Ma Voisine Dévergondée
Je navais pas 17 ans, quand la voisine est venue chez moi pour je ne sais quoi. Je la
laissais entrer pour lui demander ce quelle voulait :
- Toi mon chou, tu dois bien baiser.
- Je suis vierge.
- Viens chez moi je tappendrais plein de choses qui te serviront quand tu auras une
amie.
Pour mieux mappâter, elle pose sa main sur ma bite en me faisant bander. Cest
quelle me plait cette femme malgré son grand âge, vers les 35 ans. En partant elle
menvoie un baiser coquin. Quand elle nest plus là, je vais me branler dans ma
chambre.
Si elle ma demandé daller chez elle, elle ne ma pas dit quand. Je ny tiens plus,
vers 15 heures, en période de vacances cest facile, je vais sonner chez elle. Je suis
surpris du temps quelle met pour ouvrir. Enfin la porte sentrouvre à peine :
- Entre vite.
Jentre vite comme demandé : ma première femme nue. Et quelle femme, un brune plutôt
grande, aux seins comme dans les magazines, un pubis rasé avec apparentes les lèvres
de son sexe. Ma bite doit battre la vitesse du son en bandant. Je me trouve vite ans
ses bras, ses lèvres cherchent les miennes. Jentrouvre mes lèvres quand sa langue
force un peu pour entre. Ce nest pas mon premier baiser : javais déjà embrassé ma
cousine sur la bouche, moins bien quà cet instant.
Je sens bien ses seins contre ma poitrine. Et sa main qui sort ma verge. Enfin elle me
fait entrer dans sa chambre. Je me déshabille sur sa demande presque pour lui faire
plaisir. Jai même honte de me montrer ainsi, je me sens maigrelet. Elle moblige à
massoir au bord du lit. Sa bouche a quitté la mienne pour sapprocher de ma queue. Je
sais ce quelle va me faire. Il me tarde même de sentir sa langue. La première
sensation mest donnée par ses lèvres qui me prennent entièrement.
Que ma main est loin de me branler, je sens enfin les prémices dun orgasme.
monter la sève lentement : je me tends pour jouir. Je ne pense même pas à lui dire que
jallais jouir. Je lui donne ce que jai en réserve. Elle me garde dans sa bouche tout
le long de la fellation. Je sens sa langue faire de drôle de mouvements dans sa
bouche. Elle avale ce que je donne.
Je débande rapidement. Elle me fait coucher pour la baise. Je ne peux pas le faire
dans cet état. Elle vient sur moi, membrasse sur la bouche : je dois déguster mon
sperme restant dans sa cavité. Ses mains viennent soccuper de ma pine et lentement je
rebande plus fort que la première fois.
- Voilà, tu es comme jaime. Viens me la mettre.
Moi je veux bien la lui mettre, mais comment ? Et exactement où ?
- Vient sur moi, puceau.
Je viens sur elle comme elle veut, je minstalle entre ses jambes ouvertes qui me
montre toute sa chatte. Je détaille ses secrets avant de venir me mettre sur elle.
Elle passe ses jambes sur les miennes. Avec une main elle prend ma queue et la met à
lendroit voulu.
- Prends-moi maintenant.
Elle appuie sur mes fesses pour que je mavance dans son con. Cest à linstant que je
comprends ce que baiser veux dire. Jai ma bite dans un étau de soie brulante.
Pourtant jentre lentement pour faire durer le plaisir de la pénétration. Je sens le
fond de son étui. Je ressorts à peine, juste le temps de recommencer avec la même
sensation de plénitude.
Je sens le con se serrer spasmodiquement autour ma pine : elle me dit jouir. Je ne
savais pas quel effet cela faisait quand une femme jouit autour dune queue,
maintenant je le sais.
Jaurais voulu arrêter pour quelle me suce encore. Pas question : je jouis dans son
ventre. Je sens le bout de mon manche lâcher pas mal de sperme : je dois en avoir
partout. Nom dun chien que cest bon de jouir dans un con.
Quand je sors enfin de sa féminité elle me demande de lui donner encore une fois ma
queue dans la bouche.
dégoutée pour un sou, elle me prend la bouche grande ouverte. Elle me nettoie
entièrement la queue. Je débande lentement, cette fois. Elle continue sa succion pour
me faire encore bander. Elle ajoute une main pour me caresser les couilles avec
douceur et lautre main va se ficher sur mon cul.
Bien sur je ne résiste pas : je bande à nouveau.
- Cest bien de bander comme tu fais. Encules moi.
- Dirige-moi.
Elle fait plus que me diriger. Ma queue ne mobéit plus. Elle ma prit dans une main
après sêtre bien mouillé la rondelle. Je sens vaguement ses fesses puis enfin son
anus. Je reste hors delle pour le moment. Je lai pris par les reins. Je suis prêt.
Elle fait aller et venir ma queue entre ses fesses, je passe sur son anus plusieurs
fois et enfin elle sarrête quand je suis bien en face son cul. Cette fois jentre
seul. Cest encore meilleur que son con. Cest plus serré, plus indécent aussi. Je la
sens se branler le clitoris. Nous avons les mêmes mouvements.
Je fais mon possible pour aller le plus profond possible, jy arrive en sentant les
poils de mon pubis atterrir sur ses fesses. Elle est en levrette et moi à genoux
contre elle. Je sens encore les spasmes de sa jouissance. Je ne pensais jamais quune
femme puisse jouir autant, si rapidement entre chaque orgasme.
Arrive le moment fatal pour moi, jéjacule ce qui doit me rester comme semence dans ce
cul accueillant.
Vient le moment des caresses. Elle est sur le dos, offerte à mes mains. Je la pelote,
je caresse partout même sur la chatte.
Cétait il y a 20 ans.
Depuis je nai jamais baisé une femme sans moccuper de son plaisir avant le mien. La
dernière était bi. La dernière fois elle a voulu baiser en trio. Il fallait que je
sois capable de contenter deux sexes à la fois.
Nous étions allongés, moi au milieu de deux cinglées de lorgasme. Je les ai caressées
avant quelles se décident à baiser en bonnes disciples de Lesbos. Elles se sont
masturbées et léchées devant moi qui les laissais faire. Finalement quand lestimais
quelles sétaient assez envoyées en lair à deux filles, je prenais la direction de
la suite. Malgré les râles de colère jen baisais une comme jaime le faire : entrer
profondément dans le con, y rester un bon moment sans bouger, avant de limer
longuement. Jétais mis de telle façon que je pouvais branler lautre en la doigtant
avec trois doigts. Jentendais les râles de plaisir cette fois. Celle que je baisais
avait aussi des caresses à faire, elle sattardait elle sur le cul de sa copine. Nous
formions un trio parfait que nous continuons souvent même si nous papillonnons de
droite à gauche.
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