Le Voyage De Madeleine
Je montais dans le wagon à la recherche de ma cabine, il était dur de se croiser avec
les autres voyageurs. J'ouvris la porte de mon compartiment, un homme d'environ 30 ans
lisait le journal mais il était peut-être plus jeune.
- Bonjour monsieur.
Il leva les yeux de sa lecture, Il me scruta de haut en bas.
- Bonjour mademoiselle, dit il à son tour.
J'étais en robe d'été légère, j'avais voulu marquer le coup. ment son regard
s'était attardé sur ma robe et peut être avait il repéré mes bas et porte jarretelle
sous ma robe. J'adorais porter un sous-vêtement très féminin et pour moi le porte
jarretelle en était un. Je rangeais ma valise en haut du compartiment, il en profita
pour me scruter une fois de plus il se pencha même en avant pour regarder sous ma
jupe, je le laissais faire après tout, j'adore m'exposer et faire semblant n'avoir
rien vu. Je me retourna violemment et dit :
- Ca va vous ! Vous voulez des lunettes ?
- Oui ça va me dit il c'est très joli, j'adore vos jambes ainsi que la façon dont vous
les gainez !
J'étais verte, le souffle coupé, je ne lui répondit pas, le train était bondé et
impossible de quitter le compartiment pour trouver de la place ailleurs sous peine de
rester debout tout le trajet.
Je m'assis sur la banquette en face et le plus loin de lui quand une main frappa au
carreau de la vitre, lui ne quitta pas sa lecture. C'était mon copain qui avait garer
sa voiture et qui voulait me dire au revoir, je me levai et descendit la vitre.
- Tu es bien installée me demanda t-il ?
- Oui c'est bon il n'y a pratiquement personne dans le compartiment pour l'instant.
- Tu sais chérie j'aurais pu t'emmener chez tes parents.
- Oui je sais mais tu as autre chose à faire avec ton travail, que de me balader avec
ta voiture alors je parts en train.
Je continuais à discutais avec mon copain je sentis le passager indiscret ranger son
journal et poser mon regard sur moi, je le vis du coin de l'oil. Il se rapprocha de
moi, j'étais très angoissée mais aussi super excité de parler à mon copain pendant que
ce pervers me scrutait.
- Oui je compte rester peu de temps de toute façon trois jours tout au plus et dans
tout les c..
Mon souffle se coupa net, je sentais des mains sur ma robe, au niveau de mes hanches,
mon copain largement en contrebas par rapport à la trame ne voyait rien du manège. Je
ne voulu pas couper ma phrase :
- Je t'appelle pour te dire quand je rentre.
Je ne bougeais plus j'étais tétanisé entre excitation, me faire toucher par un autre
mec en parlant avec mon officiel. Il descendit alors le long de mes cuisses à la
rencontre de mes jambes nues lorsqu'il les atteint il se mit alors à remonter, j'étais
paniqué je ne bougeais plus, je ne devais absolument pas alerter mon copain un peu
plus en bas dehors.
Il remontait toujours ses mains sous ma jupe, déjà il atteint les fixations de mes bas
et continua à remonter de plus belle. Il courait désormais sur ma peau je frissonnai,
en sentant ces mains d'inconnus me caresser. En atteignant mon string, il passa un
doigt dans le creux de mes fesses, mon cur battait la chamade je l'entendis dire.
- Putain quel cul !
Il remonta ma jupe sur mes hanches ! j'avais alors mes fesses à nu à la vue de
n'importe qui, qui pouvait se présenter dans le compartiment. Il me laissa un moment
comme ça, je ne sentais plus rien. Je continuais à discuter avec mon copain, c'était
décidé plus jamais je ne serais la femme d'un seul homme j'étais bien trop excité pour
penser autre chose à ce moment là. Il joua avec mon string puis l'écarta sur le côté.
Je ne me contrôlais plus je le laissais faire j'étais à sa merci mon sexe, et mon
petit trou d'amour était à sa vue offerte.
passais dans mes fesses à nouveau, au lieu de descendre vers mon sexe son doigt
s'arrêta sur mon anus et commença à caresser son pourtour, puis il commença à presser
son doigt dessus, le sorti puis au bout d'un moment je le sentis à nouveau plus
humide, je compris qu'il l'avait porté à sa bouche pour l'humecter.
