Le Rêve Imberbe (Suite)
Jattendais le week-end prochain avec impatience car je rentrais à la maison et
javais la permission dy inviter mon nouveau camarade de « jeux » julien.
Je ne rêvais plus quà une seule chose, recommencer, encore et encore, je voulais à
nouveau jouer avec lui et je me voyais déjà nu contre lui à la recherche dun nouveau
plaisir.
Ce fameux vendredi soir ma mère est venu nous chercher enfin ; avec un sourire
complice, je lui montre ma chambre, ma mère avait mit un matelas pour lui parterre
elle était loin de se douter de ce qui allait se passer.
Après le repas on remonte dans la chambre histoire de faire une partie de console de
jeux et surtout dattendre que ma mère aille se coucher.
Vers minuit ma mère dort.
En attendant nous navions pas arrêté de nous exciter en espérant revivre le scenario
de notre première fois.
Ca y est les acteurs entre en scène, je ferme le verrou de ma porte des fois que !!
On se jette sur le lit et on sembrasse à pleine bouche, cette fois ci on se retrouve
rapidement nu.
Je voulais absolument le sucer encore, sentir à nouveau sa crème dans ma bouche.
Tu parle lui est daccord et déjà sa quéquette se dresse.
Mes mains parcourent son corps et doucement je le caresse, lui debout, moi à ses
genoux.
Il me saisit la tête et dun geste sur, presque violent mincite à le sucer.
Ma bouche déjà sactive sur sa quéquette, il bande à fond, elle est toute dure, trop
cool je la serre très fort entre mes lèvres, dune main je caresse et joue avec ses
testicules, je les tire délicatement en arrière pour tendre au maximum son sexe.
Du bout de ma langue je lèche et savoure son prépuce sur lequel se perle déjà une
goutte.
Il ny tient plus.
Je le sens trembler, ses mains agrippent ma tête, il lâche un petit cri et à nouveau
je me laisse surprendre par ce petit liquide tout chaud qui sécoule dans ma bouche.
Jaspire toute sa giclée avale et savoure toute sa crème (jen suis fou) et tout en
gardant son sexe dans la bouche, je lincite a sallonger sur le lit.
Mes mains à nouveau parcourent son corps, je le caresse, bisoute son corps tout
partout.
Je mattarde un peu plus sur ses fesses, rondes à souhait, ferme et tellement douces
que je me mis à les mordiller.
Mon sexe est tendu à mort et jeu lenvie folle de le pénétrer.
Ma bouche sempare de la sienne, goulument on sembrasse, je lui dis avoir envie de
lui faire lamour.
Cétait notre deuxième relation sexuelle et surtout notre première sodomie.
Il na pas dit non, mais en touchant ma queue il parut inquiet (il faut dire que
jétais dur comme de lacier).
Tout en lui promettant dessayer dêtre très doux je le positionne au bord du lit à 4
pattes et me dresse derrière lui.
Pendant plusieurs minutes ma bouche dévore son anus, je lhumidifie à mort pour
essayer de rendre la pénétration plus facile, il semble apprécier car il gémit,
doucement mais il gémit.
Dune main je cherche sa quéquette et je maperçois quil bande à nouveau, alors sans
hésiter tant mon envie été trop forte, je présente mon sexe devant son trou,
doucement, tendrement tout en caressant son dos, ses épaules, son cou, je le pénètre.
Après un instant difficile je pu enfin commencer à faire des va et viens réguliers, ce
qui dailleurs ne semblait pas lui déplaire au vu de ses petits gémissements.
Je sens ma queue buter au fond de son trou, lui il met la tête dans loreiller car ses
gémissements se font plus entendre, je maccroche à sa taille pour le pénétrer plus
encore.
Une de mes mains branle doucement sa quéquette toute dure, dun coup je sens sur mes
mains sa crème se déverser ce qui eut pour but de machever.
Dans un dernier mouvement violent je me mis à éjaculer au fond de son anus sans me
retirer une seule fois.
Linstant fut merveilleux, nous nous sommes couchés dans le même lit, dans les bras
lun de lautre sans rien se dire mais tendrement, câlinement, amoureusement nous nous
sommes endormis.
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