La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 88)
(suite de l'épisode 87 avec myna)
En effet, il lui restait dix heures pour accomplir sa vengeance. En plus de ses autres
obligations. Sassurer de la bonne tenue de sa maison, honorer son rendez-vous
avec le médecin, sentretenir avec le cordonnier bottier et le maréchal ferrant et en
plus continuer léducation des deux esclaves sous sa responsabilité. La Dame savait
que son Maître le Marquis d'Evans ne tarderait pas à venir contrôler si elle
sacquittait convenablement de cette tâche et la moindre faute serait sévèrement
punie. Elle en frémissait davance.
Elle sortait de ses pensées, tandis que e64 et eNatacha venaient prendre leur place
auprès de Myna, attendant les ordres de leur Maîtresse. A son tour, Hector, le valet
de Dame Laetitia fit son entrée. Aussitôt elle se précipita sur lui, oubliant un
instant les trois esclaves. Elle se reprit rapidement, sous le regard désapprobateur
de lhomme
- eNatacha, viens ici aider Hector à me préparer ! e64 au panier !
Elle se mit à rire à ces mots, ah si ce cher David pouvait le voir son favori, quelle
tête il ferait. Passer de la couche du compagnon du Maître au panier à chien de sa
favorite, quelle déchéance Ce quelle ne savait pas, cest que Monsieur le Marquis
nétait pas le seul à utiliser les caméras de surveillance. Monsieur David aussi, bien
quil nen eut pas le droit, et il gardait toujours un il sur son favori. Et il
enrageait et rongeait son frein de le voir ainsi humilié. Il ne pouvait même pas aller
le voir, Son Cher Edouard lui avait interdit laccès à lAile Sud. Dame Laétitia
ordonna à Myna de les suivre dans limmense salle de bain, de se placer à genoux, le
dos bien droit et les bras en croix. Cette dernière ne devait pas bouger, sous peine
de châtiment. La Dame sinstalla dans son bain chaud parfumé deau de rose.
le valet frottait le corps de sa protégée avec une éponge naturelle, eNatacha
patientait à genoux, attendant les ordres. Le temps était long pour Myna et rapidement
ses épaules la firent souffrir. Elle tint le plus longtemps possible, mais à bout,
elle baissa les bras. Un sourire cruel se fit sur le visage de la favorite lorsquelle
appela :
- e64, arrive ici avec le fouet !
Lesclave arriva rapidement et présenta linstrument à genoux.
- Tu vas attacher cette chienne de Myna et lui administrer dix coups de fouet. Et ne
ménage pas ton bras, je veux que les traces se voient
e64 qui navait pas envie que le courroux de sa Maîtresse retombe sur lui, alors, il
sempressa de faire descendre une chaîne du plafond (toutes les pièces du château en
étaient équipées dun ou plusieurs dispositifs du genre), il y attacha les poignets de
sa victime. Il fit de même pour les pieds, grâce à des anneaux au sol. Ces derniers
pouvaient êtres réglés de façon à ce que les jambes soient écartées ou serrées.
Lesclave choisit de les maintenir écartées. Ensuite il fit remonter la chaine de
façon à ce que les bras de Myna soient bien tendus au dessus de sa tête et que ses
pieds ne touchent quasiment plus le sol.
- Dépèches-toi ! Et je veux lentendre compter !
- Bien Maîtresse
e64 pris de la distance et arma son bras. Néanmoins il le retint au dernier moment
afin de ne pas faire trop souffrir lesclave du Maître. Cette dernière émit tout de
même gémissement et tenta darticuler UN.
- Je te préviens 64, retiens encore ton bras sinon cest Monsieur Walter qui
soccupera de vous fouetter tous les deux !
- Oui Maîtresse, Pardon Maîtresse
e64 repris son office, ressentant dans ses chairs chaque coups quil donnait. Et
inexorablement Myna compta jusquà dix.
Dame Latétitia jugea que le spectacle lui plaisait, et quelle resterait attachée
jusquà ce que lon ait fini avec elle. Il fut donc renvoyé à son panier. Myna tentait
de pleurer en silence. Dame Laétitia était sortie de son bain, et tournait autour de
Myna un sourire aux lèvres. Elle samusait à passer ses ongles manucurés sur les
stries laissées par le fouet. Allant même la pincer par moment, les chairs meurtries.
Lobligeant à pousser de petits cris de douleurs.
- Dame Laétitia, je dois finir de vous préparer, le médecin, ne vas plus tarder
entendit-elle derrière elle, le valet.