Il glissai maintenant sur mon anus, avec son autre main il fit glisser mon string le
long de mes jambes pour me l'enlever totalement, je levais les deux pieds pour qu'il
puisse l'ôter totalement. Il pressa de plus en plus son doigt et fini par l'introduire
en entier dans mon anus, je réprima un petit cri. Mon copain ne remarqua rien de
spécial et continuait de me parler de son travail et de ses futures journées sans moi.
Il fit des va et vient dans mon petit trou qui était bien habitué de toute façon par
la pratique puisque mon copain le maintenait en forme régulièrement. L'intrus tordait
son doigt dans mon corps, mon ventre se soulevait à chaque rotation de son majeur,
j'étais surexcité !
- Tu es superbe chérie me dit mon copain avec un ton suave.
- Merci mon amour lui dis je avec un grand sourire.
L'autre continuait de me tripoter sans faillir à sa tache. Il porta mon sexe à sa
bouche j'eu un mouvement de retrait, comme pour échapper à son emprise, il m'empoigna
de plus belle en passant son bras le long de mes cuisses et me retint vers lui je ne
pouvais pas me dérober il me bu, j'étais humide comme je ne l'avais jamais été j'en
avais partout dans les fesses. Son visage était dans mes fesses il me léchait
goulûment, tout en passant sa main libre depuis qu'il ne s'occupait plus de mon anus
sur mon ventre au risque d'éveiller des soupçons vis à vis de mon mec qui pouvait
alors voir ma robe se soulever.
- Une seconde chérie dis je à mon copain.
Je rentrai alors la tête dans le compartiment et le repoussa de la main.
- Non s'il te plait je ne veux pas ça, ça craint trop de faire ça.
Je devais être très crédible déguisé en petite pute de train la jupe remontée sur les
hanches.
- Ok c'est comme tu veux, parle à ton mec il doit se douter de rien ce con ?
- Ce n'est pas un con lui rétorquais-je il m'a sauté avant que tu saches ce que c'est
qu'un vrai bon cul lui dis-je d'un ton arrogant.
- Maintenant je sais dit-il.
- j'espère que ça te plait parce que dès que le train démarre je te fais coffrer.
Il me prit par les cheveux et m'embrassa. J'étais furieuse je souffla un juron il me
repoussa vers la fenêtre, mon copain était toujours là. Je repris la discussion avec
lui. Toujours écartelée le cul à l'air j'attendais soumise. Un appel du chef de gare
sonna la fin de notre discussion, c'est le moment que choisi mon compagnon de voyage
pour me présenter son sexe entre mes fesses il s'était redressé derrière moi et avait
ouvert son pantalon. J'étais en panique totalement je ne voulais pas de lui en moi
mais en plus mon petit ami aurait pu le voir bien qu'en contrebas par rapport à nous
deux.
Malheureusement impossible de bouger j'allais pas rentrer dans le compartiment, je
devais dire au revoir mon copain. Il ne tarda pas à trouver le chemin de mon vagin
j'étais tellement humide. Je me penchais en avant pour atteindre mon copain pour
l'embrasser ce qui eut pour effet d'ouvrir encore plus largement mes fesses, il
accentua le geste en prenant à deux mains celles ci et en les forçant à s'ouvrir. Son
sexe se promenait dans mes fesses entre mon anus et mon vagin. Il entra directement
tout son pénis en entier en moi, mon ventre se creusa sous la soudaineté du geste, je
ne peux m'empêcher de crier.
- Qui a-t-il chérie ? me demanda mon copain.
- Rien j'ai failli glisser en me penchant lui dis je.
Le train s'ébranla et commença à avancer. L'inconnu du compartiment s'ébranla aussi en
moi avec un plaisir non feint, il me prit par les hanches pour bien se caler et chaque
coup il restait bien au fond de mon sexe comme pour en profiter au maximum.
