La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 87)
(suite de l'épisode 85 avec myna)
Dame Laetitia ne sarrêta de claquer les fesses de son nouveau jouet que lorsque e64
éjacula dans le fondement de eNatacha. Comme ce dernier était entraîné depuis quelques
années déjà à résister au plaisir. Ainsi il prit largement son temps avant de se
laisser emporter en de longs râles. La favorite repoussa Myna sans ménagement.
Lesclave qui ne sy attendait pas sécroula lamentablement sur le sol, elle était en
pleurs et ses fesses la chauffait et lui faisaient mal. La Dame ny était pas allée de
main morte. Elle sexclama irritée :
- Cesses donc tes jérémiades Puis se tournant vers le couple desclave qui sétait
écroulé sur le fauteuil
- eNatacha, tu vas nettoyer la queue de e64 avec ta langue, puis tu iras chercher les
pinces à tétons et les chainettes. Quand à toi e64, quand ta queue sera bien propre,
tu iras voir Madame Marie, la Cuisinière, pour quelle fasse monter le repas, jai
faim ...
eNatacha se mit à luvre. Dame Laetitia soccupa à nouveau vers Myna qui tentait de
calmer ses sanglots. Elle la gifla. Puis elle demanda aux deux autres esclaves ce que
la petite avait oublié. e64 fut le premier à répondre, et prononça la règle numéro
deux, qui obligeait chaque esclave à remercier le porteur de la main qui viens de le
châtier.
Myna navait pas oublié cette règle. Dailleurs elle ne manquait pas de sy conformer
chaque fois que son Maître, le Marquis d'Evans ou son Valet la punissait. Mais cette
femme là, elle ne laimait pas, elle lui faisait peur. Elle navait pas envie de la
remercier pour quoi que ce soit. Bien sûr il lui faudra avouer cet état de fait à Son
Maître, et elle en serait punie, mais elle sen fichait. Depuis quelques temps un
petit vent de rébellion sétait mis à souffler dans son cur.
- Ah tu refuses dobéir ? Lui dit la Dame en attrapant son visage entre ses doigts.
Crois-moi, Chienne, tu demanderas grâce et pardon avant la fin de ces 24 heures,
quitte à subir les foudres du Maître
Pendant ce temps eNatacha avait fini de nettoyer le sexe de e64 et était allée,
toujours à quatre pattes chercher les pinces et les chainettes. Elle sagenouilla face
à celle qui désormais était sa Maîtresse. Cette dernière lui ordonna de les placer sur
les tétons de sa consoeur. Myna eu un instant le souffle coupé par la douleur. Les
pinces étaient reliées par une chainette et une autre plus longue pendait le long du
ventre et servait accessoirement de laisse. eNatacha tendit la laisse à Dame Laetitia,
en prenant soin de ne pas trop tirer dessus, elle ne savait que trop la douleur
quelles pouvaient engendrer. Mais la Dame avait été formée par Sir dEvans et rien ou
presque ne lui échappait. Elle tira alors dun geste sec. Les seins de Myna se
tendirent dun coup et elle plongea en avant, elle ne put réprimer un cri de douleur.
Une nouvelle gifle vint la cueillir pour la contraindre au silence. Dame Laetitia se
leva et entraîna lesclave enchaînée à sa suite, tandis quelle allait chercher une
fine badine. La favorite étira les seins à nouveau et se mit à fouetter les seins. La
peau fine et sensible eu tôt fait de se strier de rouge.
e64 revint sur ces entrefaites. Il sagenouilla devant Dame Laetitia, il baissa la
tête, attendant quelle daigne lui répondre. Elle toucha son épaule du bout de la
badine. Lesclave lui annonça que le dîner était servit. Dame Laetitia ordonna à
eNatacha et e64 de la devancer à quatre pattes. Elle remarqua les fesses striées du
mâle, mais ne dit rien. Elle se contenta de les suivre, tirant derrière elle, Myna que
les pinces mettaient à la .
Laetitia sinstalla à la table. e64 déposa la serviette sur ses genoux, tandis que
eNatacha lui servait à boire. Tous deux se placèrent à côté de Myna, à genoux, assis
sur leurs talons. e64 ne put réprimer une grimace de douleur.
- Dis-moi e64, il ne me semblait pas tavoir puni ?
- Non, Maîtresse, cest
Dame Marie
Elle na pas aimé que je lui fasse réchauffer le
plat. Elle a dit que jaurais dû la prévenir dès que le Maître était parti
- Eh bien la prochaine fois, tu y penseras. Que ta-t-elle administré ?
- Elle
Elle ma fouetté avec sa grande cuillère en bois, et ma à sucer les
jumeaux e44 et e45
eNatacha, ne pu réprimer à son tour une grimace, elle ne se souvenait que trop bien
des jumeaux bien membrés qui étaient souvent de service aux cuisines. Ils étaient
aussi durs et sadiques que Madame Marie La Cuisinière. Dame Laetitia se désintéressa
de son esclave et dégusta avec plaisir coq au vin accompagné de petites pommes de
terres nouvelles et dune julienne de légumes. Le dessert était composé dune légère
crème fouettée et de ses baies jaunes en provenance direct de Norvège. Le repas fini,
elle déposa un plat à terre et autorisa les trois esclaves à manger. Partager un plat
à deux nétait déjà pas facile pour e64 et eNatacha, mais en plus le partager avec
Myna, rendait les choses plus difficiles. Ils se cognèrent plus dune fois la tête
avant de trouver leur rythme. Lorsquils eurent terminés, Dame Laetitia obligea Myna à
nettoyer le visage de ses deux comparses de sa langue. Myna commença par e64.
