défit le collier de cuir à leffigie de Monsieur
le Marquis dEvans, elle le posa soigneusement sur la coiffeuse et pris celui qui se
trouvait sur lécrin. La jeune fille observa un instant le fermoir et posa la rivière
à la base du cou de Dame Laetitia. Cette dernière passa ses doigts sur les diamants,
un léger sourire sur les lèvres. La jeune esclave prit ensuite les boucles et les
accrocha aux lobes de ses oreilles. A nouveau, la favorite y passa ses doigts. Myna
repris sa place aux pieds du Maître.
- Pourquoi, Mon Maître, pourquoi un tel cadeau ?
- Parce que tu mas donné un héritier, oui un petit Marquis, ainsi ma descendante
continuera. Le bébé est un garçon, et ceci est ta récompense
Sir dEvans tendit sa main et Dame Laetitia embrassa chaque doigt avant de poser ses
lèvres sur la paume. Elle resta ainsi jusquà ce quil la retire.
- Ce nest pas tout. Jai décidé également, au vu de ton excellent comportement de te
prêter Myna, une fois par semaine durant 24 heures. Tu en feras ce que tu voudras.
Cependant, noublie pas deux choses. Ne fait pas couler son sang. Si cela devait
advenir, interrompt tout immédiatement et met-la au repos. Ensuite, interdiction
absolue de la déflorer. Si cela arrivait, je vous vendrais toutes les deux au marché
aux esclaves
Sur ces mots, Monsieur le Marquis se retira, sans même prendre la peine de toucher au
dîner qui avait été préparé en son honneur.
pris ombrage et se serait vengée sur eNatacha et e41. Mais là, avec ce cadeau et
cette esclave, comment lui en vouloir ? Au lieu de cela, elle alla sinstaller dans
lun des profonds fauteuils. Dame Laetitia observa les quatre esclaves. Un mâle (e64
toujours en position de statue agenouillée), et trois femelles (Myna, e48 et
eNatacha), un million de possibilités
Comme à son habitude depuis quelle avait les deux esclaves à son service, elle écarta
les jambes et eNatacha vint sy nicher. Dame Laetitia fit signe à e64 de se lever, de
sapprocher pour prendre eNatacha. Tandis que cette dernière léchait la chatte de sa
Maîtresse, lesclave eNatacha tentait aussi, de bien lever ses fesses bien hautes,
afin que64, en érection constante puisse entrer en elle.
Dame Laetitia ordonna à Myna de se lever et dapprocher. Lorsquelle fut à portée de
sa Maîtresse dun jour, cette dernière lui ordonna décarter les jambes et de tenir
ses bras derrière sa nuque. La favorite tendit alors la main et passa ses doigts sur
la fente de la belle esclave.
- Mais, tu es toute mouillée, chienne. Ce que tu vois te fait de leffet, nest ce
pas ?
- Je
euh
- Répond !
- Ou
oui
Madame
- Bien, dans ce cas, tu vas te mettre à genoux et sucer ce bon e64, je crois savoir
que tu sais fort bien comment on fait
Tandis que Dame Laetitia disait cela, e64 et eNatacha sétaient arrêtés. La favorite
qui avait commencé à ressentir les affres du plaisir en fut contrariée. Elle gifla la
malheureuse eNatacha, qui en eu les larmes aux yeux.
- Tais-je ordonné darrêter ?
Lesclave contrite se remit à luvre. Myna, elle, avait déjà peur de la favorite.
Leur souvenir commun la faisait frissonner. Lesclave se dépêcha donc de sagenouiller
devant son confrère et pris son sexe dressé entre ses lèvres. e64 jeta un coup dil à
sa Maîtresse, cette dernière inclina légèrement la tête. Le mâle agrippa alors les
cheveux de la jeune femme et senfonça dun coup dans sa bouche. Il exerçait des vas
et viens, lui provoquant des hauts le cur lorsque le gland venait buter contre le
fond.
- Il suffit !
Ne sachant pas à qui Dame Laetitia sadressait, les quatre esclaves relevèrent la tête
de concert. La favorite prit le menton deNatacha entre ses doigts et la regarda droit
dans les yeux.
- e64, tu vas enculer cette chienne deNatacha. Inutile de la préparer, Myna doit
avoir suffisamment bavé sur ta queue de chien
Dame Laetitia se leva et enroula la longue chevelure de Myna autour de son poing. Elle
entraîna sa nouvelle victime sur le lit. Pendant ce temps, e64 avait poussé eNatacha
sur le fauteuil afin de la prendre plus à son aise. Il la besogna sans ménagement, ce
qui fit hurler lesclave. e64 était déjà très excité par la bouche de Myna qui lavait
bien mis en appétit. Tout de même, il aurait bien voulu se vider en elle. Ceci dit, le
fondement de Natacha était un beau lot de consolation.
La favorite sétait assise sur le lit et avait pris Myna au travers de ses genoux.
Elle se mit à lui caresser les cheveux en lui parlant dune voix presque tendre et
douce.
- Te souviens-tu de ce jour où nous nous sommes rencontrées ?
Myna ne savait pas si elle devait répondre ou pas. Elle choisit de se taire et bien
lui en pris, car Dame Laetitia continua.
- Vois-tu, lorsque Mon Maître ma libérer, et quil ma fait lhonneur dexiger de
moi une descendance mâle, il ma offert un magnifique Donjon. Donjon dans lequel il
ma puni de ma petite perfidie et de ma jalousie, comme il ma dit. Alors, comme je te
lavais promis, je vais te le faire payer. Jai 24 heures pour le faire à mon gré
- Mais je vous assure
tenta Myna dune voix tremblante.
- Silence ! coupa Dame Laétitia
Dame Laetitia se mit à claquer les fesses de lesclave au rythme des cris deNatacha,
que64 pilonnait sans vergogne et sans douceur aucune
(à suivre
)
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