- Donne moi de tes nouvelles rapidement ?
- Ok pas de problème grosses bises chéri à bientôt.
L'autre continuait ses va et vient en moi je sentais son sexe chaud en moi, le train
avança, je me relevai et ferma la fenêtre, en regardant une dernière fois mon copain
qui s'éloignait au loin. L'autre remonta ses mains sur ma robe pour peloter mes seins.
Fit tomber les bretelles de ma robe et de mon soutien gorge, il découvrit mes seins,
il les prit à deux mains assez violemment, le sang tapait dans mes tempes. J'avais de
plus en plus de mal à retenir mes cris, quand mon copain fut suffisamment loin je
souffla à mon inconnu.
- Arrête ça de suite je ne veux pas.
Ma voix était entrecoupée de souffle sous ses coups de reins.
- Tu en es vraiment sûre ? me demanda t-il.
- Oui arrête j'en peux plus.
- Allez tu ne vas pas me faire le coup de la sainte nitouche.
Il continua de me baiser et me plaqua contre la vitre du train.
- Eh c'est froid t'es con ou quoi !
Sur le bout du quai les voyageurs attardés ont du avoir un bien beau spectacle, le
train allait encore suffisamment doucement pour que de nombreuses personnes
interloquées détournent le regard sur moi. Mes seins à la vue toute débrayée, j'avais
perdue la tête, j'étais folle très excitée par cet inconnu qui me prenait au regard de
tous sans délicatesse. Le train sorti enfin de la gare et le paysage se fit plus
tranquille. J'en pouvais plus et je sentais qu'il n'en pouvait plus lui aussi.
- Non ! je me dégageais de son emprise laisse moi tu m'as bien assez baisée comme ça,
je me casse je change de compartiment !
Décision qui a finalement du le surprendre car après tout je l'avais laissé aller
jusque là, je ne voulais pas me retrouver avec son sperme en moi pour 2h de train
encore. Il ne me retint pas, je pris la valise et en 2 secondes j'étais sortie du
compartiment, humide sans mon string et quelque peu décoiffée.
Je pris place dans un autre wagon, dans un compartiment vide je m'installai, me
réarrangea un peu la coiffure et les vêtement , je préférai rester sans string de
toute façon j'allais pas défaire ma valise pour sortir un sous-vêtement. Au prochain
arrêt bon nombre de passager monta dans le train l'atmosphère devint alors rapidement
suffocante. Ma tête me tournait depuis les assauts de l'autre je faillis m'évanouir.
Je pris la décision de sortir du compartiment en laissant ma valise à l'intérieur,
pour respirer un peu l'air frais du couloir.
Il se faisait maintenant tard et le soir tombait un peu dans le couloir extérieur qui
reliait les compartiment peu de personnes déambulaient. Je fis quelques pas et changea
de rame, je m'en aperçue quand je sortis de mes pensées sur le flagrant adultère. Il y
avait encore moins de monde seul deux hommes plutôt assez âgés la cinquantaine, en
travers du couloir gênaient le passage.
Je m'excusa pour pouvoir passer, ils se poussèrent chacun d'un côté de la paroi et je
dus passer au milieu. L'un était assez opulent et c'est vrai qu'ils prenaient à eux
deux tout le passage. Ils sourirent entre eux content de leur fait, je devais alors
passer entre eux, mais ne put vu l'étroitesse du passage éviter de les frôler, l'un
deux, le plus gros glissa une main sur mes reins.
- Non mais ça ne va pas vous êtes malade ou quoi.
- De quoi mais je n'ais rien fait. Son collègue pouffa de rire.
- Pauvre vieux connard va !
Je continua mon chemin pour atteindre les toilettes. Lorsque je ressortis après avoir
soigneusement nettoyé ce que je pouvais, je dus repasser devant les deux idiots de
service dans le couloir
- C'est possible de passer maintenant sans que j'appelle le contrôleur ?
- Mais pas de problème chérie.
Le gros me retint cette fois-ci.
- Ca te plait connard de me peloter comme ça ou quoi vieux sadique.