La favorite se résigna à laisser lesclave tranquille et sinstalla sur la table de
massage. Le valet massa, et oignit lancienne esclave. Puis il laida à se vêtir, la
coiffa et la maquilla. Il ordonna ensuite à eNatacha de passer les chaussures aux
pieds de sa Maîtresse. A peine, fut-elle fin prête que le médecin arriva. Avant de le
suivre dans une pièce attenante, Dame Laétitia ordonna que Myna soit décrochée et que
les soins lui soient donnés. Hector fit donc appel à lun des apprentis valets, celui
de Myna aillant été mis en congé. Lhomme entra et reçu les ordres de Dame Laétitia,
et rajouta quil était interdit de la toucher plus que nécessaire. Hector se retira,
laissant lapprenti valet seul avec les trois esclaves.
Celui-ci fit descendre Myna. Cette dernière seffondra sur le sol. Le Maître ne
lavait pas encore habitué à ce genre de traitement, nayant que peu de temps à lui
consacrer. Et son comportement assez sage, lui évitait généralement les trop dures
punitions. Lhomme la porta jusquà la table de massage et passa un linge frais sur sa
peau meurtrie. Puis il la lava et la sécha avant de la masser avec un onguent. Ensuite
il ordonna à e64 de la porter sur une paillasse afin quelle se repose avant le retour
de Dame Laétitia, et à eNatacha de ranger la salle de bain et de tout nettoyer.
il se retira, sans même avoir usé de sa supériorité. Ce nest pas lenvie qui lui en
manquait pourtant. A côtoyer tous ses esclaves, on avait vite fait de se laisser
tenter, mais voilà, cela était interdit. Le dernier à sêtre laissé tenter, avait eu
droit à un séjour parmi les esclaves et avait été renvoyé, sans espoir de retour.
Une fois que tout fut propre et rangé, les deux esclaves se placèrent à genoux à leur
place habituelle. Myna, elle, sétait endormie, en pleurant encore le plus
silencieusement possible. La présence de son Maître lui manquait, et celle
réconfortante de son valet aussi. Le Marquis laurait certainement punie pour ces
larmes, mais au moins, de cette manière, il se serait occupé delle. Les esclaves
neurent pas longtemps à attendre. Dame Laétitia, et le médecin revinrent. Ce dernier
jeta un coup dil aux esclaves. Le mâle et la femelle semblaient en bonne santé, et
la femelle couchée, avait lair de dormir paisiblement. De toutes les façons il les
verrait en fin de semaine. La favorite regarda fièrement ses esclaves, puis son regard
se porta sur Myna. Un instant, elle eu envie de la réveiller, de la punir de son
impudence. Mais elle aussi avait été une esclave, elle aussi avait dû commencer le dur
apprentissage desclave. Et bien quelle fût une Maîtresse dure et sévère, elle ne
loubliait pas. De toutes les façons, elle avait un emploi du temps chargé. Le
Cordonnier-Bottier et le Maréchal Férrant de Sir dEvans allaient arriver.
En attendant, elle avait envie de samuser. Elle ordonna alors à eNatacha daller
chercher une petite balle en mousse quelle gardait sur une étagère, et de la lui
rapporter. Ceci fait, elle expliqua à ses deux esclaves, quelle allait la leur lancer
et quils devraient la lui rapporter. Celui qui réussissait aurait une récompense et
celui qui échouait un gage.
première fut gagnée par e64 et la seconde par eNatacha. Ils obtinrent chacun un
biscuit et furent envoyés en leur panier, le Maréchal Ferrant et le Cordonnier-Bottier
sétant fait annoncés.
Autant lun était fait dune forte carrure, autant lautre était petit et malingre.
Tous deux saluèrent Dame Laétitia bien bas, et la félicitèrent pour lheureux
évènement. Les nouvelles allaient très vite au château, et arrivaient tout aussi vite
au village.
- Je vous remercie, Messieurs de votre attention. Je vous invite à commencer tout de
suite. e64, approche.
Lesclave interpellé se leva et sapprocha de sa Maîtresse.
- Messieurs il me faudrait deux paires de bottes dentrainement et une pour le jour
J. Je vous en prie, faîtes votre office
Les deux hommes prirent divers mesures, tâtant, touchant. Prenant des notes. Faisant
des croquis. Discutant de la meilleure manière dopérer. e64 se pliait à la moindre
de leurs volontés. Lorsquils eurent terminés, e64 repris sa place dans le panier et
ce fut le tour deNatacha. Puis lorsquils eurent enfin fini :
- Messieurs, je tiens à vous remercier pour votre diligence. Je vous invite à passer
dans mon petit salon. e64 et eNatacha vont vous accompagner. Je suis sûre quils
sauront vous satisfaire selon vos goûts.