- Lorsque cette petite chienne aura terminé de te nettoyer, mon cher e64, tu
débarrasseras la table. Quand tu seras en cuisine tu diras à Madame Marie que je veux
que44 et e45 soccupent de ton petit cul, je suis persuadée quils vont apprécier le
cadeau.
Myna passa à eNatacha, tandis que64, partait avec un plateau rempli de vaisselle sale
vers la cuisine. eNatacha propre, cette dernière nettoya sa consoeur. La grossesse
fatiguait beaucoup Dame Laetitia. Malgré son envie de profiter encore de la petite
Myna, ses yeux se fermaient deux même. Elle plaça des poids aux pinces de Myna et
enjoignit les deux esclaves de la suivre dans la salle de bain afin quelles la lave,
et la sèche. Ceci fait, elle ordonna à eNatacha de se coucher dans le panier qui se
trouvait au pied du lit, tandis quelle entraîna Myna dans le lit. Tandis quelle
sendormait, elle samusait à r ses tétons rendus bien sensibles par les pinces
et les poids. Une fois la Maîtresse endormie, les deux femelles purent sendormir et
elles le firent sans peine. e64 ne revint pas de la nuit. Madame Marie avait décidé de
le garder toute la nuit afin quil finisse le travail en cuisine et quil satisfasse
les deux jumeaux jusquà ce quils nen puissent plus.
Dame Laetitia fut la première à se réveiller. Elle se leva doucement. Elle sonna son
valet pour quon lui apporte son petit déjeuner. Tandis que la chambrière préparait la
table, elle réveilla e64 (qui était revenu aux petites heures du jour) et eNatacha
avec son pied. Ces deux là se levèrent dun coup et embrassèrent chacun un pied avec
dévotion. Les valets des deux esclaves les emmenèrent dans une pièce attenante pour
les laver, les soigner et les faire déjeuner. Pendant ce temps elle retourna sur son
lit et retira les pinces des tétons de Myna. Elle aurait dû le faire la veille, mais
elle sétait endormie trop vite. La douleur provoquée par le reflux la
réveilla dun seul coup et avec un cri
Dame Laetitia se releva et lui ordonna de la suivre jusquà sa table. Tandis quelle
prenait son petit déjeuner, Myna attendais patiemment.
son estomac, criant famine, faisait de bruyants grondements. La favorite beurra une
tartine, y déposa un petit peu de confiture faîte par Marie la Cuisinière avec les
fruits provenant du verger de Monsieur Le Marquis. Elle la coupa en petits morceaux et
donna la becquée à lesclave. Le petit déjeuner avalé et la table débarrassée par
Elise, la chambrière, Dame Laetitia pris Myna sur ses genoux. Elle ne parlait pas, se
contentant de caresser les petites fesses de lesclave, elles étaient couvertes des
bleus laissés par la fessée de la veille. Elle les sens se contracter dans lattente
des coups à venir. Puis ses doigts vinrent ségarer vers son intimité. Lesclave était
humide.
- Eh bien
. Eh bien
. En voilà une surprise
Myna se mit à rougir et tenta de se dégager, mais Dame Laetitia lui pris les bras et
les bloqua dans son dos. Sa main repris son exploration. Ces doigts se mirent en
devoirs de farfouiller ici et là, tantôt entre ses lèvres, tantôt senfonçant en elle,
tantôt à la recherche de son clitoris quils titillent plus ou moins vite. Tout ce
traitement arracha des petits gémissements de plaisir.
Retiens-toi ! Je ne veux pas que tu jouisses, chienne !
Mais cela était plus facile à dire quà faire, et elle le savait. Lesclave nétait là
que depuis quelques semaines, et le Maître le Marquis d'Evans navait pas beaucoup de
temps à lui consacrer, elle nétait donc pas encore formée. Dame Laetitia sourit. Elle
la sentait se tordre, lever les hanches. Puis quand elle sentit les parois de son
vagin se resserrer contre ses doigts, elle lui dit :
- Supplies-moi
de te laisser jouir
- Je vous en prie
Maîtresse
je nen peux plus
Le souffle de lesclave était erratique et la Dame accéléra les mouvements.
- Supplies-moi
Dis-le
- Je vous en supplies, Maîtresse, je
jai besoin de
.
- Dis-le
- Jai besoin de
je vais jouir
- Alors vas-y chienne, je ten donne lautorisation
Ces mots à peine prononcés, le tsunami de plaisir submergea la jeune esclave. Dame
Laetitia laissa la vague se retirer et fit descendre lesclave et la fit mettre à
genoux à ses pieds. Myna baissa le regard et plaça ses mains derrière sa nuque. Ce
geste eu pour effet de relever sa toute jeune poitrine, encore bien ferme. Elle eu
envie de les toucher, de les dévorer, comme on le ferait dune pomme fraîchement
cueillie, mais elle se retint. Elle avait dautres chats à fouetter.
(à suivre ...)
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