Du calme chérie, on te veux pas de mal juste s'amuser un peu.
- Ca va pas non cassez vous lâchez moi !!
- n ta vu tout à l'heure avec l'autre pendant que tu faisais des mamours à ton mec,
c'est pas croyable un truc pareil alors on s'est dit qu'on y avait droit nous aussi.
- L'autre ne m'a pas violé lui je l'ai laissé faire
- Mais on n'a jamais dit qu'on allait te violer ! On compte même sur toi pour ne pas
bouger tellement tu en a envie, continua t-il.
J'étais folle j'en avais envie au fond de moi mais j'étais perdue je ne savais plus ou
j'en étais. Je continuais de fixer le gros que j'avais en face furieuse, pour le
défier lui montrer que j'en avait pas peur, qu'il avait tort, son compagnon derrière
moi souleva ma jupe sur mes fesses, je sentis le tissus glisser sur ma peau nue et
remonter sur mes reins, pour finalement avoir le cul nu à son regard.
- Sans sous vêtement en plus tu vas nous faire croire que t'es pas excitée ? peut être
? regardez moi ce cul un vrai bonheur !
Je l'entendis se dégrafer le pantalon et sortir son sexe. Il écarta d'un coup de genou
une de mes jambes, ma chaussure à talon glissa de côté sur le sol suffisamment pour
révéler mon sexe à ses assauts. Il passa une main dans mon entrecuisse pour vérifier
mon humidité, il ne dut pas être déçu, se faire baiser par deux vieux j'étais morte
d'excitation un pur fantasme.
Il me glissa son sexe entre les jambes et me pénétra sans ciller, passa une main sur
mon ventre brûlant et commença à me limer. Je continuais à regarder son collègue je ne
voulais pas lui montrer que j'étais excitée, l'autre me pénétrait assez fort malgré
son âge avancé. Tout en me fixant dans le regard, le petit gros leva sa main entre mes
deux seins, y posa la main dessus, caressa en montant et descendant, il remonta
jusqu'à mon épaule, ce qui eu pour effet de faire tomber pour la deuxième fois de la
journée, mes bretelles de soutien gorge. Il tira sur le soutien gorge et le fit
descendre d'un coup sec.
Il me caressa les seins me les pelota. J'étais surexcitée me donner comme ça à des
gens avec qui je n'aurais jamais fait l'amour. Il pinça mes tétons tout en les
tournant, je ne broncha pas un instant, je me mordais les lèvres pour éviter de
soupirer, de crier. Les larmes me montèrent au visage, le petit gros me fixait
toujours du regard, j'en pouvait plus de plus en plus cambrée sous les assauts de mon
partenaire sexuel et au regard d'un autre homme, je me mis à crier et m'affala sur un
coin de son épaule en jouissant.
Il me redressa, tout mon être tremblait, mes pieds me faisait horriblement mal me
faire prendre debout entre deux mecs en talon c'était très sportif. Je pleurais, mais
l'autre insistait on aurait cru qu'il n'avait vu de femme auparavant. Le petit gros se
déboutonna la chemise laissant apparaître sa bedaine, se défit le pantalon et sortit
son sexe.
- C'est mon tour dit-il.
L'autre s'exécuta et sortit de moi je souffla un peu, je me tenais la robe depuis le
début elle ne tenait plus et je devais la tenir soulevée pour faciliter les va-et-
vient. Je sentis la main du grand dans mon dos me forçant à me pencher en avant dans
l'alignement du couloir.
- Attend ma petite c'est pas fini.
Il s'agenouilla derrière moi et cracha dans mes fesses je poussa un petit cri.
- Ca va pas non mais qu'est ce que vous faites.
- Allez chérie, penche toi en avant sinon je pourrais te faire mal et laisse moi te
lubrifier un peu.
Une sodomie voilà ce qu'il voulait. Je me pencha en avant. Il me massa avec ses doigts
joint pour chauffer mon petit cul. Deux vieux pervers qui ne devait pas avoir goûté de
femme aussi jeune que moi depuis bien longtemps. Il me prit sans ménagement
heureusement mon anus était bien habitué.
