Sex-Tape 1
Introduction : Ce texte nest ni une fiction, ni un témoignage, il est les deux. Une
uchronie.
Au commencement était le témoignage, véridique, totalement véridique. Une soirée en
amoureux que mon mari a voulu immortaliser, lun de ses amis venu vivre quelques temps
à la maison et sa découverte de notre cassette intime. Tout cela sest bien passé et a
bien donné lieu à une suite. Mais cette suite est racontée ici « un peu différemment
». Quest-ce que nous avons réellement fait ? Quimporte, jen garde un merveilleux
souvenir.
Il y a une vingtaine d'années (nous navions que 5 ou 6 ans de mariage, pas beaucoup
plus) nous recevions un ami venu passer quelques jours à la maison (ami militaire en
stage). Il dort dans le salon.
Mon mari lui montre la télé, le magnétoscope et mes quelques films stockés. A l'époque
nous enregistrions les films x pour se les regarder à une heure décente. Il y en avait
donc 2 ou 3 derrière. L'air de rien mon mari le lui indique au cas où !
Au cours du séjour, un peu gêné mais lil pétillant de malice et dexcitation, Marc
m'interpelle alors que Pierre mon mari est sorti faire des courses.
- Dis-moi Alanys, vous avez oublié ça parmi vos cassettes!
Je tends la main pour prendre la cassette et mon cerveau me joue des tours. Je vis la
scène au ralenti, comme parait-il lorsqu'on vit un accident. Je vois ma main approcher
de la cassette et en même temps je me dis 'non ce n'est pas possible! Il n'a pas fait
ça!'
" Il " c'est Pierre... l'idiot !
- Et "ça" ...
Je reconnais l'adaptateur de cassette qui permet de visionner les VHS de notre
caméscope. Et quelques jours plus tôt avant l'arrivée de Marc, nous l'avions regardée.
Une cassette intime de couple. De notre couple. Pierre avait souhaité immortalisé une
soirée anniversaire de rencontre, pour nos vieux jours, avait-il précisé.
surpassé pour cette soirée-là. Un petit repas aux chandelles, des fraises et du
champagne, des boucles d'oreilles en saphir bleu qui essayaient de briller autant que
mes yeux, disait-il, et un autre cadeau à ouvrir après le repas.
Ainsi débutait la vidéo... La vidéo que manifestement notre ami avait visionnée !
Imaginer que Marc ait pu voir cela me terrifie.
Ce repas fut aussi extraordinaire qu'indécent. Pierre m'avait dit : "tu vois, ce soir
tout ce qui est sur la table je l'utiliserai pour te donner du plaisir, et en prendre
aussi".
Je m'en souviens comme s'il venait de me le dire, tout est encore si présent dans mon
esprit, mon regard se pose encore sur cette table si joliment dressée : Chandeliers
dont les bougies diffusaient une lumière douce, Champagne rosé si frais que la
condensation faisait déjà couler des larmes de rosée de long de son col, en entrée un
magnifique plat d'asperge...
Que n'avons-nous pas fait ce soir-là !
Jen oublie Marc, devant moi car devant mes yeux je revois la scène, encore si proche
! Et quelle scène ! Mais jugez vous-même :
Pierre fit couler le breuvage pétillant dans des coupes en cristal. Nous avons trinqué
à cette soirée qui s'annonçait des plus chaudes.
- À toi mon amour
- À nous!
Nous nous sommes embrassé tendrement et longuement, ce qui m'échauffe rapidement en
général, comme si ma bouche, ma langue, mes lèvres étaient directement reliées à mes
zones érogènes.
La caméra était posée sur le buffet à deux mètres de nous, et seul le clignotement de
la led rouge indiquait l'enregistrement.
- Sais-tu que les premières coupes de champagne auraient été moulées sur le
modèle du sein de la Pompadour?
Je l'ignorais et à bien y regarder, il est vrai que la forme, le volume évoquent un
sein, bien rond.
- On va vérifier ça! Enlève ton chemisier!
Devant mon hésitation ou plutôt ma surprise, Pierre prend l'initiative et défait mes
boutons un à un, puis pour être tout à fait à l'aise, il ôte mon chemisier.
- Allez! Fais-moi voir tes beaux petits seins!
