Un Après-Midi À 2, Puis 4, À L'Hôtel
Seul à la maison et dhumeur coquine, je me connecte à un site de rencontres
homosexuelles pour trouver un interlocuteur avec qui je pourrais avoir une
conversation plus quincorrecte entre des inconnus. Bref, une séance de sexe par
internet me suffirait pour calmer mes petites ardeurs.
Une fois en ligne, je suis abordé par beaucoup dinconnus dont un qui mintéresse
dentrée de jeu car il indique avoir la quarantaine. Japprécie particulièrement les
hommes dun certain âge. Nous nous présentons (il sappelle François, il est
fonctionnaire
), nous discutons brièvement de choses et dautres, histoire de ne pas
oublier que nous sommes quand même civilisés puis il rentre dans le vif du sujet et me
demande pourquoi je suis là. Je luis raconte quin fine je cherche de lexcitation sur
internet. Malheureusement tout ce quil me propose est de venir chez lui. Je lui dis
non mais il persévère et me propose daller dans un café. La chose étant innocente,
jaccepte.
Jarrive au café, voit lhomme (quarantaine, un peu bedonnant ce qui ma toujours
plu), le salue et massoit à côté de lui, dans un coin isolé du café. On discute sexe
directement, il me demande de parler de mes expériences et je me fais un plaisir de
rentrer dans les détails : fellation, léchage, pénétration, fantasmes inassouvis,
sperme, bisexualité. Bref tout y passe et je sens mon excitation monter, ainsi que la
sienne à travers ses yeux. Il me demande ensuite ce que je ferais avec sa bite.
- Ça dépend, comment est votre bite ?
- Longue, courbée avec un gland proéminent.
- Les meilleures. Je pourrais commencer par magenouiller, la masturber un peu.
Dabord lentement puis en accélérant. Puis je pourrais gober vos boules une par une et
les faire rouler sur ma langue.
Sans que je ne men rende compte, il avait mis sa main sur mon pubis et il prenait la
mienne pour la mettre sur le sien.
- Ensuite je donnerais quelques coups de langue sur le gland et le frotterait
sur mon visage pour y étaler le liquide séminal. Ainsi je sentirais le sexe toute la
journée.
Je ne sais pas ce que jai avec le sperme de mes partenaires, mais cest quelque chose
qui mexcite au plus haut point. La couleur, la texture, la chaleur. Cest
véritablement un aphrodisiaque pour moi. Que mon amant éjacule dans ma bouche et
javale, sur mon visage ou mon torse et je létale, dans mon cul et le plaisir est
décuplé. Jadore. Fermons la parenthèse.
Il me dit alors :
- Tu mexcites beaucoup et jai envie que tu me suces maintenant.
Ce nest pas ce pourquoi je suis venu mais entre temps, lenvie est montée.
- Daccord mais où ?
- Dans les toilettes du café ou dans le petit Formule 1 du coin.
Dun côté les toilettes avec le risque de se faire pincer à tout moment, de lautre
lhôtel où je risque de passer à la casserole. Lexcitation prenant le dessus sur mes
dispositions initiales, je choisis lhôtel, sachant quil ne va pas se contenter dune
simple fellation.
On arrive à lhôtel puis au comptoir. François réserve une chambre pour 2 heures et le
concierge me regarde dun air (je sais ce que vous allez faire et je juge les gars qui
le font avec des gros bien plus âgés queux). On arrive dans la chambre, il ferme la
porte et là tout senchaine : il me plaque contre le mur et membrasse comme un fou
avec la langue et tout. Je ne reste pas immobile et je défait son jean.
- Maintenant suce moi !
Jentame donc une fellation comme jai dit que je le ferais. Je gobe le gland avec la
bouche et passe ma langue autour. Je lèche la hampe recourbée. Sa bite ressemble
vraiment à un pénis dacteur porno et je me plais à faire comme dans ces films. Alors
je pompe et je lèche, il me prend la tête et module lui-même la vitesse des va-et-
vient de ma tête sur sa queue.
Puis il mécarte.
- Fous-toi à poil et mets toi à quatre pattes les jambes bien écartées sur le
bord du lit.
Cest clair, net et sans fioriture. Je mexécute.