- Hum cette petite elle connaît la chose on dirait.
- Doucement lui soufflais-je ne me faites pas mal.
Il me redressa lentement et me retrouva face au petit gros, qui me souriait, il
s'avança et me prit par devant debout en face en sandwich entre les deux. J'eus le
souffle coupé jamais l'on ne m'avait prise comme cela, les deux sexe frottaient entre
eux à l'intérieur, deux êtres en moi ça m'excitait tellement.
Le ventre de celui qui me prenait par devant, reposait sur le mien tellement il était
proéminent, mon porte jarretelles était trempé de sueur. Je me reposa sur celui de
derrière en me penchant il m'embrassait déjà dans le cou je frissonnai je tourna alors
la tête de côté et il m'embrassa à pleine bouche, j'étais pénétrée de chaque côté
complètement offerte je mourrai de honte tout en prenant du plaisir, celui derrière
moi passa ses deux main sur mes cotes pour remonter à mes seins, qu'il tripota encore.
Il se résolut à les lâcher pour me maintenir par la taille, tant son ami qui me
prenait par devant augmentait la cadence de ses coups de rein. Tous deux pouvaient
admirer ma poitrine qui ballottait au rythme des pénétrations. Soudain celui-ci se
raidit je le sentis résolument plus dur en moi, il me prit un sein et le serra très
fort, je sentis son liquide m'envahir alors qui rallait plus fort, il jouissait en moi
!! Je le laissais faire de toute façon plus rien n'avait d'importance autant être un
objet jusqu'au bout et faire les choses à fond.
Pour le moment c'était lui qui était au fond et qui déversais en moi ce que je pris
pour des litres de sperme tant je me sentais remplie. Il s'arrêta enfin sans mot dire
et se retira de moi, j'expulsa un jet de sperme tant mon sexe était rempli. J'haletais
et laissais couler tout ce liquide hors de moi.
L'autre devant l'excitation procuré par cette scène décida d'en faire autant avec mon
anus. Je le compris quand il me plaqua contre la cloison du train, et qu'il entreprit
des aller retour. Il passa les mains sur mes hanches recouvertes de ma robe toute
trempée de sueur et les serra fortement pour m'agripper et me tenir contre lui.
- Non pas ça je ne veux pas ça ici et dans mon anus.
- Ah non chérie tu vas pas me faire la fille de l'air maintenant.
- Je ne veux pas lâchez moi de suite
Il s'arrêta net et me tira en arrière et me dit :
- C'est ça alors tu finis le travail en me suçant.
La perspective de sucer un vieux me ragoûta tellement que je le laissa faire. Lui,
reprit ces coups de reins, il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il éjacula en
moi tant mon anus était serré, certes je pratiquais la chose. Il me faisait d'ailleurs
mal tant l'échauffement était violent. Il joui lui aussi, me prit la tête au même
moment et me tourna le visage de son côté pour me forcer à l'embrasser alors que je le
faisais, je sentis du sperme qui remplit mon anus, je sentis la chaleur de son
liquide. Il poussa fort son sexe en moi pour mieux éjaculer au plus profond de mon
être comme si je n'étais pas assez humiliée. Il s'arrêta lui aussi et se retira à son
tour.
Je n'osais bouger au milieu du compartiment, Là aussi un jet de sperme s'écoula plus
visqueux de mon anus pour venir goutter sur le sol lui aussi. Jambes écartée appuyée
contre le mur, le cul en arrière, je laissais goutter dans un caploti d'air et de
liquide mêlé, la preuve de leur jouissance et du fait qu'ils avaient trouvés, la
petite, à leur goût. Dehors la nuit était maintenant tombée et des lueurs au loin
défilaient.
- Je dois y aller eu je la force d'articuler.
Je me remis mon soutien gorge et remonter mes bretelles et fis plomber la jupe sur mes
cuisses rendues piégeuse par le sperme des deux hommes. Je réajusta mon porte
jarretelles et mes bas. Un des deux vieux articula quelque chose mais j'étais déjà
loin et le son de sa voix était déjà étouffé par le bruit du train.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!