Cette fois je réagis et dégrafe l'attache de mon soutien-gorge. Je l'aurais bien gardé
un peu, un achat récent, spécialement prévu pour l'occasion, mais Pierre était plus
intéressé par le contenu que par le contenant. Ma fine parure de dentelle noire est
allée rejoindre le chemisier sur le dossier de la chaise.
Mes jeunes seins pointaient avec arrogance. Le baiser précédent ? Le froid ? Pierre ne
pût se contenir et déposa un baiser sur le téton érigé de mon sein droit.
Puis d'une voix solennelle :
- Nous allons vérifier le fondement de cette croyance populaire. Ne bougez plus
Madame, l'instant est historique.
Puis il prend sa coupe vide dans laquelle perle quelques gouttes et l'applique sur mon
sein. J'ai un mouvement de recul et un petit cri car le verre est glacé. La coupe en
épouse parfaitement le galbe.
- Magnifique! Madame, votre sein est parfait! Et quelle vision troublante !
Il a apposé la seconde coupe sur le sein libre, et il est vrai que mes pauvres seins
couverts devaient offrir un spectacle bien surprenant sous leurs cloches de verre.
Puis Pierre a retiré les coupes et s'est empressé de les réchauffer d'une bouche
gourmande, avide de chair et de champagne. Quel délice! J'ai toujours adoré cette
fougue de mon mari qui emporte tout, qui submerge tous mes barrages dans un torrent de
désir.
Mes seins furent honorés on ne peut mieux, et d'autres parties de mon corps s'étaient
enflammées.
Ils sont assez menus mais terriblement sensibles. J'adore quand il me les caresse,
quand il me les embrasse !
Les frissons parcourent tout mon corps et quand il me pince un téton avec ses lèvres
c'est comme si mon corps était pris d'un spasme incontrôlable. Et lorsqu'il le
relâche, une chaleur m'enveloppe. Mes seins, bien-sûr, hypersensibles, se tendent vers
sa bouche mais comme un tremblement de terre qui se prépare, je sens mon ventre qui
brûle, mon sexe qui s'enflamme.
- Laisse-toi faire. Me dit Pierre en finissant de me déshabiller.
Sur chaque centimètre de peau dénudée il dépose un baiser, fait courir ses doigts.
Lorsque je suis enfin nue, il me semble être la corde d'un arc prête à se rompre. Sa
bouche tourne autour de mon sexe, sans le toucher. Son souffle vient l'exciter ! Je
tends le bassin pour qu'il m'embrasse, il se recule.
- Attends!
Il se saisit de la bouteille de Champagne et en verse une larme sur mes seins, puis
les lèche. C'est froid et merveilleux à la fois.
Il recommence. Un filet de champagne s'échappe d'entre mes seins et coule sur mon
ventre. Sa langue latt avant qu'il ne se perde trop bas. Il me lèche le nombril
avec gourmandise, l'embrasse avec passion. C'est bon mais j'aimerais qu'il passe à
plus sérieux, j'ai besoin qu'il s'occupe de mon sexe, j'ai besoin de quelque-chose en
moi.
Nouvelle rasade de champagne qu'il laisse couler... la fraîcheur pétillante enflamme
encore mon bouton et inonde mon sexe grand ouvert. Sensation aussi étrange que
jouissive !
Il ne lèche pas, j'attends, j'enrage !
Il recommence, le champagne coule sur mes seins, mon ventre, mon sexe. Je ferme les
yeux et me laisse aller en arrière. D'un coup je sens ses lèvres sur mon sexe.
Je jouis immédiatement.
Me connaissant il s'immobilise, ses lèvres posées sur mon intimité. Puis se recule. Il
me sourit.
- Ça va ?
- Oui.
Il souffle doucement sur mon sexe, j'aime bien, reprend la bouteille et en verse un
peu directement sur mon clitoris. Sa langue pointée entre mes lèvres pour recueillir
le cocktail Champagne-Plaisir féminin.
Il recommence, une fois, deux fois... Sa langue pointe maintenant mon petit trou.
Il me caresse avec le goulot, verse presque directement dans mon vagin un peu de
champagne qu'il boit immédiatement, la pointe de sa langue taquinant toujours mon
petit trou.
Je suis sur un nuage.