Les deux hommes sinclinèrent et remercièrent maintes et maintes fois. Puis les deux
esclaves les suivirent dans la pièce attenante. Dame Laetitia avait croisé le regard
de panique deNatacha, elle navait jamais été prêtée aux deux hommes, mais avais
entendu les rumeurs sur leur perversité. e64, avait lhabitude, il lui prit la main et
lemmena avec lui avant quelle nait lidée de se rebeller. Une fois que tous furent
sortis, Dame Laétitia alla remplir un verre deau froide, et sapprocha doucement de
Myna. Elle la regarda dormir un instant et lui lança leau à la figure. Ceci eu pour
effet de faire sursauter la jeune femme qui regarda La Favorite dun air apeuré.
- Comment oses-tu dormir en ma présence, chienne ?
Myna se dépêtra précipitamment de sa couverture et sagenouilla devant la Favorite du
Maître. Cette dernière enroula la chevelure de la jeune fille autour de son point.
Elle lentraîna à sa suite. Elle lui fit faire le tour de lappartement dans cette pot
sition, à une allure assez soutenue. Les genoux, et les mains de lesclave, peu
habituée à ce genre de traitement, souffraient. Arrivées dans le grand salon, Dame
Laétitia sortit un petit lien et attacha les cheveux de lesclave. La femme sabaissa
au niveau de Myna. Dune main, elle lui montra la balle en mousse avec laquelle e64 et
eNatacha avaient joué. Dans lautre se trouvait une espèce spatule plate. Myna chercha
où elle avait vu ce genre dinstrument. Elle sen souvint, Monsieur Auel, lavait puni
avec lors de la cérémonie de sa libération. Dame Laétitia qui sétait relevée pris la
parole :
- Bien, je vois que tu te rappelles de cela. Tu te rappelles de sa morsure dans tes
chairs ? Oui tu ten souviens. Vois-tu cette balle ? Je vais te la lancer, et tu
devras la chercher en rasant le sol, tu la prendras dans ta bouche et tu viendras la
déposer à mes pieds. Je te ferais avancer grâce à ma palette. Tu vas vite comprendre
comment.
Aussitôt dit, elle lança la balle à travers la pièce.
Vas chercher chienne !
Myna partit aussitôt, mais bientôt les coups se mirent à pleuvoir. Au début, Myna
perdit léquilibre, les coups faisant relever ses fesses. Pour la faire accélérer,
Dame Laétitia fit sabattre rapidement la palette. Une fois Myna de retour au point de
départ, elle lâcha la balle aux pieds de la Dame. Naturellement la balle se mis à
rouler. La Favorite asséna une gifle à lesclave.
- Tu crois que je vais courir après cette balle ? Vas la chercher et dépose la dans
ma main !
Myna rattrapa la balle avec ses dents et la déposa dans la main de Dame Laetitia.
Aussitôt elle relança la balle, et lesclave de courir après sous les coups de
palette. Tant et si bien que les fesses de la jeune femme rougirent bien vite. Elle
avait mal, mais la Dame, ne semblait pas sen soucier ni vouloir arrêter. Le jeu ne
sarrêta que lorsque les deux artisans ressortirent suivis de ses deux esclaves. Les
hommes prirent leurs documents quils avaient posés sur une console et se retirèrent
après avoir encore remercié. Les deux esclaves étaient totalement souillés. Ils
nétaient pas à laise face à leur Maîtresse. Cette dernière fronça les sourcils, et
leur indiqua leur salle de repos, de la tête. Le temps quils soient lavés et soignés,
on avait servi le déjeuner, et rapporter trois gamelles. Myna sagenouilla devant
lune et attendit. Ses pairs revinrent fraîchement nettoyer. Le regard de64 étais
éteint. Dame Laétitia dû même sévir plusieurs fois durant le déjeuner, du coup
lesclave fut privée de la fin de son déjeuner et dû se placer à genoux sur une barre
carré les mains sur la tête sans bouger. De petites larmes coulaient sur ses joues.
Après le déjeuner, e64 fut envoyé en cuisine. Dame Laétitia avait encore en tête le
refus de Myna de la remercier pour sa punition de la veille. Elle la fit
sagenouiller dans le lit et poser la poitrine sur le lit, les mains à plat au dessus
de sa tête. Elle prit un martinet et le passa doucement sur le corps de lesclave.