Je le sens sapprocher de moi, faire couler de la salive sur ma raie, viser et placer
son gland à lorée de mon anus et me pénétrer jusquà la garde plus rapidement que je
ne laurais voulu. Je respire bruyamment jusquà ce que le plaisir arrive, décuplé par
la sensation de son gros ventre sur mes fesses. Il reprend la mouvement et me baise de
plus en plus fort. Ses coups de reins sont puissants et je crie de plus en plus fort,
laissant libre cours à mes sensations. Cest quand je me laisse aller au plaisir, sans
tenir compte des gens ou du lieu, que les sensations sont décuplées. Alors je peux
partir très loin.
Des fois il sort complètement de moi pour y renter à nouveau encore plus loin. Je
crie, je mabandonne.
- Aaaaah cest bon ! Je la sens en moi ! Je sens sa chaleur en moi ! Oooooh que
cest bon de se faire remplir le cul par une bonne queue !
Je sens le plaisir menvahir quand on entend un cri de femme dans la chambre dà côté
qui visiblement vit une expérience similaire à la mienne. François reprend sa baise et
fait coïncider ses coups de butoir avec ceux de lautre homme pour que mes cris
surpassent ceux de lautre femme. Être mis en compétition avec une femme est troublant
; le parallèle est excitant, surtout quil peut sagir dune pute payée pour se faire
baiser.
On continue ce petit jeu excitant quand ça sarrête chez eux. Puis quelques instants
plus tard, on frappe à la porte.
- Reste dans cette position !
La position étant à quatre pattes, en sueur, lanus bien ouvert, et pantelant sur le
lit, à poil, je nen mènerais pas large si quelquun rentrait. Ce quelquun cétait
lhomme et sa pute. Un grand baraqué et une femme, plus petite mais grande quand même,
attachée à une laisse.
pourquoi ne pas échanger pour cette fois. La femme avance comme une chatte vers moi et
de positionne à mes côtés, à quatre pattes, sa forte poitrine pendant lourdement sous
elle. Elle me roule un patin digne de ces mêmes films dont je parlais ce tantôt.
François la fourre et le grand malabar se place derrière moi avec un pénis plus fin
mais très long. Et sans préliminaire, il me pénètre, allant beaucoup plus loin que
lautre, ou que quiconque auparavant. La sensation est nouvelle et après quelques va-
et-vient je jouis. Il sallonge sur le lit et je me mets à califourchon sur lui. Je
saisis la bite, la place à la verticale (et quelle verticale !) et massieds dessus
puis je saute sur lui pris dans le feu du plaisir. Je saute pour faire coulisser sa
bite en moi, et je saute comme un pantin ou un zombi, ivre de plaisir. Je me sens
transpercé de part en part, planté sur une chaude lance de chair.
Finalement les 2 hommes actifs jouissent dans les 2 salopes passives. Un flot de
sperme conséquent qui me fait grimper au 7ème ciel car lidée que son sperme atteigne
des endroits quaucune autre semence na connus me rend dingue.
Je disais comme une salope car, à peine fini, mon malabar sen va sans rien dire,
sans demander son reste ; il laisse même sa pute avec nous. Tandis que François gît
sur le lit, je pars prendre une douche. La pute me suis et entre avec moi dans la
cabine, sans rien me demander. On se lave mutuellement ce qui a pour effet de me faire
durcir à nouveau. On discute : elle sétonne de mon érection, je lui dit être bi, elle
me dit nêtre pas une pute mais nymphomane et quil sagissait dun coup régulier pour
se calmer. Au moment où elle dit ça mon excitation est très forte, elle le voit mais
François rentre.
- Javais dit que je me viderais en toi, salope.
Jimagine quil parle à moi. Il entre dans la cabine, la femme sort et regarde lhomme
me plaquer contre la vitre et me sodomiser debout. Je ferme les yeux de plaisir et
gémit de plaisir, encore. La fenêtre souvre et la femme commence à me sucer en même
temps. Une pro. Finalement François jouit en moi et je me déverse dans la bouche de la
femme qui avale tout. Pour finir il nous a fallu à la femme et moi le sucer à 2 ; nos
lèvres à tous les 2 sur le gland de François, mais elle et moi fixions notre regard
lun sur lautre, imaginant déjà les folies que nous pourrions vivre à deux.
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