Il se recule un peu pour admirer son uvre.
- Je vais finir par être saoul!!! Ivre d'alcool et ivre de ton jus, ivre de
toi...
Il att mes jambes sous les genoux et les rabat sur ma poitrine. J'empoigne mes
chevilles dans une position des plus indécentes, qui soulève mon bassin et m'ouvre
complètement.
Pierre glisse le goulot dans mon intimité et lève d'un geste vif la bouteille puis la
rabat aussitôt. Je sens le liquide m'envahir et régurgiter, comme un volcan de lave
froide et mousseuse.
Pierre me dévore littéralement, ne laissant perdre aucune goutte. Il s'attarde
longuement sur la vallée entre mes fesses, explorant avec application mon autre
orifice.
Il pose la bouteille et je le devine parcourir la table à tâtons, alors que sa bouche
continue à me gamahucher. Puis à nouveau, il se recule et je sens sa langue sur mon
clitoris et ...
En même temps sur mon anus?
J'essaie de comprendre et soulève la tête. Sa bouche est bien plaquée sur le haut de
mon sexe. Mais ce ne sont pas ses doigts qui me taquinent lillet.
C'est tellement bon que je décide de n'élucider ce mystère quun peu plus tard. Je
sens cette langue souple s'introduire doucement dans mes reins. S'introduire et
pénétrer encore, puis se retirer doucement et revenir toujours plus profond.
La sensation est délicieuse et les dents qui grignotent mon petit bouton ne vont pas
tarder à me faire exploser.
La phrase qu'a prononcé mon mari tout à l'heure, me revient comme une évidence "...
tout ce qui est sur la table je l'utiliserai pour te donner du plaisir..."
Les asperges ! Pierre est en train de me sodomiser avec une asperge !
- Tu es dingue mon chéri, c'est bon mais c'est n'importe quoi !
- Tu n'aimes pas ?
- Si mais les asperges sont si fragiles que si j'avais un peu serré les fesses
je lui aurais coupé la tête ! Et d'ailleurs c'est un miracle que cela ne se soit pas
passé et je n'ai pas trop envie de me retrouver avec un bout d'asperge là-dedans... Et
puis c'est dommage, on ne peut plus les manger !
- Ne t'inquiète pas, il en reste suffisamment Et tu m'as accueillie si
facilement, il m'a semblé que tu n'attendais que ça !
- Oui! mais réfléchis un peu !
- Tu sais bien que dans ces moments-là, tout mon sang se concentre dans mon
appareil génital... En tout cas, tu as l'air d'aimer ça!
Et après ce petit intermède, il replonge entre mes cuisses et me dévore le clitoris à
nouveau. Il retire simultanément l'asperge et au fur et à mesure de la libération je
sens monter un orgasme gigantesque, comme si la crainte d'avoir ce légume dans le
rectum m'avait empêché de jouir jusque-là.
Mes fesses décollent et ma chatte se plaque contre les lèvres gourmandes. Mon corps
s'arque, tétanisé, puis quelques secondes plus tard, il retombe lourdement.
Il me connaît bien et me laisse revenir doucement. Il sait que s'il me touche encore
ce sera désagréable. Il m'embrasse amoureusement, me caresse les seins... et verse
encore un peu de Champagne sur mon sexe.
- Hey !! Ça va pas ?-
- Je tente de calmer l'incendie
Et avant que je ne parle à nouveau il m'embrasse encore. Il sait me faire taire.
Mais d'une main il reprend des asperges, je sens leur contact frais sur mes lèvres
intimes
- mmmmm... qu'est-ce... mmmmmm
C'est comme une énorme langue froide et humide qui me lécherait à la fois mes lèvres
intimes, mon clitoris.
Je sens un début d'intrusion. Je vais protester, ça suffit comme ça.
Mais les asperges commencent à avoir raison de ma résistance. Elles se glissent de
partout, s'infiltrent, s'insinuent...
En même temps je sens le goulot dur et froid menacer mon petit trou.
- Tu es infernal !
Je suis en train de jouer dans 9 semaines et demie, Kim Basinger aux mains de Mickey
Rourke dans la scène cul-inaire mais en version hard!!!
Qu'est-ce-qu'il ne va pas encore inventer ?