- Jai un compte à régler avec toi, chienne. Je vais te faire regretter de mavoir
défier hier.
Myna sentit un liquide froid contre sa rondelle et sans prévenir elle lui enfonça un
plug de taille moyenne. Elle le maintint en place, pour éviter que lesclave le
rejette, puis quand elle ne sentit plus de résistance, elle le lâcha.
Puis elle se mit à fouetter Myna tout le long de son dos et sur ses fesses. Elle
sarrêta un instant lorsque64 revint de la cuisine. Dame Laetitia ordonna à eNatacha
de rendre sa vigueur à la virilité du mâle. En effet, après sa séance avec les deux
artisans, et celle en cuisine, il avait du mal à se maintenir en forme. eNatacha était
moulue par sa position mais elle sapprocha de son confrère et pris son sexe en
bouche, effectuant des vas et viens, caressant ses bourses. Ce dernier tentait tant
bien que mal de maintenir son équilibre, il avait les mains derrière la tête.
Lorsquil fut suffisamment dur, Dame Laétitia renvoya la femelle dans son panier et
ordonna au mâle de sapprocher. Elle retira le plug du fondement de Myna.
- Le Maître nous a interdit de déflorer cette chienne, cependant il na pas interdit
de la sodomiser. Tu aimes la sodomie, esclave ?
- Je
.
- e64 tu vas prendre cette chienne, tu vas la défoncer comme jamais tu nas défoncé
desclave dans cette maison. Je veux quelle demande grâce et pardon. Si elle ne le
fait pas je te le ferais payer très cher
Dame Laétitia sinstalla dans un fauteuil face au lit, de façon à ce quelle puisse
avoir pleine vue sur le spectacle. Elle claqua des doigts et eNatacha vint
sagenouiller à ses pieds. Elle lui caressait la tête, tandis que le mâle séchinait
dans le fondement de sa jeune consur. Par instant, il sarrêtait et respirait un
grand coup afin que sa jouissance ne vienne pas trop vite. Au bout dun moment Dame
Laétitia fut fortement excitée par le spectacle que lui offrait ce mâle. Elle avait
repris eNatacha entre ses jambes, cette esclave commençait à se débrouiller pas si mal
que cela. Myna était en pleurs, lesclave qui la prenait sen faisait un devoir à
réaliser cette profonde sodomie. Elle avait mal autant quelle éprouvait du plaisir.
Elle avait déjà joui plusieurs fois, elle nen pouvait plus et lui tenait encore la
distance. Encore et encore, il senfonçait et ressortait puissamment. Parfois il
sortait, attendait une ou deux secondes et repartait à lassaut à la hussarde. Mais
elle nen pouvait plus.
- Grâce, grâce, Madame, je nen peux plus
Dame Laétitia repoussa eNatacha. Elle se leva et sapprocha du lit. Elle caressa les
cheveux de la jeune esclave. Elle comprenait pourquoi son Maître sétait entiché
delle. Si jeune et si innocente
- Tu nen peux plus
(Elle lui releva la tête par les cheveux), tu aimerais quil
sarrête ?
- Oui Madame
- Tu sais ce quil te reste à faire, demande pardon pour ton affront, et je lui
ordonnerai de se retirer. Sa voix était douce et calme.
- Je vous demande pardon, Madame, pour mon affront et mon cur de rébellion. Je vous
remercie de mon montrer la voie et de me remettre sur le bon chemin Sa voix était
saccadée par la douleur et par les allées et venues de64.
Dame Laétitia eut un petit sourire de contentement.
- Je ten prie e64, finit donc, je tautorise à te décharger en elle
- Mer
ci
Maî
tre
sse
Il accéléra ses mouvements et éjacula profondément dans le fondement de Myna en
poussant de longs râles. Lorsquil fut sorti, il lui fut ordonné daller se reposer
sur la paillasse. Myna fut laisser en place. Elle neut pas à attendre bien longtemps.
La porte des appartements souvrit sur Viktor, le valet attitré de Myna. Sans un mot
pour la Dame, il sapprocha du lit. Il prit Myna dans ses bras et lemporta. Dame
Laétitia ne répliqua pas, bien quelle devait encore la garder quelques heures, mais
elle savait que rien ne se faisait dans cette maison sans ordre du Seigneur et Maître
des lieux, le Marquis d'Evans ....
(à suivre ...)
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