Il n'invente plus, il continue.
Je sens les asperges sortir.
- Tiens ! Me dit-il en posant une tête d'asperge sur mes lèvres
Je la mange, c'est bon.
- MMM ! Tu es fou toi !
- Je sais !
Dit-il en m'embrassant encore et, pendant que sa langue s'enroule sur la mienne, il
pousse le goulot de la bouteille entre mes fesses.
- Mais enfin !
- Dis-moi que tu n'aimes pas et j'arrête
- Tu es stupide
Puis une à une, il trempe les asperges en moi et nous les mangeons ensemble. Le
Champagne pas vraiment au frais !!!
L'entrée prend fin sur ces délices.
Pierre me redresse puis me nettoie gentiment de nos débordements, dans tous les sens
du terme.
Puis il revient de la cuisine, avec une superbe assiette de tournedos sauce au poivre.
Au moins là je ne risque pas d'intromission incongrue, bien que la recette d'asperge
de Pierre méritât les éloges.
Pierre pose le plat sur la table, prend une serviette et me bande les yeux. Je ne me
suis pas rhabillée pour la suite du repas et je me sens vulnérable entre les mains de
mon "pervers" de mari.
J'entends des bruits de vaisselle comme si Pierre débarrassait la table. Puis il
m'empoigne par les cheveux, me redresse puis me couche à plat ventre sur la table.
Quelle force il se dégage de lui dans ces moments-là. Je me sens si menue, si faible
dans ses bras. Il me saucissonne dans la nappe, bloquant tout mouvement de mes bras.
Seule mes jambes sont libres, mais pas pour longtemps. Il attache chacune de mes
chevilles aux pieds de la table, jambe largement écartées.
Il fouille entre mes fesses d'un index indélicat.
- Ça manque de lubrifiant tout ça! dit-il d'un air menaçant.
J'ai un peu peur, Je ne sais pas ce qu'il veut faire.
Malgré tout, j'ai confiance et attends la suite en fermant les yeux.
Je sens qu'il me badigeonne lentre-fesse ainsi que le sexe avec un du gras... Je me
demande quoi? Jusquà ce que je sente les premiers picotements.
Non! Mais décidément il est complètement fou!! La sauce au poivre!! Je sens mon
entrejambe s'enflammer, mes muqueuses gonfler...
- Qu'est-ce que tu fais? arrête-ça tout de suite! ça brûle!!!
- Je vais éteindre l'incendie! et il enfouit son nez entre mes fesses et vient
laper la sauce à grands coups de langues gourmands.
La fraîcheur, la douceur de sa bouche m'apaise aussitôt, et toute la zone hyper-
sensibilisée devient volcanique, les nerfs à vif. Il joue de la pointe de sa langue et
me fait sursauter en simmisçant dans mes orifices brûlants. J'ai envie... J'ai
envie...
J'ai envie qu'il me prenne. Qu'il me pénètre vraiment. Envie de me sentir pleine de
lui, de sa virilité.
J'ai envie de quelque chose de plus sérieux en moi.
J'ai envie...
- Ouuuuuiiii ! Je n'ai pas pu retenir mon cri, je n'en ai pas eu envie non plus.
Pierre s'est engouffré en moi! Cest vraiment le mot. Il m'a prise comme un soudard.
Il faut dire que le pauvre (?) depuis le début de nos petits jeux était sous tension
extrême.
Et bien sûr, il a choisi mes fesses (enfin laccès, là, entre mes fesses) ! Souvent,
il me prend comme ça, quand il est excité.
J'adore cette sensation de plénitude malgré la douleur générée. Une douleur qui se
transforme rapidement en jouissance.
Pierre est déchaîné et martyrise mes petites fesses sans défense, les fessant avec
vigueur. Toute la zone de mon bas-ventre à mon postérieur n'est plus qu'une fournaise,
et le magma au centre de mon corps est entrain de bouillonner, prêt à exploser.
A grands coups de rein, il me défonce.
J'avais envie de lui, vraiment! Du sérieux ! Mais je ne pensais pas qu'il oserait me
prendre ainsi. Il sait que je suis très douillette de ce côté et que je n'aime pas
avoir mal. Il est vrai que l'air de rien il m'avait sacrément préparée, entre les
asperges vinaigrette et le goulot de la bouteille de Champagne, mon petit trou l'a
accueilli assez facilement. Mais malgré tout quand il rentre aussi vite ça me fait mal
! Pas longtemps mais quand même!
- Tu es fou de rentrer comme ça par-là, tu sais que ça me fait mal !
- Désolé ! Et tu as encore mal maintenant ?
- Non
- Dis-moi que tu aimes ça !
- Oui j'aime ça ! Tu es un goujat mais j'aime ça !
- Tu aimes quoi ? Dis-le-moi !
- J'aime quand tu es dans mes fesses !
- Et tu aimerais en avoir plus ?
- Oui !
Il prend la caméra et vient faire un gros plan de notre union. Son sexe fiché en moi
et le mien ouvert, grand ouvert, libre, disponible.
Éclairée à la lueur des chandeliers, la scène doit être sombre ! Jaime autant. Mais
pas lui et il allume la torche pour mieux filmer notre petite cochonnerie.
Puis il éteint la torche et repose le caméscope sur son pied, sans sortir de moi, et
allume un peu de lumière;
- J'adore les chandeliers, me dit-il, mais d'abord c'est pas avec deux
chandeliers, même à trois bougies chacun que l'on va avoir l'oscar du meilleur
éclairage, et puis ils étaient sur la table...
.. et donc susceptibles de participer à la fête.
Je sens quelque chose de dur se frayer un chemin entre mes lèvres enflées et grasses
de cyprine. La bougie (et oui!) entre aisément et la pénétration ne semble jamais
devoir se terminer.
Le diamètre n'est pas bien conséquent et cette intromission a plutôt tendance à me
mettre sur les nerfs. Heureusement, derrière, Pierre continuer à me pilonner avec
force.
Il se doute de quelque chose, car il retire la bougie et la remplace par... deux
bougies... trois? Je ne sais pas!
Toujours est-il que maintenant je me sens bien remplie, et que le plaisir est proche.
D'autant que Pierre accélère la cadence, si c'était encore possible.
Je suis partagée entre gêne et plaisir; J'adore son sexe mais là où il est cela me
gêne, j'aime qu'il me caresse, voire qu'il me masturbe, mais là avec ces bougies ! Le
plaisir monte mais reste bloqué par ces petites gênes. Il s'écarte un peu même et des
idées bizarres me traversent : je deviens spectatrice. Je veux savoir s'il m'a
vraiment mis toutes les bougies. J'essaie de me relever un peu pour voir, ce n'est pas
facile. Il est profondément fiché au fond de moi. Je n'ai eu que le temps d'apercevoir
le blanc des bougies avant de devoir repartir en arrière. Alors instinctivement c'est
ma main qui vient se poser dessus. Pendant qu'il me sodomise je compte. Oui il m'en a
mis trois ! Tout le chandelier ! (enfin juste les bougies).
- Tu aimes ça ? prends-les, bouges-les ? Caresses-toi! Me dit-il prenant mon
geste pour ce qu'il n'était pas.
Je lui souris, laisse un doigt ou deux sur les bougies et tourne la tête. Le caméscope
me regarde. Autre gêne. Et petite excitation. Mon esprit vagabonde : Certes
l'excitation initiale est passée mais je viens de glisser ailleurs. Derrière la vitre
du caméscope des gens me regardent. Cela m'excite. Je me caresse. Mon mari le sent et
accélère ses mouvements, j'arrive, je jouis !
Une main virile pousse les bougies au-delà de ce que j'aurais pu imaginer. Puis il
att mon sexe à pleine main et le chiffonne.
J'adore quand il perd la tête, quand il ne maîtrise plus ses gestes... qui domine qui?
Dans un ultime coup de rein, mon mari se plaque à mes fesses et grogne dans mon cou.
Il se déverse au plus profond de moi, en pinçant mon petit bouton, ce qui déclenche en
moi un nouvel orgasme.
Nous sommes tous deux un peu secoués. Mon mari reprend le dessus le premier.
- Bon, on passe au dessert!!
Oh oui ! J'aimerais bien faire une petite pause, une petite douceur après tout cela.
Non que je sois totalement rassasiée, et il le sait, mais un petit répit sera une
bonne chose.
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